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Premier conseil de l'alliance européenne des mosquées

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L'Alliance européenne des mosquées a pour objectif de répandre un i"slam juste". Sur la photo: la Mosquee du Petit-Saconnex à Geneve, (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une alliance européenne des mosquées et leaders musulmans baptisée Ammale a tenu son premier conseil vendredi à Paris, pour promouvoir "un islam juste" et combattre les discriminations visant les musulmans.

Fruit de plusieurs années de travail, l'Alliance des mosquées, associations et leaders musulmans en Europe (Ammale) avait été officiellement lancée le 7 octobre dernier à Paris, avec des responsables musulmans de 17 pays, mais sa naissance avait été occultée par l'attaque du Hamas en Israël.

Il s'agit d'"unir les voix et les efforts des institutions et personnalités musulmanes à travers l'Europe, en défendant le véritable message de l'islam, contraire à toute forme d'extrémisme, et en protégeant la dignité et la citoyenneté des musulmans", a affirmé le recteur de la Grande mosquée de Paris Chems-eddine Hafiz lors d'une conférence de presse.

Espoir

En effet, "le manque de coordination entre institutions musulmanes affaiblit la portée de nos actions et de notre voix alors qu'elles sont nécessaires", a martelé M. Hafiz, également président de l'Ammale (qui veut aussi dire "espoir" phonétiquement).

"Cela produit des espaces vides dans lesquels s'immisce et grandit toute forme d'extrémisme", a-t-il ajouté, se disant "conscient de la montée de l'incompréhension, de l'intolérance et du racisme par l'entremise de mouvements politiques et médiatiques".

D'autres associations représentatives existent déjà, telles que l'European Muslim Leaders Council (EULEMA) par exemple. Pour l'Ammale "nous avons réuni celles et ceux qui se rapprochent de ce que représente la Grande mosquée de Paris (GMP), c'est-à-dire une école de pensée sunnite, malékite". Mais nous "savons qu'il y a plusieurs écoles" et "les portes sont grandes ouvertes", a souligné M. Hafiz.

"Participons aux élections européennes"

Association de droit français, organisée autour de la GMP qui assure son financement, l'Ammale ambitionne notamment de "coordonner les actions" pour lutter contre la haine et les discriminations antimusulmanes, de "promouvoir les valeurs humanistes de l'islam", de lutter contre la radicalisation et de "faire barrage à l'extrême droite".

"Participons aux élections européennes", a plaidé M. Hafiz en défendant "un islam juste".

Pour Adbassamad El Yazidi, vice-président de l'Ammale et secrétaire général du Conseil central des musulmans en Allemagne, "notre rôle est de mobiliser les gens pour qu'ils participent au vote" face à une extrême droite qui veut "que les Etats européens se retournent contre les valeurs fondatrices de l'Europe".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Khamenei salue les discussions avec Washington, reste sceptique

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"Les négociations avec Washington peuvent aboutir ou non", a averti l'ayatollah Khamenei. (© KEYSTONE/EPA/IRANIAN SUPREME LEADER OFFICE / HANDOUT)

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a salué mardi les discussions menées samedi dernier avec les Etats-Unis autour du nucléaire. Il a toutefois mis en garde que les pourparlers pourraient ne pas aboutir.

De rares discussions entre Téhéran et Washington sur le programme nucléaire de l'Iran ont eu lieu samedi dans le sultanat d'Oman, menées par l'émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, et le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi.

Les négociations "se sont bien déroulées", a estimé l'ayatollah Khamenei, dans son tout premier commentaire sur les pourparlers.

Cependant, "nous sommes très pessimistes vis-à-vis de l'autre partie", a ajouté M. Khamenei, en référence aux Etats-Unis, alors que Téhéran a une profonde méfiance à l'égard de Washington depuis la Révolution islamique de 1979.

"Mais nous sommes optimistes quant à nos capacités", a ajouté l'ayatollah Khamenei, ultime décideur dans les dossiers sensibles du pays, dans une déclaration diffusée par la télévision d'Etat.

Iran et Etats-Unis sont convenus de poursuivre les pourparlers le 19 avril, sous la médiation du sultanat d'Oman. D'abord annoncées à Rome, ces discussions se tiendront finalement une nouvelle fois à Mascate, capitale d'Oman.

