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Politique

Une neuvième police intercommunale accréditée par la Canton

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L'ensemble des Polices communales vaudoises sont désormais officiellement accréditées (photo symbolique). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'Association Police Nyon région (PNR), qui regroupe trois communes, a obtenu son accréditation définitive auprès du Département vaudois de la jeunesse, de l'environnement et de la sécurité (DJES). Couvrant les territoires de Crans, Nyon et Prangins, cette neuvième et dernière police intercommunale vient officiellement compléter l'ensemble du tableau des Polices communales vaudoises.

Les points stipulés dans le contrat d'accréditation ont été évalués et contrôlés, notamment des effectifs policiers garantissant un engagement 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 et affectés aux missions générales de police (MGP), l'organisation de la conduite du corps de police et la mise en place du système de gestion de la qualité, ont indiqué vendredi les services du ministre Vassilis Venizelos.

Les autres polices coordonnées sont Police Lavaux, Police Riviera, la Police de l'Ouest lausannois, la Police municipale de Lausanne, la Police du Nord vaudois, la Police du Chablais vaudois, la Police Région Morges et la Police Est Lausannois, rappelle le Canton.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Xi et Poutine prônent un monde "multipolaire"

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Le président turc Recep Tayyip Erdogan a plaidé lors d'un entretien bilatéral avec M. Poutine pour une "paix juste" en Ukraine. (© KEYSTONE/AP/Turkish Presidency)

Les présidents russe Vladimir Poutine et chinois Xi Jinping ont plaidé jeudi en Asie centrale pour un ordre mondial "multipolaire", contrant l'unilatéralisme américain qu'ils dénoncent, lors d'un sommet réunissant plusieurs pays aux relations tendues avec l'Occident.

"Tous les participants de l'Organisation de coopération de Shanghaï (OCS ndlr) s'engagent en faveur de la formation d'un ordre mondial multipolaire équitable", a insisté M. Poutine lors de la séance plénière de cette alliance en plein essor regroupant dix Etats.

"Il est d'une importance vitale que l'OCS se place du bon côté de l'Histoire, du côté de l'équité et de la justice", a insisté son homologue chinois, appelant également à "résister aux ingérences extérieures", une référence claire aux Occidentaux.

"Changements tectoniques"

Cette déclaration d'Astana, signée dans la capitale du Kazakhstan, souligne également les "changements tectoniques en cours dans la politique mondiale" et la nécessité de "renforcer le rôle de l'OCS".

MM. Poutine et Xi, qui affichent leur bonne entente et accélèrent leur rapprochement en particulier depuis l'invasion russe de l'Ukraine, dénoncent sans cesse "l'hégémonie" supposée des Etats-Unis dans les relations internationales.

Après l'adhésion l'an passé de l'Iran, sous sanctions occidentales, le Bélarus, également ostracisé par l'Occident pour son soutien à l'offensive russe en Ukraine, est devenu jeudi le 10e membre de l'OCS. Son président Alexandre Loukachenko a assuré que le groupe avait "le pouvoir de détruire les murs d'un monde unipolaire".

Talibans "alliés"

L'OCS (Bélarus, Chine, Inde, Iran, Russie, Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Pakistan, Tadjikistan) fondée en 2001 mais qui a pris un nouvel élan ces dernières années sous l'impulsion de Pékin et Moscou, est pensée comme une plateforme de coopération concurrente des organisations occidentales, avec un accent sécuritaire et économique.

En marge du sommet, Vladimir Poutine a assuré en conférence de presse compter sur les talibans dans la lutte contre le terrorisme dans la région.

"Les talibans sont certainement nos alliés dans la lutte contre le terrorisme car tout pouvoir en place est intéressé par la stabilité", a assuré M. Poutine, en ligne avec l'approche conciliante de Moscou envers les talibans, à l'instar de la Chine et de plusieurs pays d'Asie centrale.

Une déclaration qui intervient après une série d'attentats ces derniers mois en Russie et que l'Afghanistan, pays observateur de l'OCS, est absent des réunions du groupe depuis le retour au pouvoir des talibans à l'été 2021.

Trump pris au sérieux

La guerre en Ukraine n'a pas été publiquement débattue au sommet de l'OCS. Mais la presse russe a interrogé M. Poutine sur le sujet, et ce dernier a renouvelé ses attaques au vitriol contre les dirigeants ukrainiens.

Il a aussi assuré prendre "très" au sérieux les déclarations de Donald Trump, qui a affirmé à plusieurs reprises qu'en cas de réélection à la présidence des Etats-Unis, il arrêterait la guerre en Ukraine, sans étayer ses propos.

