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Euro 2024

Le soleil brille pour l'équipe de Suisse

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Pierluigi Tami, directeur des équipes nationales, est un homme comblé après la phase de groupes réussie par la Nati à l'Euro. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le soleil brille dans le ciel de l’équipe de Suisse. Au lendemain du nul (1-1) face à l’Allemagne, le directeur des équipes nationales Pierluigi Tami tenait bien le discours d’un homme comblé.

Même la différence de 500'000 euros dans le barème des primes de l’UEFA provoquée par la tête victorieuse de Niclas Füllkrug à la 92e minute (1 million d'euros pour une victoire, 500'000 pour un nul) ne chagrine pas le Tessinois. "Je ne nourris aucun regret sur le match de dimanche. L’objectif a été atteint avec cette qualification pour les huitièmes de finale, explique-t-il. Mais à mes yeux, c’est la manière qui importe le plus. L’équipe a témoigné d’une très grande force de caractère dans les moments difficiles. Elle a été solidaire. Unie aussi. Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard. Le travail entrepris depuis le premier jour du rassemblement le 27 mai à St. Gall a été déterminant. Depuis un mois, il se dégage autour de cette équipe une énergie positive."

"Nous livrerons une grande performance"

S’ils ont fêté comme il se devait dimanche soir cette qualification avec leurs familles, le staff et les joueurs vont très vite basculer vers le huitième de finale de samedi à Berlin. "Je vais sans doute passer pour quelqu’un de présomptueux. Mais l’adversaire pour ce huitième de finale importe peu, lâche Pierluigi Tami. Nous devons nous concentrer sur nos forces. Le match contre l’Allemagne a souligné combien elles pouvaient être vives. Pour samedi, il est bien sûr impossible de promettre à nos fans la victoire. Mais je suis convaincu d’une chose: nous livrerons une grande performance."

Pierluigi Tami a souligné le rôle déterminant de Manuel Akanji et de Granit Xhaxa dans cette qualification. "Manu est une véritable machine. Quant à Granit, son langage corporel dit tout sur son implication, sur l’exemple qu’il donne à ses coéquipiers", glisse-t-il. Le directeur des équipes nationales tire aussi un grand coup de chapeau à Murat Yakin. "Une feuille de route a été établie cet hiver à l’occasion des nombreuses discussions qui étaient nécessaires après les vents contraires essuyés lors du tour préliminaire. Je me réjouis de voir Murat s’y tenir aussi parfaitement, poursuit Pierluigi Tami. La présence à ses côtés de Giorgio Contini est précieuse. Son apport est essentiel. Je note surtout que nous avons livré sept matches en 2024. A chaque fois, on a pu noter des progrès dans notre jeu défensif qui avait tant souffert à l’automne. Le nouveau système en 3-4-3 s’avère être vraiment le bon."

Murat Yakin se fait désirer

On le sait, le contrat de Murat Yakin ne court que jusqu’à la fin de cet Euro 2024. Si l’on peint le diable sur la muraille, la Suisse risque de se retrouver sans sélectionneur dès ce samedi à 20h00. "Le plan A est et reste Murat Yakin, lance avec force Pierluigi Tami. Nous n’avons pas abordé à nouveau le sujet d’une prolongation de contrat ces derniers jours. Seul compte aujourd’hui l’Euro. Mais pour prolonger l’aventure, il faut que les deux parties soient partantes." Cette dernière phrase laisse bien entendre que le choix de Murat Yakin n’est pas encore arrêté. Comme s’il était parti pour ne pas rester...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Euro 2024

Pour Gareth Southgate, la lumière au bout du tunnel

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Gareth Southgate est désormais soutenu (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

Hué avant le départ, sifflé et très critiqué à l'Euro 2024, Gareth Southgate a qualifié l'Angleterre pour une deuxième finale continentale d'affilée. Une performance inédite au pays du football.

"Mis au pilori, insulté, mais c'est l'Angleterre de Southgate en finale", a résumé le quotidien "The Guardian", pour qui disputer une nouvelle finale, trois ans après l'échec contre l'Italie aux tirs au but, constitue "un progrès extraordinaire au vu de l'histoire de l'Angleterre".

Southgate n'est pas Alf Ramsey, le patron des "Three Lions" qui a remporté la Coupe du monde 1966 à domicile. Mais il a stabilisé l'équipe dans les sommets du football avec, en huit ans, un quart de finale (Mondial 2022), une demi-finale (Mondial 2018) et deux finales, donc. Avant lui, l'Angleterre n'en avait disputé qu'une, celle du titre, en vingt-trois grands tournois, Euros et Mondiaux confondus.

Le manager de 53 ans, à l'expérience limitée sur un banc, a su rebâtir des fondations solides sur un champ de ruines quand la fédération lui a confié les clés, en 2016, au sortir d'un Euro raté sous Roy Hodgson et d'une éphémère succession manquée par Sam Allardyce.

