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Culture

Le Venoge Festival, entre musiques actuelles et nostalgie

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La 28e édition du Venoge Festival se tient dès mercredi prochain et jusqu'au samedi 17 août dans la commune du Gros-de-Vaud Penthaz (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La 28e édition du Venoge Festival démarre mercredi prochain. L'open air de Penthaz (VD) propose jusqu'au 17 août une cinquantaine de concerts répartis en quatre soirées thématiques et sur deux scènes principales. Sa programmation combine musiques actuelles et "revivals" nostalgiques.

A quelques jours du début de la manifestation, "le moral est au beau fixe, on est confiant", confie à Keystone-ATS Julien Finkbeiner, CEO de Grand Chelem Event, société qui gère désormais le festival. "On espère faire aussi bien que l'an passé avec 38'000 entrées voire plus". L'année record remonte à 2022 avec 43'000 visiteurs.

Le patron se réjouit de la vente des billets pour le premier soir du 16 août qui affiche tout juste "sold out" (12'000 personnes). "Notre choix radical de remplacer le rock par du rap urbain est donc payant", affirme-t-il, rappelant que l'an dernier, la première soirée avait été la plus faible en affluence. Les trois autres soirées vont bon train, au même rythme qu'en 2023.

Pour rappel, la manifestation a connu quelques difficultés financières. Elle se décline en quatre soirs au lieu de cinq depuis l'an dernier. Et son organisation est donc pilotée par la société Grand Chelem Event depuis l'édition précédente. "Notre but est de consolider le Venoge Festival et de continuer à professionnaliser son organisation générale", explique M. Finkbeiner.

Deux shows spéciaux pour 2024

La principale manifestation musicale du Gros-de-Vaud démarre mercredi soir sur les chapeaux de roues avec une affiche dédiée aux musiques urbaines francophones et au hip-hop. Elle réunira "les cadors du genre qui affolent les réseaux et les plateformes de streaming", se plaisent à dire les organisateurs: Dadju & Tayc, SDM, Djadja & Dinaz, Soolking, Luther, Favé ou encore RSKO feront vibrer les deux scènes principales.

Le lendemain, la traditionnelle soirée "revival" proposera deux shows nostalgiques aux sons des années 80, 90 et 2000, créés spécialement pour cette année. "Minuit 17, ça part en KKouète!" sera emmené par Fatal Bazooka entouré de Bernard Minet, Francky Vincent, Helmut Fritz et Zouk Machine. Haddaway, Dr. Alban, Londonbeat, Indra, Kelly O, Fab Morvan de Milli Vanilli et Snap! animeront, eux, le spectacle "We've got the power".

Ce même jeudi soir, les fans d'Earth, Wind & Fire pourront venir applaudir Al McKay, l'ancien guitariste du groupe. Au menu également: Level 42, Imagination et Gilbert Montagné.

La "Grange", nouveau site

Vendredi, la programmation sera 100% électro avec un "dancefloor" à ciel ouvert et des DJs présents en continu sur les deux scènes. Parmi eux figurent Robin Schulz, Oliver Heldens, Armand van Helden, Tchami X Malaa, Apashe & Brass Orchestra, The Avener et Mosimann.

Pour la journée de clôture du samedi, pop, rock et rap seront à l'honneur avec notamment Shay, Jain, Mc Solaar, Aliose, Gossip, The Kills ainsi que Chef & The Gang. Des animations pour les plus jeunes sont prévues l'après-midi, avec entre autres le concert de Sonia Grimm et du cirque.

Outre ses deux scènes habituelles, le Venoge inaugure cette année un nouveau site, la "Grange". Ce lieu couvert propose deux bars et une programmation assurée par différents DJs. La manifestation compte par ailleurs un millier de bénévoles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

60e édition des Journées de Soleure: clap d'ouverture

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume -Schneider (centre) pose avec le directeur artistique Niccolo Castelli (droite) et Monica Rosenberg, codirectrice, lors de l'ouverture des 60e Journées de Soleure mercredi soir. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les Journées de Soleure, qui célèbrent 60 ans cette année, ont débuté mercredi soir. Elisabeth Baume-Schneider est venue pour la première fois à cet événement à titre de conseillère fédérale.