"Lignes rouges"

"Les négociations (avec Washington) peuvent aboutir ou non", a averti l'ayatollah Khamenei. Lundi, le président américain Donald Trump a réitéré ses menaces d'attaquer militairement les installations nucléaires de l'Iran, en cas d'échec de la diplomatie.

Depuis la Maison Blanche, il a qualifié les dirigeants iraniens de "radicaux" qui ne peuvent pas avoir d'armes nucléaires.

Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent de longue date l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.

En 2018, Donald Trump avait retiré avec fracas son pays de l'accord international sur le nucléaire conclu trois ans plus tôt avec l'Iran et rétabli des sanctions. En représailles au retrait américain, l'Iran a progressivement pris ses distances avec le texte.

La décision de Donald Trump avait en partie été motivée par l'absence de mesures contre le programme balistique de Téhéran, perçu comme une menace pour son allié israélien.

Mardi, les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, ont affirmé que les capacités militaires et de défense du pays constituaient des "lignes rouges".

"La sécurité nationale ainsi que la puissance militaire et de défense font partie des lignes rouges de la République islamique d'Iran, qui ne peuvent en aucun cas faire l'objet de discussions ou de négociations", a insisté le porte-parole des Gardiens, Ali Mohammad Naïni, cité par la télévision d'Etat.

L'influence régionale de l'Iran et ses capacités en matière de missiles figurent parmi "les lignes rouges" de l'Iran, avait déjà averti l'agence de presse officielle Irna.

Enrichissement et armement

Lundi soir, le négociateur américain Steve Witkoff a indiqué qu'un nouvel accord dépendrait de la manière de contrôler les niveaux d'enrichissement d'uranium et des capacités d'armement atomique de l'Iran.

Les vérifications américaines en la matière seront "cruciales", a insisté M. Witkoff sur la chaîne Fox News. "Cela inclut les missiles (...) et les déclencheurs pour (l'explosion) d'une bombe", a-t-il précisé.

L'Iran est le seul Etat non doté d'armes nucléaires à enrichir de l'uranium à un niveau élevé (60%), tout en continuant à accumuler d'importants stocks de matière fissile, selon le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Un seuil de 90% permet de fabriquer une arme atomique, selon la définition de l'AIEA. L'accord de 2015 plafonnait ce taux à 3,67%.

Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, est attendu mercredi en Iran. Sa précédente visite remonte à novembre quand il s'était rendu sur les sites nucléaires de Natanz et Fordo, dans le centre de l'Iran.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Taxes de Trump: négociateur japonais attendu mercredi à Washington

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Les Etats-Unis imposent des droits de douane de 10% pour toutes les marchandises entrant sur leur sol (archives). (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Le ministre japonais chargé des pourparlers commerciaux avec les États-Unis se rendra à Washington mercredi pour tenter de négocier un compromis sur les droits de douane américains. Des délégations d'Indonésie et de Corée du Sud sont aussi attendues.

Le ministre nippon de la revitalisation économique, Ryosei Akazawa, "partira le 16 avril pour les États-Unis et sera de retour le 18", a déclaré un porte-parole du gouvernement japonais, sans autres détails. M. Akazawa doit rencontrer le secrétaire américain au trésor, Scott Bessent, et le représentant au commerce, Jamieson Greer, selon la presse nippone.

Lors de son déplacement, Ryosei Akazawa réclamera la révision de l'ensemble des mesures douanières prises par le gouvernement américain et auxquelles le Japon, bien qu'allié proche de Washington, n'a pas échappé.

La surtaxe "réciproque" de 24% imposée par le président américain Donald Trump aux produits japonais est suspendue pour 90 jours, mais ce répit est temporaire et un droit plancher de 10% s'applique.

Et le Japon n'a pas réussi à obtenir d'exemptions aux surtaxes de 25% sur le secteur automobile, l'acier et l'aluminium, en vigueur depuis plusieurs semaines pour l'ensemble des partenaires commerciaux des Etats-Unis.