"Je pense que nous avons offert à nos supporters quelques-unes des meilleures soirées de ces 50 dernières années, et j'en suis très fier", a-t-il savouré mercredi après la qualification acquise face aux Pays-Bas (2-1).

Le vent du bonheur soufflait aussi fort, à Dortmund, que les critiques qui ont touché le sélectionneur avant et pendant le tournoi en Allemagne. "Nous voulons tous être aimés, non? Quand vous faites quelque chose pour votre pays et que vous êtes fier d'être Anglais, c'est difficile de ne pas être aimé et de recevoir toutes les critiques. Pouvoir célébrer une deuxième finale est très, très spécial", a-t-il dégusté.

Changements inspirés et idées arrêtées

Le dernier match amical, perdu contre l'Islande à Wembley, s'était terminé sous des sifflets, principalement dirigés vers le sélectionneur, incapable selon le public de bonifier le grand talent de ses joueurs. Une fois en Allemagne, les critiques ont redoublé, notamment de la part des anciennes gloires de la sélection. Durant le premier tour, poussif, Southgate a même été visé par des gobelets en plastique jetés des tribunes.

Touché, mais pas coulé, le technicien a assumé ses choix, notamment celui d'un "onze" de départ quasi inchangé, où seul le jeune milieu Kobbie Mainoo a gagné une place de titulaire.

Les spectateurs et les experts ont réclamé à cor et à cri la sortie de Jude Bellingham et Harry Kane, titulaires impuissants contre la Slovaquie (2-1 a.p.) en huitièmes? Le premier a égalisé dans le temps additionnel et le second a mis le but de la qualification en prolongation.

En quarts, ses changements tardifs ont encore fait grincer des dents. Mais les entrants Cole Palmer, Trent Alexander-Arnold et Ivan Toney, à la réputation établie sur coups de pied arrêtés, ont permis la qualification avec des tirs au but réussis contre la Suisse (1-1, 5-3 tab). De quoi effacer, en partie, le douloureux souvenir de la séance manquée contre l'Italie, en finale de l'édition 2021 à Wembley...

Rebelote face aux Pays-Bas: le but de la victoire, dans le temps additionnel, est venu de deux remplaçants, le buteur Ollie Watkins et le passeur Palmer. "Je me demandais quand est-ce que les changements auraient lieu. Ils ont été justes, parfaits", s'est emballé l'ex-gloire du football anglais Alan Shearer, pas le plus tendre avec Southgate jusqu'ici.

Le sélectionneur sait bien, toutefois, que l'histoire retiendra son palmarès vierge davantage que ses accomplissements successifs, malgré le redressement spectaculaire opéré sous ses ordres. C'est tout l'enjeu et le vertige de la finale, dimanche (21h) contre l'Espagne à Berlin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ollie Watkins, le héros inattendu de l'Angleterre

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Ollie Watkins (à gauche), un héros inattendu mais méritant (© KEYSTONE/AP/Frank Augstein)

Il a attendu son moment pour briller: Ollie Watkins, qui n'avait disputé qu'une vingtaine de minutes depuis le début du tournoi, a envoyé les Three Lions en finale de l'Euro 2024.

Entré en jeu dix minutes plus tôt à la place du capitaine Harry Kane, qui avait remis les siens dans la partie en transformant un pénalty qu'il avait provoqué, l'attaquant d'Aston Villa a trouvé la faille à la 90e d'un superbe enchaînement de pur buteur, crucifiant les Pays-Bas mercredi (2-1).

Bien servi dans la surface par Cole Palmer, il a résisté au roc néerlandais Stefan De Vrij pour s'amener le ballon et loger une frappe limpide du droit dans le petit filet opposé. "C'est incroyable, j'ai attendu ce moment pendant des semaines!" a confié Watkins, logiquement élu homme du match pour avoir forcé la décision dans le "money time", à la télévision allemande.

"L'Angleterre a souffert surtout à cause des changements de Ronald Koeman. Ils ne trouvaient pas la solution et avaient désespérément besoin d'un remplaçant. Cet homme était Ollie Watkins, et il l'a fait parfaitement", a réagi le légendaire Alan Shearer sur BBC Radio. "Je me demandais quand est-ce que les changements auraient lieu. Ils ont été justes, parfaits. Quelle soirée pour Watkins et pour l'Angleterre!"

Finisseur hors pair

Formidable finisseur, valeur sûre de la Premier League dont il a terminé deuxième meilleur buteur avec 19 réalisations (et 13 passes décisives), l'attaquant formé à Exeter n'a découvert le haut niveau que tardivement, après avoir gravi les échelons du football britannique un à un.

