Rejoignez-nous

Actualité

Pierre Maudet : Il y a un problème de cohérence au Conseil d'État

Publié

,

le

Pierre Maudet à son bureau, le 23 septembre 2019

Radio Lac vous propose l'interview intégrale du conseiller d'Etat Pierre Maudet

Pierre Maudet : Pourquoi j'ai rompu avec la collegialité

Philippe Verdier, rédacteur en chef de Radio Lac : Samedi, vous avez décidé de déclarer publiquement que vous n’étiez pas d’accord avec le budget 2020, avec ce déficit de 590 millions de francs. Rompre l’aspect collégial du conseil d’Etat, c’est exceptionnel?

Pierre Maudet : Oui, c’est exceptionnel, mais vous l’avez mentionné, c’est un montant de déficit exceptionnel, et puis les lignes rouges que j’avais décidé de placer en bonne part avec mes collègues au début de l’été lorsque nous avons commencé à travailler sur le budget ont été franchies, et elles portent notamment sur l’augmentation extrêmement importante du nombre de postes à l’Etat. C’est une fuite en avant qui n’est pas tolérable, j’ai donc averti mes collègues que je romprai la collégialité dans ce contexte.

PV: Suite à cela, Radio Lac a essayé de contacter le président du Conseil d’Etat, qui ne souhaite absolument pas réagir à cela. Dans l’histoire, qui est responsable, est-ce celui qui porte l’attention sur le déficit trop important ou celui qui maintient la tradition de collégialité ?

PM: La collégialité est un principe important dans notre démocratie, mais précisément, le fait de la rompre une fois ou l’autre, ce qui a été très rarement mon cas, permet d’attirer l’attention sur le manque de responsabilités par rapport à ces lignes rouges que l’on a, de mon point de vue, franchies. Maintenant, le paquet du budget appartient au Parlement, ce n’est plus l’affaire, ni de mes collègues ni de moi-même. On peut toujours le corriger en cours de route, nous verrons d’ailleurs fin octobre si les recettes fiscales s’annoncent au rendez-vous ou s’il faut corriger le tir de ce budget. J’ai donné ma position, le conseil d’Etat a la sienne, et il appartient au Parlement d’analyser dans le détail. Ce qui ressort des dépenses réelles, et j’ai pointé du doigt plusieurs problèmes, je pense que nous n’avons pas fait les réformes structurelles en profondeur. Il y a par exemple plusieurs services en charge de la statistique, est-ce que c’est bien important et utile là où on aimerait bien voir des postes déployés sur le terrain, des prestations pour la population? J’ai pointé aussi le volume très important des états-majors et des postes administratifs, qui interpellent aussi sur la qualité et l’importance de la prestation aux citoyens. Nous verrons ce que les députés en font.

Pierre Maudet : Nous pouvons toujours rectifier le tir sur le budget 2020

PV : Aujourd’hui, peut-on encore rectifier le tir ?

PM : Bien sûr que nous pouvons le rectifier et on le doit, et c’est le sens de mon intervention. Je ne suis pas un partisan de l’austérité. Encore une fois ça ne me gène pas sur le principe qu’il y ait un déficit ponctuel. On avait expliqué à la population qu’avec la réforme fiscale adoptée ce printemps, on devrait sans doute assumer quelques exercices déficitaires. Ce que je ne peux pas admettre c’est l’idée que voyant le mur, on accélère et on klaxonne, et là évidemment le budget dépend du parlement. C’est donc aux députés et aux différents groupes politiques de dire quelle est la limite acceptable, quel est le plan pour redresser les finances à terme, sachant que l’on ne peut que difficilement compter sur des recettes fiscales déficitaires. On voit d’ailleurs qu’il n’y a pas de majorité politique pour augmenter les impôts, et je pense que c’est plutôt une bonne chose. Nous allons donc devoir travailler sur le fonctionnement de l’Etat, sur la structure, sur notre capacité de diminuer un peu la voilure et d’orienter le bateau en direction des vraies prestations à la population.