Cette visite de Ryosei Akazawa intervient peu après des propos conciliants de Donald Trump sur les surtaxes visant l'automobile: il s'est dit prêt lundi à "regarder comment aider les constructeurs", assurant qu'il ne voulait "faire de mal à personne".

"Phase critique des négociations"

D'autres puissances exportatrices asiatiques, frappées durement par l'offensive douanière américaine, entendent également plaider au plus vite leur cause à Washington.

M. Bessent a d'ailleurs annoncé lundi que les négociations bilatérales "vont aller vite" pour résoudre les différends douaniers. "Nous avons eu le Vietnam la semaine dernière, le Japon mercredi, la Corée du Sud la semaine prochaine", a-t-il déclaré à Bloomberg TV.

Le président sud-coréen par intérim, Han Duck-soo, a assuré lundi que Séoul "faisait preuve d'une certaine flexibilité". "Nous sommes désormais entrés dans une phase critique des négociations avec le gouvernement américain", a-t-il déclaré lors d'une réunion de son gouvernement.

"Cette guerre commerciale menée par les États-Unis pourrait à terme devenir un catalyseur pour améliorer la vie de notre population et renforcer la compétitivité des exportations sud-coréennes. Tout dépend de notre réaction", a-t-il averti.

Jakarta va aussi ouvrir des pourparlers avec Washington, se disant prêt à gonfler les importations de produits américains afin de réduire son excédent commercial. Une délégation indonésienne est attendue mercredi aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'Europe a subi des inondations historiques en 2024

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Le Danude a débordé en septembre 2024, provoquant notamment des inondations en Slovaquie, comme à Venek sur le cliché (archives). (© KEYSTONE/EPA MTI/GERGELY JANOSSY)

Un Danube déchaîné qui ravage tout sur son passage, des centaines de morts à Valence emportés par des torrents d'eau et de boues: l'Europe a connu en 2024 une chaleur record mais aussi ses pires inondations depuis plus d'une décennie, selon Copernicus.

Près d'un tiers du réseau fluvial européen a été inondé l'an dernier, qui a été l'une des dix années les plus pluvieuses du continent depuis 1950, indique l'observatoire européen Copernicus dans un rapport publié mardi en collaboration avec l'Organisation météorologique mondiale.

Ce sont "les inondations les plus étendues" que l'Europe ait connues "depuis 2013", a souligné Samantha Burgess du centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF), qui assure le service climatologique de Copernicus. Ces inondations ont affecté environ 413'000 personnes, faisant au moins 335 d'entre elles, avec un coût estimé des dommages de l'ordre de 18 milliards d'euros.

Ces catastrophes sont survenues au cours de l'année la plus chaude dans le monde et illustrent le fait qu'une planète plus chaude, absorbant plus d'eau dans l'atmosphère, permet des précipitations et des inondations plus violentes, une menace qui pèse particulièrement sur l'Europe.

Trois mois de pluie en cinq jours

En septembre, la tempête Boris a fait tomber jusqu'à trois mois de pluie en seulement cinq jours, provoquant d'immenses inondations et d'importants dégâts dans huit pays d'Europe centrale et orientale.

Un mois plus tard, de puissantes tempêtes, alimentées par l'air chaud et humide de la Méditerranée, ont déversé des pluies torrentielles sur l'Espagne, entraînant des inondations qui ont dévasté la province orientale de Valence, tuant 232 personnes.

Au début 2024, chaque mois a été le théâtre d'une inondation majeure sur le continent, rappelle le rapport: janvier au Royaume-Uni, février dans le nord de l'Espagne, mars et mai dans le nord de la France, juin en Allemagne et en Suisse. Le débit des rivières a été en outre particulièrement élevé, certaines comme la Tamise au Royaume-Uni ou la Loire en France enregistrant leur plus haut niveau depuis 33 ans au printemps et en automne.

En cause: des précipitations particulièrement intenses sur la partie occidentale de l'Europe, alors qu'à l'inverse, les régions orientales ont été, en moyenne, plus sèches et plus chaudes.

