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La nouvelle Commission européenne validée à Strasbourg

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La présidente du Parlement européen Roberta Metsola félicite Ursula von der Leyen après le vote des eurodéputés. (© KEYSTONE/EPA/RONALD WITTEK)

Le Parlement européen a adoubé mercredi à Strasbourg la nouvelle équipe de la Commission européenne. Celle-ci va entrer en fonction début décembre sur fond de vives turbulences économiques et géopolitiques.

L'exécutif européen a obtenu 370 voix (282 contre, 36 abstentions). Le deuxième mandat d'Ursula von der Leyen va pouvoir démarrer, à une cinquantaine de jours de l'investiture de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Un sentiment d'urgence a prévalu.

L'Europe n'a "pas de temps à perdre", a mis en garde la présidente de la Commission, érigeant en priorité la compétitivité pour "combler" le fossé avec les Etats-Unis et la Chine. "Notre liberté et notre souveraineté dépendent plus que jamais de notre puissance économique", a-t-elle martelé.

En matière de Défense, Ursula von der Leyen a ensuite insisté sur la nécessité de faire davantage pour rivaliser avec les dépenses militaires russes, au moment où le retour de Donald Trump laisse craindre un désengagement des Etats-Unis en Ukraine.

"Nos dépenses doivent augmenter", a affirmé l'Allemande de 66 ans. "La Russie dépense jusqu'à 9% de son PIB dans la défense. L'Europe dépense en moyenne 1,9%. Il y a quelque chose qui ne va pas dans cette équation", a-t-elle insisté.

L'ombre de Trump

Se préparer au retour de M. Trump est "le défi le plus urgent" de ce second mandat d'Ursula von der Leyen, abonde Luigi Scazzieri, analyste au Centre for European Reform. Sur "deux fronts": le commerce avec la promesse du président élu républicain d'augmenter les droits de douane sur les produits européens et "la sécurité" avec le risque d'un désengagement des Etats-Unis en Ukraine.

Malgré ces enjeux, le Parlement européen aura peiné avant d'approuver la nouvelle Commission. Les groupes se sont affrontés sur la vice-présidence accordée à l'Italien Raffaele Fitto (Cohésion des territoires), membre du parti d'extrême droite Fratelli d'Italia de Giorgia Meloni, alors que la gauche réclamait le maintien d'un "cordon sanitaire".

Mme Von der Leyen a assumé cette vice-présidence, qui lui permet de soigner ses relations avec Mme Meloni. "C'est un choix que j'ai fait", a-t-elle dit devant les eurodéputés.

Kaja Kallas à la diplomatie

Après plusieurs jours de bras de fer, le PPE (droite), les centristes de Renew et les sociaux-démocrates avaient fini par sceller un accord dans la douleur pour approuver l'ensemble des commissaires proposés, une première depuis vingt ans.

Parmi les nouveaux visages, l'ancienne première ministre estonienne Kaja Kallas devient la nouvelle cheffe de la diplomatie de l'UE , le centriste français Stéphane Séjourné obtient une vice-présidence dotée d'un large portefeuille sur la stratégie industrielle et la socialiste espagnole Teresa Ribera sera vice-présidente à la Transition écologique et à la concurrence.

Cette nouvelle Commission penche à droite avec une quinzaine de portefeuilles, sur 27, attribués au PPE (droite), première force politique du Parlement.

Le chef du PPE Manfred Weber n'a pas caché sa satisfaction. C'est une Commission "très équilibrée", a-t-il lancé, en mentionnant une possible majorité parlementaire allant d'ECR (extrême-droite), où siègent les eurodéputés italiens de Giorgia Meloni, jusqu'à certains Verts.

"Besoin de stabilité"

Au passage, le responsable allemand a de nouveau balayé les accusations de la gauche sur ses ambiguïtés avec l'extrême droite. "Il y a des lignes rouges" et pas de coopération possible avec ceux qui ne sont pas "pro-Europe, pro-Ukraine et pro-Etat de droit", a-t-il réaffirmé, en faisant le distinguo entre les troupes de Giorgia Meloni et les deux autres groupes d'extrême droite.

