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Ouverture en Colombie de la COP16 sur la biodiversité

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Les pays s'étaient engagés à présenter d'ici la COP16 une "stratégie nationale biodiversité" reflétant leur part des efforts pour tenir les 23 objectifs mondiaux fixés. Seuls 34 l'ont fait. (© KEYSTONE/AP/Brian Inganga)

La conférence des Nations unies sur la sauvegarde de la nature a débuté lundi en Colombie. Un marathon de deux semaines pour tenter de débloquer les moyens nécessaires pour tenir ses objectifs de stopper d'ici 2030 la destruction de la biodiversité par l'humanité.

La ministre de l'Environnement colombienne Susana Muhamad a ouvert les débats en prenant la présidence de cette 16e conférence de la Convention de l'ONU sur la diversité biologique, lors d'une première séance plénière. Celle-ci a été ouverte par une prière à la "Pachamama", la Terre-Mère, prononcée par des membres de l'un des 150 peuples autochtones du pays.

Cette COP Biodiversité, la plus grande jamais organisée avec 23'000 inscrits, se tient sous haute sécurité à Cali, capitale d'une province du sud-ouest en état d'alerte en raison des menaces d'une guérilla en guerre ouverte avec le gouvernement.

Environ 11'000 policiers et soldats colombiens, soutenus par du personnel de sécurité de l'ONU et des États-Unis, renforcent la sécurité à Cali où 140 ministres et une douzaine chefs d'État sont attendus fin octobre. Katrin Schneeberger, directrice de l'Office fédéral de l'environnement, représentera la Suisse pour la partie ministérielle.

Cinq priorités

Susana Muhamad a listé ses cinq priorités d'"une COP réussie", citant en premier "l'importance de la reconnaissance du travail des peuples indigènes et des communautés locales", dont les territoires conservent les plus grands trésors de biodiversité.

"Il s'agit de reconnaître le pouvoir politique de ceux qui sont en première ligne de la crise de la biodiversité et en première ligne des solutions" et "nous avons besoin de tous les outils issus de l'expérience ancestrale de l'humanité", a-t-elle défendu.

"Nous sommes la nature", a déclaré la ministre colombienne. "Et c'est à partir de ce sens profond, presque spirituel, de l'humanité, que nous pouvons créer cet objectif commun qui devrait être aussi important, voire plus, que la transition énergétique et la décarbonation" de l'économie, traitées par les biens plus médiatisées COP sur le climat (dont la prochaine, la COP29, s'ouvrira dans trois semaines en Azerbaïdjan), malgré les appels à concilier la crise climatique et celle de la nature.

"Pas sur la bonne voie"

"La planète n'a pas de temps à perdre", "Cali 2024 pourrait être une lumière dans un monde très sombre", a-t-elle encouragé les délégués des 196 pays membres (sans les États-Unis) de la Convention.

Dimanche, ils ont été exhortés par le chef de l'ONU Antonio Guterres de "passer de la parole aux actes" car "nous ne sommes pas sur la bonne voie".

Engagements de la COP5 pas respectés

A la COP15 il y a deux ans, l'accord historique de "Kunming-Montréal", une feuille de route destinée à "stopper et inverser" d'ici 2030 la destruction des terres, des océans et des espèces vivantes, indispensables à l'humanité, a été adopté.

Les pays s'étaient engagés à présenter d'ici la COP16 une "stratégie nationale biodiversité" reflétant leur part des efforts pour tenir les 23 objectifs mondiaux fixés : protéger 30% des terres et mers, restaurer 30% des écosystèmes dégradés, réduire de moitié les pesticides et le taux d'introduction d'espèces exotiques envahissantes, mobiliser 200 milliards de dollars par an pour la nature, etc...

Mais à ce jour, seuls 34 pays ont respecté leur engagement de présenter ces stratégies complètes. Et 107 ont soumis des "cibles nationales", c'est-à-dire des engagements sur tout ou partie des objectifs, selon Astrid Schomaker, secrétaire exécutive de la CDB.