"Les Journées de Soleure permettent de faire un état des lieux de la création cinématographique suisse, a dit mercredi soir Elisabeth Baume-Schneider, devant près de 900 personnes rassemblées à la Reithalle de Soleure. C'est aussi un lieu où nous essayons de comprendre qui nous sommes en tant que société".

A l'occasion de l'ouverture de cette édition anniversaire, la ministre de la culture a cité Stephan Portmann, cofondateur des Journées. Au début des années 60, "la nouvelle vague du cinéma suisse a 'utilisé notre réalité comme matière première'. Ce courant et la création des Journées de Soleure ont été une réaction à de profonds changements sociaux, culturels et politiques en Suisse."

Projecteur sur l'Arc jurassien

"Et si l'on y regarde d'un peu plus près, nous constatons que la Suisse d'aujourd'hui est en proie à des bouleversements tout aussi importants", a avancé la conseillère fédérale, également sensible au fait que le festival braque son projecteur lors de cette édition sur les films tournés et les peintures réalisées dans l'Arc jurassien, région dont elle est issue.

Le directeur artistique des Journées de Soleure, Niccolo Castelli, a quant à lui invité le public à s'interroger sur son propre héritage, l'un des thèmes phares de cette édition. Dans cette même veine, "L'héritage de Bruno Stefanini" a ouvert les feux mercredi soir après les discours. Le film suit la saga de ce fils d'immigrés italiens devenu un entrepreneur milliardaire à Winterthour et un collectionneur aux 100'000 objets.

La production alémanique et les documentaires prédominent dans cette édition anniversaire. Pendant la semaine, les spectateurs pourront par exemple découvrir "Jelmoli - Biographie d'un grand magasin" de la réalisatrice Sabine Gisiger. Ce documentaire retrace l'histoire du grand magasin zurichois Jelmoli, qui ferme ses portes en février après 125 ans d'existence.

Prix de Soleure

Six films, quatre documentaires et deux fictions, sont en lice dans la catégorie reine du Prix de Soleure, doté de 60'000 francs. Seul film romand dans cette catégorie: "Hôtel Silence" de la Genevoise Léa Pool, dans lequel un homme désespéré se reconstruit en rejoignant un pays détruit par la guerre.

Les spectateurs choisiront le Prix du public. Là encore, un seul film romand cette année: "Road's End In Taiwan" ("Sur les chemins de Taïwan") d'une autre Genevoise, Maria Nicollier, avec l'acteur Pierre-Antoine Dubey, qui part à la rencontre de ses demi-frères à Taïwan, sur les traces d'un père inconnu.

Parmi les distinctions déjà annoncées figure un prix d'honneur pour la directrice de casting zurichoise Corinna Glaus, qui lui sera remis jeudi au cinéma Landhaus.

L'acteur franco-suisse Cyril Metzger, 30 ans, remporte lui le Prix "Swissperform" 2025 pour le meilleur rôle principal dans une production télévisée. Le prix lui est décerné pour son interprétation de l'hôtelier André Morel dans la série "Winter Palace", la première série coproduite par Netflix et la RTS.

Le prix de la relève du Prix "Swissperform" est lui attribué à la Genevoise Isaline Prévost Radeff dans la série "En haute mer" de Denis Rabaglia. Ces prix seront remis dimanche.

Les Journées de Soleure se termineront mercredi prochain avec la remise du Prix de Soleure et celui du Public.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les trésors du Petit Palais de Genève accueillis à l'Hermitage

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"Le Pont de l'Europe,1876" de l'artiste Gustave Caillebotte est l'un des tableaux phares de l'exposition "Trésors du Petit Palais de Geneve" présentée à la Fondation de l'Hermitage à Lausanne dès vendredi. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Fondation de l’Hermitage à Lausanne accueille les chefs-d’½uvre du Petit Palais de Genève. Dès vendredi et jusqu'au 1er juin, le public pourra découvrir 136 oeuvres de cette collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale.

