Rejoignez-nous

International

Poutine menace de frapper Kiev avec son missile lourd "Orechnik"

Publié

,

le

Kiev a déjà abaissé cette année l'âge pour la mobilisation de 27 à 25 ans (archives). (© KEYSTONE/AP/ANDRII MARIENKO)

Vladimir Poutine a menacé jeudi de frapper des centres de décision à Kiev avec son missile "Orechnik" utilisé pour la première fois la semaine passée. Il avait dit plus tôt que les attaques dans la nuit étaient sa "réponse" au tir de missiles américains.

Le maître du Kremlin avait alors averti que la Russie pourrait répéter ces frappes sur l'Ukraine avec ce missile lourd, voire frapper des sites militaires des pays qui arment Kiev.

Il n'a pour l'heure pas mis ses menaces à exécution, mais attaqué avec des frappes massives de missiles et de drones l'infrastructure énergétique de l'Ukraine pour la onzième fois de l'année, selon Kiev.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé Moscou d'avoir mené ces frappes, qui ont plongé au moins un million d'Ukrainiens dans le noir à l'aube de l'hiver, avec des engins "à sous-munitions".

Cela constitue une "escalade méprisable", a-t-il dénoncé.

Depuis Astana, capitale du Kazakhstan où il participe à un sommet régional, Vladimir Poutine a justifié les frappes russes de la nuit: "Il s'agit d'une réponse aux attaques continues contre notre territoire à l'aide de missiles (américains) ATACMS".

90 missiles et 100 drones

Selon lui, 90 missiles et 100 drones explosifs ont été lancés contre l'Ukraine.

Le fameux missile qu'il avait présenté comme un engin expérimental hypersonique baptisé "Orechnik", n'a donc pas été utilisé dans cette réponse, mais le président russe, face à la presse quelques heures plus tard, a dit "ne pas exclure" son utilisation future pour attaquer "des centres de décision, y compris à Kiev".

Le président russe a une nouvelle fois vanté les mérites de cette arme d'une portée de plusieurs milliers de kilomètres, conçue pour porter des têtes nucléaires.

Elle est capable de frapper partout en Europe, même sans être équipée d'ogives nucléaires, selon lui.

"Si l'on utilise plusieurs de ces systèmes en une frappe - deux, trois, quatre - alors, du point de vue de sa puissance, c'est comparable à l'usage d'une arme nucléaire", a-t-il affirmé face aux journalistes, comparant le missile à "une météorite".

Le premier ministre polonais, Donald Tusk, dont le pays est un soutien fidèle de Kiev, a jugé que les menaces de Vladimir Poutine témoignaient de sa "faiblesse" plus qu'autre chose.

"Le fait qu'il utilise si souvent des menaces très dures dans sa rhétorique témoigne de sa faiblesse plutôt que de sa force", a réagi M. Tusk, interrogé sur cette menace lors d'une conférence de presse commune avec son homologue suédois, Ulf Kristersson.

Mercredi, la Pologne, les pays baltes et nordiques ont dit vouloir renforcer leur soutien militaire à l'Ukraine et ont plaidé pour une extension des sanctions contre la Russie.

"Nous ne nous laisserons pas effrayer par des menaces de ce genre, nous soutiendrons l'Ukraine tant qu'elle en aura besoin", a insisté M. Tusk.

Bombes à sous-munitions

La Russie attaque depuis près de trois ans l'infrastructure énergétique ukrainienne, afin de saper le moral de la population et handicaper la logistique de l'armée de Kiev, une tactique qui jusqu'ici s'est heurtée à la résilience des Ukrainiens.

Jeudi, l'armée russe a tiré 91 missiles et 97 drones explosifs, dont respectivement 79 et 35 ont été interceptés, d'après l'armée de l'air ukrainienne.

Mais Volodymyr Zelensky a surtout accusé Moscou d'avoir attaqué les infrastructures énergétiques avec des bombes "à sous-munitions", minant de facto ces sites et mettant en danger civils, secours ainsi qu'équipes de maintenance dépêchés sur les lieux.

