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Vague de suppressions d'emplois chez GM dans l'activité logiciels

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La chaîne CNBC et le quotidien The Detroit News ont tous deux évoqué plus de mille suppressions de postes chez General Motors, dont le siège se trouve à Detroit, aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/AP/PAUL SANCYA)

Le constructeur automobile américain General Motors a indiqué lundi qu'il allait procéder à des licenciements dans son activité dédiée aux logiciels et services informatiques, confirmant une information de plusieurs médias américains.

"A mesure que nous bâtissons l'avenir de GM, nous devons simplifier (nos opérations) pour gagner en vitesse et en excellence", a indiqué le groupe de Detroit (Michigan), dans une déclaration transmise à l'AFP.

"Pour ce faire, nous réduisons la taille de certaines équipes dans la division logiciels et services", a poursuivi le constructeur.

La chaîne CNBC et le quotidien The Detroit News ont tous deux évoqué plus de mille suppressions de postes, citant des sources proches du dossier. Sollicité par l'AFP, GM a refusé de confirmer ce chiffre.

En janvier 2023, le groupe avait annoncé qu'il prévoyait de réaliser plus de deux milliards de dollars d'économie dans les deux ans à venir.

Sur l'exercice 2023, GM est parvenu à réduire ses coûts administratifs de près de 8% par rapport à l'exercice précédent.

Selon les rapports annuels de l'entreprise, les effectifs sont passés de 167.000 à 163.000 personnes entre fin 2022 et fin 2023.

Selon CNBC et The Detroit News, quelque 600 des postes supprimés le seront sur le site de Warren, dans le Michigan.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Rencontre entre les Etats-Unis et l'Iran sur le nucléaire à Rome

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Côté américain, les discussions sont pilotées par l'envoyé pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff (archives). (© KEYSTONE/AP/Ludovic Marin)

L'Iran et les Etats-Unis ont débuté samedi à Rome des pourparlers indirects sur le programme nucléaire iranien. Cela une semaine après de premiers échanges qualifiés de "constructifs" par les deux pays, ennemis depuis la Révolution islamique de 1979.

Pilotés par le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, et l'envoyé américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, les pourparlers ont débuté vers 11h30, sous la médiation d'Oman, selon la télévision d'Etat iranienne. Les précédentes discussions, à Mascate, avaient aussi été menées via une médiation omanaise.

Il s'agit de la deuxième réunion à ce niveau depuis le retrait américain, en 2018, sous la première présidence de Donald Trump, de l'accord international sur le nucléaire iranien qui prévoyait un encadrement des activités de l'Iran dans ce domaine en échange d'une levée des sanctions.

Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a relancé sa politique dite de "pression maximale" contre l'Iran, avec lequel les Etats-Unis n'ont plus de relations diplomatiques depuis 1980.

"Décision importante"

Il a appelé en mars le pouvoir iranien à négocier un nouvel accord, mais a menacé de bombarder l'Iran en cas d'échec de la diplomatie.

M. Trump a toutefois affirmé jeudi qu'il n'était "pas pressé" d'utiliser l'option militaire. "Je pense que l'Iran veut discuter", a-t-il souligné.

La délégation iranienne est arrivée à Rome dans la nuit, selon des images diffusées par la télévision d'Etat iranienne, montrant M. Araghchi descendant d'un avion. Il mènera des discussions "indirectes", a précisé la chaîne.

A la veille des discussions, M. Araghchi a fait part de ses "sérieux doutes" quant aux intentions des Etats-Unis. "Nous sommes conscients que le chemin" vers un accord "n'est pas sans embûches", a écrit samedi sur X le porte-parole de la diplomatie iranienne, Esmaïl Baghaï.

Les pays occidentaux et Israël - ennemi juré du pouvoir iranien - soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.

Dans un entretien au journal français Le Monde publié mercredi, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a affirmé que l'Iran n'était "pas loin" de disposer de la bombe atomique.

Après le retrait américain de l'accord de 2015, et le rétablissement de sanctions américaines, Téhéran a pris progressivement ses distances avec le texte, en représailles.

Le pays enrichit de l'uranium jusqu'à 60%, bien au-dessus du plafond de 3,67% qui lui a été fixé, restant toutefois en deçà du seuil des 90% nécessaires à la fabrication de l'arme atomique, selon l'AIEA.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a appelé les Européens, membres de l'accord, à prendre rapidement une "décision importante" concernant le "rétablissement des sanctions" internationales à l'encontre de l'Iran, car il "ne respecte clairement pas l'accord actuel".

