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Le CEO de Petrosaudi est entendu à huis-clos

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Le procès du CEO et d'un collaborateur de Petrosaudi se poursuit jeudi devant le Tribunal pénal fédéral (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/ALESSANDRO CRINARI)

Le Tribunal pénal fédéral a poursuivi jeudi l'audition à huis-clos du CEO de Petrosaudi dans le cadre du procès 1MDB. Avec son collaborateur, celui-ci est accusé d'escroquerie par métier, gestion déloyale et blanchiment d'argent aggravé.

La défense a obtenu l'exclusion du public - mesure exceptionnelle accordée en principe afin de protéger une victime - en raison des menaces qui pèseraient sur le prévenu et les siens. Celui-ci affirme avoir exercé des activités pour la famille royale d'Arabie saoudite, jusqu'à la mort du roi Abdallah en 2015. Ce double national suisse et saoudien serait tombé en disgrâce depuis.

Accordé en raison de cette situation personnelle particulière, le huis-clos a été largement exploité par la défense pour interroger le CEO sur sa situation et son expérience professionnelle. Comme expliqué auparavant par l'autre accusé, Petrosaudi aurait été créé avec un des fils du roi afin de servir de véhicule d'investissement avec des pays importants aux yeux du royaume.

L'audience publique a ensuite repris.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

La Bourse suisse dans le tourbillon de l'oncle Sam

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La marchés sont ballottés au gré des offensives et contre-offensives douanières (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La Bourse suisse a opté pour le rouge vendredi en fin de matinée, après avoir furtivement ouvert en positif, tout comme les places européennes dans l'agitation liée aux droits de douane américains.

La production industrielle en Grande-Bretagne, la confiance des consommateurs en Suisse, les prix à la production aux États-Unis et le discours de la présidente de la Banque centrale européenne animeront la journée.

"Comme depuis plusieurs jours, ce qui est juste ce matin peut-être faux cet après-midi", prévenait John Plassard, analyste chez Mirabaud Banque. "Dans un marché dénué de tout sens", les indices européens pourraient être portés par les anticipations croissantes de deux nouvelles baisses de taux de la BCE d'ici juin, "qui viendraient soutenir l'activité face aux turbulences mondiales".

Pour Ipek Ozkardeskaya de Swissquote, le début de la saison des résultats aux Etats-Unis "occupera le devant de la scène et influencera le sentiment des investisseurs. Les prévisions seront revues à la baisse, mais il reste à savoir dans quelle mesure".

Le dollar (0,8187 franc) comme l'euro (0,927 franc) continuaient de plier face au franc, confirmant la position de valeur refuge de la devise helvétique en temps d'incertitudes.

Vers 10h40, le SMI reculait de 1,49% à 11'077,16 points après avoir ouvert dans le vert et clôturé la veille sur une hausse de 3,28%. Le SLI lâchait 1,74% à 1782,87 francs, et le SPI 1,13% à 14'892,67 points.

Les valeurs constitutives du SMI évoluaient en majeure partie dans le rouge. Seuls Novartis (+1,6%), Swisscom (+0,7%) et Schindler (+0,2%) gonflaient leurs gains. Pour les deux autres poids lourds, Nestlé reculait de 0,1% et le bon Roche de 0,8%.

La lanterne rouge revenait toujours à Zurich Insurance (-6,4%).

Hors SMI, Bossard reculait de 1,8% après ses résultats trimestriels. De janvier à mars, le groupe zougois a vu ses ventes bondir de 10,3% sur un an à 283,9 millions de francs.

Meyer Burger tombait de 7,7% après avoir dévoilé ses premiers chiffres négatifs pour son exercice 2024.

Le producteur d'emballages schaffhousois SIG perdait 4,2%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

UBS reste ferme en matière de fonds propres

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Ajouter des exigences supplémentaires aux règles existantes, alors même que "les autres centres financiers sont en train d'assouplir leurs réglementations, nuirait à UBS, à la place financière suisse et l'économie dans son ensemble", a insisté M. Kelleher. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le numéro un bancaire suisse UBS ne veut pas d'un durcissement de la réglementation des fonds propres. Son président Colm Kelleher, a rappelé que l'établissement est déjà soumis à "certaines des exigences en matière de capitaux propres les plus strictes du monde".

