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International

Négociations: Kiev veut a minima un accord sur une trêve partielle

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La Russie a ravagé le réseau énergétique ukrainien en trois ans d'invasion (archives). (© KEYSTONE/EPA STATE EMERGENCY SERVICE UKRAINE/)

L'Ukraine a dit vendredi souhaiter que les pourparlers par l'intermédiaire des Etats-Unis lundi en Arabie Saoudite aboutissent "au moins" à un moratoire russo-ukrainien sur les frappes contre les sites énergétiques, les autres infrastructures et en mer Noire.

A trois jours de ces discussions concomitantes entre Ukrainiens et Américains d'un côté et Russes et Américains de l'autre, les deux belligérants ont de nouveau échangé des frappes dans la nuit, s'accusant mutuellement d'avoir bombardé sur le sol russe une importante station de pompage et de mesure du débit du gaz distribué occupée par les forces ukrainiennes.

Afin de pousser à une trêve élargie, Kiev a choisi le ministre de la Défense, Roustem Oumerov, pour diriger la délégation ukrainienne, selon un responsable s'exprimant sous le couvert de l'anonymat.

"Nous voulons toujours nous mettre d'accord sur un cessez-le-feu, au moins sur (...) l'énergie, les infrastructures et la mer", a insisté ce responsable auprès de l'AFP, assurant que son pays était toujours "prêt" à un cessez-le-feu "général".

Moscou affirme n'avoir accepté qu'une pause ne concernant que les infrastructures énergétiques, bien en-deçà de la suspension générale de 30 jours des hostilités portée par l'administration de Donald Trump.

Le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky avait, quant à lui, au préalable donné son accord à une trêve sans conditions, dans la foulée de pressions considérables exercées par son homologue américain après leur accrochage dans le Bureau ovale fin février.

Vendredi, il a révélé devant la presse que son équipe se rendrait en Arabie Saoudite avec "une liste de sites civils et de zones" devant être pris en compte dans le cadre de l'éventuel moratoire sur les attaques.

Sujets "techniques"

Si Vladimir Poutine a validé le principe d'un arrêt des opérations contre les sites énergétiques, il s'est bien gardé d'entièrement suivre le président américain qui fait tout, de son côté, pour pouvoir se vanter d'avoir obtenu "un deal" entre les deux camps en conflit.

En Arabie saoudite, la Russie sera représentée lundi par Grigori Karassine, un sénateur et ex-diplomate de carrière, et Sergueï Besseda, un cadre du FSB (les services de sécurité), a fait savoir le Kremlin. Des émissaires d'un rang bien moindre que le ministre dépêché par Kiev.

"C'est le choix du président (...) et ils représenteront la Russie de la meilleure façon possible", a soutenu vendredi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

Parmi les sujets à aborder, nul doute que les Russes voudront imposer les "nuances" dont a parlé Vladimir Poutine sur la mise en place d'un moratoire et son contrôle, le chef de l'Etat russe disant craindre que l'Ukraine n'utilise une telle trêve pour recruter des soldats supplémentaires et recevoir de nouvelles armes occidentales.

Chez les Ukrainiens, on explique que ces pourparlers devraient ainsi se concentrer sur les aspects "techniques" d'un arrêt provisoire partiel des combats : "quels sites", "comment contrôler ce cessez-le-feu, quelles armes"?

"Pas confiance"

Dans ce contexte incertain, la Russie et l'Ukraine se reprochent mutuellement d'avoir frappé vendredi la station de pompage de Soudja, dans la région russe frontalière de Koursk.

Le ministère russe de la Défense a accusé les forces ukrainiennes, qui contrôlent ce site, de l'avoir "délibérément fait exploser".

Dmitri Peskov, a jugé que cela prouvait que Moscou ne pouvait pas avoir "confiance en la parole" de Volodymyr Zelensky, alors que, selon lui, l'ordre annoncé cette semaine par Vladimir Poutine de ne pas bombarder des cibles énergétiques en Ukraine était toujours "en vigueur".

En réaction, l'état-major de l'armée ukrainienne a dénoncé des accusations "sans fondement", affirmant que c'était les Russes qui avaient "tiré des obus d'artillerie" dans la nuit sur ces instalations.

