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Opérations israéliennes "achevées" dans l'est de la ville de Gaza

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Des Palestiniens blessés dans un bombardement israélien à l'hôpital de Khan Younès. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

L'armée israélienne a annoncé mercredi soir avoir achevé ses opérations lancées le 27 juin à Choujaïya, quartier de l'est de la ville de Gaza théâtre de violents combats depuis cette date. L'offensive avait été étendue lundi aux quartiers du centre-ville.

L'offensive a permis le démantèlement de "huit tunnels" et l'élimination de "dizaines de terroristes" ainsi que la destruction de "base de combats et d'immeubles piégés", selon un communiqué militaire.

L'armée israélienne avait appelé mercredi tous les habitants à évacuer la ville de Gaza, la principale du territoire palestinien assiégé. Des milliers de tracts, appelant "toutes les personnes" à évacuer via des "couloirs de sécurité", ont été largués au-dessus de la ville de Gaza, dans le nord du territoire.

Ces tracts avertissent que cette ville déjà en partie détruite, où se trouvaient jusqu'à présent 300'000 à 350'000 personnes, selon l'ONU, restait "une zone de combats dangereuse".

Nouvelles discussions au Qatar

Les troupes au sol, appuyées par des chars et des bombardements aériens, ont été engagées dans d'intenses combats contre le Hamas et ses alliés, les plus violents dans la ville de Gaza depuis le début de la guerre, qui ont déjà poussé des dizaines de milliers d'habitants à fuir.

Ces nouvelles directives "ne feront qu'ajouter aux souffrances de masse pour les familles palestiniennes, dont beaucoup ont été déplacées à de nombreuses reprises", avait mis en garde mercredi le porte-parole du secrétaire général de l'ONU António Guterres, Stéphane Dujarric.

Après des mois d'efforts diplomatiques restés vains, de nouvelles discussions doivent commencer au Qatar pour tenter d'avancer vers un cessez-le-feu et une libération d'otages enlevés lors de l'attaque menée par le Hamas le 7 octobre contre Israël, qui a déclenché la guerre.

Une délégation israélienne menée par le chef du Mossad, David Barnea, est arrivée mercredi à Doha, selon une source proche des négociations. Le directeur de la CIA, William Burns, y était aussi attendu.

Une "ville fantôme"

L'armée a annoncé mercredi que les soldats avaient mené "une opération contre des terroristes du Hamas et du Djihad islamique qui utilisaient le siège de l'UNRWA", l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens dans la ville de Gaza, "comme base pour lancer des attaques", et avaient "éliminé des terroristes".

Selon le commissaire général de l'UNRWA, Philippe Lazzarini, les combats des derniers jours ont jeté 350'000 personnes sur les routes, alors que la quasi-totalité de la population du territoire a déjà été déplacée par la guerre.

"C'est la 12e fois qu'on est déplacé. Combien de fois faudra-t-il encore endurer cela? Mille fois? Où allons-nous finir?", a témoigné Oum Nimr al-Jamal, une Palestinienne qui a fui la ville de Gaza avec sa famille.

Le porte-parole de la défense civile et des témoins ont affirmé que les forces israéliennes s'étaient retirées de Choujaïya. Ce quartier est devenu "une ville fantôme", a déclaré le porte-parole. Des images de l'AFP ont montré mercredi des habitants de Choujaïya marchant au milieu des décombres, dans un paysage dévasté.

Combats à Rafah aussi

Les combats ont fait rage aussi dans le sud du territoire, où des chars israéliens sont entrés dans le centre de Rafah, selon des témoins qui ont fait état de tirs intenses dans cette ville frontalière avec l'Egypte.

Le ministre israélien de la défense, Yoav Gallant, a affirmé que l'armée avait "éliminé ou blessé 60%" des combattants du Hamas pendant les neuf mois de guerre.

Mardi soir, pour la quatrième fois en quatre jours, une frappe israélienne a touché une école abritant des déplacés à Abassan, près de Khan Younès, dans le sud, faisant 29 morts dont des enfants, selon une source médicale et le Hamas. L'armée a dit viser des "terroristes". Paris et Berlin ont condamné ces frappes.

La guerre a éclaté le 7 octobre après une attaque menée par des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort de 1195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur 251 personnes alors enlevées, 116 sont toujours retenues à Gaza dont 42 sont mortes, selon l'armée.

