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Santé

La Confédération veut une alimentation saine et durable pour tous

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La population suisse consomme trop de sucreries, trop de snacks salés et de matières grasses et pas assez de fruits, de légumes et de légumineuses (image d'illustration). (© KEYSTONE/FR170582 AP/MATTHEW MEAD)

En Suisse, 2,2 millions de personnes sont touchées par des maladies non transmissibles, et la tendance est à la hausse. Et la population ne s'alimente toujours pas de façon équilibrée, relève jeudi l'Office fédéral de la sécurité alimentaire (OSAV).

Une alimentation équilibrée, une activité physique suffisante et un poids situé dans la norme contribuent fortement à prévenir les maladies telles que le diabète, rappelle l'OSAV. La population consomme trop de sucreries, trop de snacks salés et de matières grasses et pas assez de fruits, de légumes et de légumineuses.

Cela à des conséquences: 15% des enfants et adolescents et 43% des adultes en Suisse souffrent de surpoids, voire d'obésité. Par ailleurs, le mode d’alimentation pèse sur l’environnement, notamment en raison du gaspillage alimentaire: en Suisse, il représente 2,8 millions de tonnes par an.

L'OSAV tient compte de ces données dans sa Stratégie suisse de nutrition 2025-2032, qui met l'accent sur la promotion de la santé et la durabilité. Elle vise à renforcer les connaissances de la population en matière de nutrition, à améliorer l’offre en aliments sains et à encourager la recherche dans le domaine de l’alimentation et des denrées alimentaires.

Les milieux politiques et économiques, l'administration et les institutions privées sont sollicités. Pour mettre en ½uvre la stratégie, l’OSAV entend élaborera d’ici fin 2025 un plan d’action avec des mesures et des objectifs quantifiables.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Au musée, le dernier chapitre des loups vaudois

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André Keiser, chef de l'atelier de taxidermie du Naturéum à Lausanne, termine la préparation d'un loup renversé fin décembre par une voiture. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Ici convergent les loups morts, accidentés ou tirés sur sol vaudois. A l'atelier de taxidermie du Naturéum à Lausanne, certains animaux sont destinés à être empaillés, et tous font l'objet d'une récolte de données. Chaque individu vient ainsi enrichir les collections scientifiques de l'institution.

"M236" et ses panneaux explicatifs trônent depuis un peu moins de deux ans dans les allées du Palais de Rumine non loin du tigre de Sibérie et de l'ours polaire. "Il louche, ce loup", remarque en souriant le taxidermiste du musée André Keiser, au moment d'évoquer les grands canidés accueillis entre ces murs. "Mais ça gêne peu de monde, la vitrine a du succès."

Le jeune mâle de 11 mois, issu d'une portée de cinq louveteaux nés au Marchairuz en 2021, a été abattu par un tir de régulation en mars de l'année suivante. Et il fait partie des loups qui ont été naturalisés - ou "empaillés" selon les pratiques d'autrefois - dans la capitale vaudoise durant les trois dernières années.

Dans un coin de l'atelier, qui jouxte l'entrée principale du bâtiment, un loup est couché sur son plateau de bois. Il s'agit de "Gros Pépère", le mâle reproducteur (M95) de la meute du Marchairuz. Ou, autrement dit, du père de M236, qui se trouve dans les salles d'exposition à l'étage. Plus loin, un autre loup: debout, cette fois, dans une position de "silhouette".

Les autres bêtes se dérobent. Plusieurs sont encore dans le congélateur.

Art de la conservation

"Nous n'avons pas le temps de tout taxidermiser", explique l'artisan, dont le métier tend à disparaître en Suisse. Car pour naturaliser l'animal d'une quarantaine de kilos, il faut compter entre deux mois et un an, entre le moment où le corps est réceptionné et celui où il est transformé.

Le résultat est l'affaire de quatre mains. André Keiser et son apprentie Céline Mouillé oeuvrent sur les spécimens qu'ils reçoivent, entre écorchage, tannage, montage et séchage. La partie la plus délicate? Les yeux, assurément, répond le taxidermiste.

Des yeux qui ne sont pas ceux d'origine, mais bien artificiels, comme le sont la plupart des éléments de la maquette finale. La mâchoire est trop fragile, la langue ne se garde pas et le squelette peut être prélevé pour être étudié. Seule la peau est réellement conservée.

