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Zelensky s'attend à une offensive plus large des troupes russes

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Volodymyr Zelensky redoute plusieurs vagues d'assaut des soldats russes sur la région de Kharkiv. (© KEYSTONE/EPA/TOMS KALNINS)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit s'attendre, dans un entretien à l'AFP, à une offensive russe plus large dans le nord et dans l'est de l'Ukraine. Selon lui, l'assaut dans la région de Kharkiv vise à prendre la capitale régionale éponyme.

Les Russes "ont lancé leur opération. Elle peut être constituée de plusieurs vagues et ça, c'est leur première vague", a assuré le président ukrainien, alors que la Russie vient d'engranger ses plus grands gains territoriaux depuis fin 2022.

Il a néanmoins assuré que, malgré les avancées russes des derniers jours dans cette région du nord-est, la situation était meilleure pour ses forces qu'il y a une semaine, lorsque les troupes du Kremlin ont franchi par surprise la frontière le 10 mai. "Elles sont à 5, 10 km au maximum de la frontière. On les a arrêtées."

Pour lui, la Russie veut attaquer la ville de Kharkiv, deuxième ville du pays, à seulement quelques dizaines de kilomètres du front. Moscou avait déjà échoué à la prendre en 2022 et le président russe Vladimir Poutine a affirmé vendredi ne pas avoir l'intention de l'attaquer "pour l'instant".

Manque de soldats

L'offensive russe vise officiellement, selon M. Poutine, à répliquer aux frappes ukrainiennes des derniers mois en territoire russe et créer une zone tampon censée empêcher ces frappes.

Les forces de Moscou essayent de profiter du manque d'hommes et d'armes auquel est confrontée l'Ukraine après deux ans de guerre. Volodymyr Zelensky a reconnu un manque d'effectifs. "Il y a un nombre important de brigades qui sont vides".

Face à ses carences, Kiev a voté une législation controversée pour accélérer la mobilisation militaire avec l'abaissement de l'âge de 27 ans à 25 ans, qui est entrée en vigueur samedi. Vendredi, le président ukrainien a également signé une loi qui permet de recruter des détenus en échange d'une libération conditionnelle.

Il s'agit désormais pour l'Ukraine et ses alliés occidentaux de faire preuve de résilience, a insisté M. Zelensky, réclamant de nouveaux systèmes de défense antiaériens. Au total, l'Ukraine n'a qu'un quart de telles défenses dont elle a besoin, a-t-il lâché. Elle nécessite également de 120 à 130 avions de combat F16 pour mettre fin à la domination de la Russie dans les airs, a déclaré le chef de l'Etat.

Près de 10'000 évacuations à Kharkiv

En attendant, l'Ukraine a encore lancé, selon Moscou, une centaine de drones d'attaque contre plusieurs régions russes et la péninsule ukrainienne occupée de Crimée, faisant deux morts et entraînant des coupures de courant et des incendies d'infrastructures.

Dans le nord-est de l'Ukraine, près de dix mille personnes ont été contraintes de quitter leur habitation dans la région de Kharkiv. "Au total, 9907 personnes ont été évacuées", a déclaré le gouverneur Oleg Synegoubov, précisant que les forces armées ukrainiennes avaient repoussé deux tentatives de percer les défenses au cours de la nuit.

Mais la situation est "sous contrôle", les "défenseurs menant des assauts et des opérations de ratissage dans certaines zones", a-t-il assuré. M. Synegoubov avait auparavant indiqué que les Russes avaient "commencé à détruire Vovtchansk, en utilisant chars et artillerie". Ce n'est pas simplement dangereux d'être là-bas, c'est pratiquement impossible", avait-il dit.

La ville, située à une cinquantaine de kilomètres de Kharkiv, la capitale régionale, comptait quelque 18'000 habitants avant-guerre. L'armée russe a souvent fini par détruire les villes ukrainiennes pour les conquérir, à l'instar de Bakhmout l'an passé ou Avdiïvka en février. Kiev accuse Moscou d'utiliser des civils comme "boucliers humains" à Vovtchansk et d'avoir commis au moins une exécution sommaire.

