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Caracas annonce de nouveaux rapatriements à partir des Etats-Unis

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Le gouvernement vénézuélien de Nicolas Maduro (archives) a convenu avec Donald Trump de rapatrier les migrants vénézuéliens. (© KEYSTONE/AP/Cristian Hernandez)

Le Venezuela a annoncé avoir convenu avec Washington de reprendre le rapatriement de migrants vénézuéliens des Etats-Unis, une semaine après l'expulsion du territoire américain vers une prison au Salvador de Vénézuéliens accusés d'appartenir à des gangs criminels.

"Dans le but d'assurer le retour de nos compatriotes en protégeant leurs droits humains, nous avons convenu avec le gouvernement américain de reprendre le rapatriement des migrants vénézuéliens avec un premier vol demain, dimanche 23 mars", peut-on lire dans un communiqué publié samedi et signé par le président de l'Assemblée nationale Jorge Rodriguez, chef des négociateurs avec les Américains.

"Migrer n'est pas un crime et nous n'aurons de cesse d'obtenir le retour de tous ceux qui le demandent et de sauver nos frères enlevés au Salvador", conclut le texte.

Un avion transportant 300 migrants, qui voulaient rallier les Etats-Unis mais étaient bloqués au Mexique, a atterri jeudi à Caracas tandis que les vols de migrants à partir des Etats-Unis étaient suspendus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Rat et insecte au menu: une chaîne de fast-food ferme au Japon

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Le rat peut se cuisiner, comme ici à Taïwan, mais en l'occurrence il constituait plutôt un signe d'insalubrité (Photo prétexte).. (© KEYSTONE/AP/WALLY SANTANA)

La chaîne de restaurants japonaise Sukiya va temporairement fermer la quasi-totalité de ses quelque 2000 magasins après qu'un rat a été trouvé dans une soupe miso et un insecte dans un autre plat, a annoncé la société samedi.

Réputée pour ses bowls de boeuf, Sukiya a présenté ses excuses dans un communiqué faisant état d'une contamination par un insecte dans l'un de ses restaurants de Tokyo vendredi, deux mois après l'incident du rat dans un autre restaurant.

"Sukiya a décidé de fermer temporairement tous les restaurants, à l'exception de certains magasins dans les centres commerciaux, du 31 mars au 4 avril afin de prendre des mesures contre les nuisibles et les vermines", a déclaré la société.

Selon le quotidien économique Nikkei, les magasins dans les centres commerciaux seront également fermés dès que les conditions techniques le permettront.

La chaîne de restauration rapide compte environ 1970 magasins à travers le Japon.

Les rappels alimentaires sont rares au Japon, un pays réputé pour ses normes d'hygiène élevées, mais des incidents d'intoxication alimentaire et des rappels de produits font parfois les gros titres. En 2024, plus de 100'000 paquets de pain tranché ont ainsi été rappelés après que des morceaux d'un rat ont été découverts à l'intérieur de deux sacs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Avant l'Aïd, les talibans libèrent près de 2500 prisonniers

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Les prisonniers ont été libérés avant la fête de l'Aïd, qui marque la fin du ramadan. (© KEYSTONE/EPA/SAMIULLAH POPAL)

Les autorités talibanes en Afghanistan ont libéré près de 2500 prisonniers avant la fête de l'Aïd, marquant la fin du ramadan, a annoncé samedi la Cour suprême. L'ONU avait mis en garde contre l'augmentation de la population carcérale dans ce pays.

Selon un message posté sur X, "2463 prisonniers éligibles à l'amnistie ont été libérés, tandis que 3152 autres ont bénéficié de réductions de peine", conformément à un décret du chef suprême des talibans.

Le nombre exact de prisonniers détenus par les différents organes de sécurité en Afghanistan n'est pas connu, mais un porte-parole du Bureau de l'administration pénitentiaire (OPA) a précisé samedi à l'AFP qu'entre 11'000 et 12'000 condamnés étaient sous sa garde.

