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L'AELE va bien malgré des défis importants selon son patron sortant

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Le secrétaire général sortant de l'Association européenne de libre-échange (AELE) Henri Gétaz aurait souhaité un accord des quatre pays membres de l'organisation après le Brexit avec les Britanniques (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Vaudois Henri Gétaz quitte son poste de secrétaire général de l'AELE après cinq ans. Celle-ci va bien mais devra s'adapter au retour des politiques de puissance, selon lui. Il regrette l'absence d'un accord à quatre, dont la Suisse, avec Londres après le Brexit.

Depuis son arrivée, l'Association européenne de libre-échange (AELE) aura dû faire face à une montée des tensions commerciales mondiales, à la sortie britannique de l'UE, à une pandémie et à un retour d'un conflit en Europe avec la guerre en Ukraine. De même qu'à la transition numérique et verte sur le continent européen.

Parmi ses défis, le Brexit aura constitué un changement considérable pour l'Europe et pour l'Espace économique européen (EEE), dont font partie trois des membres, la Norvège, l'Islande et le Liechtenstein, mais pas la Suisse. Ces trois pays ont abouti à un accord de libre-échange "large" avec Londres, négocié entièrement en ligne pendant la pandémie avant la signature, rappelle l'ambassadeur Gétaz dans un entretien à Keystone-ATS.

"On a pu reconstruire des relations normales. Même si on n'est pas au niveau du marché commun, l'essentiel est préservé", dit-il. En revanche, la Suisse, qui était partie plus tôt dans les discussions avec comme objectif de maintenir une continuité dans un accord simplifié, a négocié seule avec les Britanniques.

"Je me suis battu sans succès pour qu'elle rejoigne le train des autres membres, pour un arrangement à quatre", déplore M. Gétaz qui regrette que ceux-ci n'aient pas réussi à s'entendre sur un tel projet. "C'eût été bon pour l'AELE comme élément constitutif de la construction européenne et pour les intérêts nationaux des quatre pays". Avec le poids de la Suisse dans les négociations, les conditions auraient été meilleures pour tout le monde, dit l'ambassadeur.

Dédramatisation du lien Berne-Bruxelles

M. Gétaz s'appuie sur son expérience pour dédramatiser les tensions entre Berne et Bruxelles. "J'ai conclu, après avoir oeuvré pendant des années sur l'EEE, que le contenu des accords institutionnels n'est pas si décisif. Ce qui l'est, ce sont les fondamentaux politiques qui gouvernent les relations entre les parties".

Pour les Vingt-Sept, les pays de l'EEE sont les partenaires les plus proches. "On se fait confiance et on parle le même langage, on collabore à des solutions communes", dit le secrétaire général sortant, qui part fin décembre et sera remplacé par le Liechtensteinois Kurt Jäger.

Des exemples entre l'UE et les pays de l'AELE membres de l'EEE montrent que des solutions sont toujours trouvées ou que des organes de règlement des disputes fonctionnent, selon lui. Même si la pandémie a montré que Bruxelles oublie parfois d'exonérer les pays de l'AELE au moment de décider de restrictions sur les vaccins.

En revanche, si les fondements politiques de la relation ne sont pas bons, les paragraphes des accords feront office d'arbitre. "Il faut par conséquent d'abord s’entendre sur ce que l'on attend fondamentalement de notre relation", estime M. Gétaz.

De leur côté, les trois autres pays de l'AELE voient différemment les relations entre la Suisse et l'UE. Vaduz est favorable à un rapprochement, l'Islande est pragmatique, alors qu'Oslo est soucieuse de possibles effets sur son débat interne sur l'EEE, selon le Vaudois.

Prudence avec l'Inde et le Mercosur

Pour la Suisse, l'association est surtout synonyme de la quarantaine d'accords de libre-échange qui ont été conclus pour l'accès au marché dans des Etats tiers. Parmi les négociations actuelles, le conseiller fédéral Guy Parmelin s'était montré enthousiaste il y a quelques mois sur une relance avec l'Inde. "Les Indiens ont changé de politique. Un accord est possible mais cela reste compliqué", dit M. Gétaz.

Même prudence avec le bloc sud-américain du Mercosur. Le retour du président brésilien Lula et les premières déclarations de son homologue argentin sont prometteurs.