Avancée de l'ennemi

Un peu plus à l'ouest, les forces russes ont progressé sur leur deuxième axe d'assaut dans la région. Elles visent le village de Loukiantsi, pour ouvrir la voie vers Lyptsi, une autre localité sur la route de Kharkiv. "Les hostilités continuent à Loukiantsi. Oui, il y a une avancée de l'ennemi dans cette localité. Mais nos soldats essayent encore de la tenir", avait affirmé le gouverneur de la région de Kharkiv.

De son côté, l'armée russe a revendiqué vendredi la capture, en une semaine, de 12 localités dans la région et affirmé que ses forces continuaient à progresser.

Moscou a engrangé en une semaine ses plus importants gains territoriaux depuis fin 2022, avec quelque 257 km2 conquis dans la seule région de Kharkiv, selon une analyse jeudi de l'AFP à partir de données fournies par l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW).

Appel à la Chine

Volodymyr Zelensky a également souhaité voir la Chine et des pays du Sud "impliqués" dans la conférence de paix. "Des acteurs mondiaux" comme la Chine "ont une influence sur la Russie. Et plus nous aurons de pays de ce type de notre côté, du côté de la fin de la guerre, je dirais, plus la Russie devra compter avec cela", a relevé le président ukrainien.

Il a évoqué trois dossiers qui seront négociés en Suisse et que les Etats présents pourraient soutenir. Le premier concerne la libre navigation en mer Noire, pour protéger la sécurité alimentaire mondiale en permettant les exportations de céréales ukrainiennes.

Le deuxième vise un accord sur un appel à faire cesser les frappes sur les infrastructures énergétiques et le troisième est le retour en Ukraine de milliers d'enfants déportés en Russie, un crime, selon la Cour pénale internationale, qui a émis un mandat d'arrêt contre le président russe Vladimir Poutine.

"Si nous arrivons à la fin du sommet à ces trois mesures avec une majorité de pays, cela voudra dire que la Russie ne pourra plus les bloquer", a-t-il estimé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Macron contre "les déplacements de populations et toute annexion"

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"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Ici, la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Emmanuel Macron a affirmé lundi lors d'une visite au Caire qu'il s'opposait "fermement aux déplacements de populations et à toute annexion de Gaza comme de la Cisjordanie". Le Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de Gaza, a-t-il en outre dit.

"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse au Caire, au côté de son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de la bande de Gaza, a-t-il aussi affirmé.

Le Français a enfin réitéré son "plein soutien au plan de reconstruction pour Gaza" endossé par la Ligue arabe, en précisant que le Hamas ne devait "plus constituer une menace pour Israël".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

LVMH: nouveaux dirigeants chez Fendi, Kenzo et Louis Vuitton Chine

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Chez LVMH, les nouveaux responsables de marques sortent commedes lapins du chapeau ce printemps. (arhive) (© KEYSTONE/AP/Scott A Garfitt)

Le groupe de luxe LVMH a annoncé lundi la nomination de nouveaux directeurs pour ses marques Fendi et Kenzo, ainsi qu'à la tête de Louis Vuitton Chine où arrive un haut dirigeant d'Apple, selon un communiqué.

Chez Fendi, maison italienne, Ramon Ros succèdera à partir du 1er juillet comme patron à Pierre-Emmanuel Angeloglou, qui avait été nommé il y a moins d'un an, en mai 2024.

Ramon Ros est actuellement patron de Louis Vuitton Chine, poste où "il a joué un rôle-clé dans le développement de la désirabilité de la marque, ainsi que dans la constitution et le développement d'une équipe locale talentueuse".

Son expertise "lui permettra d'élever" Fendi "vers de nouveaux sommets, tout en préservant son patrimoine unique et son engagement en faveur de l'artisanat", indique LVMH.

M. Ros laissera son poste à la tête de Louis Vuitton Chine à Daniel DiCicco à compter du 28 avril, précise le communiqué.

Depuis 2018, Daniel DiCicco "dirigeait les activités +retail+ d'Apple au niveau mondial".