A la tête des sociaux-démocrates, l'Espagnole Iratxe Garcia-Pérez a mis en avant le "besoin de stabilité" en Europe pour expliquer son soutien à la nouvelle équipe. Mais ce n'est "pas un chèque en blanc", a-t-elle affirmé, en mettant en garde le PPE. "Nous n'accepterons pas de double jeu" avec l'extrême droite.

L'octroi d'une vice-présidence à Raffaele Fitto a divisé son groupe. Les socialistes français ont voté contre la nouvelle Commission. "On franchit une ligne rouge, on devrait avoir une commission de combat, capable de défendre l'intérêt général européen, et je ne crois pas que Fratelli d'Italia soit sur cette ligne-là", a dénoncé le Français Raphaël Glucksmann (Place publique).

Chez les Patriotes, à l'extrême droite, le Français Jordan Bardella a rejeté en bloc la nouvelle équipe, des "commissaires inconnus du grand public qui dictent le quotidien de 450 millions de citoyens", a-t-il fustigé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Macron contre "les déplacements de populations et toute annexion"

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"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Ici, la bande de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

Emmanuel Macron a affirmé lundi lors d'une visite au Caire qu'il s'opposait "fermement aux déplacements de populations et à toute annexion de Gaza comme de la Cisjordanie". Le Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de Gaza, a-t-il en outre dit.

"Il s'agirait d'une violation du droit international, d'une menace grave pour la sécurité de toute la région, y compris celle d'Israël", a déclaré le président français à propos de tout déplacement de populations et d'annexion des territoires palestiniens. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse au Caire, au côté de son homologue égyptien, Abdel Fattah al-Sissi.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas "ne doit avoir aucune part" dans la gouvernance de la bande de Gaza, a-t-il aussi affirmé.

Le Français a enfin réitéré son "plein soutien au plan de reconstruction pour Gaza" endossé par la Ligue arabe, en précisant que le Hamas ne devait "plus constituer une menace pour Israël".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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LVMH: nouveaux dirigeants chez Fendi, Kenzo et Louis Vuitton Chine

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Chez LVMH, les nouveaux responsables de marques sortent commedes lapins du chapeau ce printemps. (arhive) (© KEYSTONE/AP/Scott A Garfitt)

Le groupe de luxe LVMH a annoncé lundi la nomination de nouveaux directeurs pour ses marques Fendi et Kenzo, ainsi qu'à la tête de Louis Vuitton Chine où arrive un haut dirigeant d'Apple, selon un communiqué.

Chez Fendi, maison italienne, Ramon Ros succèdera à partir du 1er juillet comme patron à Pierre-Emmanuel Angeloglou, qui avait été nommé il y a moins d'un an, en mai 2024.

Ramon Ros est actuellement patron de Louis Vuitton Chine, poste où "il a joué un rôle-clé dans le développement de la désirabilité de la marque, ainsi que dans la constitution et le développement d'une équipe locale talentueuse".

Son expertise "lui permettra d'élever" Fendi "vers de nouveaux sommets, tout en préservant son patrimoine unique et son engagement en faveur de l'artisanat", indique LVMH.

M. Ros laissera son poste à la tête de Louis Vuitton Chine à Daniel DiCicco à compter du 28 avril, précise le communiqué.

Depuis 2018, Daniel DiCicco "dirigeait les activités +retail+ d'Apple au niveau mondial".

Son expérience ainsi que "sa connaissance approfondie des marchés et de la clientèle asiatique seront déterminants pour dynamiser nos équipes locales et poursuivre la croissance de Louis Vuitton en Chine", pays où tout le secteur du luxe doit affronter un ralentissement de la consommation, indique le communiqué.

Du côté de la maison Kenzo, Charlotte Coupé succédera à Sylvain Blanc comme patrons à compter du 1er mai, prenant la suite de Sylvain Blanc qui, "après avoir initié un nouveau chapitre chez Kenzo et établi les bases du développement ambitieux de la marque, quitte le groupe pour entreprendre de nouveaux projets".

