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Corée du Sud: le président suspendu Yoon Suk Yeol sort de prison

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Le président conservateur avait plongé la Corée du Sud dans le chaos politique dans la nuit du 3 au 4 décembre en décrétant la loi martiale (© KEYSTONE/AP)

Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a été remis en liberté samedi après l'annulation par un tribunal de son arrestation pour des raisons de procédure. Mais il fait toujours l'objet d'une enquête sur sa déclaration de la loi martiale.

"Je m'incline en signe de gratitude envers le peuple de cette nation", a déclaré M. Yoon dans un communiqué diffusé par ses avocats.

M. Yoon a quitté le centre de détention où il était incarcéré depuis janvier. Il est monté ensuite dans un convoi de véhicules et s'est rendu directement à la résidence présidentielle, ont constaté des journalistes de l'AFP. Il est sorti de sa voiture à l'extérieur de la résidence pour saluer les centaines de partisans qui l'acclamaient.

"La libération du président signifie le respect de l'Etat de droit", a dit son équipe juridique dans un communiqué.

Un tribunal sud-coréen avait annulé vendredi le mandat d'arrêt en vertu duquel M. Yoon était détenu, mais cette décision n'a pas entraîné sa remise en liberté immédiate, le code de procédure pénale sud-coréen donnant au parquet jusqu'à sept jours pour faire appel.

Samedi, le parquet sud-coréen a annoncé avoir ordonné la remise en liberté du président suspendu, selon l'agence de presse Yonhap, renonçant ainsi à son droit de faire appel.

"Comportement éhonté"

Dans un communiqué, le ministère public a indiqué avoir envoyé "un ordre de libération du président Yoon au centre de détention de Séoul aujourd'hui".

L'opposition a critiqué la décision, un porte-parole du Parti démocrate déclarant que M. Yoon se comportait "comme un général qui vient de remporter une bataille".

"C'est un comportement éhonté de la part de quelqu'un qui nie avoir été inculpé pour avoir mené une insurrection. Le seul moyen d'aller de l'avant est de le démettre (Yoon) rapidement de ses fonctions", a-t-on poursuivi en référence à la décision attendue de la Cour constitutionnelle.

L'équipe juridique de M. Yoon avait intenté le mois dernier un recours contre le maintien en détention de leur client, soutenant que les procureurs l'avaient inculpé un jour après l'expiration du mandat en vertu duquel il était détenu après sa tentative ratée de suspendre le régime civil en décembre.

M. Yoon, un ancien procureur, doit également faire face à une décision distincte de la Cour constitutionnelle, qui doit décider si elle doit confirmer sa mise en accusation et le démettre officiellement de ses fonctions, la décision des juges étant attendue d'un jour à l'autre.

La Corée du Sud doit organiser une nouvelle élection présidentielle dans les 60 jours si M. Yoon est démis de ses fonctions. La procédure pénale engagée contre lui se poursuivra même s'il est officiellement démis de ses fonctions.

Coup de force

"La libération de Yoon étant liée aux aspects procéduraux de sa détention, elle n'aura aucune incidence sur les délibérations de la Cour constitutionnelle concernant sa destitution", a déclaré à l'AFP Yoo Jung-hoon, avocat et chroniqueur politique.

"Cependant, avec l'intensification de la confusion sociale et des dissensions entre les partisans de M. Yoon et ses contestataires à la suite de sa libération, la Cour pourrait ressentir le besoin d'agir rapidement", a-t-il ajouté.

Le président conservateur avait plongé la Corée du Sud dans le chaos politique dans la nuit du 3 au 4 décembre en décrétant la loi martiale et en envoyant l'armée au Parlement pour tenter de le museler.

Il avait dû faire marche arrière six heures plus tard, les députés étant parvenus à se réunir en urgence et à voter une motion exigeant le retour au régime civil.

Yoon Suk Yeol, 64 ans, avait justifié son coup de force par le fait que le Parlement, dominé par l'opposition, bloquait l'adoption du budget de l'Etat. Dans une allocution télévisée surprise, il avait dit vouloir "protéger la Corée du Sud libérale des menaces posées par les forces communistes nord-coréennes" et "éliminer les éléments hostiles à l'Etat".