Pierre Maudet : Aurait-il fait mieux s'il était resté aux commandes du Conseil d'Etat ?

PV : Il y a un peu plus d’un an, c’était vous le président du Conseil d’Etat. Est-ce qu’en de pareilles circonstances, vous auriez fait différemment, vous auriez fait mieux ?

PM : Alors justement, je pense que le gouvernement a démarré sa législature avec un programme, une vision à cinq ans, avec l’idée qu’il y avait des réformes de structures à accomplir. J’en avais déjà accompli quelques unes dans la législature précédente, comme la réforme de la police. Je trouve qu’aujourd’hui on ne respecte pas assez ce programme, on doit se tenir à ce qu’on a fixé comme cap au début de la législature, il y a un an et demi. Je ne peux pas dire si j’aurai fait mieux ou moins bien. Je fais partie d’une équipe, mais je considère que l’équipe a franchi les limites et que cela pose un vrai problème de cohérence sur l’ensemble des cinq ans.

PV: Parlons de cette équipe, vous devez tenir jusqu’en 2023. Dans une telle ambiance, est ce que l’événement que l’on vit est circonstanciel, exceptionnel, ou est-ce que l’ambiance va être compliquée?

PM: Ce n’est pas une question d’ambiance mais de cohérence par rapport à un programme. Ma collègue en charge des finances par exemple a, quelques jours avant moi, rompu la collégialité par rapport à une hausse des impôts, en parfaite cohérence avec le programme que nous défendons. Il peut se produire de temps en temps que l’on s’autorise à marquer une différence avec l’équipe sur des questions fondamentales, dont cela fait partie vu l’ampleur du déficit annoncé, mais il faut effectivement espérer que ça reste épisodique. Pour le reste, les institutions fonctionnent. Ce qui me préoccupe à plus long terme, c’est le devenir d’un canton qui voit ses charges augmenter de façon significative, voit arriver une situation économique qui ne va pas être simple avec des annonces relatives à des grandes entreprises qui sont préoccupantes, et qui doit s’armer maintenant d’un peu de prudence et de modération dans ses dépenses.

Pierre Maudet : il est utile de nous comparer avec les autres cantons romands

PV : Dans ce contexte électoral pour les fédérales, le canton est regardé par les autres cantons romands, par toute la Suisse. Il y a quelques années, un canton était pointé du doigt, Neuchâtel, qui avait de très mauvais comptes. Cette semaine, il va présenter un budget excédentaire. Est-ce que aujourd’hui le canton de Genève est devenu le mauvais élève ?

PM : Genève a toujours été un cas à part et je pense que votre question est d’autant plus pertinente que nous n’avons pas pris l’habitude de nous comparer aux autres. Si j’observe ce qui se passe dans le reste de la Suisse romande, il y a peu de cantons qui annoncent un déficit aussi important, aucun pour dire vrai. Et surtout peu de cantons, encore une fois au delà du strict calcul du déficit, qui prévoient de telles augmentations de postes, alors que l’on est un peu partout en Suisse dans une situation qui devrait inciter à la prudence. La comparaison intercantonales est pertinente et elle doit nous inciter peut-être à revoir l’importance des augmentations qu’on envisage. Au delà de ça, je me place vraiment du point de vue du citoyen: Qu’est-ce que le Genevois aura de plus d’une année à l’autre, si je prends cette fois-ci l’ensemble de l’Etat, plus de 650 postes nouveaux, en termes de prestations? Il y a une augmentation de la population, donc c’est normal que l’on ouvre des classes, mais est-ce normal d’augmenter dans la même proportion le volume de postes administratifs dans l’instruction publique? Est-ce normal que l’on se satisfasse d’un taux d’atteinte des objectifs au cycle d’orientation, à l'âge de 15 ans, pour la section communication et technique, pour laquelle il est très important d’avoir des jeunes qui font face aux nouveaux défis, un taux de réussite de 1,1%, ce qui signifie 98,9% d'échec? C’est la dessus qu’il faut travailler. Pour prendre une image, remettre de l’essence dans le réservoir quand celui ci est percé ou que le moteur ne tourne plus correctement, ce n’est pas la solution.