Son expérience ainsi que "sa connaissance approfondie des marchés et de la clientèle asiatique seront déterminants pour dynamiser nos équipes locales et poursuivre la croissance de Louis Vuitton en Chine", pays où tout le secteur du luxe doit affronter un ralentissement de la consommation, indique le communiqué.

Du côté de la maison Kenzo, Charlotte Coupé succédera à Sylvain Blanc comme patrons à compter du 1er mai, prenant la suite de Sylvain Blanc qui, "après avoir initié un nouveau chapitre chez Kenzo et établi les bases du développement ambitieux de la marque, quitte le groupe pour entreprendre de nouveaux projets".

Charlotte Coupé est notamment passée chez Ralph Lauren et Lacoste avant de rejoindre la marque Louis Vuitton en 2016.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Accord sur les minerais : Kiev envoie une délégation à Washington

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Selon le Kremlin, "énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev. "C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole russe Dmitri Peskov. (© KEYSTONE/EPA/YURI KOCHETKOV)

L'Ukraine enverra une délégation "cette semaine" à Washington pour discuter de l'accord sur les minerais auxquels les USA veulent obtenir l'accès préférentiel en échange de l'aide fournie au pays depuis le début de l'invasion russe, a indiqué lundi Kiev.

L'équipe ukrainienne aura pour mission de "faire avancer les négociations" sur ce document "stratégique" et comprendra des représentants des "ministères de l'Economie, des Affaires étrangères, de la Justice et des Finances", a indiqué la vice-Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko sur X.

Le Kremlin a dit dans ce contexte qu'"énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev, au moment où les pourparlers initiés par Washington peinent à aboutir à des résultats concrets.

"C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Macron sermonne Moscou

De son côté, Emmanuel Macron a jugé "urgent que la Russie cesse les faux-semblants et les tactiques dilatoires et accepte le cessez-le-feu sans condition" proposé par Donald Trump en Ukraine.

"Cela fait presque un mois que non seulement la Russie y oppose une fin de non-recevoir, mais qu'elle accroît les bombardements contre les civils avec encore des pertes tragiques il y a quelques jours en Ukraine", a déclaré le président français lors d'une visite au Caire.

"Nous soutenons l'objectif de mettre fin à la guerre, objectif poursuivi par le président Trump, et nous souhaitons une paix solide et durable qui garantisse, vous le savez, la sécurité de l'Ukraine et celle de tous les Européens", a-t-il ajouté.

"C'est pourquoi il est désormais urgent que la Russie cesse les faux-semblants et les tactiques dilatoires et accepte le cessez-le-feu sans condition qui a été la proposition du président Trump, proposition agréée par le président Zelensky à Jeddah le 11 mars dernier", a-t-il poursuivi.

Dimanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté l'absence de "réponse" américaine au "refus" par le président russe Vladimir Poutine d'un cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemagne: rebond des exportations en février

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Le grand voisin d'outre-Rin a observé une accélération des exportations vers le pays de l'oncle Sam, préalable à l'adoption de droits de douane punitifs à l'égard du reste du monde. (archive) (© KEYSTONE/DPA/BODO MARKS)

Les exportations allemandes ont davantage rebondi que prévu en février, en particulier à destination des Etats-Unis, avant l'annonce de droits de douane punitifs par Donald Trump menaçant l'économie mondiale, a indiqué lundi l'office Destatis.

L'indicateur a progressé de 1,8% sur un mois, mieux qu'attendu par le consensus interrogé par Factset, atteignant 131,6 milliards d'euros.

Les exportations vers les Etats-Unis, premier partenaire commercial, ont grimpé de 8,5% par rapport à janvier, après avoir chuté de 4,2% en janvier.

En comparaison, elles ont progressé de seulement 0,3% sur un mois vers la zone euro et de 0,6% vers la Chine.

Les importations ont globalement augmenté, de 0,7% à 113,8 milliards d'euros, portant l'excédent commercial à 17,7 milliards d'euros, en hausse par rapport à janvier, en données corrigées des variations saisonnières.

Dans le même temps, la production industrielle allemande a rechuté en février, de 1,3%, contre une progression de 2% un mois auparavant, confirmant la volatilité d'un secteur toujours affecté par les incertitudes géopolitiques.