Vladimir Poutine a également réaffirmé son opposition à tout cessez-le-feu en Ukraine si Kiev ne consentait pas à des concessions "permanentes" pour la Russie. Une demande de facto de capitulation, Moscou réclamant cinq régions ukrainiennes et que Kiev renonce à son alliance avec l'Occident.

Bémol pour la Russie, le président turc Recep Tayyip Erdogan, a plaidé lors d'un entretien bilatéral avec M. Poutine pour une "paix juste" en Ukraine et proposé sa médiation, refusée par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, cité par les médias russes.

Groupe hétérogène

Ce sommet d'Astana à l'issue duquel 25 documents dans divers domaines ont été signés, s'inscrit dans un ballet diplomatique en cours en Asie centrale, dont les dirigeants rencontrent régulièrement MM. Poutine et Xi.

L'OCS, outre ses membres, compte quatorze "partenaires de dialogue", notamment la Turquie, membre de l'Otan, ou de nombreux pays arabes, comme l'Arabie saoudite ou le Qatar.

Mais si l'OCS revendique de regrouper 40% de la population et environ 30% du PIB mondiaux, le groupe reste hétérogène et de nombreuses dissensions existent entre ses membres, certains étant englués dans des rivalités territoriales.

La Russie et la Chine affichent leur union face à l'Occident, mais restent concurrents en Asie centrale, région riche en hydrocarbures et cruciale pour le transport de marchandises entre l'Europe et l'Asie.

Moscou y dispose d'une influence historique du fait du passé soviétique, mais Pékin y a une présence croissante, tandis que les Occidentaux y ont aussi des intérêts non négligeables.

L'intérêt des grandes puissances pour cette région s'est intensifié depuis l'invasion russe de l'Ukraine, Moscou voulant maintenir son influence traditionnelle sur les pays centrasiatiques, désormais fermement ancrés à la Chine via des projets économiques d'envergure, les "Nouvelles routes de la soie", tout en étant ardemment courtisés par l'Occident.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Les Vaudois rééliront leurs autorités communales en mars 2026

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Les dernières élections communales vaudoises, ici à Lausanne, remontent à 2021 (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Conseil d'Etat vaudois a établi le calendrier des prochaines élections communales générales. Le premier tour a été fixé au 8 mars 2026, le second au 29 mars.

Pour les élections à la syndicature, le premier tour est programmé le 26 avril 2026, le second le 17 mai, annonce jeudi le Conseil d'Etat dans ses décisions hebdomadaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Parascolaire durant les vacances: financement cantonal prolongé

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Vaud prolonge jusqu'en janvier le financement du parascolaire durant les vacances pour les enfants en situation de handicap (photo d'illustration). (© KEYSTONE/dpa/Uwe Anspach)

Le financement du canton de Vaud pour l'accueil de jour des enfants à besoins particuliers durant les vacances scolaires durera jusqu'en janvier prochain. Ce nouveau délai vise à assurer une transition.

Le canton avait annoncé l'été dernier qu'il allait couper ce financement, une mesure qui avait suscité de nombreuses réactions. Jeudi, dans des réponses à plusieurs interpellations parlementaires, le Conseil d'Etat rappelle ce qui a dicté son choix: si le canton finance le parascolaire en période scolaire pour ces enfants en situation de handicap, il n'est pas tenu légalement de le faire pour les vacances. Le financement "à bien plaire" qui prévalait jusqu'ici est appelé à se terminer, souligne-t-il.

Le canton reconnaît toutefois "que toutes les communes et tous les partenaires ne sont pas forcément prêts à assumer le financement de ces prestations à courte échéance." Afin de ne pas créer d'interruption dans la prise en charge de ces enfants, il a décidé "d'assouplir les délais de mise en oeuvre, avec une entrée en vigueur au janvier 2025."

Pour la suite, la Direction générale de l'enseignement obligatoire et de la pédagogie spécialisée (DGEO) indique qu'elle va travailler avec différents partenaires afin de "déterminer une vision commune pour un système global à visée inclusive."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Pas de trêve malgré la fête nationale pour Biden

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Le co-fondateur de Netflix Reed Hastings, l'un des plus gros donateurs du Parti démocrate, a estimé dans un entretien au New York Times que Biden devait jeter l'éponge. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président américain Joe Biden continue jeudi à affronter la tempête déclenchée par son piètre débat face à Donald Trump il y a une semaine. La polémique autour de sa capacité à gouverner quatre ans de plus malgré son âge avancé n'en finit pas d'enfler.

Selon CNN et le New York Times jeudi, qui citent des sources anonymes, Joe Biden a dit à des responsables démocrates lors d'une rencontre la veille qu'il devrait dormir davantage et ne plus prévoir d'événement après 20h00.

Des propos qui ont frustré plusieurs gouverneurs présents, selon CNN.

Après cette rencontre qui visait à rassurer son camp, les gouverneurs démocrates de plusieurs Etats américains lui avaient pourtant publiquement confirmé leur soutien.