Depuis le travail réalisé sur M236 - "le loup avec l'oeil qui part aux fraises" -, les deux naturalistes "sont montés en puissance". Techniques traditionnelles se mêlent aux plus récentes et forgent cet art d'apprêter et de conserver. Un animal taxidermisé aujourd'hui "est fait pour durer", rappelle celui qui travaille pour l'institution muséale depuis plus de 35 ans.

"Une avalanche de loups"

L'accord tacite qui existe avec la Direction générale de l'environnement (DGE) du Canton de Vaud "fait que l'on est prioritaire pour récupérer les carcasses" des animaux accidentés ou régulés sur le territoire, détaille Olivier Glaizot, conservateur en chef du Département de zoologie du Naturéum. Au moment de l'établir il y a près de trois ans, le Muséum cantonal des sciences naturelles recevait entre un et deux "Canis lupus" par année.

Depuis, "l'effet Albert Rösti" se fait sentir, constate le biologiste. L'entrée en vigueur de la loi fédérale sur la chasse révisée en 2023, qui autorise le tir de meutes entières, a provoqué "une avalanche de loups".

Selon un tempo qui est parfois difficile à déterminer, puisque les dépouilles transitent généralement par plusieurs endroits avant de se retrouver au musée. Elles passent par Berne et son Centre de médecine des poissons et des animaux sauvages (FIWI) afin d'être analysées, autopsiées et identifiées, relate le chercheur. Avant d'être, le plus souvent, renvoyées au service cantonal compétent.

Retracer le fil de l'histoire

Une fois à Lausanne, la mission est différente. Chaque vertébré qui passe les portes du musée intègre aussi ses collections scientifiques, fait savoir André Keiser. Prélever du matériel génétique sur l'animal, en l'occurrence un morceau de muscle, est partie intégrante du travail du taxidermiste. Les échantillons récoltés constituent une base de données centralisées, qui est mise à disposition de la recherche.

Il s'agit aussi de garder une trace "de ce qui est mythique dans le canton, à l'image du loup, mais aussi du chat sauvage ou du lynx", complète Olivier Glaizot. A terme, la volonté est de taxidermiser une meute entière, relève le conservateur en chef du Département de zoologie. "Mais on veut prendre le temps, surtout qu'on fait de la récupération, et aucunement des commandes de bêtes", continue-t-il.

Un sujet sensible

Parfois mal compris, le travail réalisé par l'institution se fait à la fois en marge et à travers les immenses débats politiques qui entourent le loup. "L'une des questions est de savoir si les musées devraient prendre position sur le sujet, ou simplement exposer les faits", évalue Olivier Glaizot.

"Ce sont de très belles bêtes. Une fois qu'on a la dépouille sur la table, on travaille de manière respectueuse", assure de son côté André Keiser. Le taxidermiste ne cache d'ailleurs pas la "forme d'émotion" qui se fait sentir à l'idée que Gros Pépère repose sur sa table, plutôt que de gambader dans le Jura vaudois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Sanofi s'offre pour 2,2 milliards de dollars l'américain Dynavax

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Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé avoir signé un accord pour acquérir l'entreprise américaine Dynavax. (archive) (© KEYSTONE/EPA/MARK R. CRISTINO)

Le géant pharmaceutique français Sanofi a annoncé mercredi avoir signé un accord pour acquérir l'entreprise américaine Dynavax, qui commercialise notamment un vaccin contre l'hépatite B pour adultes.

Selon l'accord, Sanofi lancera une offre publique d'achat en numéraire pour racheter toutes les actions de Dynavax, société cotée aux Etats-Unis, au prix de 15,50 dollars par action, ce qui valorise l'entreprise à environ 2,2 milliards de dollars (1,7 milliard de francs), selon le communiqué de Sanofi.

Dynavax développe notamment un candidat vaccin contre le zona, qui est "actuellement en phase 1/2 de développement clinique", de même que d'autres projets de vaccins, ajoute le laboratoire français.