Le président ukrainien a ainsi à nouveau plaidé pour l'envoi "de systèmes de défense aérienne dès maintenant".

Des infrastructures énergétiques ont été touchées dans plusieurs régions, provoquant des coupures de courant "dans tout le pays", selon le patron de la société de fourniture d'électricité Yasno, Serguiï Kovalenko.

Au total, au moins un million d'Ukrainiens se trouvent plongés dans le noir, selon les différentes autorités régionales.

Trump, "un homme intelligent"

La Russie a intensifié ces dernières semaines sa pression militaire sur l'Ukraine, à moins de deux mois du retour de Donald Trump à la Maison Blanche aux Etats-Unis, vu comme un possible tournant.

Très critique des milliards de dollars débloqués par Washington pour l'Ukraine, le président élu a promis de régler le conflit avant même de prêter serment le 20 janvier, sans jamais expliquer comment.

Jeudi, Vladimir Poutine, qui a côtoyé Donald Trump lors de son premier passage à la Maison Blanche entre 2017 et 2021, l'a qualifié d'"homme intelligent" avec "beaucoup d'expérience", capable de "trouver" des solutions.

Sur le front, les forces russes ont engrangé ces dernières semaines, à une vitesse inédite depuis début 2022, des gains territoriaux face à une armée ukrainienne affaiblie, notamment autour des villes de Pokrovsk, Kourakhové et Koupiansk.

Dans ce contexte très incertain, l'administration du président sortant Joe Biden a appelé mercredi Kiev à abaisser l'âge minimum pour la mobilisation militaire à 18 ans - au lieu de 25 ans actuellement - pour regarnir les rangs.

Et le président ukrainien a signé jeudi la loi sur le budget 2025 dont un petit plus de 50 milliards d'euros, soit 60% des dépenses, seront consacrés à la défense et la sécurité pour faire face à l'invasion russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Le Panama autorise un déploiement américain à proximité du canal

Publié

le

La présence de troupes américaines est une question sensible au Panama, car elle rappelle l'époque où les Etats-Unis y disposaient d'une enclave avec des bases militaires (archives). (© KEYSTONE/AP/MATIAS DELACROIX)

Les troupes américaines vont être autorisées à se déployer autour du canal du Panama, selon un accord bilatéral vu par l'AFP jeudi. Il s'agit d'une importante concession faite à Washington, même si la possibilité de bases militaires est exclue.

La présence de troupes américaines est une question sensible dans le pays d'Amérique centrale, car elle rappelle l'époque où les Etats-Unis y disposaient d'une enclave avec des bases militaires avant de céder le canal aux Panaméens en 1999.

L'armée américaine et des sociétés militaires privées engagées par les Etats-Unis "pourront utiliser les sites autorisés, les installations et les zones désignées pour des entraînements, des activités humanitaires [...] et des exercices", indique l'accord signé par le chef du Pentagone, Pete Hegseth, en visite cette semaine au Panama, et le ministre panaméen de la défense, Frank Abrego.

L'accord, d'une durée de trois ans renouvelable, précise que les installations seront la propriété de l'Etat panaméen et seront destinées à une "utilisation conjointe" par les forces des deux pays.

"Mettre le feu au pays"

Depuis son arrivée au pouvoir en janvier, le président américain Donald Trump a placé le canal de Panama, qui permet de passer de l'océan Atlantique à l'océan Pacifique sans contourner l'Amérique du Sud, en haut de son agenda stratégique, notamment pour contrer les intérêts chinois dans cette zone latino-américaine. Il a même évoqué la possibilité de "reprendre" le canal que les Etats-Unis ont construit en 1914 et cédé au Panama en 1999.

Le canal assure environ 40% du trafic de conteneurs des Etats-Unis et 5% du commerce mondial.

Les Etats-Unis participent depuis longtemps à des exercices militaires au Panama, mais la présence à long terme de forces américaines pourrait être un handicap politique pour le président panaméen de centre-droit, José Raul Mulino, estiment des politologues.

