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Israël promet de riposter "avec force" après le raid sur le Golan

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Un tir de roquette, imputé par Israël au Hezbollah libanais, a causé la mort samedi de 12 jeunes âgés de 10 à 16 ans et en a blessé environ 30 autres. Le raid a visé un terrain de football dans la ville druze de Majdal Shams, situé sur le plateau du Golan annexé, un territoire contrôlé par Israël. (© KEYSTONE/AP/Hassan Shams)

Israël a promis dimanche de "frapper l'ennemi avec force" au lendemain d'un tir qui a tué 12 jeunes sur le plateau syrien du Golan annexé, imputé au Hezbollah libanais, faisant craindre un embrasement régional en pleine guerre dans la bande de Gaza.

L'Iran a mis en garde Israël contre les "conséquences" d'une attaque de représailles au Liban. "Toute action (...) peut conduire à l'aggravation" de "la guerre dans la région", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani.

Selon Israël, un tir de roquette depuis le Liban sur un terrain de football dans la ville de Majdal Shams a causé la mort samedi de 12 garçons et filles, âgés de dix à seize ans, et en a blessé environ 30 autres. La police a signalé dimanche qu'un garçon de onze ans était porté disparu. La Maison Blanche a accusé le mouvement islamiste libanais, soutenu par l'Iran, d'avoir mené cette "horrible" attaque. "Il s'agissait de leur roquette, lancée depuis une zone qu'ils contrôlent", a déclaré une porte-parole du Conseil national de sécurité.

La frappe a été menée avec une roquette iranienne de type Falaq avec une ogive de 53 kilogrammes, d'après Israël. Le Hezbollah, qui nie être l'auteur de l'attaque, est le seul à en posséder, a affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères, accusant le mouvement libanais d'avoir "franchi toutes les lignes rouges" en tirant "sur des civils". Le Hezbollah paiera "le prix fort", a averti le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, rentré dimanche des Etats-Unis avant de présider une réunion du cabinet de sécurité.

"Agir avec sang-froid"

Le tir est intervenu après l'annonce de la mort de quatre combattants du Hezbollah dans une frappe israélienne dans le sud du Liban. Samedi soir, le mouvement libanais a dit avoir lancé des roquettes visant des positions militaires dans le Golan, dont une Falaq, avant de démentir être à l'origine du tir sur Majdal Shams.

Cette petite ville druze se trouve sur le plateau du Golan, région stratégique au carrefour de trois pays (Syrie, Liban, Israël), conquise en grande partie par Israël lors de la guerre israélo-arabe de 1967. Israël en a annexé les deux tiers en 1981 mais la communauté internationale n'a jamais reconnu cette annexion.

Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, s'est rendu dimanche sur le terrain de football à Majdal Shams, où il a "insisté" sur le fait qu'Israël allait "frapper l'ennemi avec force", d'après son ministère. Des milliers de personnes se sont rassemblées dans la ville pour les funérailles des victimes, durant lesquelles des femmes en robes de deuil noires, voile blanc sur la tête, se sont massées autour des cercueils.

Il s'agit de "l'attaque la plus meurtrière contre des civils israéliens depuis le 7 octobre", date de l'attaque du Hamas contre Israël qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza, selon le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l'armée.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a condamné l'attaque et appelé "toutes les parties à la plus grande retenue". L'Union européenne a réclamé une "enquête internationale indépendante", Berlin a appelé à "agir avec sang-froid" et Londres a dit craindre une "escalade". Le président français Emmanuel Macron a assuré dimanche à Benjamin Netanyahu que la France était "pleinement engagée à tout faire pour éviter une nouvelle escalade dans la région", lors d'un entretien téléphonique.

Le Liban a appelé à une "enquête internationale", prévenant qu'une attaque israélienne contre son territoire pourrait provoquer un embrasement régional. L'Egypte, l'un des pays médiateurs dans la guerre à Gaza avec le Qatar et les Etats-Unis, a averti "des dangers de l'ouverture d'un nouveau front au Liban".

La Syrie a elle dénoncé les "fausses accusations" d'Israël à l'encontre du Hezbollah. "Il peut s'agir d'un tir manqué ou d'un missile de défense israélien censé intercepter une cible aérienne", a estimé Riad Kahwaji, directeur de l'Institut du Proche-Orient et du Golfe pour les analyses militaires (Inegma).

Depuis le début de la guerre à Gaza, le Hezbollah, allié du Hamas, échange quotidiennement des tirs avec l'armée israélienne de part et d'autre de la frontière. Dimanche, le mouvement a évacué des positions au Liban après les menaces d'Israël, selon une source proche du Hezbollah.