Son vaccin contre l'hépatite B pour adultes, "Heplisav B", est actuellement commercialisé aux Etats-Unis et se distingue par sa posologie à seulement deux doses sur un mois, "qui permet d'obtenir des taux élevés de séroprotection plus rapidement que les autres vaccins", selon Sanofi.

Ces deux vaccins "ajoutent de nouvelles options à notre portefeuille et soulignent notre engagement à fournir une protection vaccinale tout au long de la vie", se félicite, Thomas Triomphe, vice-président exécutif chez Sanofi, cité dans le communiqué.

"Rejoindre Sanofi apportera l'envergure mondiale et l'expertise nécessaires pour maximiser l'impact de notre portefeuille de vaccins", abonde Ryan Spencer, directeur général de Dynavax, également cité.

L'hépatite B est une infection virale qui s'attaque au foie. Sa forme chronique est responsable de plus de 40% des cas de carcinome hépatocellulaire (cancer primitif du foie), le deuxième cancer le plus mortel dans le monde.

Le zona est la manifestation d'une réactivation du virus de la varicelle, le plus souvent chez les adultes âgés de plus de 50 ans. Après la varicelle, le virus reste en sommeil dans les cellules nerveuses humaines et peut se réactiver plus tard dans la vie, en raison d'un facteur déclenchant tel que le stress ou l'immunodépression.

Habituellement bénigne, cette infection localisée peut entraîner l'apparition de plaques douloureuses.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Santé

Pour le patron de Bell, les substituts de viande restent marginaux

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Bell entend continuer à miser sur la viande traditionnelle et la viande produite en laboratoire, affirme son patron Marco Tschanz (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

La phase de forte croissance des substituts de viande est terminée, affirme le directeur de Bell Suisse, Marco Tschanz. Le chiffre d'affaires de l'assortiment de substituts de viande de Bell Food Group n'augmente plus que de 0 à 1% par an, note-t-il.

Ces produits ont connu un boom pendant le Covid-19, mais le soufflé est retombé, remarque M. Tschanz dans un entretien diffusé mercredi par la Neue Zürcher Zeitung. Ils sont "restés jusqu'à présent un produit de niche", notamment en raison de leur goût, qui n'est pas comparable à celui de la viande, ajoute-t-il. Et il s'agit souvent de "produits hautement transformés avec de nombreux additifs", relève-t-il encore.

Bell entend continuer à miser sur la viande conventionnelle. La consommation par habitant en Suisse est stable depuis de nombreuses années, explique le patron du groupe. Mais la consommation de viande de poulet, en particulier, a nettement augmenté ces derniers temps, ajoute-t-il.

Le fabricant de viande mise également sur la viande produite en laboratoire. En 2018, l'entreprise a pris une participation dans la start-up néerlandaise Mosa Meat. "Si une technique permettant de produire de la viande sans abattre ni découper un animal voit le jour, nous devons en être", déclare M. Tschanz.

Mais, précise-t-il, il faudra encore du temps avant qu'un produit à base de viande de culture n'atteigne le marché de masse. Le processus d'autorisation est "très coûteux et fortement réglementé", explique le responsable. Dans l'Union européenne (UE), les procédures d'examen durent deux à trois ans, puis la politique doit décider. "Cela va donc encore durer au moins cinq ans".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Ethylène: Clariant rejette les accusations de MOL et Braskem

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Le chimiste bâlois Clariant a reçu de nouvelles plaintes dans le cadre de l'entente cartellaire sur les prix pour l'achat d'éthylène. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le chimiste bâlois Clariant a rejeté deux plaintes des groupes MOL et Braskem pour infraction au droit de la concurrence sur le marché de l'achat d'éthylène, sanctionnée par la Commission européenne en juillet 2020.

Clariant affirme dans un communiqué publié lundi disposer de preuves étayées démontrant que les faits reprochés n'ont eu aucun impact sur le marché de l'éthylène.

Les plaintes du hongrois MOL et du brésilien Braskem ont été déposées devant le tribunal de Munich, en Allemagne. Les dommages et intérêts réclamés s'élèvent à respectivement 548 millions et 402 millions d'euros.