Selon ses avocats, M. Yoon avait déclaré la loi martiale pour alerter le pays sur les dangers d'une "dictature législative" de la part de l'opposition.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Grâce à un robot privé, la NASA montre un coucher de soleil lunaire

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La NASA espère que les clichés du coucher de soleil sur la Lune pourront permettre d'élucider le mystère de la lueur à la surface du satellite terrestre. (© KEYSTONE/AP)

Un sol blanc à perte de vue, un halo vert et trois points lumineux dans le ciel: le Soleil, la Terre et Vénus. Voici à quoi ressemble un coucher de soleil sur la Lune.

La NASA et l'entreprise spatiale américaine Firefly Aerospace ont révélé mardi les premières images haute définition d'un coucher de soleil lunaire, prises par un robot s'étant posé au début mars à la surface de l'astre.

Ces clichés pourraient notamment permettre aux scientifiques d'élucider enfin le mystère de cette lueur à la surface de la Lune, observée pour la première fois sur le satellite terrestre dans les années 1960.

"Nous prenons le temps de demander à des spécialistes scientifiques d'examiner toutes les images", a déclaré Joel Kearns, un responsable de la NASA, lors d'une conférence de presse mardi. L'une des explications envisagées est qu'il soit dû à la lévitation de particules de poussière lunaire chargées électriquement par les rayonnements du Soleil.

Blue Ghost

Les clichés présentés cette semaine ont été pris par Blue Ghost, un robot développé par l'entreprise Firefly Aerospace pour le compte de la NASA. Arrivé au début mars sur la Lune, il a réalisé pendant deux semaines de multiples expériences scientifiques et a pris d'autres clichés, notamment d'une éclipse lunaire.

L'agence spatiale américaine a choisi il y a plusieurs années dans un objectif de baisse des coûts de charger le secteur privé de l'envoi de matériel sur la Lune, destinés à préparer le terrain pour de futures missions humaines. La mission de Firefly Aerospace, qui s'inscrit dans ce cadre, a été un succès "à 100%", a assuré mardi Jason Kim, son directeur général, évoquant "un tournant dans l'histoire".

La société texane a en effet réussi dès sa première tentative à faire alunir son robot sur la surface lunaire, une prouesse technique. Seule une poignée de pays, à commencer par l'Union soviétique en 1966, et une autre entreprise privée américaine, en février 2024, y sont parvenus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les Houthis revendiquent une 4e attaque contre l'USS Harry Truman

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L'USS Harry Truman est actuellement déployé en mer Rouge (archives). (© KEYSTONE/AP U.S. Navy/MASS COMMUNICATION SPECIALIST 3RD CLASS J. M)

Les rebelles houthis au Yémen ont affirmé mercredi avoir mené une quatrième attaque en 72 heures contre le porte-avions américain USS Harry Truman en mer Rouge. Selon des médias locaux, les Etats-Unis ont procédé à de nouvelles frappes au Yémen.

Les Houthis ont "détecté des mouvements militaires hostiles en mer Rouge en vue de lancer une attaque aérienne de grande envergure contre notre pays", a écrit sur le réseau social Telegram leur porte-parole. En réponse, a-t-il ajouté, les rebelles ont tiré des missiles de croisière et des drones contre le porte-avions et d'autres navires, "ce qui a permis de contrecarrer et de faire échouer cette attaque".

L'armée américaine n'a pas immédiatement réagi à cette revendication. Plus tôt, des médias houthis avaient rapporté de nouvelles frappes américaines visant plusieurs localités sous contrôle des rebelles.

Le commandement central américain a annoncé sur le réseau social X des "opérations continues contre les terroristes houthis soutenus par l'Iran", sans plus de précision.

Selon l'agence de presse Saba et la chaîne Al Massira TV, "une frappe de l'agression américaine" a ciblé le gouvernorat de Saada (nord). Des témoins ont déclaré à l'AFP que trois bombes avaient touché la région. Plus tard, Al Massira TV a fait état de quatre nouvelles frappes sur une autre zone de Saada, bastion des Houthis.