"Lignes rouges"

L'Iran insiste pour que les pourparlers se limitent au nucléaire et à la levée des sanctions, et considère comme "ligne rouge" l'arrêt de toutes ses activités.

M. Araghchi a encore mis en garde vendredi les Etats-Unis contre "des demandes déraisonnables", après que M. Witkoff a réclamé en début de semaine un démantèlement total du programme nucléaire, y compris civil.

Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, ont eux exclu toute discussion sur les capacités militaires et de défense, dont le programme balistique qui inquiète à l'international.

L'influence régionale de l'Iran figure aussi parmi "les lignes rouges" du pays, selon l'agence de presse officielle Irna.

Téhéran soutient dans la région ce qu'il qualifie d'"axe de la résistance", une alliance de groupes armés hostiles à Israël incluant le Hamas palestinien, le Hezbollah libanais, les rebelles Houthis du Yémen, et des milices chiites en Irak.

Après le lancement des pourparlers irano-américains, Israël a réaffirmé sa détermination à empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire, disant disposer d'un "plan d'action" pour ce faire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Etats-Unis: suspension des expulsions de migrants vénézuéliens

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Le président américain Donald Trump a invoqué le mois dernier la loi sur les ennemis étrangers de 1798 pour arrêter des migrants vénézuéliens accusés d'appartenir au gang Tren de Aragua (archives). (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

La Cour suprême des Etats-Unis a suspendu samedi l'expulsion par l'administration américaine en vertu d'une loi du XVIIIe siècle de migrants vénézuéliens soupçonnés d'appartenir à une organisation criminelle.

Le président américain Donald Trump a invoqué le mois dernier la loi sur les ennemis étrangers (Alien Enemies Act) de 1798 pour arrêter des migrants vénézuéliens accusés d'appartenir au gang Tren de Aragua, avant de les expulser vers une prison de haute sécurité au Salvador.

"Le gouvernement est tenu de n'expulser aucun membre de cette catégorie de détenus aux Etats-Unis jusqu'à nouvel ordre de ce tribunal", indique l'ordonnance de la Cour.

Cette décision fait suite à un recours en urgence déposé par des avocats spécialisés en droits humains afin de stopper l'expulsion de migrants actuellement détenus dans un centre au Texas.

L'Union américaine pour les libertés civiles (American Civil Liberties Union) a indiqué dans son recours en urgence vendredi soir que le groupe de Vénézuéliens détenus au Texas avait été informé qu'ils seraient "expulsés de manière imminente" en vertu de la loi sur les ennemis étrangers.

Les avocats de plusieurs Vénézuéliens déjà expulsés ont affirmé que leurs clients n'étaient pas membres du Tren de Aragua, n'avaient commis aucun crime et qu'ils avaient été ciblés principalement en raison de leurs tatouages.

Donald Trump, qui a fait campagne en promettant d'expulser des millions de migrants sans papiers, a accusé le Venezuela de "se livrer à une invasion" des Etats-Unis avec l'entrée de membres présumés de ce gang latino-américain.

La loi de 1798 avait jusqu'alors été utilisée uniquement en temps de guerre, notamment à l'encontre des ressortissants japonais et allemands en territoire américain pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Première mondiale en Chine: un semi-marathon de robots humanoïdes

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Les robots mesuraient entre 75 et 180 centimètres et leur poids pouvait atteindre jusqu'à 88 kg. (© KEYSTONE/EPA/JESSICA LEE)

Foulée mécanique après foulée, des dizaines de robots humanoïdes ont couru samedi à Pékin, en Chine, le premier semi-marathon au monde à leur être dédié. Des sportifs en chair et en os participaient également à l'événement.

Une vingtaine d'équipes venues de toute la Chine ont participé à cette compétition, avec des robots dont la taille varie entre 75 et 180 centimètres et le poids peut atteindre jusqu'à 88 kilogrammes. Certains robots couraient de manière autonome, tandis que d'autres étaient pilotés à distance.

Des ingénieurs ont expliqué à l'AFP que l'objectif était de tester les performances et la fiabilité des androïdes. Arriver au bout du parcours, et non pas gagner la course, est la priorité, affirmaient-ils.

Ce semi-marathon de 21 km "est une formidable impulsion pour tout le secteur de la robotique", a déclaré Cui Wenhao, ingénieur de 28 ans pour l'entreprise chinoise Noetix Robotics.