Pour un mécanisme de suivi

La COP16 doit aussi présenter les détails d'un mécanisme de suivi des efforts mondiaux, avec des indicateurs indiscutables, afin de responsabiliser les pays et préparer un bilan d'étape officiel crédible à la COP17 en 2026.

Et négocier un système de partage des bénéfices réalisés par les entreprises des pays riches, cosmétiques et pharmaceutiques en tête, grâce aux données génétiques issues de plantes et d'animaux conservés par les pays en développement.

Nerf de la guerre: l'argent

Mais le nerf de la guerre sera surtout financier : "Nous sommes tous d'accord pour dire que nous sommes sous-financés pour cette mission, que nous avons besoin d'autres sources de financement", a déclaré la présidente de la COP16, pressant les pays développés, censés fournir 20 milliards de dollars par an d'ici 2025, d'annoncer de nouveaux engagements.

L'ONG Greenpeace, dans un rapport dévoilé lundi, s'est montré plus alarmante. Elle estime qu'au rythme actuel l'objectif de protéger 30% des océans avant 2030 ne sera pas atteint avant la fin du siècle.

"Accélérer le rythme"

Depuis le sommet de la Terre de Rio en 1992, quand la CBD a été créée, seuls 8,4% des océans sont devenus des aires marines protégées (AMP). Et seulement 2,7% des océans sont "fortement" protégés des activités humaines, estime Greenpeace.

"Les gouvernements doivent accélérer le rythme des ratifications pour que le traité mondial sur les océans prenne vie en 2025", "seul moyen" pour tenir l'objectif des 30%, a déclaré à Cali Megan Randles, conseillère politique de Greenpeace UK.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Macron contre "les déplacements de populations et toute annexion"

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"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Ici, la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Emmanuel Macron a affirmé lundi lors d'une visite au Caire qu'il s'opposait "fermement aux déplacements de populations et à toute annexion de Gaza comme de la Cisjordanie". Le Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de Gaza, a-t-il en outre dit.

"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse au Caire, au côté de son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de la bande de Gaza, a-t-il aussi affirmé.

Le Français a enfin réitéré son "plein soutien au plan de reconstruction pour Gaza" endossé par la Ligue arabe, en précisant que le Hamas ne devait "plus constituer une menace pour Israël".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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LVMH: nouveaux dirigeants chez Fendi, Kenzo et Louis Vuitton Chine

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Chez LVMH, les nouveaux responsables de marques sortent commedes lapins du chapeau ce printemps. (arhive) (© KEYSTONE/AP/Scott A Garfitt)

Le groupe de luxe LVMH a annoncé lundi la nomination de nouveaux directeurs pour ses marques Fendi et Kenzo, ainsi qu'à la tête de Louis Vuitton Chine où arrive un haut dirigeant d'Apple, selon un communiqué.

Chez Fendi, maison italienne, Ramon Ros succèdera à partir du 1er juillet comme patron à Pierre-Emmanuel Angeloglou, qui avait été nommé il y a moins d'un an, en mai 2024.

Ramon Ros est actuellement patron de Louis Vuitton Chine, poste où "il a joué un rôle-clé dans le développement de la désirabilité de la marque, ainsi que dans la constitution et le développement d'une équipe locale talentueuse".

Son expertise "lui permettra d'élever" Fendi "vers de nouveaux sommets, tout en préservant son patrimoine unique et son engagement en faveur de l'artisanat", indique LVMH.

M. Ros laissera son poste à la tête de Louis Vuitton Chine à Daniel DiCicco à compter du 28 avril, précise le communiqué.

Depuis 2018, Daniel DiCicco "dirigeait les activités +retail+ d'Apple au niveau mondial".

