Rejoignez-nous

Environnement

Après de fortes précipitations, la Suisse va vers une accalmie

Publié

,

le

Des membres des pompiers et de la protection civile installent des barrages mobiles le long de la rivière la Grande-Eau suite aux fortes pluies mardi à Aigle (VD). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

De nombreux cours d'eau ont atteint mercredi des seuils critiques suite à des pluies abondantes, mais la décrue est en cours. Si les fortes précipitations ont entraîné des perturbations du trafic ainsi que des dégâts matériels, aucun blessé n'est à déplorer.

Certains lacs et rivières se trouvent toujours en danger de crue "marqué" (échelle de 3 sur 5) jusqu'à jeudi au moins. C'est notamment le cas de l'Arve à Genève, des lacs de Bienne et de Thoune ainsi que du Rhin dans la région de Bâle.

A Genève, la situation est progressivement revenue à la normale mercredi après-midi après que huit des cinq ponts qui enjambent l'Arve ont été fermés, entraînant d'importantes perturbations de la circulation. La rivière a connu une crue centennale avec un débit record de plus de 1000 m3 par seconde.

La Basse-Ville de Fribourg a aussi vécu dans la nuit de mardi à mercredi un épisode de grande crue d'une intensité rarement atteinte, selon les autorités. Plusieurs véhicules stationnés ont été endommagés et des caves inondées.

Glissements de terrain à Champéry

Au-delà du chef-lieu cantonal, une cinquantaine d'habitants de Charmey ont dû quitter temporairement leur logement durant la nuit suite au débordement de la Jogne. Le trafic ferroviaire entre Moudon (VD) et Ecublens-Rue (FR) a lui été rétabli mercredi à la mi-journée.

En Valais, des glissements de terrain ont provoqué des laves torrentielles à Champéry, faisant déborder le torrent le Nant de Gleux aux mêmes endroits que lors d'événements similaires en 2018. Des routes ont aussi été coupées en raison d'éboulements dans des vallées latérales et des interventions ont été menées suite à des inondations et des chutes d'arbres.

Dans le canton de Vaud, la décrue s'est amorcée mercredi à la mi-journée. En prévision des fortes pluies, les pompiers et différents services de secours avaient installé 230 mètres de barrages mobiles le long des berges de la Grande Eau à Aigle et de l'Orbe à Vallorbe.

Ces cours d'eau, ainsi que la Broye et la Veveyse, étaient sous surveillance toute la nuit. Le débit du Rhône a atteint la cote d'alerte au cours de cet épisode pluvieux.

Outre-Sarine, le Rhin a atteint des niveaux record, entraînant l'interruption de la navigation fluviale entre Rheinfelden (AG) et la commune française de Kembs, en passant par Bâle. Dans ce canton, la police a fermé des zones sur les rives du fleuve.

Après l'accalmie, du vent

La tempête "Jasper", qui évoluait au niveau du Danemark, a apporté de fortes précipitations sur l'ensemble de la Suisse. Selon MétéoSuisse, il est tombé de 80 à 100 millimètres de pluie entre dimanche et mercredi sur une grande partie du versant nord des Alpes. Dans le Bas-Valais et les Alpes vaudoises, des quantités de 110 à 180 mm ont même été mesurées.

Les températures douces ont fait remonter la limite pluie-neige à 2000 mètres mardi matin dans les Alpes occidentales. La pluie, qui n'était donc pas stockée sous forme de neige, a gonflé les cours d'eau.

De mercredi à jeudi après-midi, un anticyclone apportera une accalmie temporaire et un temps généralement sec, indique MétéoSuisse. Jeudi soir, une dépression tempétueuse devrait balayer la Suisse. L'agence de météorologie a émis une pré-alerte de niveau 3 pour le nord des Alpes. Des vents de 70 à 100 km/h sont attendus en plaine et de 110 à 150 km/h sur le Jura et les Alpes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Environnement

L'agriculture suisse a vécu une année de contrastes

Publié

le

Le secteur céréalier s'est redressé en 2025 après la crise des années précédentes. (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'agriculture suisse a connu une année de contrastes. De bonnes récoltes ont permis de remplir les stocks, mais les prix bas à la production, la pression des importations et l'apparition de nouveaux ravageurs ont réduit le rendement de nombreuses exploitations.