Charlotte Coupé est notamment passée chez Ralph Lauren et Lacoste avant de rejoindre la marque Louis Vuitton en 2016.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Accord sur les minerais : Kiev envoie une délégation à Washington

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Selon le Kremlin, "énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev. "C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole russe Dmitri Peskov. (© KEYSTONE/EPA/YURI KOCHETKOV)

L'Ukraine enverra une délégation "cette semaine" à Washington pour discuter de l'accord sur les minerais auxquels les USA veulent obtenir l'accès préférentiel en échange de l'aide fournie au pays depuis le début de l'invasion russe, a indiqué lundi Kiev.

L'équipe ukrainienne aura pour mission de "faire avancer les négociations" sur ce document "stratégique" et comprendra des représentants des "ministères de l'Economie, des Affaires étrangères, de la Justice et des Finances", a indiqué la vice-Première ministre ukrainienne Ioulia Svyrydenko sur X.

Le Kremlin a dit dans ce contexte qu'"énormement" de questions restent à résoudre pour conclure une trêve avec Kiev, au moment où les pourparlers initiés par Washington peinent à aboutir à des résultats concrets.

"C'est lié à l'incapacité du régime de Kiev à contrôler plusieurs groupes extrémistes (...) et aux projets d'une militarisation ultérieure" de l'Ukraine, a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Macron sermonne Moscou

De son côté, Emmanuel Macron a jugé "urgent que la Russie cesse les faux-semblants et les tactiques dilatoires et accepte le cessez-le-feu sans condition" proposé par Donald Trump en Ukraine.

"Cela fait presque un mois que non seulement la Russie y oppose une fin de non-recevoir, mais qu'elle accroît les bombardements contre les civils avec encore des pertes tragiques il y a quelques jours en Ukraine", a déclaré le président français lors d'une visite au Caire.

"Nous soutenons l'objectif de mettre fin à la guerre, objectif poursuivi par le président Trump, et nous souhaitons une paix solide et durable qui garantisse, vous le savez, la sécurité de l'Ukraine et celle de tous les Européens", a-t-il ajouté.

"C'est pourquoi il est désormais urgent que la Russie cesse les faux-semblants et les tactiques dilatoires et accepte le cessez-le-feu sans condition qui a été la proposition du président Trump, proposition agréée par le président Zelensky à Jeddah le 11 mars dernier", a-t-il poursuivi.

Dimanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté l'absence de "réponse" américaine au "refus" par le président russe Vladimir Poutine d'un cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Allemagne: rebond des exportations en février

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Le grand voisin d'outre-Rin a observé une accélération des exportations vers le pays de l'oncle Sam, préalable à l'adoption de droits de douane punitifs à l'égard du reste du monde. (archive) (© KEYSTONE/DPA/BODO MARKS)

Les exportations allemandes ont davantage rebondi que prévu en février, en particulier à destination des Etats-Unis, avant l'annonce de droits de douane punitifs par Donald Trump menaçant l'économie mondiale, a indiqué lundi l'office Destatis.

L'indicateur a progressé de 1,8% sur un mois, mieux qu'attendu par le consensus interrogé par Factset, atteignant 131,6 milliards d'euros.

Les exportations vers les Etats-Unis, premier partenaire commercial, ont grimpé de 8,5% par rapport à janvier, après avoir chuté de 4,2% en janvier.

En comparaison, elles ont progressé de seulement 0,3% sur un mois vers la zone euro et de 0,6% vers la Chine.

Les importations ont globalement augmenté, de 0,7% à 113,8 milliards d'euros, portant l'excédent commercial à 17,7 milliards d'euros, en hausse par rapport à janvier, en données corrigées des variations saisonnières.

Dans le même temps, la production industrielle allemande a rechuté en février, de 1,3%, contre une progression de 2% un mois auparavant, confirmant la volatilité d'un secteur toujours affecté par les incertitudes géopolitiques.