S'exprimant devant les propriétaires de la banque aux trois clefs réunis jeudi à Lucerne, l'Irlandais s'est dit "fermement opposé" à un durcissement des règles concernant les capitaux dont UBS doit disposer. Constatant un revirement géopolitique du "multilatéralisme vers la primauté des intérêts nationaux", le président de l'organe de surveillance a noté que "la Suisse doit veiller à ce que ses réglementations soient compétitives et harmonisées au niveau mondial".

Ajouter des exigences supplémentaires aux règles existantes, alors même que "les autres centres financiers sont en train d'assouplir leurs réglementations, nuirait à UBS, à la place financière suisse et l'économie dans son ensemble", a insisté M. Kelleher.

Pour mémoire, la reprise dans l'urgence de Credit Suisse, alors en grande difficulté suite à l'effondrement de son titre en Bourse, en mars 2023 par UBS sous l'égide du Conseil fédéral, avait suscité des inquiétudes quant aux poids du groupe formé par les deux plus grandes banques helvétiques dans l'économie suisse. La Banque nationale suisse (BNS), tout comme l'Autorité de surveillance des marchés financiers (Finma) ont souhaité serrer la vis en matière de fonds propres, afin que le colosse bancaire puisse affronter une éventuelle crise.

Plus de transparence

La chute de Credit Suisse est avant tout à mettre sur le compte d'années d'errements stratégiques, de mauvaise gestion et de concessions réglementaires, a poursuivi M. Kelleher. UBS, en revanche, n'a jamais cherché à faire de telles concessions. Se concentrer sur les exigences en matière de fonds propres n'est pas la bonne leçon à tirer de ces événements.

UBS soutient en revanche un renforcement de la responsabilité personnelle, une plus grande transparence sur la situation financière d'une banque et une amélioration de la capacité de liquidation. La banque voit aussi d'un oeil favorable l'introduction d'une garantie de liquidité publique ("Public Liquidity Backstop"), ainsi que des mesures "ciblées" pour renforcer la Finma et à des adaptations en ce qui concerne la qualité du capital.

"UBS continuera à s'engager dans le débat sur la future réglementation bancaire, de manière proactive et réactive", a renchéri Sergio Ermotti, le directeur général de la banque. Il s'agit de "notre droit et notre devoir de participer à la discussion" pour que les "décisions soient basées sur des faits, et non sur des opinions personnelles".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Ouverture en fanfare pour la Bourse suisse

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A 09h11, le SMI bondissait de 7,47% à 11'701,3 points. Il avait clôturé la veille en chute de 4,15%. Avant l'annonce des nouveaux droits de douane, le SMI se négociait encore aux alentours des 12'600 points (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La Bourse suisse s'envolait jeudi à l'ouverture, dans la foulée de Wall Street et des places asiatiques. Le revirement de Donald Trump sur les droits de douane a propulsé les cours sur les marchés financiers, rassurés par un apaisement des tensions commerciales.

Les marchés européens sont "portés par l'euphorie de Wall Street, où le Dow Jones a signé sa meilleure séance depuis 2008 et le Nasdaq sa deuxième meilleure performance historique", a souligné John Plassard, de Mirabaud Banque.

Mercredi, l'imprévisible président américain a suspendu pour 90 jours les nouvelles taxes d'importation entrées en vigueur il y a une semaine pour certains pays, dont la Suisse. La Chine n'est pas concernée par la mesure.

Sur le plan des nouvelles macroéconomiques, l'Allemagne publiera ses prévisions de croissance actualisées en fin de matinée tandis que les Etats-Unis dévoileront l'évolution des prix à la consommation en mars en début d'après-midi.

En Chine, l'indice des prix à la consommation a baissé de 0,1% sur un an en mars, après un recul de 0,7% en février, le premier depuis un an.