Révélé à Brentford, il a depuis explosé chez les Villans, dont il est devenu l'homme providentiel, mais n'avait pour l'instant jamais eu sa chance dans un grand tournoi en sélection.

"J'ai vraiment eu un parcours incroyable. J'ai travaillé très dur pour arriver ici, et j'essaye juste d'en profiter car je n'avais jamais disputé de tournoi majeur. J'ai raté le dernier Euro, je n'ai pas été conservé dans le groupe au dernier moment alors que je voulais à tout prix y participer", rappelait le buteur de 28 ans plus tôt dans le tournoi auprès de BBC Sport.

"Donner une énergie positive à l'équipe"

"Pour moi c'est difficile d'être sur le banc et de ne pas jouer alors que je suis habitué à le faire chaque semaine depuis les 3 ou 4 dernières saisons. Mais ça fait partie du jeu, j'essaye de donner une énergie positive à l'équipe, et quand j'aurai l'opportunité il faudra que je sois prêt à la saisir", estimait-il.

Entré en jeu en phase de groupes contre le Danemark, il n'avait pas su le faire et avait alors buté sur Kasper Scheimchel. Mais il a cette fois été clinique, comme souvent avec son club, pour envoyer les Three Lions vers une deuxième chance, trois ans après sa finale perdue contre l'Italie.

Au tour précédent, le sélectionneur Gareth Southgate aurait pu se tourner vers lui pour la prolongation face à la Suisse, mais avait choisi de lancer Ivan Toney, redoutable tireur de pénalty qui a transformé le sien avec une tranquillité déconcertante, sans même regarder le ballon.

"Nous parlons souvent du fait d'être prêts. (...) Quand le moment l'impose, vous pouvez avoir cinq minutes, une minute, mais vous pouvez faire la différence, vous pouvez nous faire gagner un tournoi. Il a attendu, il a été patient. Ce qu'il a fait est exceptionnel et il le mérite", a résumé Harry Kane sur ITV.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'Angleterre défiera l'Espagne en finale de l'Euro

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Ollie Watkins a envoyé l'Angleterre en finale de l'Euro (© KEYSTONE/AP/Hassan Ammar)

L'Angleterre défiera l'Espagne dimanche soir à Berlin en finale de l'Euro 2024.

Les "Three Lions" ont battu les Pays-Bas 2-1 mercredi à Dortmund dans la seconde demi-finale, forçant la décision à la 90e minute grâce un but de l'inattendu Ollie Watkins.

Battue aux tirs au but par l'Italie dans son stade de Wembley en finale de l'édition 2021, l'Angleterre bénéficie donc d'une nouvelle opportunité d'accrocher enfin un deuxième titre majeur à son palmarès. 58 ans après avoir remporté son unique Coupe du monde à domicile, son heure a-t-elle enfin à nouveau sonné?

La troupe de Gareth Southgate aura en tout cas un coup à jouer dimanche face à la Roja si elle évolue dans le même registre qu'en première mi-temps mercredi. Brouillons et minimalistes jusque-là, Jude Bellingham et ses coéquipiers ont enfin présenté un visage offensif. Même si leur deuxième mi-temps fut moins convaincante.

Une bonne mi-temps

L'Angleterre a décroché un succès dans l'ensemble mérité face à des Oranje surtout occupés à défendre au retour des vestiaires. Après avoir frisé la correctionnelle en 8e de finale face à la Slovaquie (2-1 ap) puis en quart face à la Suisse (5-3 tab), les Anglais avaient décidé de sortir enfin de leur torpeur.

Ce sont pourtant les Néerlandais qui ont frappé les premiers mercredi, ouvrant la marque dès la 7e minute grâce à l'abnégation et au talent de Xavi Simons. Le milieu offensif du PSG récupérait le ballon dans les pieds de Declan Rice avant d'armer une lourde frappe du droit malgré une glissade.

Cet avantage fut de courte durée, l'Angleterre égalisant à la 18e sur un penalty transformé par Harry Kane. Auteur de la faute ayant amené ce penalty, Denzel Dumfries s'est cependant vite fait pardonner: à la 23e, il sauvait ainsi les meubles sur sa ligne de but après un solo du très remuant Phil Foden.

Watkins surgit à la 90e

La deuxième mi-temps fut moins emballante, l'enjeu "tuant" comme souvent le jeu. Décevante, à l'image d'un Phil Foden transparent - et remplacé à la 80e, l'Angleterre a pourtant trouvé les moyens de passer l'épaule sur une frappe exceptionnelle de l'attaquant d'Aston Villa Ollie Watkins, qui avait remplacé Kane dix minutes plus tôt.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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"On n'en a pas fait assez", regrette Mbappé

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Mbappé est conscient d'avoir manqué son Euro (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

"On n'a pas fait assez pour aller en finale", a regretté le capitaine de la France Kylian Mbappé après la défaite contre l'Espagne (2-1). Il considère qu'il n'a pas fait "un bon Euro".