Attaque contre Israël

Mardi soir, les rebelles houthis ont revendiqué une attaque contre "la base de Nevatim", située dans le désert du Néguev, dans le sud d'Israël, affirmant avoir utilisé un missile balistique hypersonique Palestine 2.

Les sirènes d'alerte antiaérienne ont retenti mardi soir dans plusieurs villes du sud d'Israël. L'armée israélienne a indiqué avoir "intercepté" un missile tiré depuis le Yémen.

Il s'agit de la première attaque contre Israël en provenance du Yémen depuis le début de la trêve entrée en vigueur à Gaza le 19 janvier. Elle intervient après une série de frappes israéliennes massives sur la bande de Gaza mardi.

Les Houthis, soutenus par l'Iran, ont dénoncé ces frappes meurtrières et promis de poursuivre l'escalade, après avoir menacé récemment d'attaquer les navires israéliens en mer Rouge.

Les bombardements israéliens, les plus meurtriers depuis le 19 janvier, ont fait au moins 413 morts dans le territoire palestinien, selon le dernier bilan du ministère de la santé du gouvernement du Hamas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'interdiction des transgenres dans l'armée américaine suspendue

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Le nombre de personnes transgenres dans l'armée américaine serait de 15'000 sur environ deux millions de militaires, d'après les estimations (archives). (© KEYSTONE/EPA/HANNIBAL HANSCHKE)

Une juge fédérale américaine a suspendu mardi l'interdiction ordonnée par le gouvernement américain des transgenres dans l'armée. Elle a invoqué le principe d'égalité.

Citant la déclaration d'indépendance des Etats-Unis selon laquelle "tous les êtres humains sont créés égaux", la juge fédérale de Washington a suspendu à partir du 21 mars un décret du président américain Donald Trump excluant les transgenres des forces armées.

"Pour nous assurer que nous disposons de la force combattante la plus létale au monde, nous allons débarrasser notre armée de l'idéologie transgenre", avait-il déclaré le 27 janvier en Floride, avant de préciser, dans l'avion du retour vers Washington, avoir signé un décret en ce sens.

"Exprimer une fausse 'identité de genre', divergente du sexe d'un individu ne peut satisfaire aux normes rigoureuses nécessaires au service militaire", peut-on notamment lire dans le décret. Un groupe de personnes transgenres, militaires ou souhaitant le devenir avaient alors contesté ce décret en justice.

15'000 transgenres dans l'armée

Le gouvernement américain pourrait avoir "défini une politique établissant un équilibre entre la nécessité pour le pays d'une armée préparée et le droit des Américains à l'égalité de protection devant la loi", écrit la juge.

Mais le décret contesté "n'est pas cette politique", estime-t-elle, lui reprochant d'être "empreint d'hostilité" envers les personnes transgenres, sans justification légale ou rationnelle à leur exclusion des forces armées.

En vertu de ce décret, le ministère américain de la défense a indiqué en février son intention non seulement d'arrêter le recrutement des transgenres dans les forces armées, mais aussi d'en expulser ceux qui en font déjà partie, sauf dérogation spéciale.

Le nombre de personnes transgenres dans l'armée américaine serait de 15'000 sur environ deux millions de militaires, d'après les estimations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le reste des archives sur l'assassinat de Kennedy rendu public

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Jusqu'ici, une grande partie des documents déjà rendus publics sur l'assassinat de JFK contenaient des éléments purement factuels, notamment des dizaines de rapports d'agents du FBI ayant suivi des pistes qui n'ont mené nulle part (archives). (© KEYSTONE/AP/Jon Elswick)

Le reste des archives du gouvernement américain sur l'assassinat du président américain John F. Kennedy en 1963 a été publié mardi. Cet événement, qui a bouleversé les Etats-Unis et le monde, a donné lieu à de nombreuses théories et spéculations.

La décision de les rendre publiques fait suite à un décret signé par l'actuel président américain Donald Trump en janvier, ordonnant la divulgation du reste des archives sur les assassinats de JFK, ainsi que de son frère Robert F. Kennedy et du chef des droits civiques Martin Luther King.