L'ensemble a été réuni à partir des années 1950 par Oscar Ghez, industriel d’origine tunisienne, a relevé mercredi devant la presse Sylvie Wuhrmann, directrice de la Fondation de l'Hermitage. A partir de 1968, elle est montrée au Petit Palais, un hôtel particulier proche de la vieille ville de Genève. En 2000, deux ans après le décès de son fondateur, l'institution ferme au public.

Articulée autour des grands courants artistiques qui structurent l'ensemble, l'exposition permet de re(découvrir) 136 oeuvres de cette collection suisse de premier rang, riche de plusieurs milliers de tableaux, a poursuivi Mme Wurhmann.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

L'allemand Bertelsmann passe un accord avec OpenAI

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Comme le groupe n'est pas une entreprise technologique, il a besoin "de partenaires et OpenAI est l'un d'entre eux", a ajouté cette source, sans communiquer le montant de la transaction. (© KEYSTONE/AP/MICHAEL DWYER)

Le géant allemand des médias Bertelsmann, propriétaire de la radio RTL, a annoncé mercredi avoir conclu un accord avec OpenAI pour utiliser son logiciel Chat GPT, renforçant l'usage de l'IA dans ses activités à l'instar d'autres médias.

Selon l'accord passé, Bertelsmann utilisera le logiciel Chat GPT pour "rendre les processus existants plus efficaces dans le travail au quotidien (...) dans les secteurs des médias, des services et de l'éducation", a indiqué un communiqué du groupe, qui possède également la maison d'édition Penguin Random House.

Chez RTL Allemagne, les journalistes seront soutenus par la technologie d'OpenAI et les équipes marketing de Penguin Random House pourront émettre des recommandations de livres personnalisées sur les réseaux sociaux, de quoi dynamiser les ventes de cette maison d'édition, selon le communiqué.

Le groupe n'a pas communiqué sur d'éventuelles conséquences sur les emplois.

L'un des précurseurs utilisant l'IA, le concurrent allemand Axel Springer, avait de son côté annoncé début 2023 des suppressions d'emplois dans ses quotidiens Bild et Die Welt, au motif que l'intelligence artificielle pouvait désormais "remplacer" certaines tâches comme l'édition de contenus, en voulant mettre l'accent sur le travail d'investigation des journalistes.

"Nous voulons être une entreprise de médias à la pointe de la technologie", a expliqué un porte-parole de Bertelsmann à l'AFP.

Comme le groupe n'est pas une entreprise technologique, il a besoin "de partenaires et OpenAI est l'un d'entre eux", a ajouté cette source, sans communiquer le montant de la transaction.

Contrairement à Axel Springer, Bertelsmann ne sera pas rétribué par Open AI qui n'obtient aucun droits sur les archives du groupe.

D'autres médias ont conclu des accords qui permettent à des acteurs de l'IA d'utiliser leurs contenus, à l'image de l'AFP avec l'entreprise française Mistral, ou encore du quotidien Le Monde, du groupe espagnol Prisa Media (El Pais, As) et du quotidien économique britannique Financial Times avec OpenAI.

A rebours de ces accords, d'autres médias comme le prestigieux quotidien américain The New York Times ont choisi le bras de fer et traînent les acteurs de l'IA en justice. Ils leur reprochent d'avoir utilisé leurs contenus piochés sur internet sans payer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

La justice italienne donne raison à Telecom Italia

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La Cour avait ordonné en avril 2024 le remboursement à l'opérateur d'un milliard d'euros (à peine moins en francs au cours du jour), estimant que l'Etat lui avait réclamé indûment une redevance pour 1998, année qui a suivi la libéralisation du secteur. (© KEYSTONE/EPA/DANIEL DAL ZENNARO)

La Cour d'appel de Rome a rejeté mercredi la requête du gouvernement Meloni de suspendre le remboursement par l'Etat d'un milliard d'euros à Telecom Italia dans un litige portant sur le paiement d'une redevance contestée en 1998, a appris l'AFP de sources légales.

La Cour avait ordonné en avril 2024 le remboursement à l'opérateur d'un milliard d'euros (à peine moins en francs au cours du jour), estimant que l'Etat lui avait réclamé indûment une redevance pour 1998, année qui a suivi la libéralisation du secteur.