M. Mulino, en déplacement au Pérou jeudi, a confirmé que les Etats-Unis avaient demandé à rétablir des bases militaires dans le pays et des "cessions de territoires", ce qu'il avait refusé. "Vous voulez le désordre [...] mettre le feu au pays?", a-t-il indiqué avoir répondu à Pete Hegseth. "Ce canal est et restera panaméen".

Au cours d'une conférence de presse mercredi, le ministre de la défense américain avait suggéré que les exercices de défense conjoints étaient "une occasion de relancer" une "base militaire", où opèreraient des "troupes américaines", suscitant un malaise. "Nous ne pouvons pas accepter de bases militaires ou des sites de défense", avait réagi M. Abrego lors de la même conférence de presse.

Relations difficiles

Le pays entretient des relations difficiles avec les Etats-Unis, après une occupation américaine de la zone du canal pendant plusieurs décennies et l'opération américaine il y a 35 ans pour renverser le dictateur Manuel Noriega qui avait fait plus de 500 morts. Les visées de Donald Trump sur le canal du Panama ont déclenché d'importantes manifestations dans le pays.

Selon la loi, le Panama exploite le canal en donnant accès à toutes les nations. Mais le président américain a pointé du doigt le rôle de la société Panama Ports Company (PPC), filiale d'un groupe hongkongais, qui opère les ports situés aux deux extrémités du canal.

Sous la pression de la Maison-Blanche, le Panama a accusé PPC de ne pas respecter ses obligations contractuelles et a demandé à la société de se retirer du pays.

La société mère des ports, CK Hutchison, a annoncé le mois dernier un accord visant à céder 43 ports dans 23 pays - dont ses deux ports sur le canal de Panama - à un consortium dirigé par le fonds d'investissements américain BlackRock, pour un montant de 19 milliards de dollars. Furieuse, la Chine a annoncé un examen de l'opération par les autorités chinoises de la concurrence.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Guerre commerciale: l'UE menace de taxer la technologie américaine

Publié

le

"Il existe un large éventail de contre-mesures" aux droits de douane de Trump, avertit la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER MATTHYS)

Bruxelles pourrait taxer les géants américains de la technologie si des négociations ne parviennent pas à arrêter la guerre commerciale lancée par le prédisent américain Donald Trump, avertit jeudi la présidente de la Commission européenne dans le Financial Times.

Depuis que le président américain a imposé des droits de douane sur l'acier et l'aluminium, les voitures et, enfin, la majorité des importations en provenance de l'Union européenne, Bruxelles insiste sur la recherche d'un accord mutuellement bénéfique avec Washington. Mais Ursula von der Leyen se dit prête à intensifier ses menaces de représailles et à cibler les services américains si les négociations venaient à échouer.

"Il existe un large éventail de contre-mesures", a-t-elle indiqué. "Par exemple, on pourrait imposer une taxe sur les revenus publicitaires des services numériques."

Elle a évoqué l'utilisation de l'"instrument anti-coercition", une arme surnommée "bazooka", pensée comme un outil de dissuasion à activer après épuisement des voies diplomatiques. Cet instrument permettrait notamment le gel de l'accès aux marchés publics européens ou le blocage de certains investissements.

Riposte suspendue

Le gouvernement américain s'est plaint de barrières non tarifaires qui, selon lui, entravent injustement les exportations américaines vers l'Europe. Washington a notamment critiqué la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) et les règles strictes de l'UE en matière de technologie qui régissent la concurrence technologique et la modération des contenus en ligne.

Mais pour Mme von der Leyen, les lois sur les technologies sont "intouchables". La présidente de la Commission européenne refuse également toute négociation sur la TVA, qui s'applique aux produits nationaux et importés.

Ursula von der Leyen a annoncé plus tôt jeudi que l'UE allait suspendre l'application de droits de douane supplémentaires prévus sur certains produits américains "afin de donner une chance aux négociations" après le revirement de Donald Trump, mercredi, sur de nouveaux droits de douane massifs.

Le président américain a gelé pendant 90 jours la surtaxe de 20% prévue sur les produits européens et de 31% sur les biens suisses. Mais il a maintenu ses droits de douane de 25% sur l'acier et l'aluminium et les automobiles, tout comme le taux de base de 10% sur les autres produits, pendant la suspension.