"Tous les documents non publiés pour des raisons de classification" sur l'assassinat du président Kennedy sont "rendus publics", ont annoncé les archives nationales des Etats-Unis dans un communiqué.

Des millions de pages de documents relatifs à cet événement majeur de l'histoire des Etats-Unis d'Amérique ont déjà été publiés au cours des dernières décennies. Des milliers d'autres avaient été interdits de publication par la CIA et le FBI, invoquant des raisons de sécurité nationale.

La commission Warren, qui a enquêté sur l'assassinat du président démocrate charismatique alors âgé de 46 ans, a conclu qu'il avait été perpétré par un ancien tireur d'élite des Marines, Lee Harvey Oswald, agissant seul.

Pas de révélations à attendre

Mais cette conclusion officielle n'a guère fait taire les spéculations selon lesquelles un complot plus sinistre serait à l'origine de l'assassinat du président Kennedy à Dallas, au Texas. Et la lenteur de la publication par l'Etat des dossiers concernant l'affaire a alimenté les diverses théories du complot.

Plusieurs experts estiment peu probable que les documents encore en possession des archives contiennent des révélations fracassantes ou mettent un terme aux théories conspirationnistes omniprésentes autour de l'assassinat du 35e président des Etats-Unis.

Lee Harvey Oswald a été abattu par le propriétaire d'un club de strip-tease, Jack Ruby, le 24 novembre 1963, deux jours après l'assassinat de Kennedy, alors qu'il était transféré vers une prison.

Jusqu'ici, une grande partie des documents déjà rendus publics contenaient des éléments purement factuels, notamment des dizaines de rapports d'agents du FBI ayant suivi des pistes qui n'ont mené nulle part.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: frappes russes sur des infrastructures civiles

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Des infrastructures civiles à Kiev ont notamment été touchées par les frappes russes (archives). (© KEYSTONE/EPA/STATE EMERGENCY SERVICE OF UKRAINE HANDOUT)

Quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée, la Russie a poursuivi mardi soir ses bombardements en Ukraine. Un hôpital a notamment été visé, a indiqué le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine sont convenus lors d'un échange téléphonique très attendu mardi d'une trêve limitée aux frappes sur les infrastructures énergétiques, dans la perspective d'un cessez-le-feu total.

Interrogé dans la soirée sur Fox News TV, l'émissaire américain Steve Witkoff a indiqué que Washington souhaitait que cette trêve de 30 jours, qui doit encore être acceptée par Kiev, concerne aussi "l'infrastructure en général".

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a, en réalité, refusé la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.

Dépôt pétrolier en feu

Les hostilités déclenchées en février 2022 par la Russie se sont poursuivies dans la nuit. Volodymyr Zelensky a fait état de nouvelles frappes russes "contre des infrastructures civiles", notamment à Kiev et Soumy, dans le nord du pays, où un hôpital a été ciblé par une "frappe directe" de drone, selon lui.

Les autorités russes ont pour leur part fait état tôt mercredi d'un incendie dans un dépôt pétrolier de la région de Krasnodar, à l'est de la frontière avec l'Ukraine, à la suite d'une attaque de drones ukrainiens.

M. Zelensky n'a mentionné aucune attaque directe contre des infrastructures énergétiques ukrainiennes. Mais "ce sont précisément ces attaques nocturnes de la Russie qui détruisent notre énergie, nos infrastructures et la vie normale des Ukrainiens. Et le fait que cette nuit n'ait pas été une exception montre que nous devons continuer à faire pression sur la Russie pour le bien de la paix", a-t-il souligné.

Selon M. Witkoff, les négociations américano-russes sur le cessez-le-feu doivent commencer dimanche à Jeddah, en Arabie saoudite. Elles porteront aussi sur les opérations en mer Noire.

Dans un entretien à Fox News, Donald Trump a reconnu que les négociations avec son homologue russe mardi avaient été "difficiles". "La Russie a l'avantage, comme vous le savez", a-t-il dit. Moscou a de son côté évoqué un échange "détaillé et franc".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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