Plus largement, même s'il estime que la déglobalisation ne se manifeste pas encore vraiment en termes de volume du commercial mondial, le secrétaire général relève que "le mouvement de fond affecte de manière assez forte" l'AELE. Les quatre membres sont amis du système multilatéral et doivent faire face au retour des politiques de puissance par la Chine, les Etats-Unis et l'UE.

"Les gros acteurs ne vont pas s'occuper de nos intérêts et nous n'avons pas de puissance similaire", insiste le secrétaire général. Dans ses discussions avec des Etats tiers, l'AELE devient même parfois victime des politiques des grands pays.

Discussion sur l'AELE à mener

Pour rattraper les restrictions liées à la pandémie, les négociations se sont multipliées ces dernières années. "Quand tout cela sera terminé, il faudra se demander si le modèle d'affaire est toujours adapté", glisse l'ambassadeur. Les accords sont de plus en plus larges avec des pays qui sont de moins en moins importants dans le volume commercial. "Il va falloir réinventer l'AELE", a ajouté M. Gétaz.

Il propose comme pistes pour l'avenir d'investir dans le suivi et l'application des accords existants. Et chercher des accords qui ciblent des thématiques comme le commerce électronique ou les biens environnementaux.

M. Gétaz souhaite aussi un mécanisme plus informel de dialogues commerciaux, par exemple avec l'Union africaine (UA). Et que l'association soit active dans les futures discussions européennes, notamment avec l'Ukraine.

Après 33 ans dans la fonction publique, celui qui avait démarré comme stagiaire à l'AELE au moment des négociations de l'entrée dans l'EEE va rejoindre pour la première fois le secteur privé. Il va occuper un poste à responsabilité dans une grande entreprise établie à Genève.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Sablière du Cannelet toujours pas évacuée à Avusy (GE)

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Le site de la Sablière du Cannelet, ici en 2020, n'est pas encore évacué (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La société de la Sablière du Cannelet, à Avusy (GE), n'a pas encore totalement évacué son site spécialisé dans le recyclage de déchets de chantier, comme exigé en 2024 par le Tribunal fédéral. Le Département genevois du territoire (DT) a déposé une plainte pénale à l'encontre de l'entreprise et de son administrateur.

Le DT avait donné le 15 décembre comme ultime délai pour évacuer les matériaux présents et démanteler toutes les installations. Ce mardi 16 décembre, les services compétents se sont rendus sur place et constaté que la demande d'évacuation n'avait pas été complètement respectée.

"Force est de constater que l'entreprise n'a objectivement pas fait ce qui lui était demandé dans la décision administrative et le fait que les choses aient néanmoins progressé ne supprime pas l'infraction", indique vendredi le DT.

La Sablière du Cannelet s'expose aussi à "une importante amende administrative" pour non-respect des échéances. Ses responsables ont toutefois un délai "pour se déterminer au préalable conformément à leur droit d'être entendus", précise le DT. Ce délai est encore en cours.

Longue saga

Les prochaines étapes ne sont pas encore connues. Mais le DT assure qu'il mettra "tout en oeuvre pour que la Sablière libère le site le plus rapidement possible."

Contactée par plusieurs médias, l'entreprise n'a pas souhaité s'exprimer.

Pour mémoire, le Tribunal fédéral (TF) avait confirmé en juin 2024 une décision du Conseil d'Etat, laquelle prévoit un démantèlement des installations et la remise des terrains à l'agriculture d'ici la fin 2026.

Cette décision du TF avait mis fin à une saga de plus de 30 ans, marquée par plusieurs procédures en justice et une votation populaire.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La préférence cantonale à l'embauche à l'Etat peut être améliorée

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A Genève, la Cour des comptes s'est penchée sur le dispositif d'annonce des places vacantes à l'Etat. Conclusion: la mise en oeuvre de la directive concernée présente des faiblesses (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A Genève, la procédure de recrutement visant à privilégier les demandeurs d'emploi inscrits à l'office cantonal de l'emploi (OCE) pour des postes au sein de l'Etat fonctionne, mais présente des faiblesses. La Cour des comptes, qui s'est penchée sur ce dispositif basé sur la préférence cantonale, émet quatre recommandations pour l'améliorer.

