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Santé

Galenica a soigné sa rentabilité l'an dernier

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Galenica, qui opère les chaînes Amavita, Sun Store et Coop Vitality, dresse pour 2025 des perspectives comprenant une croissance de 3% à 5% des recettes et une progression de 4% à 6% de l'Ebit ajusté. (archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Le grossiste en médicaments et exploitant de pharmacies Galenica a dégagé l'an dernier un bénéfice net des opérations poursuivies de 183,7 millions de francs, étoffé de 10,9% sur un an.

Hors facteurs jugés non récurrents, l'excédent d'exploitation a enflé de 10,3% à 211,0 millions, quand le résultat net des opérations poursuivies a progressé de 13,4% à 183,2 millions. Les actionnaires se verront offrir un dividende agrémenté de 10 centimes à 2,30 francs, détaille un compte-rendu diffusé mardi.

La performance comble généreusement les attentes formulées par les analystes du consensus AWP, qui tablaient en moyenne sur un Ebit ajusté de 209,6 millions et un bénéfice net ajusté de 170,8 millions.

Croissance des ventes

Le coeur de métier dans la livraison de médicaments aux particuliers comme aux professionnels a livré un Ebit ajusté de 157,3 millions, légèrement inférieur aux pronostics. La toute relative déception a pu être compensée par un excédent meilleur que prévu dans le segment logistique et infrastructure informatique, à 56,8 millions.

Le groupe bernois, qui opère notamment les chaînes Amavita, Sun Store ou Coop Vitality, avait déjà fait état fin janvier d'une croissance de 4,7% des recettes à 3,92 milliards de francs, laissant entrevoir une progression de 8% à 11% de l'excédent d'exploitation.

La direction dresse pour l'exercice en cours un plan de vol comprenant une croissance de 3% à 5% des recettes et une progression de 4% à 6% de l'Ebit ajusté. Le dividende doit au moins égaler celui proposé au titre de l'année dernière.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Le vaudois Groupe Minoteries fait les frais d'un marché difficile

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En 2025, la branche de la meunerie va encore perdre en volume en Suisse, avant de se stabiliser, avertit le meunier vaudois Groupe Minoteries (image symbolique). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Après plusieurs années de croissance, le groupe alimentaire vaudois Groupe Minoteries (GMSA) a vu ses recettes et sa rentabilité baisser l'an dernier. La surcapacité de la meunerie suisse, la hausse des prix des céréales et la mauvaise récolte de l'an dernier ont pesé sur les résultats.

Le chiffre d'affaires net de Groupe Minoteries a diminué de 2,1% sur un an à 145 millions de francs, indique jeudi dans un communiqué le meunier vaudois basé à Granges-près-Marnand. La diminution des volumes ainsi que la hausse des prix des matières premières ont pesé sur les résultats.

Le résultat d'exploitation (Ebit) s'est établi à 5,4 millions, en baisse de 18,9% par rapport à l'exercice 2023. Le résultat net a chuté de 15% à 5,4 millions.

Les charges de personnel sont restées quasi stables malgré une augmentation salariale de 2% en 2024. Les charges d'exploitation ont légèrement augmenté de 1,8%. L'augmentation de la consommation d'électricité, de la principale assurance du groupe ainsi que des frais d'analyses complémentaires sont les principales causes de cette évolution.

Marges sous pression

Malgré une situation tendue sur le marché, le conseil d'administration proposera, lors de la prochaine assemblée générale, un dividende inchangé par rapport à l'exercice précédent de 11 francs par action.

En 2025, la branche de la meunerie en Suisse va encore perdre en volume avant de se stabiliser, avertit le meunier vaudois dans son communiqué. Des modifications importantes dans la structure du marché et chez les différents acteurs sont donc à prévoir à moyen terme. Durant ce temps d'adaptation, les marges vont encore être mises sous pression.

Dans ce contexte, les perspectives de Groupe Minoteries devraient rester complexes pour l'année 2025. Le chiffre d'affaires ainsi que l'Ebit resteront sous pression.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Roche s'allie avec Zealand Pharma dans la lutte contre l'obésité

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Cette collaboration viendra compléter le portefeuille de Roche dans le domaine des maladies cardiovasculaires, rénales et métaboliques (CVRM). (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Roche a conclu un accord exclusif avec le danois Zealand Pharma pour co-développer et co-commercialiser le pétrelintide en tant que thérapie pour les personnes souffrant de surpoids et d'obésité.