En Ukraine, la Russie a envoyé dans la nuit 214 drones selon l'armée de l'air ukrainienne, qui a fait état de neuf blessés, dont quatre enfants, dans les régions méridionales de Zaporijjia et d'Odessa.

Dans la foulée, M. Zelensky a appelé ses alliés à faire "pression" sur Moscou pour parvenir à la fin de la guerre mais les Européens restent marginalisés dans les négociations à ce stade.

Le chef de l'Etat français, Emmanuel Macron, qui cherche à faire entendre la voix de l'Europe, a, quant à lui, estimé vendredi que les dernières attaques nocturnes montraient que la Russie ne voulait "pas la paix".

L'Allemagne a, dans le même temps, approuvé une nouvelle enveloppe d'aide militaire à l'Ukraine, d'un montant de trois milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

La Corée du Sud fait état de 18 morts dans des feux de forêt

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Les feux de forêt en Corée du Sud ont "causé des dommages sans précédent", a affirmé le président par intérim. (© KEYSTONE/AP/Yoon Gwan-shick)

La Corée du Sud a annoncé mercredi le décès de 18 personnes dans une série de feux de forêt toujours en cours, qui ont déjà causé des "dommages sans précédent", selon le président par intérim.

Des milliers de pompiers luttent depuis le week-end contre plusieurs incendies dans le sud-est du pays, qui ont ravagé des milliers d'hectares et réduit en cendres un temple bouddhique ancien.

Leur travail est compliqué par un temps sec et un vent fort qui facilitent la propagation des flammes.

Ces incendies ont déjà causé la mort de 18 personnes, a annoncé mercredi un responsable du ministère de la Sécurité à l'AFP, ajoutant que "six personnes ont été grièvement blessées et 13 ont subi des blessures mineures".

Ces feux ont "causé des dommages sans précédent", a affirmé mercredi le président par intérim de la Corée du Sud, Han Duck-soo, ajoutant qu'ils "se développent d'une manière qui dépasse les modèles de prévision existants".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump signe un décret pour réformer le processus électoral

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Le décret signé par Trump prévoit de rendre obligatoire la présentation de preuves de citoyenneté américaine au moment de l'inscription au niveau des Etats sur les listes électorales (image symbolique). (© KEYSTONE/EPA/SHAWN THEW / POOL)

Donald Trump a signé mardi un décret exécutif visant à imposer aux Etats américains des contrôles renforcés sur les listes électorales et à restreindre le vote par correspondance, le républicain s'insurgeant contre un système électoral supposément en sa défaveur.

Des experts ont estimé que le texte représentait un dépassement des prérogatives de l'exécutif et des associations ont déjà promis de le contester devant la justice.

Le président américain n'a jamais reconnu sa défaite à la présidentielle de 2020 face à Joe Biden et a dénoncé sans fondement des fraudes électorales massives, notamment dans le vote par correspondance - une méthode largement utilisée aux Etats-Unis.

"Peut-être que certains pensent que je ne devrais pas me plaindre parce qu'on a gagné de manière écrasante" en novembre dernier, a déclaré Donald Trump au moment de signer le décret à la Maison Blanche.

Le décret prévoit de rendre obligatoire la présentation de preuves de citoyenneté américaine au moment de l'inscription au niveau des Etats sur les listes électorales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Faille de sécurité sur le Yémen: Waltz assume sa "responsabilité"

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Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Trump à l'origine de la faille de sécurité sur les frappes américaines au Yémen, assume sa "responsabilité" (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Mike Waltz, le conseiller à la sécurité nationale de Trump à l'origine de la faille de sécurité concernant les frappes américaines au Yémen, a dit mardi assumer sa "responsabilité" après qu'un journaliste s'est retrouvé dans le groupe Signal qu'il avait créé.