"C'était une bonne conversation avec le président et la vice-présidente parce qu'elle était honnête", a déclaré Wes Moore, le gouverneur du Maryland. "Nous avons dit que nous le soutiendrons."

Le président démocrate, 81 ans, fait face à la multiplication des appels au retrait de sa candidature pour l'élection présidentielle de novembre à cause des vives inquiétudes sur son état de forme.

Mais la Maison Blanche a catégoriquement rejeté mercredi la possibilité qu'il se retire de la course pour un second mandat. Le président n'envisage "absolument pas" de jeter l'éponge, a affirmé sa porte-parole Karine Jean-Pierre.

De nombreuses interventions

Joe Biden multiplie ainsi les interventions pour tenter d'éteindre l'incendie - mais le Jour de l'Indépendance, jour férié célébré par les familles américaines à travers le pays, n'a semblé apporter aucune trêve jeudi.

"J'ai été mauvais dans un débat", a-t-il de nouveau reconnu lors d'un entretien avec une radio locale de Pennsylvanie diffusé jeudi matin. Mais "90 minutes sur scène n'efface pas ce que j'ai fait durant trois ans et demi", a-t-il argué.

Pour célébrer la fête nationale américaine, Joe Biden doit assister dans l'après-midi à un barbecue avec des militaires à Washington, en compagnie de la Première dame Jill Biden.

Ses moindres faits et gestes seront ensuite scrutés de près lorsqu'il s'exprimera dans la soirée, avant d'assister aux traditionnels feux d'artifice, accompagné de sa vice-présidente Kamala Harris, qui continue à le soutenir sans failles en public.

Rhume

La Maison Blanche a justifié la prestation désastreuse de Joe Biden lors du débat -- regard dans le vide, phrases embrouillées... - par "un rhume" et "le décalage horaire" consécutif à des voyages internationaux.

Ajoutant au cafouillage, un porte-parole de la Maison Blanche a fait savoir jeudi que le président démocrate avait "été vu" par un médecin pour son rhume quelques jours après le débat. Or la Maison Blanche avait au contraire affirmé mercredi que Joe Biden n'avait pas été soumis à un examen médical depuis son bilan de santé en février.

Trump offensif

Après être resté dans un premier temps plutôt en retrait face aux déboires de son adversaire, Donald Trump a de son côté semblé adopter jeudi une stratégie plus offensive. Joe Biden "s'est étranglé comme un chien durant le débat", a-t-il déclaré sur son réseau Truth Social.

Le milliardaire républicain a également publié une vidéo le montrant sur une voiturette de golf et parlant à des personnes non identifiées.

"J'ai anéanti cette vieille ordure bonne à rien" lors du débat, dit Donald Trump dans cette vidéo filmée à une date non connue. "Ca veut dire qu'on se retrouve avec Kamala", ajoute-t-il en référence à Kamala Harris. "Elle est tellement mauvaise, tellement pathétique."

Interventions cruciales en vue

Vendredi, Joe Biden doit tenir un meeting de campagne à Madison, dans l'Etat décisif du Wisconsin, puis accorder une interview à la chaîne télévisée ABC qui s'annonce d'ores et déjà cruciale. Il doit également tenir une conférence de presse la semaine prochaine.

L'objectif de ces interventions face à la presse: prouver sa capacité à s'exprimer sans prompteur et faire taire le doute qui s'est installé sur ses capacités.

Deux parlementaires démocrates ont appelé ouvertement cette semaine à trouver un candidat plus vigoureux que Joe Biden pour l'élection présidentielle.

Sans aller jusque-là, l'élu démocrate Jared Huffman a appelé jeudi son parti à "admettre qu'il ne s'agissait pas seulement d'une mauvaise soirée".

D'importants journaux, dont le comité de rédaction du New York Times, ont appelé à ce que Joe Biden retire sa candidature. Le journal britannique The Economist a fait de même, en publiant une Une assassine montrant un déambulateur portant l'insigne présidentielle.

Deux sondages publiés mercredi ont fait état d'une nette avance creusée par Donald Trump dans les intentions de vote à l'échelle nationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

France: incertitudes et tensions à trois jours du verdict des urnes

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Ulcérée par le nouveau "front républicain", la cheffe de file du RN Marine Le Pen a dénoncé jeudi la mise en place d'un "parti unique" réunissant "ceux qui veulent conserver le pouvoir contre la volonté du peuple". (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

A trois jours du second tour de législatives historiques, les incidents s'accumulent dans une France sous très haute tension, qui pourrait basculer à l'extrême droite ou devenir ingouvernable faute de majorité claire dimanche.