A 09h11, le SMI bondissait de 7,47% à 11'701,3 points. Il avait clôturé la veille en chute de 4,15%. Avant l'annonce des nouveaux droits de douane, le SMI se négociait encore aux alentours des 12'600 points. Le SLI prenait 8,64% à 1904,14 points et le SPI gagnait 7,81% à 15'744,64 points. A l'exception de Swisscom, l'ensemble des trente valeurs vedettes étaient dans le vert.

Kühne + Nagel (+15,4%) prenait la tête du classement provisoire. Partners Group (+14,1%) et Logitech (+13,4%) complétaient le podium. Richemont (+13,2%), UBS (+12,4%), ABB (+11,1%), Holcim (+10,9%), Alcon (+10,6%) et Sika (+10,2%) enregistraient des progressions à deux chiffres.

Les trois poids lourds de la cote, le bon Roche (+7,3%), Novartis (+6,2%) et, dans une moindre mesure, Nestlé (+2,1%) étaient également en forte progression. Le spécialiste des arômes et parfum Givaudan (+4,9%) a publié ses résultats de janvier à mars, le chiffre d'affaires a grimpé à 1,98 milliard de francs, ce qui représente une croissance organique de 7,4% sur un an, dépassant les attentes des analystes.

Sur le marché élargi, Barry Callebaut chutait de 14,0%. Le négociant et fabricant de produits cacaotés a souffert de l'envolée des prix de la fève de cacao au premier semestre de son exercice décalé 2024-2025, qui a pesé sur les volumes de ventes. Grâce à une hausse de ses propres prix, le chiffre d'affaires a progressé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Surtaxes chinoises de 84% sur les produits américains en vigueur

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Les surtaxes chinoises de 84% s'appliquent à tous les produits américains entrant sur le territoire chinois (archives). (© KEYSTONE/AP/Damian Dovarganes)

Les surtaxes de rétorsion de 84% annoncées par Pékin sur les produits américains sont entrées en vigueur jeudi. Cette décision marque une nouvelle étape dans la guerre commerciale lancée par Washington et alimentant les craintes d'une récession mondiale.

Ces nouvelles taxes s'appliqueront à tous les produits américains entrant sur le territoire chinois, dont la valeur a atteint 143,5 milliards de dollars en 2024, selon le bureau du représentant américain au commerce.

La Chine a appelé jeudi les Etats-Unis au compromis dans ce bras-de-fer, tout en promettant de "se battre jusqu'au bout" si elle continue d'être visée par la campagne de Washington.

"La porte est ouverte pour des négociations, mais ce dialogue doit être mené sur un pied d'égalité et basé sur le respect mutuel", a indiqué devant la presse He Yongqian, une porte-parole du ministère chinois du Commerce.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

La guerre commerciale sème le désarroi sur les marchés mondiaux

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"Les deux premières économies mondiales sont désormais coincées dans une guerre commerciale et aucune des deux nations ne semble prête à céder", note Susannah Streeter, responsable des marchés financiers deHargreaves Lansdown. (© KEYSTONE/AP/Seth Wenig)

Le vent de panique est de retour sur les marchés mondiaux mercredi, alors que Chine et Etats-Unis s'enfoncent dans une guerre commerciale de plus en plus intense, Pékin ayant riposté aux surtaxes américaines colossales qui lui sont imposées.

En Europe, vers 11H30 GMT, la Bourse de Paris dévissait de 3,73%, Francfort de 3,53%, peu après avoir perdu plus de 4% La Bourse de Londres dévissait de 3,29% et Milan de 3,35% et la Bourse suisse de 7,40%.

Les places européennes accélèrent leurs pertes après que la Chine a annoncé mercredi qu'elle va porter ses surtaxes de rétorsion contre les produits américains à 84%, et non pas à 34% comme initialement prévu.

A Wall Street, les contrats à terme des principaux indices laissaient présager d'une ouverture dans le rouge.

Le président des Etats-Unis Donald Trump impose depuis mercredi matin à des dizaines de partenaires commerciaux une nouvelle salve de droits de douane à l'importation, dont un taux monumental pour la Chine.