"J'assume mon entière responsabilité. J'ai créé ce groupe", a réagi sur Fox News Mike Waltz lors de sa première interview depuis la révélation de ces faits, suggérant qu'il avait pu avoir le numéro du journaliste enregistré sur son téléphone en pensant que c'était celui de quelqu'un d'autre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Cisjordanie: Israël libère un réalisateur palestinien arrêté

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Yuval Abraham, également coréalisateur de "No Other Land", a indiqué que Hamdan Ballal avait été battu par un "groupe de colons". (© KEYSTONE/AP/Leo Correa)

La police israélienne a libéré mardi le Palestinien Hamdan Ballal, coréalisateur du documentaire "No other land" oscarisé cette année. Il avait été arrêté la veille après avoir été selon des militants la cible d'une attaque de colons israéliens en Cisjordanie occupée.

L'armée israélienne avait indiqué plus tôt que trois Palestiniens avaient été appréhendés lundi pour avoir "lancé des pierres" lors d'une "confrontation violente" entre Israéliens et Palestiniens dans le village de Soussia, dans le sud de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967.

Un porte-parole de la police avait confirmé à l'AFP la détention de Hamdan Ballal, avant l'annonce mardi de la libération des trois Palestiniens.

"Les trois hommes ont été transférés par l'armée à la police israélienne pour enquête sur des soupçons de jets de pierres, de dégâts matériels et de mise en danger de la sécurité", avant d'être libérés sous caution et interdits de contacter les autres personnes impliquées dans les violences, selon un communiqué de la police.

T-shirt taché de sang

Basel Adra, qui a travaillé avec Hamdan Ballal sur "No Other Land", a publié sur X une photo de ce dernier après sa libération, les yeux fermés et le t-shirt taché de sang.

"Hamdan a été libéré et est actuellement soigné dans un hôpital de Hébron. Il a été battu partout sur son corps par des soldats et des colons", a-t-il écrit, en affirmant que "les soldats avaient gardé ses yeux bandés et ses mains menottées toute la nuit".

Basel Adra avait publié une photo sur X lundi soir montrant le moment où, selon lui, Hamdan Ballal a été placé en garde à vue, "blessé et en train de saigner".

"Attaque de colons"

Lundi, Yuval Abraham, également coréalisateur de "No Other Land", a indiqué que M. Ballal avait été battu par un "groupe de colons". "Un groupe de colons a attaqué la maison de Hamdan Ballal. Alors qu'il était blessé et saignait, des soldats sont entrés dans l'ambulance qu'il avait appelée et l'ont arrêté."

Des militants du Center for jewish Nonviolence, une ONG opposée à l'occupation israélienne, ont affirmé qu'ils avaient été témoins des violences à Soussia.

Violences des colons récurrentes

Jenna, une militante américaine membre de l'ONG qui a refusé de donner son nom pour des raisons de sécurité, a affirmé à l'AFP avoir vu les forces israéliennes emmener Hamdan Ballal et deux autres Palestiniens dans une voiture de police.

Elle a ajouté qu'avant l'arrivée des forces israéliennes, un groupe de "15 à 20 colons" avait attaqué les militants présents sur place ainsi que la maison de M. Ballal à Soussia. "Ce type de violence a lieu régulièrement", selon elle.

Zone militaire

Le village de Soussia est situé près de la région de Massafer Yatta, d'où est originaire Basel Adra et qui a été déclarée zone militaire par Israël.

Après une longue bataille judiciaire, la Cour suprême a donné raison en 2022 à l'armée israélienne, dans une décision ouvrant la voie à l'expulsion des habitants des huit villages installés dans cette région.

Déplacement forcé

Tourné à Massafer Yatta, zone du sud de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé pour Israël depuis 1967, "No other land" suit un jeune Palestinien luttant contre ce que l'ONU qualifie de déplacement forcé des habitants des villages du secteur.

Environ trois millions de Palestiniens vivent en Cisjordanie aux côtés de près d'un demi-million d'Israéliens habitant dans des colonies, toutes illégales au regard du droit international.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le couple Vance au Groenland malgré les protestations du Danemark

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"Aucun membre du système officiel groenlandais n'a invité ces soi-disant touristes", a insisté auprès de l'AFP la députée Aaja Chemnitz, qui représente le Groenland au Parlement danois. (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

Le vice-président américain JD Vance a annoncé mardi qu'il se rendrait vendredi au Groenland, défiant le Danemark qui s'était auparavant insurgé contre la visite prochaine de responsables américains dans son territoire autonome, ouvertement convoité par Donald Trump.