La crainte d'une arrivée au pouvoir de l'extrême droite, pour la première fois en 80 ans, a poussé jeudi le capitaine de l'équipe de France de foot Kylian Mbappé à prendre de nouveau la parole et à exhorter ses compatriotes à aller voter.

"Il y a vraiment urgence. On ne peut pas mettre le pays entre les mains de ces gens-là, c'est vraiment urgent. On a vu les résultats, c'est catastrophique", a affirmé l'attaquant.

La campagne, qui s'achèvera vendredi, est marquée par une multiplication des accrochages verbaux et physiques. En Savoie, dans les Alpes, la candidate du Rassemblement national (RN, extrême droite) Marie Dauchy a porté plainte après avoir été violemment prise à partie par un commerçant sur un marché. En Isère voisine, l'ancien ministre Olivier Véran a dénoncé jeudi l'agression d'un élu local qui collait des affiches pour sa campagne.

Mercredi soir, c'est la porte-parole du gouvernement Prisca Thevenot, candidate dans la région parisienne, qui a été victime, avec son équipe, d'une agression lors d'une opération de collage d'affiches.

Mobilisation policière

Signe de l'inquiétude ambiante, le gouvernement a annoncé que "30'000 policiers et gendarmes dont 5000 à Paris et sa banlieue" seraient mobilisés dimanche pour la soirée du second tour.

Des témoignages font également état d'une multiplication des incidents et des insultes racistes dans le pays depuis le début de cette campagne, lancée après la dissolution surprise décidée par le président Macron le soir du 9 juin, après la victoire de l'extrême droite aux européennes.

Un député sortant de Bourgogne (centre) a ainsi lâché qu'un "Maghrébin binational" n'avait pas "sa place dans les hauts-lieux" du pouvoir tandis qu'une candidate a jugé "archi faux" que le RN soit raciste en avançant qu'elle-même a "comme ophtalmo un juif et (...) comme dentiste un musulman". Un autre a estimé qu'il n'y avait rien "d'antisémite" à dire que les chambres à gaz seraient un détail de la Seconde Guerre mondiale.

La violence se déploie aussi en ligne. La justice a été saisie après qu'un un site d'ultradroite a appelé à "éliminer" des avocats signataires d'une tribune anti-RN.

Interrogée sur ces dérapages, la figure de proue de l'extrême droite, Marine Le Pen, a fait un distinguo entre "des propos qui sont inadmissibles et qui, très certainement, entraîneront des sanctions" et "des propos qui sont des maladresses" face aux "grands inquisiteurs de la presse".

Les candidats RN sont "des braves gens", a-t-elle lancé.

"Front républicain"

La dynamique en faveur du RN, arrivé en tête du premier tour dimanche dernier, pourrait être freinée par les quelque 200 désistements de candidats de droite, centre-droit et gauche, consentis pour empêcher l'extrême droite de gouverner en France pour la première fois depuis 80 ans.

Ulcérée par ce nouveau "front républicain", Marine Le Pen a dénoncé jeudi la mise en place d'un "parti unique" réunissant "ceux qui veulent conserver le pouvoir contre la volonté du peuple".

Selon les derniers sondages, la possibilité pour le RN d'accéder à la majorité absolue de 289 députés semble s'éloigner. Le Rassemblement national et ses alliés obtiendraient entre 210 et 240 sièges à l'issue du second tour des législatives, selon un sondage de l'institut Ifop paru jeudi.

Mais, partout en France, des électeurs de gauche hésitent à faire une nouvelle fois barrage à l'extrême droite.

"Macron a été élu par des voix de gauche. Il aurait dû faire des concessions à gauche, mais il n'en a fait qu'à droite", regrette Michel, 66 ans, devant un stand de fruits et légumes dans le Calvados, dans l'ouest du pays.

Ancienne institutrice, Claude se résignera à voter pour le camp macroniste, inquiète de ceux qui veulent "essayer" l'extrême droite. "L'isoloir n'est pas une cabine d'essayage", dit-elle.

Malgré ces appels au barrage, le jeune président du RN Jordan Bardella croit à la victoire de son camp, qui le propulserait au poste de Premier ministre à 28 ans.

Pays ingouvernable?

En face, la coalition de gauche du Nouveau Front populaire (NFP) et le camp macroniste (centre-droit) en profitent pour alerter sur le péril de l'extrême droite. Mais, sauf basculement improbable, aucun de ces deux blocs n'obtiendra de majorité claire dimanche, au risque de rendre le pays ingouvernable à un mois des JO de Paris.

Pour échapper à la paralysie, certains responsables du centre-droit et de la gauche envisagent une vaste coalition transpartisane, courante en Allemagne mais inédite en France.

Les contours d'une telle alliance restent toutefois extrêmement flous et sept années de pouvoir macroniste ont creusé de profonds fossés politiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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