Cette nouvelle était accueillie très favorablement à la Bourse suisse, le titre gagnant nettement du terrain. L'entreprise danoise pourra recevoir une rémunération totale de 5,3 milliard de dollars (4,7 milliards de francs) dans le cadre de cet accord.

Le pétrelintide, actuellement en phase 2 de développement clinique, est un analogue de l'amyline à longue durée d'action de Zealand Pharma pouvant être administré une fois par semaine par voie sous-cutanée.

L'accord prévoit une série d'options thérapeutiques "potentiellement les meilleures de leur catégorie", en monothérapie et en association à dose fixe avec l'incrétine CT 388, l'actif phare de Roche, a expliqué le géant pharmaceutique bâlois mercredi dans un communiqué.

Cette collaboration viendra compléter le portefeuille de Roche dans le domaine des maladies cardiovasculaires, rénales et métaboliques (CVRM).

Des profits à parts égales

Zealand Pharma recevra 1,4 milliard de dollars à la clôture de la transaction et 250 millions au cours des deux premiers anniversaires de la collaboration, selon les termes de l'accord. La société aura également droit à des étapes de développement et de ventes, faisant passer le total de la transaction à 5,3 milliards de dollars.

Les profits et les pertes pour le pétrelintide et le pétrelintide/CT-388 seront partagés sur une base 50/50 aux Etats-Unis et en Europe et Zealand Pharma est éligible pour recevoir des redevances échelonnées à deux chiffres jusqu'à des redevances de l'ordre de 10% sur les ventes nettes dans le reste du monde, précise Roche.

Zealand Pharma versera de son côté à Roche 350 millions de dollars, déductibles des paiements d'étape, pour le produit combiné à dose fixe pétrelintide/CT-388 ou les produits combinés à base de pétrelintide de nouvelle génération développés dans le cadre de l'accord de collaboration.

"Cet accord est logique, car Roche vient tout juste d'entrer dans la franchise CVRM par l'acquisition récente de Carmot Therapeutics en décembre 2023. Pour s'attaquer aux multiples facettes de cette maladie et rivaliser efficacement avec les nombreux concurrents dans ce domaine, Roche doit élargir ses options thérapeutiques", a noté l'analyste Stefan Schneider de Vontobel.

Il prévoit le premier lancement des actifs CVRM de Roche en 2028 et des estimations de ventes maximales ajustées au risque de 1,9 milliard de francs. Il recommande d'acheter le titre et donne un objectif de cours de 320 francs.

L'expérience de Novo Nordisk avec son médicament de perte de poids CagriSema "montre qu'il est difficile de développer deux médicaments dont les effets secondaires gastro-intestinaux se chevauchent et de battre le Zepbound de Lilly", a souligné l'expert Marcel Brand de la Banque cantonale de Zurich.

Si le résultat est toutefois positif, "la combinaison aurait un potentiel de 5 milliards de dollars, malgré la pression sur les prix et les génériques du GLP-1", a-t-il ajouté, tout en conseillant de "surpondérer."

L'obésité est une maladie hétérogène qui s'accompagne de plus de 200 comorbidités, dont des maladies cardiovasculaires et métaboliques, et qui devrait toucher plus de 4 milliards de personnes dans le monde d'ici à 2035, selon Roche.

A 11h45, le bon Roche montait de 4,3% à 309,50 francs, soutenant l'indice vedette SMI qui avançait de 1,68%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

A Washington, une fresque "Black Lives Matter" effacée

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La fresque au nom du mouvement "Black Lives Matter" dans une rue proche de la Maison Blanche était dans le viseur des Républicains (archives). (© KEYSTONE/AP/ANDREW HARNIK)

Des ouvriers ont commencé lundi à Washington à effacer une fresque aux couleurs du mouvement de protestation antiraciste "Black Lives Matter", qui se trouvait dans le viseur des Républicains.

Le nom de ce mouvement qui avait éclaté en 2020 à la suite de la mort de George Floyd, un Afro-Américain tué par un policier blanc, avait été inscrit en lettres jaunes sur le bitume dans une rue située non loin de la Maison Blanche.

Mais la fresque était dans le viseur des Républicains depuis le retour à la présidence de Donald Trump, déjà en fonction au moment de "Black Lives Matter" (la vie des Noirs compte).

"C'est historique, et maintenant ils disent en gros que ça n'a pas eu lieu", a regretté lundi auprès de l'AFP une Afro-américaine, venue jeter un dernier coup d'oeil à l'inscription alors que des marteaux-piqueurs s'attaquaient à la chaussée.