"Les droits de douane sont des taxes qui ne nuisent qu'aux entreprises et aux consommateurs. C'est pourquoi j'ai toujours plaidé en faveur d'un accord tarifaire zéro pour zéro entre l'Union européenne et les Etats-Unis", avait déclaré Mme von der Leyen mercredi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Un deuxième porte-avions américain est arrivé au Moyen-Orient

Publié

le

La position exacte au Moyen-Orient de l'USS Carl Vinson n'a pas été révélée (archives). (© KEYSTONE/EPA YNA/YONHAP)

Le deuxième porte-avions envoyé par les Etats-Unis au Moyen-Orient pour protéger les flux commerciaux est arrivé sur place, a fait savoir jeudi l'armée américaine. Cette dernière mène actuellement une intense campagne de frappes contre les rebelles houthis au Yémen.

Selon un message sur le réseau social X du commandement interarmées américain pour le Moyen-Orient, l'USS Carl Vinson a rejoint dans la région l'USS Harry S. Truman, que les Houthis ont assuré avoir visé plusieurs fois ces dernières semaines. L'armée américaine n'a pas précisé où exactement naviguerait ce deuxième groupe aéronaval.

Selon un responsable militaire américain, les Etats-Unis ont frappé plus de 100 cibles au Yémen depuis le lancement à la mi-mars de leur dernière campagne aérienne contre ces rebelles soutenus par l'Iran.

Les Houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen, attaquent depuis la fin 2023 des navires au large de ce pays, en mer Rouge ou dans le golfe d'Aden.

Menaces de Trump

Ils disent agir en "solidarité" avec Gaza dans la guerre dévastatrice menée par Israël dans ce territoire palestinien depuis le 7 octobre 2023 et les attaques sanglantes du Hamas sur le sol israélien.

Les Houthis assurent viser principalement des navires liés à Israël et au principal soutien militaire de ce pays, les Etats-Unis, dans ces deux voies maritimes essentielles pour le commerce mondial.

A la mi-mars, Donald Trump avait prévenu que l'Iran serait désormais "tenu pour responsable" de "chaque coup de feu" des Houthis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Musk prévoit de faire économiser 150 milliards aux Etats-Unis

Publié

le

Elon Musk avait à l'origine l'objectif de réduire de 2000 milliards de dollars le budget de l'administration fédérale américaine. (© KEYSTONE/EPA/SHAWN THEW / POOL)

Le conseiller spécial de la présidence américaine Elon Musk a déclaré jeudi que sa mission visant à tailler dans les dépenses aux Etats-Unis allait permettre d'économiser 150 milliards de dollars sur une année. Ce montant est plus bas que ses ambitions de départ.

"Je suis ravi d'annoncer que nous anticipons 150 milliards d'économies sur l'année fiscale 2026 grâce à la réduction du gaspillage et de la fraude", a dit le multi-milliardaire au président Donald Trump lors d'un conseil des ministres ouvert à la presse. Pour le gouvernement américain, l'année fiscale 2026 courra d'octobre 2025 à la fin septembre 2026.

Ces coupes "vont aboutir à de meilleurs services pour les Américains", a assuré Elon Musk.

De 2000 milliards à 150 milliards

Consacré par Donald Trump à la tête d'une commission pour "l'efficacité gouvernementale" (DOGE), l'homme le plus riche au monde avait à l'origine l'objectif de réduire de 2000 milliards de dollars le budget de l'administration fédérale, actuellement autour de 7000 milliards de dollars.

Il avait ensuite estimé en janvier qu'aboutir à 1000 milliards d'économies serait déjà un "super résultat".

Lors du conseil des ministres, Donald Trump a déclaré que les équipes du DOGE étaient "fantastiques" et leur a demandé de rester à bord pour le "long voyage" vers moins de dépenses publiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Six morts dans le crash d'un hélicoptère à New York

Publié

le

Le fleuve Hudson, où a eu lieu l'accident, est un canal très fréquenté dans les eaux et dans les airs. (© KEYSTONE/AP/Yuki Iwamura)

Six personnes, dont trois enfants, ont été tuées jeudi à New York dans l'accident spectaculaire d'un hélicoptère de tourisme qui s'est abîmé dans le fleuve Hudson. D'après un témoin cité par NBC4, l'appareil a perdu son hélice avant de tomber.