Environ le même nombre est en détention dans l'attente d'un procès, d'une condamnation ou d'un appel, a ajouté ce porte-parole, Mohamad Nasim Lalahand. La libération de prisonniers condamnés pour des délits mineurs est une pratique courante à l'approche de la fête de l'Aïd el-Fitr, qui devrait débuter dimanche ou lundi.

"Pression insoutenable"

L'année dernière, les autorités talibanes, au pouvoir depuis 2021, avaient libéré quelque 2800 prisonniers avant la fin du ramadan, selon les médias locaux. En octobre dernier, la Mission d'assistance des Nations unies en Afghanistan (MANUA) avait souligné avoir été informée par l'OPA que la population carcérale augmentait, "le nombre de détenus admis chaque jour étant supérieur au nombre de détenus libérés".

La MANUA a mis en garde contre le nombre élevé d'arrestations et les longues peines d'emprisonnement qui exercent une "pression insoutenable sur les installations pénitentiaires" afghanes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des centaines de milliers de personnes mobilisées en Turquie

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Une énorme foule a pris forme à Istanboul samedi. (© KEYSTONE/EPA/TOLGA BOZOGLU)

Plusieurs centaines de milliers de personnes se sont rassemblées samedi à Istanbul, à l'appel du CHP, le parti d'opposition du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoglu. Elles ont dénoncé son arrestation, malgré la répression qui continue de s'abattre sur les protestataires.

La foule s'est retrouvée à la mi-journée sous un ciel bleu sur la rive asiatique de la métropole "pour poursuivre la marche vers le pouvoir", selon l'appel du chef du Parti républicain du peuple (CHP), Özgür Özel, qui a estimé à 2,2 millions le nombre de manifestants.

Parmi eux, une femme de 82 ans portant un foulard, une photo d'Imamoglu et le drapeau turc, confie "ne pas avoir peur: je n'ai qu'une vie, je suis prête à la sacrifier pour ce pays". Mais elle refuse de donner son nom, "au cas où ils viendraient frapper à ma porte".

"C'est un homme honnête, c'est lui qui sauvera la république turque", déclare-t-elle à propos du maire qui a été arrêté puis emprisonné dans le cadre d'une enquête pour corruption, sur la base d'accusations largement considérées comme fallacieuses.

Les manifestants, munis du drapeau turc et de portraits de Mustafa Kemal Atatürk, le père de la nation, scandent "Taksim est partout, la résistance est partout!" en référence à la place stambouliote, épicentre du vaste mouvement de contestation de Gezi en 2013. Parmi eux: l'épouse, la mère et les deux fils d'Ekrem Imamoglu.

Rassemblements réguliers

"Nous sommes ici pour notre patrie. C'est nous, le peuple, qui élisons nos gouvernants", insiste Melis Basak Ergun, 17 ans, en jurant que les manifestants ne se laisseraient jamais intimider "par la violence ou les gaz lacrymogènes".

L'arrestation de M. Imamoglu le 19 mars a déclenché une vague de protestations inédite en plus d'une décennie à travers la Turquie, mobilisant des dizaines de milliers de manifestants chaque soir dans les rues, jusqu'à lundi soir.

Depuis, le parti a cessé de convoquer la foule devant la municipalité. Mais dans un entretien au quotidien français Le Monde, daté de samedi, Özgür Özel, devenu le porte-voix de l'opposition, annonce la tenue de rassemblements réguliers à venir.

Rappelant qu'ils ont été interdits par les autorités dès l'arrestation du maire, le chef du parti kémaliste se dit prêt à "prendre le risque de passer huit, dix ans en prison s'il le faut. Parce que si nous ne repoussons pas cette tentative de coup d'Etat, il en sera fini des urnes".