Selon la rétrospective annuelle publiée lundi par le Service d'information agricole, le bilan de la production végétale est positif: la récolte de légumes a été bonne et la branche céréalière s'est redressée.

Pour les pommes de terre et les fruits également, les rendements élevés ont permis de remplir les stocks - ce qui a toutefois entraîné une baisse des prix. En outre, les exploitations ont dû faire face à la pression des importations et à de nouveaux ravageurs comme le charançon de la betterave. Dans la viticulture, la crise s'est aggravée.

La quantité de lait a été supérieure à celle de l'année précédente, mais la pression sur les prix a augmenté. La saison d'alpage a été affectée par les maladies animales et les attaques de loups. La production de viande bovine a stagné et les importations ont augmenté, mais les producteurs de porcs ont pu tirer leur épingle du jeu. La récolte de miel a été supérieure à la moyenne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Ukraine: stocks d'huile d'une entreprise genevoise bombardés

Publié

le

Allseeds Group est actif en Ukraine dans le commerce de céréales et d'huile depuis 28 ans. (© KEYSTONE/DPA/PETER KNEFFEL)

Des stocks d'huile de tournesol d'Allseeds Switzerland, sise à Genève, ont été bombardés par la Russie près d'Odessa, a indiqué samedi son directeur à Keystone-ATS. Il a fait état d'un mort et deux blessés dans l'attaque. Des milliers de tonnes d'huile sont perdues.

"Nos installations dans le port de Pivdennyi, situé à 50 km à l'est d'Odessa, ont été bombardées la semaine dernière, hier soir et ce matin. Trois citernes sont actuellement encore en feu", a déclaré Kees Vrins. Selon lui, il est trop tôt pour donner un inventaire précis des dégâts.

"Pour le moment, on essaie d'éteindre le feu", a dit M. Vrins. "Il y a beaucoup de dommages aussi dans les stocks voisins", a ajouté le responsable, sans pouvoir donner de détails. "Nous ne sommes pas assurés" pour de tels évènements, a-t-il précisé.

"Il s'agit de notre huitième bombardement depuis le début de la guerre", a déclaré M. Vrins, dont l'entreprise est active en Ukraine dans le commerce de céréales, ainsi que d'huile de tournesol et de colza, depuis 28 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Report d'un mois pour l'accord UE-Mercosur

Publié

le

Jeudi à Bruxelles, en marge du sommet européen entre chefs d'Etat et de gouvernement, des milliers d'agriculteurs sont venus faire entendre leur colère. Pneus en feu, jets de pommes de terre et de projectiles auxquels ont répondu des canons à eau et des tirs de gaz lacrymogènes de la police. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

Sous pression en France, Emmanuel Macron a remporté jeudi à Bruxelles une bataille avec le report d'un vote sur l'accord commercial avec le Mercosur, grâce au soutien-clé de l'Italie.

Il s'agit d'un répit fragile qui l'expose dans un mois à une nouvelle flambée de colère agricole.

Le président français était arrivé dans la matinée au bâtiment Europa sur la défensive comme rarement, lui qui s'affiche volontiers à l'initiative lors des sommets européens.

Macron "n'aime pas qu'on balade les gens"

"Je n'aime pas qu'on balade les gens, donc je ne vais pas balader nos agriculteurs", avait-il haussé la voix d'emblée devant la presse, invoquant un "bon sens un peu paysan".

L'heure était grave: la Commission européenne semblait déterminée à arracher d'ici vendredi un feu vert des Vingt-Sept, à la majorité qualifiée, à cet accord de libre-échange avec le bloc latino-américain, pour le signer samedi au Brésil.

Avec un allié de poids, l'Allemagne. Le bras de fer entre Emmanuel Macron et le chancelier Friedrich Merz s'étalait ainsi sur la place publique alors qu'ils avaient mis patiemment en scène depuis le printemps l'image d'un couple réconcilié et à nouveau moteur en Europe.