Pierre Maudet : Avec Antonio Hodgers, il ne s'agit pas d'un combat personnel

PV: Ce que vous dites là est dans le pur intérêt des Genevois, ou tout cela est-il une nouvelle joute verbale et prise de position entre des personnalités qui ne s’aiment pas trop, sachant que c’est compliqué en ce moment avec Antonio Hodgers?

PM: Il n’y a aucune dimension affective la-dedans. Nous sommes élus sur la base d’un programme. Pour ma part, j’ai surtout été élu pour mettre sur pieds un programme de législature qui nous guide pendant cinq ans avec mes collègues, ce que nous avons fait, et qu’il s’agit maintenant de respecter. Chacun prend donc ses responsabilités, je ne prétend pas avoir la science infuse, je prétend juste qu’à un moment, il faut quand même garder les proportions et savoir tirer la sonnette d’alarme. Je le dis dans l’idée de servir Genève. Je dis qu’il y a une vraie question à se poser sur les prestations qui sont rendues aux Genevois et Genevoises au niveau structurel. Je constate aussi, parce que j’ai la chance de pouvoir me rapprocher des entreprises et de voir qu’il y a beaucoup de gens qui connaissent des périodes de vulnérabilité, qui sont dans des phases difficiles, que ce sont eux qu’il faut aujourd’hui protéger. Le recours à la fuite en avant dans les engagements au niveau des appareils administratifs n’est pas la solution que les Genevois et Genevoises attendent.

Ecoutez l'entrevue en intégralité

Entrevue de Pierre Maudet au sujet du budget 2020 (en intégralité)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

International

Leverkusen battu par Bielefeld, club de D3

Publié

le

Joel Grodowski (Bielefeld) remercie ses supporters (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

Tenant du trophée, le Bayer Leverkusen a subi mardi un camouflet en demi-finale de la Coupe d'Allemagne.

Granit Xhaka et ses équipiers se sont inclinés 2-1 sur la pelouse de l'Arminia Bielefeld, qui évolue en 3e division.

Le "Werkself" était pourtant prévenu, Bielefeld ayant déjà sorti trois clubs de l'élite (Union Berlin, Fribourg et Werder Brême) lors de son fabuleux parcours. Leverkusen a d'ailleurs entamé de manière idéale ce match, Jonathan Tah ouvrant la marque à la 17e.

Mais Bielefeld a renversé la vapeur avant la mi-temps, Maximilian Grosser inscrivant le 2-1 dans les arrêts de jeu. Le "petit poucet" a tenu le choc en deuxième période pour gagner le droit de disputer la finale le 24 mai au Stade olympique de Berlin, face au VfB Stuttgart ou au RB Leipzig qui s'affronteront mercredi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Milliers de manifestants à Budapest pour défendre la Gay Pride

Publié

le

Les manifestants exigent l'abrogation d'une loi récemment adoptée qui vise à interdire la Gay Pride. (© KEYSTONE/EPA/Szilard Koszticsak)

Des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir dans les rues de Budapest pour protester contre une loi récemment adoptée visant à interdire la marche annuelle des fiertés homosexuelles (Gay Pride).

Cette loi est la dernière d'une série de mesures prises par le gouvernement du Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui, selon les critiques, restreignent les droits de la communauté LGBTQ+ en Hongrie.

La nouvelle législation vise à interdire la marche des fiertés au motif qu'elle enfreindrait une loi sur la "protection de l'enfance", ce qui permet aux autorités d'infliger des amendes aux organisateurs et aux participants d'un tel événement, et d'utiliser des outils de reconnaissance faciale pour identifier d'éventuels contrevenants.

Brandissant des drapeaux hongrois et arc-en-ciel et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire "Assez de mensonges!" ou "A bas Orban! Nous voulons la démocratie", plus de 10'000 personnes se sont rassemblées dans le centre de Budapest, selon un photographe de l'AFP.