"Ils ont mieux joué que nous, ils ont mérité d'aller en finale et nous, on rentre à la maison", a dit la star des Bleus après la demi-finale. À titre personnel, "j'avais l'ambition d'être champion d'Europe, j'avais l'ambition de faire un bon Euro. Je n'ai fait ni l'un ni l'autre. C'est une déception", a-t-il ajouté.

Mbappé a notamment regretté sa balle de 2-2 manquée à la 86e minute. "Bradley (Barcola) fait un super travail", a-t-il raconté. "Il me la donne. Je fixe le défenseur, je rentre bien. Après, je pense que je dois marquer. Au minimum, cadrer. Ça va au-dessus. C'est la dure réalité du football. C'est 2-1 et c'est la maison".

Le no 10 des Bleus avait décidé d'enlever le masque qu'il portait depuis trois rencontres pour protéger son nez cassé. "J'en avais marre. Je ne voyais pas bien avec. J'ai parlé avec le docteur, il m'a dit de prendre la décision comme un homme. Et voilà, j'ai joué sans et je ne regrette pas", a dit "Kyk's".

"Il faut rentrer, aller en vacances. Je vais bien me reposer", a-t-il conclu. "Je pense que j'en ai besoin, pour revenir frais à la reprise et faire une grosse préparation" avec le Real Madrid, son nouveau club.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Angleterre/Pays-Bas, le funambule contre le feu follet

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Cody Gakpo est l'une des amres néerlandaises en attaque (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

L'Euro s'offre une demi-finale indécise mercredi (21h). Un match entre des Pays-Bas d'attaque et une Angleterre passée de favorite à funambule, perchée en permanence sur un fil au-dessus du vide.

L'affiche à Dortmund aurait dû placer les Anglais, vice-champions d'Europe à l'effectif serti de pépites, en vainqueurs désignés. Ce ne sera pas le cas, tant les "Oranje" apparaissent revitalisés face à des "Three Lions" aux griffes élimées.

En Allemagne, l'équipe du capitaine Harry Kane n'a gagné qu'une seule fois dans les 90 minutes imparties, contre la Serbie (1-0) en ouverture du premier tour. Ont suivi deux matches nuls face au Danemark (1-1) et la Slovénie (0-0), un huitième de finale contre la Slovaquie (2-1 ap) sauvé dans le temps additionnel puis la prolongation, et un quart arraché aux tirs au but devant la Suisse (1-1, 5-3 tab).

L'Angleterre a ronronné, entre prudence et incapacité à accélérer, et elle a peiné à concrétiser sa menace offensive, redoutable sur le papier mais inefficace en réalité: dans les matches à élimination directe, elle a réussi cinq tirs cadrés en 240 minutes.

Malgré cela, la sélection de Gareth Southgate s'est hissée dans le dernier carré d'une compétition majeure pour la troisième fois en quatre tentatives, après le Mondial 2018 (défaite contre la Croatie) et l'Euro 2021 (victoire contre le Danemark). La finale du 14 juillet à Berlin est à portée de tirs et le groupe y croit, dopé par sa résilience et sa solidarité.

Fusées en attaque

Les Pays-Bas ont cultivé leur espoir de manière différente. Passé un premier tour sans éclat (une victoire, un nul, une défaite), ils ont mis le turbo contre la Roumanie (3-0) et renversé la Turquie (2-1). L'impression laissée est celle d'une montée en puissance au fil du tournoi et d'une facilité à se procurer des occasions, deux atouts que les Anglais n'ont pas dans leur manche.

Le sélectionneur Ronald Koeman dispose notamment de deux accélérateurs de particules avec Memphis Depay et Cody Gakpo, une doublette d'attaquants décisive sur les pelouses allemandes.

Gakpo compte trois buts en cinq matches, ce qui fait de lui le co-meilleur artificier de l'Euro avant les demi-finales. Son total aurait même été plus élevé sans un hors-jeu contre la Roumanie et un autogoal attribué au Turc Mert Müldür sous sa pression.

Les Pays-Bas pourront une nouvelle fois compter sur la vague de leurs supporters colorés pour faire tanguer l'Angleterre et atteindre la première finale d'un tournoi international depuis 2010 (défaite au Mondial en Afrique du sud).

En attendant, cela faisait longtemps que les Néerlandais n'avaient pas disputé une demi-finale: dix ans en grande compétition (Mondial 2014), vingt ans à un Euro (2004).

Après leur titre de champions d'Europe 1988, en Allemagne, les Néerlandais ont perdu les trois demi-finales disputées à un Euro (1992, 2000, 2004).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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