Elle montrait que les dirigeants "avaient de la compassion, (disaient) +nous vous entendons+", a quant à elle expliqué Tajuana McCallister, 57 ans, soignante dans le Maryland.

Mais "l'histoire des Noirs n'a clairement pas d'importance pour lui", a-t-elle poursuivi, en désignant la Maison Blanche.

"D'autres chats à fouetter"

La maire démocrate de Washington Muriel Bowser avait dit la semaine dernière avoir "d'autres chats à fouetter que de se battre pour ce qui a été très important pour nous et pour l'histoire".

"Nous nous concentrons aujourd'hui sur le fait de garantir la survie de nos habitants et de notre économie", avait ajouté l'édile, qui craint que les licenciements massifs de fonctionnaires fédéraux décidés par M. Trump et par son allié Elon Musk nuisent aux finances de la ville.

Interrogée pour savoir si le retrait de la fresque avait été décidé sous la pression de la Maison Blanche, Mme Bowser avait refusé de rentrer dans les "détails". "Mais je pense qu'on peut affirmer sans prendre de risque que des gens ne l'aiment pas, ne l'aimaient pas."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Nestlé investit 15 millions d'euros dans Nescafé en Espagne

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Nestlé investit 15 millions d'euros dans Nescafé en Espagne. (archive) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La filiale espagnole de Nestlé va investir 15 millions d'euros dans son usine Nescafé, qui produit le café instantané et les capsules Nescafé Dolce Gusto, située à Gérone près de Barcelone. L'objectif est d'y développer davantage d'emballages dit recyclables.

Nestlé a déjà commencé la construction de deux nouvelles lignes d'emballage qui permettront l'utilisation de matériaux recyclables, en minimisant l'utilisation de plastiques vierges et en travaillant avec des machines plus économes en énergie, a indiqué à l'agence AWP une porte-parole de Nestlé Espagne, confirmant une information parue dans la presse ibérique.

Les travaux devraient être terminés d'ici la fin de l'année, a-t-elle ajouté.

Cet investissement va permettre de produire pour la première fois des sachets de recharge Nescafé dans le pays. Ces sachets de café soluble, fabriqués en Suisse et transportés en Espagne depuis 2022, offrent aux clients une alternative plus durable aux contenants en verre et en plastique habituels de Nescafé, affirme le groupe.

Nestlé prévoit également de construire sur le site une nouvelle ligne à haut rendement pour les petits sachets Nescafé fabriqués à partir d'un seul matériau recyclable. La nouvelle ligne aura une capacité de production de 1200 sachets par minute destinés aux secteurs de la vente au détail et de l'hôtellerie et devrait permettre de réduire l'utilisation de plastique vierge de 60 tonnes par an.

Active depuis 1968, l'usine de Gérone emploie plus de 900 personnes et exporte 84% de son café soluble et 75% de sa production de capsules Nescafé Dolce Gusto vers 56 pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Plus de 26'000 personnes victimes chaque année d'une lésion cérébrale

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26'000 personnes sont victimes d’une lésion cérébrale, chaque année en Suisse. Un nombre rappelé à l’occasion de la Semaine internationale du Cerveau qui démarre lundi 10 mars. Si certaines conséquences sont visibles la lésion provoque aussi de nombreux handicaps invisibles.

Comment le cerveau récupère après des lésions cérébrales ? Question difficile tant notre cerveau est complexe de même que les conséquences des lésions cérébrales. Elles seront différentes d’une personne à l’autre et dépendent de la gravité et du type de lésion.

Une lésion cérébrale peut être causée par un accident ou une maladie avec, à la clé, de nombreuses séquelles qui impactent le quotidien des personnes touchées, mais souvent invisibles donc difficilement identifiables pour les autres. Une problématique illustrée par Samia Ladhari, diagnostiquée d'une tumeur cérébrale  il y a 4 ans, à l’âge de 53 ans.

Comme Samia, beaucoup de personnes touchées par une lésion cérébrale ne parviennent plus à exercer leur profession ou à exécuter des tâches de la vie quotidienne.

Les personnes, qui comme Samia, vivent avec une lésion cérébrale peuvent compter sur l’aide d’associations, notamment FRAGILE Suisse, qui offre un service de conseil, un accompagnement à domicile, des cours et propose aussi des groupes de parole pour les personnes cérébrolésées.

Retrouvez le témoignage de Samia en intégralité.

 

 

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