Un test avant l'Aïd

"J'ai participé aux rassemblements devant l'hôtel de ville pendant quatre jours avec des étudiants de l'université. Je leur ai dit de ne pas céder", déclare à l'AFP un manifestant de 78 ans, Cafer Sungur. "J'ai été emprisonné dans les années 1970, mais à l'époque, il y avait une justice. Aujourd'hui, on ne peut plus parler de justice".

Le CHP s'apprêtait à investir M. Imamoglu comme son candidat pour la prochaine présidentielle prévue en 2028 quand il a été arrêté le 19 mars et envoyé en prison cinq jours plus tard. En ce début du long week-end de l'Aïd el Fitr, qui sera célébré dimanche pour marquer la fin du ramadan, le rassemblement de samedi a donc valeur de test pour l'opposition alors que de nombreux stambouliotes auront quitté la ville pour être en famille.

D'autant que le président Recep Tayyip Erdogan a annoncé cette semaine l'octroi de neuf jours de congés aux fonctionnaires et institutions publiques. Si les jeunes et les étudiants surtout ont tenté de poursuivre la mobilisation, la répression qui continue avec des arrestations, chez eux à l'aube, de manifestants, journalistes, avocats pourrait rebuter les plus déterminés.

Rien qu'à Istanbul, 511 étudiants avaient déjà été interpellés vendredi, dont 275 incarcérés, selon l'avocat Ferhat Güzel, pour qui "ce nombre est probablement beaucoup plus élevé".

Arrestations de journalistes

Selon les derniers chiffres officiels, plus de 2000 personnes ont été arrêtées dont 260 avaient été incarcérées. Vendredi soir, le journaliste suédois Joakim Medin, interpellé jeudi à sa descente d'avion, a été placé en détention dans une prison d'Istanbul, a affirmé le rédacteur en chef de son journal Dagens UTC, Andreas Gustavsson.

Selon les médias turcs le reporter est accusé d'avoir "insulté le président" turc et d'être "membre d'une organisation terroriste armée". "Je sais que ces accusations sont fausses, 100% fausses", a insisté pour sa part M. Gustavsson sur X.

Avant M. Medin, un reporter de la BBC, Mark Lowen a été expulsé "pour trouble à l'ordre public". Au moins douze journalistes turcs ont été arrêtés dans la semaine. La plupart ont été libérés, mais restent accusés d'avoir participé à des manifestations interdites qu'ils couvraient pour leur média, dont un photographe de l'AFP, Yasin Akgül, qui a dit craindre "une volonté d'empêcher les journalistes de faire leur travail".

Vendredi, l'avocat du maire d'Istanbul, Mehmet Pehlivan, a été "arrêté pour des motifs inventés de toutes pièces", selon M. Imamoglu, puis remis en liberté dans la soirée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le ministère de la Santé du Hamas annonce 921 morts

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Les bombardements israéliens ont repris le 18 mars. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a indiqué samedi que 921 personnes avaient été tuées dans le territoire palestinien depuis la reprise des bombardements israéliens le 18 mars. 25 ont été tuées au cours des dernières 24 heures.

Le ministère ajoute dans un communiqué que le bilan total depuis le début de la guerre, déclenchée par l'attaque du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023, se monte désormais à 50'277 morts dans la bande de Gaza.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Danemark s'en prend au "ton employé" par l'administration Trump

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Lors d'une visite sur la base militaire américaine de Pituffik au Groenland, le vice-président américain JD Vance (au centre) a vivement critiqué le Danemark. (© KEYSTONE/AP/Jim Watson)

Le ton vire à l'aigre samedi entre Etats-Unis et Danemark. La diplomatie danoise déplore la virulence des critiques du vice-président américain JD Vance sur l'inaction supposée du pays nordique au Groenland.

"Nous sommes ouverts aux critiques, mais, pour être tout à fait honnête, nous n'apprécions pas le ton sur lequel elles ont été formulées", a dit Lars Løkke Rasmussen dans une vidéo en anglais sur X. "Ce n'est pas ainsi que l'on s'adresse à ses proches alliés, et je considère toujours le Danemark et les États-Unis comme des proches alliés", a-t-il ajouté.