Ces indicateurs sont publiés avant que ne soient relevés, dès mercredi, les droits de douane pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs des Etats-Unis, notamment l'Union européenne (20%) et la Chine (34%), sur décision de Donald Trump.

Les indicateurs publiés lundi sont vus comme le "dernier message de l'Allemagne d'un monde macroéconomique perdu", commente Carsten Brzeski, économiste chez ING.

"Avant même le début des tensions commerciales croissantes, l'industrie allemande peine à prendre de l'élan", ajoute-t-il.

Dans ce contexte économique difficile, les conservateurs (CDU/CSU) du chancelier désigné Friedrich Merz et sociaux-démocrates (SPD) pourraient finaliser cette semaine à Berlin leurs négociations en vue de doter la première économie européenne d'un nouveau gouvernement.

Les menaces de droits de douane de Trump seront désormais "au coeur des négociations", selon la vice-présidente de la CDU, Karin Prien, y voyant une "question clé pour la compétitivité allemande".

Le prochain gouvernement devra également mettre en oeuvre un plan d'investissements massifs dans les infrastructures et des réformes structurelles, adopté en mars par l'ancienne chambre des députés.

Sur un an, la production industrielle reste en recul de 4,0%, confirmant que l'industrie allemande peine à sortir d'une crise structurelle profonde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Pandémies: le chef de l'OMS dit les pays prêts à "faire l'Histoire"

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Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus estime encore possible d'aboutir dans les prochaines semaines à un accord contre les pandémies (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus estime que les Etats membres sont "prêts à faire l'Histoire". Lundi à Genève, il a demandé de ne pas "jeter" trois ans et demi de discussions et d'aboutir à un accord contre les pandémies.

"Vous être prêts à sécuriser un consensus", a affirmé le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au début d'une nouvelle série de négociations, la dernière avant l'Assemblée mondiale de la santé. Il demande aux 194 pays de faire de l'accord contre les pandémies le symbole de la possibilité de la communauté internationale de se réunir malgré les nombreuses divisions actuelles.

Une nouvelle pandémie "pourrait avoir lieu dans 20 ans ou davantage. Elle pourrait avoir lieu demain. Dans les deux cas, nous devons être préparés", a aussi dit le directeur général. Et de rappeler que des épidémies importantes, comme Ebola, sont observées actuellement dans le monde.

"Une pandémie peut tuer davantage de personnes et provoquer des perturbations économiques plus importantes qu'une guerre", a encore souligné M. Tedros. Les Etats membres avaient déjà prolongé d'un an le délai pour aboutir à un accord et se sont donnés jusqu'à l'Assemblée mondiale en mai à Genève pour le faire.

Mais les divisions restent considérables sur certaines questions. Elles sont tenaces sur la propriété intellectuelle, le partage des indications sur les pathogènes ou encore l'approche "une santé" sur la santé humaine, des autres espèces animales et de l'environnement.

Sans les Etats-Unis

Symbole de ces blocages, le lancement d'un "système multilatéral d'accès et de partage des avantages pour les agents pathogènes à potentiel pandémique" (PABS) semble compromis à court terme. Cette question pourrait faire l'objet d'une négociation séparée.

Cet accès équitable à la réponse contre une pandémie est au centre des préoccupations, alors que les premières doses étaient arrivées beaucoup plus tardivement dans les pays en développement au moment du coronavirus. Une part de la production de vaccins ou de technologies contre une urgence sanitaire internationale devrait à l'avenir être attribuée gratuitement ou à prix raisonnable à l'OMS. Des ONG redoutent que cette part soit trop peu importante.

Et un transfert de technologies des Etats riches vers les pays en développement ne se fera probablement pas de manière contraignante. Un autre problème pour les ONG.

La tâche des Etats semble d'autant plus difficile que les Etats-Unis se sont retirés du format, même s'ils assistent aux réunions. Et que l'organisation fait face aux difficultés financières, le manque à gagner s'approchant de 2,5 milliards de dollars entre cette année et 2027, selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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