"Un test exigeant"

"Honnêtement, le secteur a peu d'occasions de pouvoir faire fonctionner ses machines comme cela, à plein régime, sur une telle distance et une telle durée. C'est un test exigeant pour les batteries, les moteurs, la structure et même les algorithmes", a-t-il souligné.

"Courir sur une piste, cela peut sembler un petit pas pour un humain. Mais pour un robot humanoïde, c'est véritablement un bond énorme", avait déclaré jeudi Liang Liang, directeur adjoint du comité de gestion de l'E-Town, la zone de développement technologique de la capitale chinoise où était organisée la course.

"Ce marathon, c'est un pas supplémentaire vers une industrialisation des robots humanoïdes", avait-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Au moins 143 morts dans l'incendie d'une embarcation en RDC

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Le drame s'est produit sur le fleuve Congo en RDC (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/AP/PETER BUSOMOKE)

Au moins 143 personnes sont mortes après l'incendie d'une embarcation sur le fleuve Congo, dans le nord-ouest de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris vendredi de sources officielles. Des dizaines de personnes sont portées disparues.

"Un premier groupe de 131 corps a été retrouvé mercredi, douze autres repêchés jeudi et vendredi", a déclaré Joséphine-Pacifique Lokumu, une députée nationale.

Un responsable de la société civile locale, Joseph Lokondo, a fait état d'"un bilan encore provisoire de 145 morts, les uns calcinés, les autres par noyade". Dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux, on peut voir une longue embarcation enflammée.

L'incendie sur le bateau en bois motorisé transportant à son bord du carburant s'est déclaré mardi en face de Mbandaka, chef-lieu de la province de l'Équateur, a indiqué Mme Lokumu. "Une femme a allumé la braise pour faire la cuisson. Le carburant qui était non loin de là a explosé, tuant de nombreux enfants et des femmes".

Des centaines de passagers

Le nombre total des passagers qui étaient à bord de l'embarcation n'est pas connu, mais il était estimé à "des centaines", a-t-elle précisé. Des survivants ont été admis à l'hôpital, a indiqué M. Lokondo, sans préciser leur nombre.

Vendredi, "plusieurs familles étaient toujours sans nouvelles de leurs proches", selon M. Lokondo qui a participé aux enterrements des victimes. Des survivants ont été admis à l'hôpital, a-t-il précisé.

Immense pays d'Afrique centrale, la RDC compte très peu de routes praticables. Les déplacements se font souvent sur le fleuve Congo et ses affluents.

Des naufrages surviennent régulièrement sur les eaux congolaises avec des bilans sont souvent lourds. L'absence chronique de liste de passagers complique les opérations de recherches.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Ryan Gosling en tête d'affiche d'un nouvel opus Star Wars en 2027

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Ryan Gosling jouera un "tout nouveau personnage" dans l'univers Star Wars. (© KEYSTONE/EPA/FRANCK ROBICHON)

Après le succès du blockbuster "Barbie" dans lequel il incarnait Ken, l'acteur canadien Ryan Gosling sera la tête d'affiche d'un nouvel opus de la saga culte "Star Wars". La sortie en salle du film est prévue en mai 2027.

"Star Wars: Starfighter" se passera "approximativement cinq ans après les événements de Star Wars, épisode IX: L'Ascension de Skywalker", sorti en 2019, a annoncé la société de production Lucasfilms, filiale de Disney, vendredi lors d'un événement Star Wars Celebration au Japon.

Réalisé par Shawn Levy ("Deadpool & Wolverine," "Stranger Things"), le film sera "une aventure entièrement nouvelle avec de tous nouveaux personnages inscrits dans une période qui n'a pas encore été explorée à l'écran". Il entrera en production à l'automne 2025.

Un "tout nouveau personnage"

Ryan Gosling, qui jouera un "tout nouveau personnage" dans l'univers Star Wars, et Shawn Levy ont fait une apparition surprise lors de cet événement au Japon, devant des fans ravis.

Le film sortira un an après "Le Mandalorien & Grogu", une série télévisée de ce même univers sur Disney+, avec l'acteur chilo-américain Pedro Pascal, attendue en 2026.

D'autres films de l'univers Star Wars sont en cours d'élaboration par d'autres réalisateurs, tels que Taika Waititi, connu pour "Jojo Rabbit" et deux films autour du héros Thor (Marvel), et James Mangold, réalisateur du récent biopic sur Bob Dylan "Un parfait inconnu".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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