En riposte, Israël a promis de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, et a lancé une offensive militaire qui a fait jusqu'à présent 38'243 morts, en majorité des civils, selon le ministère de la santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

Lors d'une rencontre mercredi à Jérusalem avec le coordinateur de la Maison-Blanche pour le Moyen-Orient, Brett McGurk, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a réitéré son engagement en faveur d'un accord de cessez-le-feu "tant que les lignes rouges d'Israël sont respectées".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Afrique du Sud: dix personnes tuées vers Johannesburg

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Image d'illustration de policiers sud-africains. (© KEYSTONE/EPA/KIM LUDBROOK)

Des hommes armés ont tué dix personnes et en ont blessé dix autres près de Johannesburg, a annoncé dimanche la police sud-africaine.

Le mobile de cette tuerie par des inconnus en pleine rue à Bekkersdal, à 40 kilomètres au sud-ouest de capitale économique de l'Afrique du Sud n'était pas immédiatement connu.

"Certaines victimes ont été abattues au hasard dans la rue par des hommes armés non identifiés", a seulement précisé la police dans un communiqué.

Brenda Muridili, une porte-parole de la police de la province de Gauteng, dont font partie Johannesburg et la capitale sud-africaine Pretoria, a déclaré à l'AFP que les autorités ne disposaient pas encore "d'informations détaillées" sur l'identité des victimes.

Le 6 décembre, des hommes armés avaient pris d'assaut un foyer de travailleurs à Pretoria, tuant 11 personnes dont un enfant de trois ans dans un lieu qui, selon la police, accueillait un autre bar informel.

L'Afrique du Sud, pays le plus industrialisé du continent, est aux prises avec une criminalité et une corruption endémiques, alimentées par des réseaux organisés.

Les fusillades sont fréquentes, souvent liées aux violences des gangs et à l'alcool.

Si de nombreuses personnes possèdent légalement des armes à feu pour leur protection personnelle, le nombre d'armes illégales en circulation est bien plus important.

Entre avril et septembre, environ 63 personnes ont été tuées chaque jour dans le pays de 63 millions d'habitants, selon les données de la police sud-africaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Poutine "prêt au dialogue avec Macron", selon son porte-parole

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Le président russe Vladimir Poutine s'est dit prêt à dialoguer avec son homologue français Emmanuel Macron. (© KEYSTONE/EPA/MIKHAIL METZEL/SPUTNIK/KREMLIN / POOL)

Le président russe Vladimir Poutine est "prêt au dialogue" avec son homologue français Emmanuel Macron, a déclaré dans la nuit de samedi à dimanche le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à l'agence russe RIA Novosti.

"Il (M. Macron) a dit qu'il était prêt à parler avec Poutine. Il est probablement très important de rappeler ce que le président a dit lors de Ligne directe (ndlr: sa grande conférence de presse annuelle vendredi). Il a également exprimé le fait qu'il était prêt à engager le dialogue avec Macron", a expliqué M. Peskov.

Le porte-parole de la présidence russe faisait référence à une déclaration d'Emmanuel Macron vendredi matin à Bruxelles, à l'issue d'un sommet où l'Union européenne a trouvé un accord pour débloquer un prêt de 90 milliards d'euros pour soutenir l'Ukraine.

"Je pense qu'il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine", avait dit le président français devant la presse.

"Je constate qu'il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine", avait-il ajouté, en allusion au président américain Donald Trump, qui a renoué le dialogue avec son homologue russe.

"Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n'est pas optimal", avait insisté Emmanuel Macron.

De fait, des émissaires de Donald Trump mènent une série de pourparlers séparés, avec Moscou d'une part, et avec les Ukrainiens et les Européens d'autre part, dans l'espoir d'aboutir à un accord sur le conflit en Ukraine.

Des négociateurs ukrainiens, européens et américains se trouvent ce week-end à Miami, en Floride, pour ces discussions menées par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président des Etats-Unis.

L'émissaire russe Kirill Dmitriev est également à Miami depuis samedi.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé samedi Washington à accentuer la pression sur Moscou, en vue d'un accord pour mettre fin au conflit déclenché par l'offensive russe de février 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Australie: audit de la police et du renseignement après l'attentat

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Après l'attentat du 15 décembre à Bondi Beach, l'Australie va faire un audit de ses forces de police et de renseignement. (© KEYSTONE/AP/Mark Baker)

Le Premier ministre australien Anthony Albanese a annoncé dimanche avoir ordonné un audit du fonctionnement de la police et du renseignement après l'attentat de Sydney qui a fait 15 morts le 14 décembre.

Le gouvernement va vérifier s'il dispose des structures adéquates "pour protéger les Australiens à la suite du terrible attentat terroriste antisémite de la plage de Bondi", a-t-il déclaré dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: Zelensky appelle Trump à accentuer la pression sur Moscou

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Le président russe Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens. (© KEYSTONE/AP/Mikhail Metzel)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé samedi les États-Unis à accentuer la pression sur la Russie, au moment où des négociateurs se retrouvent à Miami pour de nouvelles discussions en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine.