"Loi techno-fasciste"

"Nous défendons la liberté de réunion", a déclaré Emese, une psychologue de 26 ans, qui n'a pas souhaité révéler son nom de famille.

Akos Hadhazy, parlementaire indépendant et organisateur, a assuré que les manifestations "ne s'arrêteront pas tant que cette loi ne sera pas abrogée", dénonçant ce qu'il a appelé une "loi techno-fasciste" s'inspirant de lois similaires en Chine et en Russie.

La législation contre la Budapest Pride a déjà suscité des oppositions et des protestations en Hongrie. Lorsque le parlement l'a adoptée à la mi-mars, des manifestants ont bloqué un pont de Budapest pendant plus de trois heures.

Les organisateurs de la marche ont indiqué qu'ils prévoyaient d'organiser la 30e édition de la Budapest Pride le 28 juin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

Publié

le

La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 9, 24, 30, 46 et 49 et les étoiles 4 et 12.

Lors du prochain tirage vendredi, 28 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Golf: Tiger Woods annonce son retour au Masters... Poisson d'avril

Publié

le

Tiger Woods s'est fendu d'un étonnant poisson d'avril mardi (© KEYSTONE/AP/Charlie Riedel)

Récemment opéré d'un tendon d'Achille, Tiger Woods s'est amusé à donner un fol espoir à ses fans.

La légende américaine du golf a annoncé mardi sur les réseaux sociaux son intention de participer au Masters d'Augusta prévu la semaine prochaine, avant d'avouer qu'il s'agissait d'un poisson d'avril.

Woods, 15 fois vainqueur d'un Majeur, dont cinq fois du prestigieux Masters, a publié sur X un message célébrant sa guérison miraculeuse d'une rupture du tendon d'Achille gauche. "Je n'arrive pas à croire que je dise cela, mais quelques semaines après ma rupture du tendon d'Achille gauche, le fait de dormir dans un caisson hyperbare et de bénéficier des exercices explosifs de mes médecins et entraîneurs m'ont permis d'être prêt à disputer le Masters la semaine prochaine",a écrit Woods sur X.

"J'ai hâte d'y être. Rendez-vous sur le parcours", a-t-il poursuivi, taquin.

Alors que certains des amateurs de la petite balle blanche l'ont réellement cru, "Le Tigre" a livré un peu plus tard une nouvelle publication qui a douché leur enthousiasme. "P.S. Poisson d'avril, mon tendon d'Achille est toujours dans un sale état :)", a écrit Woods qui s'est rompu le tendon alors qu'il préparait son retour pour le Masters d'Augusta.

La date de son retour à la compétition reste indéterminée. Son ami Rory McIlroy, no 2 mondial, a laissé entendre le mois dernier que Tiger Woods (49 ans) ne rejouerait plus en 2025 mais a dit espérer le revoir sur les greens en 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

France: l'Assemblée légifère contre le narcotrafic

Publié

le

Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'est félicité de l'adoption d'un texte qui "fera date", en permettant "enfin" aux forces de sécurité de "lutter à armes égales contre un fléau qui est en train de ravager l'ensemble du pays" (archives). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Les députés français ont largement approuvé mardi en première lecture une proposition de loi pour "sortir la France du piège du narcotrafic". Ce texte clé de la politique de sécurité du gouvernement a suscité de vifs débats dans l'hémicycle.

Le chiffre d'affaires du trafic de drogue est estimé entre 3,5 et six milliards d'euros par an en France. Et les violences liées à ce phénomène ont fait 110 morts et 341 blessés en 2024, selon les chiffres officiels.

La proposition de loi a été approuvée par 436 voix contre 75. La coalition gouvernementale (camp présidentiel et droite) et le parti d'extrême droite Rassemblement national (RN) ont voté pour, mais la gauche s'est divisée.

Le Parti socialiste a aussi voté pour, La France insoumise (LFI, gauche radicale) contre, tandis que les députés écologistes et communistes se sont majoritairement abstenus.