Nouvelles évacuations

La guerre dans la bande de Gaza a été déclenchée par l'attaque sans précédent de commandos du Hamas dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort de 1197 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur 251 personnes alors enlevées, 111 sont toujours retenues à Gaza, dont 39 sont mortes, selon l'armée.

L'offensive lancée en riposte par Israël a fait 39'324 morts, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas, qui ne donne pas d'indications sur le nombre de civils et de combattants morts. Dimanche, la Défense civile a affirmé qu'une frappe israélienne avait touché des tentes dans le camp de déplacés d'Al-Mawasi, près de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, tuant au moins cinq personnes.

L'armée a annoncé avoir appelé des habitants d'al-Bureij et al-Shuhada, dans le centre du territoire assiégé, à évacuer, affirmant qu'elle allait y intervenir "avec force". Le chef de l'Unrwa, l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens, Philippe Lazzarini, a déclaré sur X que "seulement 14% des secteurs de Gaza ne sont pas soumis actuellement à des ordres d'évacuation", accusant Israël de provoquer "des ravages et de la panique".

Après l'échec de multiples négociations sur une trêve associée à une libération d'otages, une réunion de représentants des pays médiateurs avec le chef du renseignement israélien devait avoir lieu dimanche à Rome. Considéré comme une organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, accuse Benjamin Netanyahu de bloquer tout accord.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hong Kong: le militant prodémocratie Jimmy Lai coupable de sédition

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Disposant d'un passeport britannique, Jimmy Lai est emprisonné depuis 2020 et maintenu à l'isolement, "à sa demande" selon les autorités hongkongaises (archives). (© KEYSTONE/AP)

Un tribunal de Hong Kong a déclaré lundi l'ex-magnat des médias prodémocratie Jimmy Lai coupable d'un chef d'accusation de sédition et de deux chefs de collusion avec l'étranger. Les peines éventuelles doivent être prononcées à une date ultérieure.

"Il ne fait aucun doute dans nos esprits que [M.Lai] n'a jamais dévié de son intention de déstabiliser le gouvernement" du parti communiste chinois, a déclaré la juge en charge du procès de M. Lai pour atteinte à la sécurité nationale.

En plus des accusations de collusion, passibles de la prison à vie, le magnat était poursuivi pour 161 "publications séditieuses", parmi lesquelles des talk-shows sur les réseaux sociaux et des éditoriaux signés de son nom.

Au cours de son procès, ouvert en décembre 2023, M. Lai a plaidé non coupable et affirmé n'avoir jamais prôné le séparatisme ou la résistance violente. Il a également nié avoir appelé à des sanctions occidentales contre la Chine et Hong Kong.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les Brésiliens crient "non" à une réduction de peine de Bolsonaro

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Près de 19'000 personnes ont envahi la plage de Copacabana à Rio de Janeiro avec des pancartes portant les slogans "Pas d'amnistie". (© KEYSTONE/AP/Bruna Prado)

Des dizaines de milliers de Brésiliens sont descendus dans les rues dimanche pour s'opposer à la volonté du Parlement brésilien de réduire la peine de l'ex-président Jair Bolsonaro. Il a été condamné à 27 ans de prison pour tentative de coup d'Etat.

L'appel à manifester dans les principales villes du Brésil a été lancé par des organisations de gauche après que la chambre basse du Parlement, aux mains des pro-Bolsonaro, a adopté une proposition de loi qui pourrait réduire la peine de l'ex-président à un peu plus de deux ans de prison. La loi doit encore être validée par le Sénat.

De grands rassemblements se sont tenus dans des dizaines de villes, dont Brasilia, Rio de Janeiro et São Paulo. A Rio, près de 19'000 personnes ont envahi la plage de Copacabana avec des pancartes portant les slogans "Pas d'amnistie" et "Congrès, ennemi du peuple", tandis que des grandes figures de la musique brésilienne comme Caetano Veloso, Gilberto Gil et Chico Buarque étaient présents sur une petite scène.

"La place du putschiste est en prison"

"Nous sommes toujours là pour réveiller le congrès [...] Nous sommes toujours là pour les forêts brésiliennes, pour les droits des femmes, pour la démocratie", a clamé sur la scène l'actrice Fernanda Torres, dont le film "Je suis toujours là", qui retrace les années de plomb de la dictature au Brésil (1964-1985), a valu au Brésil son premier Oscar.