"Les Etats-Unis doivent dire clairement: s'il n'y a pas de voie diplomatique, alors il y aura une pression totale", a lancé le président ukrainien devant la presse à Kiev, citant la possibilité par exemple de fournir plus d'armes à l'Ukraine et d'étendre les sanctions contre la Russie.

Vladimir "Poutine ne sent pas encore le genre de pression qui devrait être mise en oeuvre", a-t-il poursuivi, jugeant que seuls les Américains étaient capables de persuader la Russie d'arrêter le conflit en Ukraine, qui dure depuis près de quatre ans.

"Je pense que les Etats-Unis et le président Trump ont cette force. Et je pense que nous ne devrions pas chercher d'alternatives aux Etats-Unis", a martelé M. Zelensky.

Au même moment, des négociateurs ukrainiens, européens et américains se trouvent à Miami, en Floride, pour participer à des pourparlers menés par Steve Witkoff, l'envoyé spécial de Donald Trump, et Jared Kushner, le gendre du président américain. L'émissaire russe Kirill Dmitriev est également arrivé à Miami samedi.

"Les discussions se déroulent de manière constructive" avec MM. Witkoff et Kushner, a-t-il déclaré à des journalistes, selon l'agence russe Tass. "Elles ont commencé et se poursuivent aujourd'hui (samedi), et continueront également demain" (dimanche), a-t-il ajouté.

Possibles négociations directes

Si une table ronde réunissant toutes ces parties n'était pas initialement prévue, le président ukrainien Zelensky a évoqué samedi la possibilité de négociations directes entre l'Ukraine et la Russie, proposées selon lui par les Etats-Unis. Il s'agirait d'une première depuis six mois.

Il a cependant ajouté qu'il n'était "pas sûr que quoi que ce soit de nouveau n'en émerge", alors que de précédentes rencontres en Turquie cet été n'avaient abouti qu'à des échanges de prisonniers.

MM. Witkoff et Kushner ont quant à eux rencontré vendredi près de Miami le négociateur ukrainien Roustem Oumerov et des représentants de la France, du Royaume-Uni et de l'Allemagne.

L'inclusion directe des Européens constitue une nouveauté par rapport aux précédentes réunions qui ont eu lieu ces dernières semaines entre Ukrainiens et Américains à Genève, Miami et Berlin.

Vendredi, alors que cette nouvelle série de discussions venait de débuter, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio avait promis qu'aucun accord ne serait imposé aux Ukrainiens ni aux Russes. Les pourparlers pour mettre fin au conflit se sont accélérés ces dernières semaines.

Volodymyr Zelensky a à cet égard mentionné des "progrès" dans les discussions entre Kiev et Washington sur le plan proposé il y a plus d'un mois par les Etats-Unis. Ce texte initial, perçu comme étant largement favorable au Kremlin, a depuis été remanié à la suite de consultations avec les Ukrainiens.

Les détails de la nouvelle mouture ne sont pas connus mais, selon le président ukrainien, elle implique des concessions territoriales de la part de l'Ukraine en échange de garanties de sécurité occidentales.

Vendredi, Vladimir Poutine a affirmé que "la balle" était "dans le camp" de Kiev et de ses alliés européens, la Russie ayant déjà accepté des "compromis" au cours de ses propres pourparlers avec les Américains. De plus en plus impatient, Donald Trump a lui pressé Kiev de "bouger rapidement".

Nouvelles frappes russes

Tandis que les tractations diplomatiques se poursuivent, l'armée russe continue de frapper la ville d'Odessa et ses environs, dans le sud de l'Ukraine, provoquant samedi un important incendie dans le plus grand terminal d'huile végétale du pays, dont un employé a péri.

Des images envoyées à l'AFP montrent des pompiers face à d'immenses flammes et une épaisse fumée noire enveloppant d'énormes citernes. Les Russes ont intensifié leurs bombardements ces dernières semaines sur cette région bordée par la mer Noire, où des dizaines de milliers de personnes étaient toujours sans électricité. Et ce notamment en représailles à la multiplication des attaques ukrainiennes contre des pétroliers de la "flotte fantôme" russe.

"L'ennemi détruit délibérément les infrastructures logistiques de la région d'Odessa et terrorise les civils", s'est emporté le vice-Premier ministre ukrainien chargé de la reconstruction, Oleksiï Kouleba.

"La Russie tente à nouveau de restreindre les accès de l'Ukraine à la mer et de bloquer nos régions côtières", a pour sa part réagi Volodymyr Zelensky. Vendredi soir déjà, un missile balistique avait fait huit morts près d'Odessa.

