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Disco en feu: la Macédoine du Nord a enterré ses morts

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La Macédoine du Nord a enterré jeudi ses morts dans un "tsunami de larmes". (© KEYSTONE/AP/Armin Durgut)

La Macédoine du Nord a enterré jeudi les victimes du terrible incendie d'une discothèque qui a fait 59 morts dans la petite ville de Kocani, emportée toute la journée par un "tsunami de larmes".

Roses rouges et blanches à la main, T-shirts floqués des portraits des victimes, des centaines de personnes ont dit un dernier adieu à leurs amis, frères, soeurs, enfants et petit-enfants ou voisins.

Sous un ciel absolument bleu, une foule dense s'est rassemblée dès la fin de matinée dans le cimetière de la ville, passant peu à peu des pleurs et des lamentations à un immense silence, interrompu deux fois par les secours venus aider des proches évanouis. Puis les chants des prêtres se sont élevés.

"Il n'y a pas de mot assez fort pour consoler de la perte d'enfants si jeunes", a déclaré l'archevêque Stefan, chef de l'Eglise orthodoxe de Macédoine du Nord et plus haute autorité religieuse nationale, "ce que nous pouvons faire, c'est faire en sorte que de tels accidents ne se reproduisent plus jamais", a-t-il ajouté devant une chapelle comble.

Parmi les 59 victimes de l'incendie, six avaient moins de 18 ans, a indiqué dans l'après-midi le bureau du procureur.

Larmes

Tout la matinée, la ville de Kocani s'était préparée aux funérailles de ses enfants. Dans le centre-ville, sous une tente verte, le livre de condoléances s'est rempli, et des passants ont déposé des fleurs et des bougies devant des dizaines de portraits des victimes.

Parmi ceux venus rendre hommage, Nikola retenait avec difficulté ses larmes en évoquant les amis perdus dans l'incendie. "Ce n'est pas une rivière de larmes, c'est un tsunami de larmes", qui emporte Kocani, "cette ville est morte. Elle a perdu toute une génération de jeunes qui aurait dû la rendre fière".

"Il devrait y avoir une grande enquête pour retrouver toutes les personnes responsables. Toutes, je dis bien toutes. Mes amis sont morts, certains de mes amis les plus proches sont morts... c'est très très triste".

Derrière lui, les photos des victimes de l'incendie, parmi les pires dans une discothèque en Europe, rappellent la jeunesse de la plupart d'entre elles.

Des avis de décès ont été placardés à travers la ville au tronc des arbres dont certains commencent à refleurir.

Des funérailles ont aussi été organisées à Skopje, la capitale, et cinq autres villes. Les dernières cérémonies ont pris fin en fin d'après-midi.

"Ville morte"

"Que dire ? Nous ne sommes pas en état maintenant de pouvoir parler. Kocani est une ville morte. C'est une petite ville, nous sommes tous voisins, amis, membres de la même famille...", soupirait dans la matinée Mitko Petrusev, 65 ans.

"L'incendie n'a pas duré deux minutes, l'incendie dure depuis trente ans. Les institutions ne font pas leur travail, la corruption est partout", accuse ce retraité, qui a assisté aux funérailles comme presque toute la ville.

"Comment ne pas y aller ? La moitié des garçons morts sont mes cousins, mes amis, mes camarades. Pour nous, c'est un jour difficile", dit-il.

En colère contre ceux qui "pillent la Macédoine depuis 30 ans", il poursuit : "Tous ceux qui arrivent au pouvoir, ils pillent, puis un autre vient, il pille et s'en va. Rien ne fonctionne comme ça devrait. Cette discothèque fonctionne depuis des années et tout le monde sait".

L'incendie du "Pulse" s'est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche. Il a aussi fait près de 200 blessés.

Les victimes, essentiellement des jeunes, assistaient au concert du groupe hip-hop DNK, très populaire dans le pays. Environ 250 billets avaient été vendus, mais 500 personnes se trouvaient dans la boîte de nuit, selon le ministère macédonien de l'Intérieur.

Le feu semble avoir été déclenché par des étincelles qui ont atteint le plafond, facilement inflammable, selon des éléments de l'enquête donnés par les autorités.