A São Paulo, près de 14'000 personnes se sont rassemblées sur la célèbre avenue Paulista, selon les estimations du Monitor de l'université de São Paulo. "Nous sommes dans la rue pour dire que nous continuons à défendre notre démocratie et défendre la démocratie, c'est dire que la place du putschiste est en prison", a déclaré à l'AFP Keit Lima, conseillère municipale de São Paulo dans le bloc de gauche.

Plus tôt dans la capitale brésilienne, la foule s'est massée près du musée national et a marché vers le Parlement.

Président du Brésil de 2019 à 2022, M. Bolsonaro a été reconnu coupable par la cour suprême d'avoir conspiré pour se maintenir au pouvoir "de façon autoritaire" quel que soit le résultat de l'élection de 2022, qu'il a finalement perdue au second tour face à son rival de gauche Lula.

Le plan avait échoué, selon les procureurs, en raison du manque de soutien de la hiérarchie militaire. Lui clame son innocence, se disant victime de "persécution politique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Deuil national: l'Australie va mettre ses drapeaux en berne

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Des agents de police scientifique examinent le corps d’une victime sur les lieux d’une fusillade à la plage de Bondi, à Sydney, lundi. (© KEYSTONE/EPA/DEAN LEWINS)

Deux hommes ont ouvert le feu dimanche sur la foule qui célébrait la fête juive de Hanouka sur la célèbre plage de Bondi à Sydney, en Australie, faisant 15 morts et 40 blessés, dans un acte "terroriste" et "antisémite" selon les autorités.

Le bilan est passé de 11 à 15 morts tôt lundi matin. Et 42 personnes restent hospitalisées.

Les deux assaillants étaient un père et son fils, a indiqué la police de l'État de Nouvelle-Galles-du-Sud. Le père a été tué et le fils, blessé, est hospitalisé dans un état critique.

"Cette attaque visait la communauté juive de Sydney le premier jour de Hanouka", fête juive qui était célébrée à ce moment-là sur la plage, a déclaré lors d'une conférence de presse le Premier ministre de l'État, Chris Minns.

Il s'agit d'un "acte terroriste", a affirmé le chef de la police locale, Mal Lanyon. "Nous avons découvert un engin explosif artisanal dans une voiture liée au criminel décédé".

L'attaque a eu lieu dimanche soir sur la plage de Bondi, la plus célèbre d'Australie, habituellement très fréquentée pendant le week-end par des foules de promeneurs, de nageurs et de surfeurs.

"Nous avons entendu les coups de feu. C'était choquant (...) dix minutes de détonations incessantes. On aurait dit une arme puissante", a déclaré à l'AFP sur les lieux Camilo Diaz, un étudiant chilien de 25 ans.

"Attaque ciblée"

"Il y a eu une fusillade, deux tireurs vêtus de noir et armés de fusils semi-automatiques", a déclaré à l'AFP Timothy Brant-Coles, un touriste britannique.

"Le mal s'est déchaîné sur la plage de Bondi au-delà de tout entendement", a affirmé le Premier ministre australien Anthony Albanese, qui a salué les "héros" qui sont intervenus lors de l'attaque pour tenter de maîtriser les meurtriers.

Les drapeaux vont être mis en berne en signe de deuil national, a précisé le Premier ministre.

Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, devenue virale, montre un passant qui se précipite sur un des assaillants et parvient à lui arracher son fusil.

"Il s'agit d'une attaque ciblée contre les juifs australiens le premier jour de Hanouka, qui devrait être un jour de joie, une célébration de la foi - un acte malveillant, antisémite et terroriste qui a frappé le coeur de notre nation", a poursuivi M. Albanese. "Une attaque contre les juifs australiens est une attaque contre tous les Australiens".

Des dirigeants du monde entier ont condamné cette fusillade, notamment aux États-Unis et en Europe. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen s'est dite choquée par cette violence, ajoutant: l'"Europe se tient au côté de l'Australie et des communautés juives partout dans le monde".

Le président israélien Isaac Herzog a condamné une "attaque très cruelle contre des juifs" perpétrée par "d'ignobles terroristes".

"L'antisémitisme est un cancer qui se propage lorsque les dirigeants restent silencieux et n'agissent pas", a fustigé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

"Du sang partout"

Le chef de la diplomatie israélienne Gidéon Saar a lui appelé son homologue australienne Penny Wong à "agir fermement" contre l'antisémitisme.

Sur la colline verdoyante surplombant la plage, un journaliste de l'AFP a vu de nombreux objets abandonnés dans la panique par les personnes fuyant la fusillade, dont une poussette d'enfant.

La télévision nationale ABC a montré des images de plusieurs personnes gisant dans l'herbe près de la plage. Il y avait "du sang partout", a déclaré à ABC un habitant du quartier, Harry Wilson.