En 2020, Clariant, Orbia, Celanese et Westlake avaient admis s'être entendus pour l'achat d'éthylène afin de maintenir le prix aussi bas que possible. Dans le cadre de cette infraction au droit de la concurrence, les quatre entreprises avaient conclu un accord amiable auprès de la Commission européenne. Clariant avait accepté de payer une amende de 155,8 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Roche veut une augmentation du prix des médicaments

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Thomas Schinecker, le CEO du groupe pharmaceutique Roche, fait pression pour que le prix des nouveaux médicaments soit revu à la hausse, en Suisse. (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le CEO de Roche, Thomas Schinecker, fait pression dans une interview pour que le prix des nouveaux médicaments en Suisse soit revu à la hausse. Le patron du groupe pharmaceutique montre les conséquences que cela aurait si la Suisse n'augmente pas les prix.

"Refuser une rémunération adéquate (...) mettrait automatiquement en péril le lancement de nouveaux traitements", déclare M. Schinecker dans une interview publiée dimanche dans la SonntagsZeitung et le Matin Dimanche.

"La Suisse est le pays qui a le plus à gagner et le plus à perdre", a déclaré le patron de Roche. Rien que les recettes fiscales de la branche pharmaceutique sont supérieures à ce que l'on dépense en Suisse pour des médicaments innovants", ajoute-t-il. Les recettes fiscales de la branche pharmaceutique sont à elles seules supérieures à ce que l'on dépense en Suisse pour des médicaments innovants.

Si la Suisse ne suit pas le système de référence des Etats-Unis et n'augmente pas en conséquence les prix des nouveaux médicaments, "Roche réaliserait moins de chiffre d’affaires, investirait moins dans la recherche de pointe, verserait moins d’impôts et créerait moins d’emplois en Suisse", dit-il aux journaux.

La Suisse est un pays de référence pour les prix des médicaments américains. L'administration américaine s'attend à ce que des pays comme la Suisse contribuent plus équitablement au financement de l'innovation et du progrès médical, explique M. Schinecker. La contribution est liée à la puissance économique.

Les calculs des Américains

Le CEO de Roche explique: "Si le PIB par habitant d’un pays est inférieur de 50% à celui des États-Unis, le gouvernement américain considérera qu’un prix équivalent à la moitié du prix américain peut être considéré comme comparable. En revanche, si le PIB dépasse celui des États-Unis, on s’attendra à ce que les prix y soient proportionnellement plus élevés, en fonction de la richesse et du niveau de vie."

Augmentation progressive des prix

Les thérapies qui sont déjà sur le marché ne seront pas plus chères, selon le patron de Roche. Les pays de référence "contribueront de manière comparable aux investissements nécessaires pour développer une nouvelle thérapie". M. Schinecker s'attend à ce que les prix de ces nouvelles thérapies changent progressivement au cours des prochaines années.

Il s'attend en outre à ce que les prix des médicaments fassent partie des négociations douanières de la Suisse avec les Etats-Unis.

Pas de hausse des primes

La ministre de la Santé, Elisabeth Baume-Schneider, s'était montrée ouverte à des discussions autour d'un nouveau modèle de prix dans l'émission "Samstagsrundschau" de la SRF. "Un nouveau modèle de prix ne signifie toutefois pas que tous les prix vont augmenter", a déclaré la cheffe du Département fédéral de l'intérieur dans cette émission diffusée mi-novembre. Elle y a également déclaré que les Suisses ne devraient pas payer une baisse des prix des médicaments aux Etats-Unis par une augmentation des primes d'assurance maladie.

Il y a quelques jours, neuf groupes pharmaceutiques, dont Genentech, filiale de Roche, et Novartis, se sont mis d'accord avec le gouvernement américain sur une baisse des prix des médicaments aux Etats-Unis. En échange d'une baisse des prix des médicaments et d'investissements aux Etats-Unis, ils seront exemptés de droits de douane pendant trois ans.

Dans l'interview, M. Schinecker s'est défendu de l'idée que les prix des nouveaux médicaments sont responsables de l'augmentation des primes d'assurance maladie. "Les nouveaux médicaments innovants ne sont pas responsables de la hausse des primes en Suisse. Chaque habitant dépense en moyenne 37 francs par mois pour ces traitements". La Suisse ne résoudrait pas les problèmes des coûts de la santé même si elle ne payait plus rien pour de tels médicaments, soutient-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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