Dès le lendemain de l'incendie, les autorités ont promis des actions rapides contre les boîtes de nuit pour vérifier leurs licences - le "Pulse" opérant selon les premiers éléments avec une licence falsifiée. Plus de vingt personnes font l'objet d'une enquête dont un ancien ministre.

Jeudi, 28 suspects avaient été identifiés, a indiqué dans une interview au journal Politika le procureur général Ljupco Kocevski. Sur les 28, "trois sont hospitalisés, 18 sont en détention provisoire, et 7 policiers font l'objet d'une enquête et sont aussi en détention", a-t-il précisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Nouveau chef du service de sécurité intérieure en Israël

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Le limogeage du précédent chef du Shin Bet, Ronen Bar, avait donné lieu à des manifestations à Tel Aviv (archives). (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Benjamin Netanyahu a choisi l'ex-commandant de la marine Eli Sharvit comme nouveau chef du Shin Bet, indiqué lundi son bureau. Cela malgré le gel par la Cour suprême de la demande du gouvernement de destituer le directeur en exercice du service de sécurité intérieure.

"Après avoir mené des entretiens approfondis avec sept candidats qualifiés, le Premier ministre isralien a décidé de nommer l'ancien commandant de la marine, l'amiral réserviste Eli Sharvit, au poste de prochain directeur du Shin Bet", indique le bureau du dirigeant dans un communiqué.

"L'amiral Sharvit a servi pendant 36 ans dans les forces de défense israéliennes, dont 5 ans en tant que commandant de la marine. A ce poste, il a dirigé le développement de la force de défense maritime (...) et géré des systèmes opérationnels complexes contre le (mouvement islamiste palestinien) Hamas, le (mouvement islamiste libanais) Hezbollah et l'Iran", ajoute le communiqué.

Le gouvernement dirigé par Benjamin Netanyahu a décidé de limoger le chef du Shin Bet, Ronen Bar, évoquant "une perte de confiance professionnelle et personnelle persistante entre le Premier ministre et le directeur du service" qui empêche "le gouvernement et le Premier ministre d'exercer efficacement leurs pouvoirs".

Limogeage suspendu

Mais à la suite de requêtes déposées par l'opposition israélienne et une ONG, la Cour suprême a suspendu le 21 mars le limogeage de M. Bar par le gouvernement, jusqu'à l'examen des recours d'ici au 8 avril.

La procureure générale du pays, Gali Baharav-Miara, qui joue aussi le rôle de conseillère juridique du gouvernement, a averti Benjamin Netanyahu que la décision de la Cour suprême lui "interdisait" temporairement de nommer un nouveau chef du Shin Bet.

Mais le septuagénaire a insisté sur le fait qu'il appartenait à son gouvernement de décider qui dirigerait l'agence de sécurité intérieure.

Dérive autocratique

La décision de limoger le chef du Shin Bet a provoqué d'importantes manifestations en Israël.

Une partie des Israéliens dénoncent ce qu'ils considèrent comme une dérive autocratique du Premier ministre, à la tête d'un des gouvernements les plus à droite de l'histoire d'Israël.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a choisi l'ancien commandant de la marine Eli Sharvit, comme prochain directeur du service de sécurité intérieure israélien (Shin Bet), selon un communiqué de ses services lundi.

"Après avoir mené des entretiens approfondis avec sept candidats qualifiés, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a décidé de nommer l'ancien commandant de la marine, l'amiral réserviste Eli Sharvit, comme prochain directeur du Shin Bet", indique le texte. Plus tôt ce mois-ci, la Cour suprême a suspendu le limogeage de l'actuel chef du Shin Bet, Ronen Bar, le temps d'examiner, d'ici le 8 avril, les recours déposés contre la décision du gouvernement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Accord sur les minerais: Trump avertit Zelensky contre un rejet

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A bord de l'Air Force One, Donald Trump a assuré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky de "gros, gros problèmes" en cas de retrait de l'accord sur les minerais. (© KEYSTONE/AP/Luis M. Alvarez)

Le président américain Donald Trump a averti dimanche son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'en cas de rejet d'un accord en discussions sur les minerais, il aura de "gros problèmes".