À la tombée de la nuit, le quartier habituellement festif et bruyant a été évacué, la police armée bouclant les rues animées, les lumières clignotantes des boîtes de nuit laissant place aux sirènes stroboscopiques des véhicules d'urgence.

L'une des victimes est le rabbin Eli Schlanger, 41 ans, né à Londres et père de cinq enfants. "Comment un rabbin joyeux qui était allé à la plage pour répandre la joie et la lumière, pour rendre le monde meilleur, peut voir sa vie s'achever de cette façon ?" a déploré le rabbin Zalman Lewis auprès du média britannique Jewish News.

Le Conseil national des imams australien a condamné cette "attaque traumatisante". "C'est le moment pour tous les Australiens, y compris la communauté musulmane australienne, de se serrer les coudes dans l'unité, la compassion et la solidarité", a ajouté cette organisation.

"Attaque répugnante"

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron ont exprimé leur solidarité. Un Français a été tué dans l'attaque.

Une série d'attaques antisémites a semé la peur parmi les communautés juives d'Australie depuis l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et la guerre qui s'en est suivie à Gaza.

Le gouvernement australien a accusé l'Iran d'être à l'origine de deux de ces attaques et a expulsé l'ambassadeur de Téhéran il y a près de quatre mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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A Londres, un défilé canin vole la vedette au père Noël

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A Londres, la règle est simple: les teckels doivent être parés de leurs plus beaux habits de lumière (pulls douillets, bonnets de père Noël, guirlandes ...) pour défiler. (© KEYSTONE/AP/Jeff Moore)

Il y a ceux qui attendent la parade des Rois Mages, ceux qui veulent à tout prix apercevoir le traineau du père Noël et puis, à Londres, ceux qui se pressent chaque année pour voir le défilé des "chiens saucisse".

Propriétaires de teckels et amoureux des chiens étaient dimanche à Hyde park, un des grands parcs de la capitale britannique, pour assister à ce défilé canin haut en couleur.

La règle est simple: les teckels doivent être parés de leurs plus beaux habits de lumière (pulls douillets, bonnets de père Noël, guirlandes ...) pour défiler.

La première édition de cette atypique parade avait été lancée il y a huit ans par Ana Rodriguez afin d'aider son teckel Winston à mieux socialiser. Le succès a été immédiat.

Rencontre de teckels

Aujourd'hui, c'est l'occasion pour les teckels de la capitale de se rencontrer, de jouer et de participer à un concours du chien le mieux habillé pendant que leurs propriétaires dont connaissance.

Les vidéos de cette parade, postées sur les réseaux sociaux, font un carton. Sur les réseaux sociaux ou en IRL, tous racontent leur amour des teckels.

"Ils sont espiègles et têtus, très affectueux, très drôles et pleins de caractère", a assuré à l'AFP Nicky Bailey, propriétaire de trois teckels : Una et ses deux chiots de 19 semaines, Ember et Finnegan. Les trois étaient vêtus d'un manteau rouge.

Pour Jon Rummins, 43 ans, qui a amené son chien Bear habillé d'un manteau sur le thème de Noël, les teckels sont tout simplement des "guerriers", n'en déplaise leur petite taille.

Il a expliqué que leurs manières amusantes et leur caractère allaient de pair avec "le syndrome de Napoléon", à savoir qu'ils se "pensent grands et forts alors qu'ils ne le sont pas du tout".

Grace McCarthy, 19 ans, est d'accord avec Jon Rummins. Son chien qu'elle a baptisé Sausage est particulièrement "bruyant", a-t-elle raconté à l'AFP.

La jeune femme avait également amené son cockapoo mais a reconnu qu'il "ne semblait pas vraiment apprécier" l'événement, contrairement à Sausage.

"Il adore socialiser et être avec d'autres chiens", a-t-elle assuré tandis qu'il tirait joyeusement sur la laisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Berlin: début de la rencontre entre Zelensky et des responsables US

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Steve Witkoff, envoyé spécial des États-Unis, quitte un hôtel par le garage à l’occasion de pourparlers entre des représentants des États-Unis et de l’Ukraine à Berlin dimanche. (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

La rencontre à Berlin entre Volodymyr Zelensky et les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, aux côtés du chancelier allemand Friedrich Merz, a débuté dimanche, en pleins échanges diplomatiques pour trouver une issue à la guerre en Ukraine.

Dans un message sur Facebook, le président ukrainien a publié des images le montrant serrer la main de Steve Witkoff et de Jared Kushner et d'autres montrant des responsables américains, ukrainiens et allemands, dont M. Merz, assis autour d'une table.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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