Etaient déjà prévus les déplacements du conseiller à la sécurité nationale Mike Waltz, qui doit aller cette semaine au Groenland selon le gouvernement groenlandais, et du ministre de l'Energie Chris Wright, d'après la presse américaine.

Ainsi que d'Usha Vance, l'épouse de M. Vance, qui y sera de jeudi à samedi. C'est au tour maintenant du vice-président, qui a pris des positions particulièrement dures en matière de politique étrangère, de se rendre sur place.

"Il y avait tant d'excitation autour de la visite d'Usha au Groenland vendredi que j'ai décidé que je ne voulais pas la laisser s'amuser toute seule et je me joindrai donc à elle", a déclaré le vice-président américain dans une vidéo publiée sur la plateforme X.

Questions de "sécurité"

JD Vance se rendra à la base spatiale de Pituffik, une base de la branche de l'armée américaine dédiée à l'espace, "pour être informé des sujets liés à la sécurité de l'Arctique" et rencontrer les troupes, ont fait savoir ses services.

Il sera accompagné de sa femme, qui n'assistera finalement pas à une course nationale de chiens de traîneau, comme cela avait été initialement annoncé.

L'annonce des premières visites, présentées comme privées, avait déjà déclenché l'ire des responsables politiques danois et groenlandais.

"On ne peut pas organiser une visite privée avec des représentants officiels d'un autre pays", a dit la cheffe du gouvernement danois Mette Frederiksen à la presse.

"La pression exercée sur le Groenland et le Danemark dans cette situation est inacceptable. Et c'est une pression à laquelle nous allons résister", a ajouté la Première ministre, soulignant avoir le soutien de ses alliés à travers l'Europe.

Attente d'un nouveau gouvernement

Le Groenland est dans l'attente d'un gouvernement après la tenue d'élections législatives le 11 mars qui ont vu la victoire du centre-droit.

Sur Facebook, le gouvernement sortant a rappelé n'avoir "envoyé aucune invitation pour des visites, qu'elles soient privées ou officielles".

"Le gouvernement actuel est un gouvernement de transition dans l'attente de la formation d'une nouvelle coalition gouvernementale, et nous avons demandé à tous les pays de respecter ce processus", est-il écrit.

"Aucun membre du système officiel groenlandais n'a invité ces soi-disant touristes", a insisté auprès de l'AFP la députée Aaja Chemnitz, qui représente le Groenland au Parlement danois.

Le président Trump, qui ne cesse de répéter son souhait d'annexer le Groenland, a de son côté assuré que la visite répondait à "l'appel" de "nombreuses personnes du Groenland qui aimeraient que quelque chose se passe pour qu'il soit correctement protégé et que l'on s'en occupe correctement".

"Nous sommes des alliés, nous avons un accord de défense sur le Groenland qui remonte à 1951", a rappelé Mme Frederiksen. "Rien n'indique, ni au Danemark ni au Groenland, que nous ne voulons pas coopérer avec les Américains".

Manifestation

Depuis décembre et les premières annonces de Donald Trump sur son intention d'acquérir l'immense île arctique, sa classe politique a souligné qu'elle n'était pas à vendre, mais "ouverte aux affaires".

Dans un sondage réalisé fin janvier, la population groenlandaise s'est dite massivement opposée à l'idée d'un rattachement à Washington.

"À Sisimiut (où a lieu la course de chiens), ils seront accueillis par une manifestation, que je soutiens. Ils auraient dû y réfléchir à deux fois", a souligné Mme Chemnitz.

Territoire grand comme quatre fois la France, le Groenland attise les convoitises sur ses supposées richesses minérales, très largement inexploitées.

Le gouvernement sortant avait introduit une législation interdisant l'extraction de produits radioactifs. La prospection pétrolière a elle aussi été suspendue. Soutenues par la population, ces deux interdictions ne devraient pas être remises en cause.

Quant au nouveau gouvernement, les analystes ne se risquent pas à prévoir sa formation. Des négociations sont en cours sont la houlette du vainqueur du scrutin, les Démocrates.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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