La réplique danoise achève une semaine de fortes tensions entre les deux pays, déclenchée par l'annonce d'une visite non souhaitée de dirigeants américains dans le territoire autonome danois, déplacement qui s'est finalement réduit vendredi à la base américaine de Pituffik.

Lors d'un discours sur l'unique base militaire américaine au Groenland, JD Vance a estimé que le Danemark "n'a pas fait du bon travail pour le peuple du Groenland", lui reprochant en particulier de ne pas avoir suffisamment investi dans l'immense île arctique que convoite Donald Trump.

Critiques "injustes"

"L'accord de défense de 1951 offre aux États-Unis de nombreuses possibilités d'avoir une présence militaire beaucoup plus forte au Groenland. Si c'est ce que vous souhaitez, discutons-en", a répliqué le ministre danois en référence au texte régissant la présence américaine au Groenland.

En 1945, les États-Unis avaient 17 bases et installations militaires au Groenland, avec des milliers de soldats, a-t-il rappelé. "Nous pouvons faire plus, beaucoup plus dans le cadre actuel", a-t-il ajouté. La base américaine de Pituffik constitue un avant-poste de la défense antimissile américaine, car la trajectoire la plus courte des missiles en provenance de Russie vers les Etats-Unis passe par le Groenland.

Vendredi soir, la Première ministre danoise Mette Frederiksen avait déjà déploré les critiques "injustes" des Américains, leur rappelant que le Danemark avait été à leurs côtés "dans des situations très difficiles", en référence à l'engagement danois aux côtés des troupes américaines notamment en Irak et Afghanistan.

Statu quo "révolu"

Donald Trump a répété vendredi avoir "besoin du Groenland". "C'est très important, pour la sécurité internationale". "Nous avions jusque-là tous agi en partant du principe que l'Arctique était et devait rester une zone à faible risque, mais cette époque est révolue", a constaté pour sa part le chef de la diplomatie danoise.

"Le statu quo n'est pas une option, et c'est pourquoi nous avons intensifié nos efforts en investissant" dans la sécurité de l'Arctique, a-t-il ajouté. En janvier, Copenhague a annoncé qu'il allait consacrer près de deux milliards d'euros au renforcement de sa présence dans l'Arctique et l'Atlantique Nord.

En dépit du ton menaçant de Donald Trump, le vice-président américain a exclu un usage de la force pour parvenir à s'emparer du territoire autonome danois, assurant que Washington parviendrait à convaincre les Groenlandais de se rallier aux Etats-Unis et de signer un accord avec eux.

Nouveau gouvernement

"Nous pensons que les habitants du Groenland sont rationnels et (...) que nous allons pouvoir conclure un accord, dans le style de Donald Trump, pour assurer la sécurité de ce territoire, mais aussi des Etats-Unis d'Amérique", a dit JD Vance. "Je pense qu'ils finiront par s'associer aux Etats-Unis, nous pourrions les rendre beaucoup plus sûrs (...). Et je pense qu'ils s'en sortiraient beaucoup mieux sur le plan économique", a-t-il ajouté.

Le Groenland vient de se doter d'un nouveau gouvernement de coalition et la majorité des Groenlandais souhaite l'indépendance du territoire, qui jouit d'une large autonomie au sein du royaume du Danemark.

"Il est très important que nous mettions de côté nos désaccords et nos différends (...), car c'est seulement ainsi que nous pourrons faire face à la forte pression à laquelle nous sommes exposés de l'extérieur", a dit le nouveau Premier ministre groenlandais, Jens-Frederik Nielsen en présentant son équipe vendredi. La population, majoritairement inuite, rejette toute perspective de devenir américaine, d'après un sondage publié fin janvier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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