"Globalement, la directive produit son effet", a indiqué jeudi devant la presse Sophie Forster Carbonnier, la magistrate en charge de cet audit de performance. Adoptée en 2011 pour faire face à un taux de chômage cantonal supérieur à la moyenne suisse, la directive concernée oblige l'administration à annoncer tout poste vacant à l'OCE dix jours avant sa publication à l'externe.

L'OCE assigne dans la foulée cinq candidats au maximum. Le service qui recrute a l'obligation de recevoir ces candidats assignés. Il doit aussi justifier sa décision s'il ne retient aucun des candidats assignés. A noter que cette procédure de recrutement visant à favoriser les demandeurs d'emploi locaux a été élargie en 2014 aux entités subventionnées.

Effet positif

Sur la base d'une analyse empirique, la Cour des comptes a calculé que ce processus d'assignation augmente les chances d'être recruté au sein de l'administration cantonale. Au total, 4,6% des candidats assignés sont engagés, contre 1,8% des demandeurs d'emplois qui postulent sans assignation. Le taux de recrutement de candidats assignés est donc 2,5 fois supérieur: l'effet est positif.

Dans le détail, en 2024, 1473 places vacantes ont été annoncées par les services recruteurs de l'Etat. Au total, 5737 candidatures assignées ont été déposées, débouchant sur 264 engagements. Dans le même temps, 31'250 candidatures de l'OCE sans assignation ont été déposées, découlant sur l'engagement de 563 personnes. Ainsi en 2024, 827 demandeurs d'emplois ont été engagés à l'Etat.

"Opération délicate"

Si l'effet de la directive est positif, la Cour des comptes a constaté que le taux de convocation des candidats assignés aux entretiens est très faible: il atteint seulement 20%. En cause, un niveau d'adéquation insuffisant entre les candidatures assignées avec le profil des postes au concours. "Le matching est une opération assez délicate", constate Mme Forster Carbonnier.

Ce taux de convocation très bas peut démotiver les candidats, selon la Cour des comptes. Mais il montre aussi que les entités recruteuses au sein de l'administration cantonale sont insatisfaites des dossiers qui leur sont assignés. Les recruteurs ne veulent pas procéder à des entretiens alibi, a relevé la Cour.

Autre problème souligné par les auditeurs, la directive ne tient pas compte des différentes réalités sectorielles du marché de l'emploi. Les assignations sont ainsi moins pertinentes dans les domaines où le manque de main-d'oeuvre est structurel. C'est notamment le cas pour le secteur de la santé.

Délai à revoir

La Cour des comptes a ainsi émis quatre recommandations, toutes acceptées par le Département de l'économie et de l'emploi ainsi que par l'OCE. Elle propose notamment de revoir les modalités d'application de la directive pour permettre à l'OCE d'être plus efficace. Il s'agit par exemple de revoir le délai de dix jours avant la publication des offres ou d'exclure de la procédure les professions où il y a une pénurie de main-d'oeuvre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève: l'alma mater dissout le Centre universitaire d'informatique

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L'Université de Genève a décidé de dissoudre le Centre universitaire d'informatique (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Centre universitaire d’informatique (CUI) de l'Université de Genève (GE) sera dissous et ses activités réintégrées dans les facultés. L'inscription de nouveaux étudiants est suspendue pour la prochaine rentrée. Une trentaine d'étudiants en informatique ont protesté jeudi dans le hall d'Uni Dufour contre une mesure qu'ils jugent "inacceptable".

La décision du rectorat fait suite à un processus d'évaluation "approfondi" lancé par l'UNIGE en 2024 et effectué par des experts indépendants. Elle marque "une étape importante dans l’adaptation de l’institution aux nouveaux besoins des facultés et de la société", relève l'UNIGE jeudi dans un communiqué.

Les compétences, les programmes d’enseignement et l’essentiel des activités seront préservés. Le personnel du CUI poursuivra son activité au sein de l’Université, soit en lien avec les actifs transférés du CUI, soit dans d’autres entités de l’institution. Cette réorganisation n’entraînera donc aucune suppression de poste, souligne l'UNIGE.

Poursuite des formations

Le CUI, centre interfacultaire, compte actuellement environ 200 étudiants actuellement inscrits au bachelor en systèmes d’information et sciences des services et au master en systèmes et services numériques (master), a détaillé Marco Cattaneo, porte-parole de l'UNIGE. Ils pourront naturellement poursuivre et achever leur formation jusqu’à l’obtention du diplôme prévu, les deux formations étant maintenues pour les sept à huit prochaines années.