"Je vois qu'il essaie de se retirer de l'accord sur les terres rares. Et s'il le fait, il aura des problèmes. De gros, gros problèmes", a déclaré à bord de l'Air Force One Donald Trump, qui fait pression sur M. Zelensky pour qu'il signe un accord permettant aux groupes américains d'exploiter des minerais ukrainiens, tout en tentant de négocier un accord de cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie.

Le président américain Donald Trump s'est aussi dit auparavant "très énervé" et "furieux" contre son homologue russe Vladimir Poutine sur le dossier ukrainien et a menacé d'imposer de nouvelle taxes sur le pétrole russe, selon une interview accordée dimanche à la chaîne NBC.

Cessez-le-feu à tout prix

"Si la Russie et moi ne sommes pas capables de parvenir à un accord pour mettre un terme au bain de sang en Ukraine, et je pense que c'était la faute de la Russie (...), je vais imposer des droits de douane secondaires sur tout le pétrole qui sort de Russie", a averti Donald Trump, dans un changement de registre majeur vis-à-vis de Moscou alors qu'il veut mettre un terme à trois ans de conflit en Ukraine.

Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines, faisant craindre aux Ukrainiens et aux Européens un accord sur leur dos.

Sous pression américaine, Kiev avait accepté une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours, rejetée depuis par Moscou.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Malade, le magnolia historique de la Maison Blanche sera abattu

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La légende raconte que c'est l'ancien président Andrew Jackson qui a planté le magnolia à grandes fleurs, à la mémoire de sa femme décédée juste avant son investiture en 1829 (archives). (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Le Jackson Magnolia, un arbre gigantesque qui ombrage le portique sud de la Maison Blanche depuis le XIXe siècle, sera abattu cette semaine, a indiqué le président américain Donald Trump dimanche.

On raconte que c'est l'ancien président Andrew Jackson qui a planté ce magnolia à grandes fleurs, à la mémoire de sa femme décédée juste avant son investiture en 1829. Le jeune arbre aurait à l'époque été apporté de son domicile du Tennessee.

Des arboriculteurs se sont battus pendant des années pour maintenir en vie l'arbre malade dont la silhouette saisissante, le long de la façade sud du bâtiment, attire l'oeil.

Le "Jackson Magnolia" est l'arbre le plus ancien du terrain de la Maison Blanche, selon le Service des parcs nationaux américain. Celui-ci précise qu'à partir des années 1870, la plupart des présidents américains ont planté leur propre arbre commémoratif.

"Risque pour la sécurité"

"La mauvaise nouvelle est que toutes choses ont une fin", a écrit Donald Trump sur son réseau Truth social. Le magnolia, "en très mauvais état", représente "un grave risque pour la sécurité à l'entrée de la Maison Blanche" et "doit maintenant être enlevé", a-t-il ajouté.

M. Trump a indiqué que le magnolia allait être remplacé par un "autre arbre très joli" et que son bois allait être préservé "et pourrait être utilisé à d'autres fins nobles et grandes".

Ce n'est pas la première fois que les jardins de la Maison Blanche font les gros titres depuis l'investiture de Donald Trump. En février, il avait dit planifier de paver la fameuse roseraie sur laquelle donne le Bureau ovale, afin de lui donner l'aspect d'un patio comme dans sa propriété de Mar-a-Lago, en Floride.

"Le gazon, ça ne marche juste pas", avait déclaré Donald Trump à la chaîne Fox News, affirmant que la pelouse était facilement "trempée".

Au cours du premier mandat de Donald Trump, sa femme Melania a par ailleurs supervisé une rénovation de la roseraie, réaménageant de manière controversée le design traditionnel du célèbre parterre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le coprésident du PS Cédric Wermuth pour une sécurité européenne

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Pour le coprésident du PS Cédric Wermuth, la Suisse doit intégrer une structure européenne de sécurité (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le coprésident du Parti socialiste suisse, Cédric Wermuth, plaide pour que la Suisse intègre une structure européenne de sécurité. Les collaborations militaires doivent être repensées avant tout avec l'Union Européenne, insiste l'Argovien lundi dans la presse.