Le texte doit encore être adopté définitivement les 28 et 29 avril au Sénat et à l'Assemblée, après un accord à trouver sur les points de vue des deux chambres.

Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, s'est félicité de l'adoption d'un texte qui "fera date", en permettant "enfin" aux forces de sécurité de "lutter à armes égales contre un fléau qui est en train de ravager l'ensemble du pays", grâce à la création d'une "chaîne judiciaire spécialisée", d'un "vrai état-major interministériel" et à "de nouveau moyens en termes de renseignement et d'enquête".

Parquet spécialisé

La création d'un parquet spécialisé, le Pnaco (parquet national anticriminalité organisée) est au coeur du texte, ainsi que la mise en place d'un régime plus attractif pour les "repentis".

Seul regret pour M. Retailleau: le rejet par les députés d'une mesure entendant contraindre les plateformes de messagerie chiffrée (Signal, WhatsApp) à communiquer les correspondances des trafiquants aux enquêteurs. Mais il n'entend pas y renoncer: "nous devrons, à un moment ou un autre, définir des procédures respectueuses évidemment de nos libertés publiques", a-t-il dit.

Si l'ensemble des groupes se sont accordés sur les objectifs du texte, ils se sont souvent affrontés sur l'impact des mesures envisagées sur les libertés publiques et les droits de la défense, et sur leur efficacité.

Particulièrement dans le viseur de la gauche: l'introduction dans le texte, au stade de son examen en commission à l'Assemblée, d'un nouveau régime carcéral d'isolement pour les gros trafiquants, défendu par le ministre de la Justice Gérald Darmanin.

Jusqu'à 120 heures de garde à vue

Plusieurs dispositions qui avaient été supprimées en commission ont finalement été approuvées en séance: ainsi de l'emblématique "dossier coffre" ou "procès-verbal distinct", destiné à protéger les enquêteurs, mais jugé par les avocats pénalistes et la gauche attentatoire aux droits de la défense.

Également rétablies en séance, grâce au soutien du RN à une coalition gouvernementale aux rangs clairsemés: la possibilité de prolonger jusqu'à 120 heures la garde à vue des "mules", les personnes qui transportent la drogue, ou celle d'activer à distance des objets connectés pour espionner des suspects à leur insu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

FootballIl y a 53 minutes

Servette battu à domicile par les Young Boys

Les Servettiens se sont inclinés par la marge la plus étroite (0-1) face aux Young Boys mardi soir à la...

InternationalIl y a 1 heure

Leverkusen battu par Bielefeld, club de D3

Tenant du trophée, le Bayer Leverkusen a subi mardi un camouflet en demi-finale de la...

InternationalIl y a 2 heures

Milliers de manifestants à Budapest pour défendre la Gay Pride

Des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi soir dans les rues de Budapest pour...

SportIl y a 2 heures

La victoire qui change tout pour YB

Plus cliniques que jamais, les Young Boys ont gagné le match qu’ils ne devaient en...

SuisseIl y a 2 heures

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait...

InternationalIl y a 4 heures

Golf: Tiger Woods annonce son retour au Masters... Poisson d'avril

Récemment opéré d'un tendon d'Achille, Tiger Woods s'est amusé à donner un fol espoir à...

InternationalIl y a 4 heures

France: l'Assemblée légifère contre le narcotrafic

Les députés français ont largement approuvé mardi en première lecture une proposition de loi pour...

GenèveIl y a 6 heures

Dans les coulisses des travaux du Muséum d'histoire naturelle

Les travaux du Muséum d’histoire naturelle de Genève se poursuivent. La réouverture, on le rappelle,...

Suisse RomandeIl y a 6 heures

Pêche: la régulation des cormorans sur les Trois-lacs acceptée

Les députés vaudois ont accepté mardi une motion consistant notamment à réguler les populations de...

SuisseIl y a 7 heures

Une commission envisage l'obligation de servir pour les femmes

La Suisse ne doit pas introduire un service citoyen comme le demande une initiative populaire,...