Pour des raisons économiques, l’inscription de nouveaux étudiants dans les formations de base du CUI sera suspendue pour la rentrée académique 2026-2027. Une petite trentaine d'étudiants en informatique et des membres de la Conférence universitaire des associations d'Etudiant.e.x.s (CUAE) se sont mobilisés jeudi dans le hall d'Uni Dufour contre le blocage des inscriptions. Selon eux, il "décrédibilise et invisibilise la formation en systèmes d'information".

Se mettre autour de la table

La mise en œuvre de cette décision sera échelonnée dans le temps pour permettre une transition sereine. Ses étapes concrètes seront définies au cours de l’année 2026.

Dans le même temps, l’UNIGE analysera le repositionnement des principaux cours du CUI au sein de l’institution. Un groupe de travail auquel les étudiants seront également associés sera chargé d’identifier la meilleure manière de pérenniser leur qualité et leur pertinence et de les faire évoluer.

En parallèle, l’Université se dotera d’une plateforme de recherche en intelligence artificielle (PIA) en ligne avec les objectifs de sa stratégie numérique 2025–2028. Rattachée au rectorat, cette structure interdisciplinaire, établie pour une durée initiale de cinq ans, favorisera les collaborations entre facultés et répondra aux enjeux transversaux liés aux intelligences artificielles.

Le Centre universitaire d’informatique (CUI) a été fondé en 1975 pour accompagner l’intégration de l’informatique à l’Université de Genève (UNIGE). Depuis cette date, les facultés ont développé leurs propres compétences numériques dans un environnement technologique en constante évolution.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève va commémorer la restauration de la République

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Comme chaque année, le canton de Genève va commémorer le 31 décembre la restauration de la République (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Comme chaque année, des coups de canon vont ponctuer le début du 31 décembre, journée où Genève commémore officiellement la restauration de la République, un moment important de son histoire. La population est conviée à participer à cette cérémonie sur la promenade de la Treille.

Seront présents Thierry Apothéloz, président du Conseil d’Etat, Anne Hiltpold, vice-présidente, et Nathalie Fontanet, conseillère d'Etat. L'assistance chantera notamment l'hymne genevois, le "Cè qu'è lainô", a communiqué le canton jeudi.

A l’issue de la cérémonie officielle, une collation sera offerte à la population par le Conseil d'Etat sous l'ancien Arsenal. Un culte suivra à la cathédrale Saint-Pierre.

En 1798, occupée militairement, Genève est annexée à la France et devient chef-lieu et préfecture du département du Léman. Suite aux défaites de l'armée napoléonienne, les troupes françaises se retirent de la ville le matin du 30 décembre 1813.

Les troupes autrichiennes arrivent à Genève dans l'après-midi, annonçant la restauration de l'ordre ancien. Le 31 décembre, une proclamation d'indépendance est préparée et un gouvernement provisoire est constitué. Genève retrouve son statut de république indépendante.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sinistre dans des combles à Versoix: évacués mais pas blessés

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Le Service d'incendie et de secours de Genève est intervenu dans un immeuble de la route de Suisse à Versoix pour un feu survenu dans les combles (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Un incendie s'est déclaré mercredi soir peu après 20h00 dans les combles d’un immeuble situé sur la route de Suisse à Versoix (GE). Il s'est propagé à la toiture et à l'isolation. Les sapeurs-pompiers ont immédiatement évacué deux personnes de leur appartement. Personne n'a été blessé.

L’incendie, qui s'était propagé jusqu'à l'isolation, a été combattu à l'aide de deux lances à main et de deux lances canons installées sur les échelles afin de contenir la progression des flammes, a communiqué jeudi le Service d'incendie et de secours de Genève (SIS)

Au total, huit personnes impliquées ont été examinées par les ambulanciers. Aucun blessé n'est à signaler. Les dégâts causés par la fumée ont rendu trois logements temporairement inhabitables.

L'incendie a été sous contrôle à 21h45. Les sapeurs-pompiers volontaires de Versoix sont restés mobilisés toute la nuit pour prévenir tout risque de reprise.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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