La Maison Blanche a rendu public un décret présidentiel "amendé" faisant grimper de "34%" à "84%" la taxation qui sera perçue par Washington sur les importations en provenance de Pékin. Cela porte à 104% le taux total imposé à la Chine depuis 04H00 GMT.

"Les deux premières économies mondiales sont désormais coincées dans une guerre commerciale, et aucune des deux nations ne semble prête à céder", note Susannah Streeter, responsable des marchés financiers, Hargreaves Lansdown. "Le monde attend de savoir quel côté pliera en premier."

La Bourse de Taïwan a clôturé en chute de 5,8%, et Tokyo de 3,93%. La situation est plus nuancée en Chine, avec l'indice Hang Seng à Hong Kong a terminé en hausse de 0,68%,l'indice composite de Shanghai a gagné 1,31% et celui de Shenzhen 1,22%, soutenus par les banques et firmes d'investissements étatiques aiguillonnées par Pékin.

Les prix du pétrole n'échappent pas à la tourmente, les deux références mondiales chutant de plus de 20% depuis le début du mois, évoluant désormais à leur plus bas niveau en plus de quatre ans.

Vers 11H30 GMT, le Brent de la mer du Nord dévissait de 6,54% à 58,71 dollars le baril, quand son équivalent américain, le WTI plongeait de 6,84% à 55,50 dollars le baril, tous deux sous la barre des 60 dollars.

Cela reflète "le scepticisme quant à une désescalade à court terme", note John Plassard, de Mirabaud.

Ventes paniques sur le marché de la dette

La volatilité extrême et la nervosité se sont aussi emparées du marché des obligations d'Etat, ces morceaux de dettes d'un pays avec différents horizons de remboursement, qui connaissent "une vente massive incroyable", souligne Jim Reid, économiste de la Deutsche Bank.

Plus une obligation est recherchée par les investisseurs, plus son taux va baisser. Ils cherchent en revanche à être mieux rémunérés lorsqu'ils jugent la dette d'un Etat plus risquée.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans des bons du Trésor a grimpé à 4,37% vers 11H30 GMT, contre 4,29% mardi en clôture. Le taux d'emprunt des bons du Trésor britanniques à 30 ans a quant à lui touché mercredi un plus haut depuis 1998.

Bal des valeurs refuges

Ces derniers jours, les obligations d'Etat étaient plébiscitées car perçues comme plus sûres avec un rendement garanti pour les investisseurs. Mais les récents "mouvements suggèrent que certaines positions sont abandonnées pour couvrir des pertes ailleurs sur les marchés", estime Susannah Streeter.

Le même phénomène avait été observé pour l'or, considéré comme la valeur refuge par excellence en temps de crise, qui avait décroché de son sommet historique atteint début avril, les investisseurs ayant été contraints de vendre pour essuyer leurs pertes ailleurs.

Face au chaos de la guerre commerciale, les achats d'or reprenaient toutefois mercredi, l'once d'or gagnant 2,23% à 3.049,84 dollars vers 11H30 GMT.

En parallèle, le dollar subit les craintes de récession. La devise nipponne, considérée comme une valeur refuge, prenait 1,02% face au billet vert, à 144,78 yens pour un dollar.

La santé pourrait être ciblée

Le secteur pharmaceutique, au deuxième rang du commerce mondial après l'électronique, échappe pour l'heure aux surtaxes, mais Donald Trump promet "très bientôt" des droits de douane sur les produits pharmaceutiques.

A la Bourse de Londres, les laboratoires AstraZeneca et GSK plongeaient respectivement de 6,43% et de 6,60%. A Francfort, Fresenius cède 6,07%.

A la Bourse suisse, Novartis dégringolait de 7,22% et Roche de 6,56%. A Paris, le français Sanofi dévissait de 7,07% et le groupe franco-autrichien Valneva de 5,63% vers 11H30 GMT.

Le groupe pharmaceutique danois Novo Nordisk, connu notamment pour son traitement anti-obésité Wegovy, chutait quant à lui de 6,51% à la Bourse de Copenhague.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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