Son expérience ainsi que "sa connaissance approfondie des marchés et de la clientèle asiatique seront déterminants pour dynamiser nos équipes locales et poursuivre la croissance de Louis Vuitton en Chine", pays où tout le secteur du luxe doit affronter un ralentissement de la consommation, indique le communiqué.

Du côté de la maison Kenzo, Charlotte Coupé succédera à Sylvain Blanc comme patrons à compter du 1er mai, prenant la suite de Sylvain Blanc qui, "après avoir initié un nouveau chapitre chez Kenzo et établi les bases du développement ambitieux de la marque, quitte le groupe pour entreprendre de nouveaux projets".

Charlotte Coupé est notamment passée chez Ralph Lauren et Lacoste avant de rejoindre la marque Louis Vuitton en 2016.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Accord sur les minerais : Kiev envoie une délégation à Washington

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Selon le Kremlin, "énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev. "C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole russe Dmitri Peskov. (© KEYSTONE/EPA/YURI KOCHETKOV)

L'Ukraine enverra une délégation "cette semaine" à Washington pour discuter de l'accord sur les minerais auxquels les USA veulent obtenir l'accès préférentiel en échange de l'aide fournie au pays depuis le début de l'invasion russe, a indiqué lundi Kiev.

L'équipe ukrainienne aura pour mission de "faire avancer les négociations" sur ce document "stratégique" et comprendra des représentants des "ministères de l'Economie, des Affaires étrangères, de la Justice et des Finances", a indiqué la vice-Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko sur X.

Le Kremlin a dit dans ce contexte qu'"énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev, au moment où les pourparlers initiés par Washington peinent à aboutir à des résultats concrets.

"C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Moscou doit "cesser les tactiques dilatoires"

Emmanuel Macron a jugé de son côté "urgent que la Russie cesse les faux-semblants et les tactiques dilatoires et accepte le cessez-le-feu sans condition" proposé par Donald Trump en Ukraine.

"Cela fait presque un mois que non seulement la Russie y oppose une fin de non-recevoir, mais qu'elle accroît les bombardements contre les civils avec encore des pertes tragiques il y a quelques jours en Ukraine", a déclaré le président français lors d'une visite au Caire.

Le Kremlin a démenti à cet égard avoir visé des "infrastructures" civiles lors d'une frappe de missile imputée par Kiev à la Russie qui a fait vendredi 20 morts, dont neuf enfants, selon les autorités ukrainiennes. "Il n'y a pas de frappes sur les installations sociales", a affirmé Dmitri Peskov.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Allemagne: rebond des exportations en février

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Le grand voisin d'outre-Rin a observé une accélération des exportations vers le pays de l'oncle Sam, préalable à l'adoption de droits de douane punitifs à l'égard du reste du monde. (archive) (© KEYSTONE/DPA/BODO MARKS)

Les exportations allemandes ont davantage rebondi que prévu en février, en particulier à destination des Etats-Unis, avant l'annonce de droits de douane punitifs par Donald Trump menaçant l'économie mondiale, a indiqué lundi l'office Destatis.

L'indicateur a progressé de 1,8% sur un mois, mieux qu'attendu par le consensus interrogé par Factset, atteignant 131,6 milliards d'euros.

Les exportations vers les Etats-Unis, premier partenaire commercial, ont grimpé de 8,5% par rapport à janvier, après avoir chuté de 4,2% en janvier.

En comparaison, elles ont progressé de seulement 0,3% sur un mois vers la zone euro et de 0,6% vers la Chine.

Les importations ont globalement augmenté, de 0,7% à 113,8 milliards d'euros, portant l'excédent commercial à 17,7 milliards d'euros, en hausse par rapport à janvier, en données corrigées des variations saisonnières.

Dans le même temps, la production industrielle allemande a rechuté en février, de 1,3%, contre une progression de 2% un mois auparavant, confirmant la volatilité d'un secteur toujours affecté par les incertitudes géopolitiques.