Le président français demandait lui le "report" de toute décision, sous la pression des agriculteurs qui manifestent en France et dans la capitale belge, conjuguée à celle d'une classe politique française quasi-unanimement opposée à ce texte accusé de fragiliser le secteur agricole.

"Si aujourd'hui il y a une volonté de passage en force", "je vous le dis très clairement, la France s'opposera", "on doit être respectés", a-t-il martelé jeudi matin, jouant clairement sur le registre du pays fondateur et poids lourd de l'Union européenne.

Au bout d'une journée de conciliabules dans les coulisses du sommet bruxellois, il a gagné son pari, celui que les partisans de cet accord avec le Brésil, l'Argentine, Paraguay et Uruguay, jugé favorable aux filières industrielles notamment allemandes, ne pouvaient faire fi de sa position.

"Rouler sur la France"

Mais dans la chorégraphie de cette journée cruciale, c'est la Première ministre italienne Giorgia Meloni, souvent présentée comme une rivale d'Emmanuel Macron sur la scène européenne, qui est apparue comme la clé du dénouement.

Le président brésilien Lula, pourtant proche de son homologue français, a publiquement déclaré avoir accepté de transmettre à ses partenaires du Mercosur la demande de report d'un mois maximum formulée par la dirigeante italienne lors d'un appel.

Cette ouverture de la part de celui qui disait, la veille encore, que c'était maintenant ou jamais, a rebattu les cartes.

Et dans la soirée, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen a annoncé que la signature du traité était reportée à janvier.

"Meloni joue très finement, c'est un grand sommet pour elle", glisse un diplomate européen. Un autre se montre encore plus cinglant: "Macron ne lui dira jamais publiquement merci, et elle ne dira jamais l'avoir fait comme une faveur à son endroit".

Négocié depuis plus de 25 ans, ce traité de libre-échange permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux en Argentine, au Brésil, au Paraguay et en Uruguay. Dans le sens inverse, il faciliterait l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées.

Le dirigeant brésilien a relaté un échange téléphonique avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni. Selon son récit, Mme Meloni lui a demandé de la "patience, une semaine, dix jours, un mois", en assurant que l'Italie soutiendrait l'accord in fine. Lula va transmettre la requête aux autres dirigeants latino-américains du Mercosur pour trancher.

Répit de courte durée

Mais le report offre un répit de courte durée à la France, qui ne cesse de marteler que l'accord n'est pas acceptable en l'état.

Ce délai supplémentaire est un revers pour la Commission européenne, l'Allemagne et l'Espagne qui poussaient pour une signature dans les prochains jours.

Ursula von der Leyen espérait parapher ce traité de libre-échange samedi, lors du sommet du Mercosur dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu. Mais elle avait besoin au préalable de l'aval d'une majorité qualifiée d'Etats membres à Bruxelles.

Et la France, l'Italie, la Pologne et la Hongrie étaient prêtes à former une minorité de blocage pour s'y opposer. "Le compte n'y est pas pour signer cet accord", a répété Emmanuel Macron jeudi.

Lacrymogènes et vitres brisées

Jeudi à Bruxelles, en marge d'un sommet européen entre chefs d'Etat et de gouvernement, des milliers d'agriculteurs sont venus faire entendre leur colère.

Pneus en feu, jets de pommes de terre et de projectiles auxquels ont répondu des canons à eau et des tirs de gaz lacrymogènes de la police. La situation a été particulièrement tendue autour des institutions européennes, protégées par un important dispositif policier.

Selon la police bruxelloise, 7300 personnes, avec une cinquantaine de tracteurs, ont pris part à la manifestation autorisée, principalement dans le calme. Mais 950 tracteurs supplémentaires s'étaient massés dans le quartier européen, engorgeant plusieurs rues.

Dès la matinée, la police a usé de canons à eau pour disperser certains manifestants. Des feux de pneus ou de poubelles ont émaillé la manifestation.

"Concurrence déloyale"

Mercosur, taxes sur les engrais, réforme de la Politique agricole commune (PAC): les sujets de mécontentement sont nombreux, ont rappelé plusieurs manifestants interrogés par l'AFP.