"Points chauds"

Selon Mme Burgess, ce "contraste saisissant" n'est pas directement lié au changement climatique, mais plutôt à des systèmes de pressions opposées qui influencent la couverture nuageuse et le transport de l'humidité. Mais les tempêtes de 2024 ont été "probablement plus violentes en raison d'une atmosphère plus chaude et plus humide", a-t-elle expliqué. "Avec le réchauffement climatique, nous assistons à des événements extrêmes plus nombreux et plus extrêmes".

Cela confirme les projections des experts climatiques de l'ONU du GIEC, selon lesquels l'Europe sera l'une des régions où le risque d'inondations devrait le plus augmenter en raison du réchauffement de la planète.

Depuis les années 1980, l'Europe se réchauffe deux fois plus vite que la moyenne mondiale. C'est le "continent qui se réchauffe le plus", devenu l'un des "points chauds" du changement climatique, souligne Florence Rabier, directrice de l'ECMWF.

"Urgent d'agir"

En 2024, la chaleur à la surface du continent n'a jamais été aussi élevée. Cela a contribué à augmenter la température des mers et océans limitrophes, qui ont aussi atteint des records l'an dernier, et à faire fondre les glaciers européens à un rythme sans précédent.

"Il est urgent d'agir, car la gravité du risque devrait atteindre des niveaux critiques ou catastrophiques d'ici au milieu ou à la fin de ce siècle", a rappelé Andrew Ferrone, un coordinateur scientifique de l'UE au sein de l'ONU climat, soulignant que chaque dixième de degré évité a son importance.

Seule la moitié des villes européennes ont des plans d'adaptation pour faire face aux événements climatiques extrêmes, comme les inondations et les chaleurs extrêmes. "Cela représente un progrès encourageant par rapport aux 26% de 2018", note le rapport. "Mais certains pays d'Europe du Sud-Est et du Caucase du Sud sont à la traîne. Nous devons donc aller plus vite, plus loin et ensemble" a souligné Celeste Saulo, la secrétaire générale de l'OMM.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un mort dans une attaque ukrainienne "massive" à Koursk

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Selon les autorités russes, la ville de Koursk a fait l'objet d'une "attaque ennemie massive" (archives). (© KEYSTONE/EPA/RUSSIAN DEFENCE MINISTRY PRESS SERVICE HANDOUT)

Une femme de 85 ans a été tuée dans une attaque ukrainienne dans la nuit de lundi à mardi à Koursk, dans l'ouest de la Russie, ont annoncé les autorités locales. "Koursk a fait l'objet d'une attaque ennemie massive", a indiqué le gouvernement de la région.

Neuf personnes ont été blessées, selon la même source, ajoutant que des habitants de la ville étaient évacués en raison d'incendies dans plusieurs bâtiments.

Les autorités de Koursk avaient activé une alerte antiaérienne pour une attaque de missile et de drone et appelé les résidents à s'éloigner des fenêtres, d'après le média pro-Kremlin Izvestia.

Les forces ukrainiennes occupent depuis une offensive surprise en août 2024 plusieurs centaines de kilomètres carrés dans la région russe de Koursk, frontalière de l'Ukraine. Les troupes russes tentent depuis de les déloger et ont repris ces derniers mois plus des deux tiers de ces territoires.

L'attaque sur Koursk survient après une frappe aérienne russe dévastatrice dimanche sur la ville ukrainienne de Soumy, qui a fait au moins 35 morts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ligue des champions: dernier carré en vue pour Barcelone et le PSG

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Robert Lewandowski a marqué au match aller contre Dortmund (© KEYSTONE/AP/Joan Monfort)

Les deux premiers quarts de finale retour de la Ligue des champions sont au programme ce soir (21h00). Ils devraient permettre au FC Barcelone et au Paris Saint-Germain de rejoindre le dernier carré.

Les Catalans se rendent sur la pelouse du Borussia Dortmund avec une avance confortable puisqu'ils ont battu les Allemands 4-0 à l'aller. Les chances du BVB du gardien suisse Gregor Kobel de renverser la situation semblent extrêmement faibles.

Les Français, pour leur part, voyagent à Birmingham pour y affronter Aston Villa, qu'ils ont battu 3-1 la semaine dernière après avoir copieusement dominé les débats. Unai Emery, l'entraîneur des Anglais et ancien coach du PSG, parviendra-t-il à jouer un mauvais tour à son ancien employeur?

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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