Cette somme se compose de la redevance initiale d'environ 500 millions d'euros, auxquels s'ajoutent la réévaluation et les intérêts courus.

Le gouvernement avait introduit un recours contre cette décision et demandé la suspension de ses effets jusqu'au jugement sur cette affaire par la Cour suprême de cassation devant laquelle il a également fait appel.

L'opérateur avait demandé à l'Etat de lui rembourser le paiement d'une redevance pour l'année 1998, en échange de droits exclusifs de télécommunications, alors que ce système venait d'être aboli dans le cadre de la libéralisation du marché européen des télécommunications.

En 2020, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) avait établi que la réglementation européenne "ne permettait pas" aux législations nationales "de prolonger pour l'année 1998 l'obligation imposée à une entreprise de télécommunications, anciennement concessionnaire, de payer une redevance calculée sur la base de ses revenus", avait fait valoir Telecom Italia.

Le jugement de la Cour d'appel a contribué à la hausse du cours de Telecom Italia à la Bourse de Milan, où le titre progressait de 1,70% à 0,263 euro vers 12h00 (11h00 GMT).

L'opérateur avait remporté une manche dans une autre bataille judiciaire la semaine dernière, qui l'oppose à son principal actionnaire, le géant français des médias Vivendi.

Le tribunal de Milan a rejeté le recours de Vivendi, déposé en décembre 2023, contre la cession du réseau fixe de Telecom Italia au fonds d'investissement américain KKR.

Vivendi, qui avait réclamé l'annulation de cette vente jugée "illégale" car elle n'a pas été soumise à l'approbation préalable des actionnaires, a annoncé aussitôt faire appel de la décision.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Accord financier entre le prince Harry et le propriétaire du Sun

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Le groupe News Group Newspapers (NGN) a présenté ses excuses à Harry pour "le piratage téléphonique, la surveillance et le mauvais usage d'informations privées de la part de journalistes et de détectives privés" agissant pour le compte du groupe (archives). (© KEYSTONE/AP/Matt Dunham)

Le prince Harry a conclu un accord financier avec le propriétaire du tabloïd The Sun. Cet accord met fin aux poursuites qu'il avait engagées contre le groupe de Rupert Murdoch, a annoncé mercredi David Sherborne, l'avocat du fils cadet du roi Charles III.

Cet accord de dernière minute permet à Harry et au groupe News Group Newspapers (NGN), propriétaire du Sun et du défunt News of the World, d'éviter un procès, qui devait initialement commencer mardi et durer plusieurs semaines.

Harry accusait les publications d'avoir recouru, notamment par le biais de détectives privés, à des procédés illégaux pour recueillir des informations destinées à nourrir des articles le concernant il y a plus d'une décennie.

"J'ai le plaisir d'annoncer à la Cour que les parties sont parvenues à un accord", a déclaré l'avocat du prince mercredi matin devant la Haute Cour de Londres.

"Grave intrusion"

NGN a présenté ses excuses à Harry pour "le piratage téléphonique, la surveillance et le mauvais usage d'informations privées de la part de journalistes et de détectives privés" agissant pour News of the World, qui a fermé en 2011, et lui verseront des "dommages substantiels", a poursuivi l'avocat.

Concernant le tabloïd The Sun, le groupe présente ses excuses pour "la grave intrusion" du journal entre 1996 et 2011 dans la vie privée d'Harry, "y compris des incidents liés à des activités illégales menées par des enquêteurs privés".

Le groupe a aussi présenté ses excuses au prince pour "l'impact qu'ont eu sur lui la vaste couverture et l'intrusion sérieuse dans sa vie privée ainsi que dans celle de Diana, princesse de Galles, sa défunte mère, en particulier pendant ses jeunes années".

Combat judiciaire

Le prince Harry, 40 ans, a engagé un combat judiciaire contre la puissante presse à scandale britannique. Il a toujours tenu les paparazzi pour responsables de la mort de sa mère Diana en 1997 à Paris.

Il avait remporté en 2023 une victoire majeure contre la presse tabloïd en obtenant la condamnation de l'éditeur du Daily Mirror pour des articles issus du piratage de messageries téléphoniques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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