Le Mercosur? "C'est de la concurrence déloyale, ils vont importer des produits, traités avec des choses que nous, on n'a pas le droit d'utiliser (...). On nous ramène des poulets de merde", fustigeait la Française Florence Pellissier, 47 ans, agricultrice de grande culture (betterave, maïs, colza) en Seine-et-Marne.

"On est là pour dire non au Mercosur, surtout parce qu'on a l'impression qu'aujourd'hui, Ursula (von der Leyen) veut passer en force, elle veut imposer sa loi", a protesté de son côté Maxime Mabille, producteur laitier belge.

"L'Europe sera toujours derrière vous"

La présidente de la Commission européenne a rencontré dans la matinée une délégation d'agriculteurs. "L'Europe sera toujours derrière vous", a promis Ursula von der Leyen, dans un message diffusé sur X à l'issue de la réunion.

La Copa-Cogeca, principal lobby agricole européen, a revendiqué 10'000 manifestants venus de plusieurs pays, notamment de nombreux Français. "Notre fin = votre faim", résumait un slogan peint sur un cercueil noir.

Réglementations pas respectées

Les pays sud-américains du Mercosur sont accusés par de nombreux agriculteurs européens de ne pas respecter les réglementations environnementales et sociales auxquelles eux-mêmes sont soumis, avec à la clé l'opportunité de vendre des produits moins chers.

Ces inquiétudes s'ajoutent à celles sur la réforme des subventions de la PAC, que la Commission européenne est accusée de vouloir "diluer" dans le budget européen.

Pour les agriculteurs français, la gestion par le gouvernement Lecornu de l'épizootie de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) vient encore amplifier le mécontentement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Environnement

Le National insiste sur une autorisation facilitée des pesticides

Publié

le

Le National veut accélérer l'homologation des pesticides (image d'illustration). (© KEYSTONE/ARNO BALZARINI)

Les nouveaux produits phytosanitaires doivent être homologués rapidement de manière rigoureuse. Malgré l'entrée en vigueur d'une ordonnance en ce sens, le Conseil national veut aller plus loin. Les pesticides homologués en Europe doivent aussi l'être en Suisse.

Au grand dam de la gauche et du PVL, le National a adopté jeudi par 121 voix contre 73 une initiative en ce sens. Le dossier passe au Conseil des Etats.

Aujourd'hui, entre 600 et 700 demandes d'homologation sont pendantes. "La situation est intolérable", a avancé mercredi Olivier Feller (PLR/VD) au nom de la commission.

Pour Philipp Matthias Bregy (Centre/VS), le système d'homologation doit être plus rapide. La Suisse doit directement reprendre les décisions de l'UE. Elle peut toutefois adapter les autorisations de produits phytosanitaires aux prescriptions d'utilisation suisses. Cela afin que les produits déjà homologués puissent être vendus sans délai en Suisse. "Une appréciation de l'administration fédérale sera toutefois nécessaire", a rappelé M. Feller. "Rien n'est automatique."

La gauche a critiqué un projet qui vise à autoriser plus de toxicité. Franziska Ryser (Vert-e-s/ZH) a plaidé pour attendre une décision sur les "bilatérales III". Cette voie contient un accord sur la sécurité de l'alimentation. Et cela procure à la Suisse un accès à toutes les informations et les examens réalisés par les autres pays.

Plusieurs orateurs de gauche ont rappelé que le Conseil fédéral a déjà pris les devants. Depuis le 1er décembre, les produits phytosanitaires déjà homologués dans un pays voisin sont soumis à une procédure simplifiée en Suisse. Ainsi, les décisions de l'UE sont automatiquement reprises dans notre pays. Il est possible d'homologuer des produits phytosanitaires des produits déjà acceptés dans les pays limitrophes, a souligné la ministre de la santé Elisabeth Baume-Schneider.

Le PS, les Vert-e-s et le PVL n'ont eu aucune chance de restreindre le projet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Environnement

Le National insiste sur une autorisation facilitée des pesticides

Publié

le

Le National veut accélérer l'homologation des pesticides (archives). (© KEYSTONE/ARNO BALZARINI)

Les nouveaux produits phytosanitaires doivent être homologués rapidement de manière rigoureuse. Malgré l'entrée en vigueur d'une ordonnance en ce sens, le Conseil national veut aller plus loin. Les pesticides homologués en Europe doivent aussi l'être en Suisse.