Ces indicateurs sont publiés avant que ne soient relevés, dès mercredi, les droits de douane pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs des Etats-Unis, notamment l'Union européenne (20%) et la Chine (34%), sur décision de Donald Trump.

Les indicateurs publiés lundi sont vus comme le "dernier message de l'Allemagne d'un monde macroéconomique perdu", commente Carsten Brzeski, économiste chez ING.

"Avant même le début des tensions commerciales croissantes, l'industrie allemande peine à prendre de l'élan", ajoute-t-il.

Dans ce contexte économique difficile, les conservateurs (CDU/CSU) du chancelier désigné Friedrich Merz et sociaux-démocrates (SPD) pourraient finaliser cette semaine à Berlin leurs négociations en vue de doter la première économie européenne d'un nouveau gouvernement.

Les menaces de droits de douane de Trump seront désormais "au coeur des négociations", selon la vice-présidente de la CDU, Karin Prien, y voyant une "question clé pour la compétitivité allemande".

Le prochain gouvernement devra également mettre en oeuvre un plan d'investissements massifs dans les infrastructures et des réformes structurelles, adopté en mars par l'ancienne chambre des députés.

Sur un an, la production industrielle reste en recul de 4,0%, confirmant que l'industrie allemande peine à sortir d'une crise structurelle profonde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Pandémies: le chef de l'OMS dit les pays prêts à "faire l'Histoire"

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Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus estime encore possible d'aboutir dans les prochaines semaines à un accord contre les pandémies (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus estime que les Etats membres sont "prêts à faire l'Histoire". Lundi à Genève, il a demandé de ne pas "jeter" trois ans et demi de discussions et d'aboutir à un accord contre les pandémies.

"Vous être prêts à sécuriser un consensus", a affirmé le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au début d'une nouvelle série de négociations, la dernière avant l'Assemblée mondiale de la santé. Il demande aux 194 pays de faire de l'accord contre les pandémies le symbole de la possibilité de la communauté internationale de se réunir malgré les nombreuses divisions actuelles.

Une nouvelle pandémie "pourrait avoir lieu dans 20 ans ou davantage. Elle pourrait avoir lieu demain. Dans les deux cas, nous devons être préparés", a aussi dit le directeur général. Et de rappeler que des épidémies importantes, comme Ebola, sont observées actuellement dans le monde.

"Une pandémie peut tuer davantage de personnes et provoquer des perturbations économiques plus importantes qu'une guerre", a encore souligné M. Tedros. Les Etats membres avaient déjà prolongé d'un an le délai pour aboutir à un accord et se sont donnés jusqu'à l'Assemblée mondiale en mai à Genève pour le faire.

Mais les divisions restent considérables sur certaines questions. Elles sont tenaces sur la propriété intellectuelle, le partage des indications sur les pathogènes ou encore l'approche "une santé" sur la santé humaine, des autres espèces animales et de l'environnement.

Sans les Etats-Unis

Symbole de ces blocages, le lancement d'un "système multilatéral d'accès et de partage des avantages pour les agents pathogènes à potentiel pandémique" (PABS) semble compromis à court terme. Cette question pourrait faire l'objet d'une négociation séparée.

Cet accès équitable à la réponse contre une pandémie est au centre des préoccupations, alors que les premières doses étaient arrivées beaucoup plus tardivement dans les pays en développement au moment du coronavirus. Une part de la production de vaccins ou de technologies contre une urgence sanitaire internationale devrait à l'avenir être attribuée gratuitement ou à prix raisonnable à l'OMS. Des ONG redoutent que cette part soit trop peu importante.

Et un transfert de technologies des Etats riches vers les pays en développement ne se fera probablement pas de manière contraignante. Un autre problème pour les ONG.

La tâche des Etats semble d'autant plus difficile que les Etats-Unis se sont retirés du format, même s'ils assistent aux réunions. Et que l'organisation fait face aux difficultés financières, le manque à gagner s'approchant de 2,5 milliards de dollars entre cette année et 2027, selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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