Ces indicateurs sont publiés avant que ne soient relevés, dès mercredi, les droits de douane pour plusieurs dizaines de partenaires commerciaux majeurs des Etats-Unis, notamment l'Union européenne (20%) et la Chine (34%), sur décision de Donald Trump.

Les indicateurs publiés lundi sont vus comme le "dernier message de l'Allemagne d'un monde macroéconomique perdu", commente Carsten Brzeski, économiste chez ING.

"Avant même le début des tensions commerciales croissantes, l'industrie allemande peine à prendre de l'élan", ajoute-t-il.

Dans ce contexte économique difficile, les conservateurs (CDU/CSU) du chancelier désigné Friedrich Merz et sociaux-démocrates (SPD) pourraient finaliser cette semaine à Berlin leurs négociations en vue de doter la première économie européenne d'un nouveau gouvernement.

Les menaces de droits de douane de Trump seront désormais "au coeur des négociations", selon la vice-présidente de la CDU, Karin Prien, y voyant une "question clé pour la compétitivité allemande".

Le prochain gouvernement devra également mettre en oeuvre un plan d'investissements massifs dans les infrastructures et des réformes structurelles, adopté en mars par l'ancienne chambre des députés.

Sur un an, la production industrielle reste en recul de 4,0%, confirmant que l'industrie allemande peine à sortir d'une crise structurelle profonde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Pandémies: le chef de l'OMS dit les pays prêts à "faire l'Histoire"

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Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus estime encore possible d'aboutir dans les prochaines semaines à un accord contre les pandémies (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus estime que les Etats membres sont "prêts à faire l'Histoire". Lundi à Genève, il a demandé de ne pas "jeter" trois ans et demi de discussions et d'aboutir à un accord contre les pandémies.

"Vous être prêts à sécuriser un consensus", a affirmé le patron de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au début d'une nouvelle série de négociations, la dernière avant l'Assemblée mondiale de la santé. Il demande aux 194 pays de faire de l'accord contre les pandémies le symbole de la possibilité de la communauté internationale de se réunir malgré les nombreuses divisions actuelles.

Une nouvelle pandémie "pourrait avoir lieu dans 20 ans ou davantage. Elle pourrait avoir lieu demain. Dans les deux cas, nous devons être préparés", a aussi dit le directeur général. Et de rappeler que des épidémies importantes, comme Ebola, sont observées actuellement dans le monde.

"Une pandémie peut tuer davantage de personnes et provoquer des perturbations économiques plus importantes qu'une guerre", a encore souligné M. Tedros. Les Etats membres avaient déjà prolongé d'un an le délai pour aboutir à un accord et se sont donnés jusqu'à l'Assemblée mondiale en mai à Genève pour le faire.

Mais les divisions restent considérables sur certaines questions. Elles sont tenaces sur la propriété intellectuelle, le partage des indications sur les pathogènes ou encore l'approche "une santé" sur la santé humaine, des autres espèces animales et de l'environnement.

Sans les Etats-Unis

Symbole de ces blocages, le lancement d'un "système multilatéral d'accès et de partage des avantages pour les agents pathogènes à potentiel pandémique" (PABS) semble compromis à court terme. Cette question pourrait faire l'objet d'une négociation séparée.

Cet accès équitable à la réponse contre une pandémie est au centre des préoccupations, alors que les premières doses étaient arrivées beaucoup plus tardivement dans les pays en développement au moment du coronavirus. Une part de la production de vaccins ou de technologies contre une urgence sanitaire internationale devrait à l'avenir être attribuée gratuitement ou à prix raisonnable à l'OMS. Des ONG redoutent que cette part soit trop peu importante.

Et un transfert de technologies des Etats riches vers les pays en développement ne se fera probablement pas de manière contraignante. Un autre problème pour les ONG.

La tâche des Etats semble d'autant plus difficile que les Etats-Unis se sont retirés du format, même s'ils assistent aux réunions. Et que l'organisation fait face aux difficultés financières, le manque à gagner s'approchant de 2,5 milliards de dollars entre cette année et 2027, selon elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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