Au grand dam de la gauche, le National est entré en matière par 116 voix contre 71 sur une initiative en ce sens. Le débat se poursuivra jeudi matin.

Aujourd'hui, entre 600 et 700 demandes d'homologation sont pendantes. "La situation est intolérable", a avancé Olivier Feller (PLR/VD) au nom de la commission.

Pour Philipp Matthias Bregy (Centre/VS), le système d'homologation doit être plus rapide. La Suisse doit directement reprendre les décisions de l'UE. Elle peut toutefois adapter les autorisations de produits phytosanitaires aux prescriptions d'utilisation suisses. Cela afin que les produits déjà homologués puissent être vendus sans délai en Suisse. "Une appréciation de l'administration fédérale sera toutefois nécessaire", a rappelé M. Feller. "Rien n'est automatique."

La gauche a vainement tenté de rejeter le projet. Franziska Ryser (Vert-e-s/ZH) a plaidé pour attendre une décision sur les "bilatérales III". Cette voie contient un accord sur la sécurité de l'alimentation. Et cela procure à la Suisse un accès à toutes les informations et les examens réalisés par les autres pays.

"L'initiative autorise d'anciens produits toxiques à se répandre sur nos sols", a critiqué Kathrin Bertschy (PVL/BE). "Les délais ne permettent pas d'examiner les autorisations de manière sérieuse." Et de rappeler que le Conseil fédéral a déjà pris les devants.

En outre, depuis le 1er décembre, les produits phytosanitaires déjà homologués dans un pays voisin sont soumis à une procédure simplifiée en Suisse. Ainsi, les décisions de l'UE sont automatiquement reprises dans notre pays. Il est possible d'homologuer des produits phytosanitaires des produits déjà acceptés dans les pays limitrophes, a souligné la ministre de la santé Elisabeth Baume-Schneider.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 3 minutes

Italie: Ryanair sanctionné pour abus de position dominante

L'autorité italienne de la concurrence a annoncé mardi avoir infligé une amende de plus de 255 millions d'euros (237,2 millions...

EconomieIl y a 7 minutes

Les métaux se hissent à des sommets

L'or et l'argent se sont envolés à de nouveaux sommets mardi, poussés notamment par les...

CultureIl y a 16 minutes

Premier bilan positif des ventes de Noël, malgré la morosité

A l'approche des fêtes, la course aux cadeaux entre dans sa dernière ligne droite. A...

InternationalIl y a 39 minutes

Greta Thunberg arrêtée à Londres lors d'une manif pro-Palestine

La militante suédoise pour le climat Greta Thunberg a été arrêtée mardi à Londres lors...

SuisseIl y a 2 heures

Initiative populaire pour l'interdiction des armes nucléaires

La Suisse doit adhérer au Traité des Nations unies sur l'interdiction des armes nucléaires (TIAN)....

SuisseIl y a 2 heures

Jacques Baud va interpeller l'Union européenne suite aux sanctions

Jacques Baud va interpeller l'Union européenne (UE) pour contester les sanctions prises à son encontre...

Suisse RomandeIl y a 2 heures

Vaud: neuf districts sur dix touchés par la pénurie de logements

La pénurie de logements dans le canton de Vaud gagne encore du terrain. Elle s'est...

InternationalIl y a 2 heures

Affaire Epstein: près de 8000 nouveaux documents mis en ligne

Près de 8000 nouveaux documents sur le scandale Epstein étaient disponibles mardi sur le site...

SuisseIl y a 3 heures

Le bitcoin toujours sous pression, à moins de 90'000 dollars

Le bitcoin peinait toujours à sortir mardi de l'ornière creusée en octobre, un choc qui...

CultureIl y a 4 heures

Le chanteur Barry Manilow atteint d'un cancer du poumon

Le chanteur et compositeur américain Barry Manilow, 82 ans, interprète notamment de succès comme "Copacabana"...