"Les six victimes ont été sorties de l'eau. Et, malheureusement, elles sont toutes décédées", a annoncé le maire de la ville, Eric Adams. Une famille de touristes espagnols se trouvait à bord de cet appareil Bell 206, ainsi que le pilote, a-t-il précisé.

Des images des chaînes d'informations locales ont montré la chute brutale de l'appareil dans le fleuve qui sépare New York du New Jersey voisin, au niveau de Manhattan.

Les images montrent des patins d'atterrissage de l'hélicoptère dépassant de l'eau à côté de la voie rapide West Side de Manhattan, alors que plusieurs bateaux de secours sont regroupés autour de la zone d'impact et des dizaines de pompiers sont sur place. De chaque côté de la rive, à Manhattan ou dans le New Jersey, les zones sont très urbanisées.

Le "miracle de l'Hudson"

Le fleuve Hudson est un canal très fréquenté dans les eaux et dans les airs. New York compte plusieurs héliports en pleine ville, du côté des fleuves Hudson ou East River qui entourent l'île de Manhattan.

Chaque jour, des dizaines d'hélicoptères décollent et atterrissent pour des vols d'affaires ou de tourisme. Les tours de la ville au-dessus des eaux, avec vues imprenables sur la statue de la Liberté ou les gratte-ciel de Manhattan, sont prisées des touristes.

Ces dernières années, plusieurs accidents d'hélicoptères ont été mortels. En 2009, la collision entre un avion et un hélicoptère de tourisme avait fait neuf morts. Un autre accident en 2018 avait fait cinq morts, quand un hélicoptère s'était écrasé dans l'East River.

En 2009, un avion de la compagnie US Airways avait atterri dans l'eau sans encombre et les 155 personnes à bord avaient eu la vie sauve, un épisode surnommé le "miracle de l'Hudson".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

BOOGIE DOWN

AL JARREAU

07:13

MONEY

PINK FLOYD

07:05

LE POUVOIR DES FLEURS

LAURENT VOULZY

06:56

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 3 heures

Le Panama autorise un déploiement américain à proximité du canal

Les troupes américaines vont être autorisées à se déployer autour du canal du Panama, selon un accord bilatéral vu par...

InternationalIl y a 6 heures

Guerre commerciale: l'UE menace de taxer la technologie américaine

Bruxelles pourrait taxer les géants américains de la technologie si des négociations ne parviennent pas...

InternationalIl y a 7 heures

Un deuxième porte-avions américain est arrivé au Moyen-Orient

Le deuxième porte-avions envoyé par les Etats-Unis au Moyen-Orient pour protéger les flux commerciaux est...

InternationalIl y a 7 heures

Musk prévoit de faire économiser 150 milliards aux Etats-Unis

Le conseiller spécial de la présidence américaine Elon Musk a déclaré jeudi que sa mission...

SportIl y a 9 heures

Dario Rohrbach: un premier but qui tombe à pic

La Suisse a entamé sa campagne de préparation pour le Mondial au Danemark avec une...

SportIl y a 9 heures

Lausanne arrache un 7e match, Zurich en finale

Il y aura un 7e match pour départager Lausanne et Fribourg en demi-finale des play-off...

SportIl y a 9 heures

Ajoie et Hazen concluent en beauté

Le HC Ajoie enchainera une cinquième saison au sein de l’élite. Les Jurassiens ont assuré...

InternationalIl y a 9 heures

Six morts dans le crash d'un hélicoptère à New York

Six personnes, dont trois enfants, ont été tuées jeudi à New York dans l'accident spectaculaire...

SuisseIl y a 10 heures

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

GenèveIl y a 12 heures

Les règles pour engager des proches des conseillers d'Etat changent

A Genève, les règles pour engager des membres de la famille des conseillers d'Etat à...