Moscou a de son côté affirmé samedi avoir pris deux villages dans les régions de Soumy (nord) et Donetsk (est). L'Ukraine a quant à elle fait état de la destruction de deux avions de combat russes sur un aérodrome situé dans la péninsule de Crimée occupée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Bondi: hommage aux victimes de l'attentat des sauveteurs en mer

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Les sauveteurs en mer de Bondi ont rendu hommage aux victimes de l'attentat de Bondi, à Bondi Beach. (© KEYSTONE/EPA/BIANCA DE MARCHI)

Des centaines de sauveteurs en mer australiens ont rendu hommage samedi aux 15 personnes tuées lors de l'attentat antisémite de la plage de Bondi, à Sydney.

L'émotion reste considérable six jours après la pire tuerie depuis près de 30 ans en Australie, dont les autorités multiplient les annonces pour éviter qu'un tel drame puisse se reproduire.

Après plusieurs jours marquées par les poignantes obsèques des victimes, âgées de 10 à 87 ans, des secouristes vêtus de leur uniforme rouge et jaune ont fait face à l'océan à Bondi samedi en silence.

Certains d'entre eux ont fondu en larmes, tandis qu'un hélicoptère de leur club survolait la plage mythique, emblématique du mode de vie australien.

"Nous n'oublierons jamais"

Le 14 décembre, deux assaillants, Sajid Akram, 50 ans, un Indien entré sur visa en Australie en 1998 et son fils Naveed Akram, né dans le pays il y a 24 ans, y ont tué 15 personnes et blessé des dizaines d'autres en ouvrant le feu contre un rassemblement pour la fête juive d'Hanouka.

Selon les autorités, l'attentat dont sont suspectés le père, abattu sur place, et le fils, arrêté et inculpé, a été motivé par l'idéologie du groupe djihadiste État islamique.

Dans un message, les secouristes ont fait part de leur "compassion pour la communauté juive prise pour cible".

"Nous rendons hommage à celles et ceux qui ont perdu la vie, qui ont risqué la leur et qui en ont sauvé: nous n'oublierons jamais", est-il encore écrit.

Le courage des sauveteurs pendant l'attaque, pour mettre des gens à l'abri, apporter les premiers soins aux victimes ou sortir des nageurs paniqués de l'eau, a été largement salué.

Une photo devenue virale montre l'un deux, Jackson Doolan, courir pieds nus sur la route depuis une plage voisine pour apporter un défibrillateur.

Vendredi, ce sont des centaines de centaines de surfeurs et nageurs qui s'étaient rassemblés dans les vagues de Bondi en hommage aux victimes.

Et dimanche, une semaine après l'attentat, la population de tout le pays-continent est invitée à allumer des bougies à 18h47 (08h47 en Suisse), à l'heure où tout a basculé sur la plage.

Ce sera "un moment pour faire une pause, réfléchir et affirmer que la haine et la violence ne définiront jamais qui nous sommes en tant qu'Australiens", a expliqué le Premier ministre Anthony Albanese.

Une journée de deuil national se tiendra par ailleurs en 2026, a-t-il dit.

Perquisitions

Concernant l'enquête, des perquisitions ont eu lieu encore vendredi en Australie, la police étudiant les contacts et fréquentations des assaillants avant l'attentat.

"Aucune piste ne sera négligée, en Australie comme à l'étranger", a assuré samedi la commissaire de la police fédérale Krissy Barrett devant la presse.

Les enquêteurs s'intéressent en particulier au voyage aux Philippines des suspects, qui ont passé plusieurs semaines en novembre dans la région de Mindanao (sud), considérée comme abritant des foyers d'insurrection islamiste.

Les autorités sont sous pression pour répondre au choc suscité par l'attaque, mais aussi aux critiques de membres de la communauté juive estimant que leur cri d'alarme face à la montée de l'antisémitisme depuis le 7-Octobre n'avait pas été entendu.

Après avoir annoncé qu'il comptait durcir la législation contre l'extrémisme, Anthony Albanese a annoncé vendredi un programme de rachat d'armes à feu en circulation.

Le port d'armes est déjà très strictement contrôlé en Australie depuis la fusillade qui avait fait 35 morts en 1996 à Port Arthur en Tasmanie.

Samedi, le dirigeant régional de l'Etat de Nouvelles-Galles du Sud, Chris Minns, a annoncé vouloir interdire certains slogans pro-Palestiniens comme "Mondialisez l'intifada" - en référence aux soulèvements palestiniens contre l'armée israélienne en 1987-1993 puis au début des années 2000 - ou des symboles comme le drapeau de l'Etat islamique.

Il veut également renforcer les pouvoirs de la police de ce territoire où se trouve Sydney pour ordonner aux gens de se découvrir le visage.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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