"D'une manière ou d’une autre, nous devons soutenir la coalition qui se met en place, avec Emmanuel Macron et Keir Starmer en tête", déclare Cédric Wermuth au Temps, face à ce qu'il qualifie de "trahison par le gouvernement néofasciste" de Trump". Il fait allusion à la "coalition des pays volontaires" que Paris et Londres tentent de constituer afin de garantir une éventuelle paix en Ukraine.

Cette structure européenne de sécurité est en train de se créer, "même s’il y a beaucoup d’interrogations", dit l'Argovien, qui estime que c'est le seul partenaire "fiable" de la Suisse. Celle-ci doit donc réfléchir à la construction d'une sécurité civile, et les collaborations militaires ne doivent plus être pensées uniquement avec l'OTAN - ce à quoi le PS s'oppose - mais avant tout avec l'UE.

Environ 12 milliards

"Nous devons enfin apporter notre contribution à la défense de l'Europe démocratique et sociale", renchérit le conseiller national argovien dans la NZZ. A ce titre, il peut imaginer que la Suisse cofinance des forces armées européennes de défense. En fin de compte, la Suisse profit aussi de cette protection de l'Europe, d'autant plus si l'Amérique se retire de l'OTAN.

Une action sur le plan militaire reste exclue, mais la Suisse peut aider à la reconstruction de l’Ukraine, réitère M. Wermuth. Concernant le montant de 500 milliards d’euros évoqué, il juge "ridicule" les 5 milliards de francs proposés pour ces dix prochaines années.

Si une contribution helvétique de 20 à 25 milliards de francs serait plus proportionnée, le socialiste juge réaliste au moins un doublement des fonds. On pourrait utiliser les avoirs de la banque centrale russe gelés en Suisse, environ 7 milliards, et l’argent des oligarques russes, environ 5 milliards. "C'est une question de volonté politique".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mexique: campagne pour l'élection des juges, unique au monde

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Les candidats aux postes de juges sont tirés au sort au Sénat de Mexico. Ce tirage au sort détermine qui se présente aux élections des juges (archives). (© KEYSTONE/AP/EDUARDO VERDUGO)

C'est une campagne unique au monde par son ampleur qui a commencé dimanche au Mexique avec la préparation de la première élection au suffrage universel des juges et des magistrats au nom de la réforme d'un pouvoir judiciaire largement décrié.

Le 1er juin, près de 100 millions d'électeurs seront appelés à désigner 881 juges et magistrats fédéraux et 1749 au niveau local, en vertu d'une réforme constitutionnelle du pouvoir de gauche en place, qui a suscité des critiques jusqu'aux Etats-Unis.

"A partir d'aujourd'hui (dimanche) et jusqu'au 28 mai, c'est le moment des campagnes pour les candidatures au Pouvoir judiciaire", selon un message de l'Institut national électoral (INE) sur les réseaux sociaux.

Au total 3422 candidats sont en course pour les responsabilités fédérales dont les neuf sièges à la Cour suprême (contre onze actuellement).

Les candidats sont obligés de ne pas dépasser un plafond de dépenses (entre 10'800 et 72'000 dollars).

Ils feront principalement campagne sur les réseaux sociaux, n'ayant accès ni à la publicité, ni aux médias. Autre différence avec les campagnes politiques traditionnelles: ils ne pourront pas organiser de réunion publique.

En Bolivie aussi

En Bolivie, les hauts magistrats sont également élus par un vote populaire, mais pas les juges ordinaires, qui sont désignés par un conseil de la magistrature.

L'ex-président Andres Manuel Lopez Obrador, qui a installé la gauche au pouvoir en 2018, a promulgué en septembre la réforme au nom de la lutte contre la "corruption" au sein du pouvoir judiciaire, et de l'établissement "d'un véritable Etat de droit".

L'élection des juges menace l'indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs, selon la Cour suprême actuelle et les Etats-Unis, qui se sont inquiétés pour la sécurité juridique de leurs investissements privés au Mexique.

Du même parti que son prédécesseur, l'actuelle présidente Claudia Sheinbaum a été élu avec près de 60% des voix lors de l'élection à un tour de juin dernier. La politique de l'ex-maire de Mexico est approuvée par près de 85% de la population, d'après les sondages.

Son Mouvement pour la régénération nationale (Morena, gauche) et ses alliés disposent d'une vaste majorité au Parlement et dans 24 des 32 Etats mexicains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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