Rejoignez-nous

Actualité

Fin de tonalité pour les cabines de Suisse romande

Publié

,

le

En 1995, il y avait 23'000 cabines téléphoniques en Suisse romande, dont 300 pour la seule ville de Genève. Depuis ce jeudi matin, il n'en reste aucune. 

140 ans d'histoire se sont terminées ce matin au quai Gustave Ador à Genève. Face au jet d'eau de la ville, la dernière cabine téléphonique exploitée de Romandie a définitivement terminé sa mission. C'est le résultat de la démocratisation des smartphones. Une chute d'utilisation de 95% observée entre 2004 et 2016. Et depuis fin 2017, leur exploitation ne fait plus partie du mandat de service public, alors que leur rendement a drastiquement chuté. L'occasion de tourner la page des "Publifons"

Thierry Von KaenelResponsable cabines téléphoniques pour la Suisse romande

Les premières cabines étaient inaugurées en Suisse en 1882. Il faudra attendre tout de même pour que leurs utilisations rentrent dans les mœurs, pour atteindre finalement 58'000 cabines en Suisse en 1995, dont 23'000 dans nos régions francophones. Le mandat de service public auquel Swisscom était soumis demandait au moins une cabine téléphonique par commune politique.

En moins d'une heure, la dernière cabine téléphonique de Suisse romande est démontée. © Robin Jaunin

Lors de l'annonce de ces suppressions en 2018, l'opérateur avait proposé aux communes de leur céder des cabines. Résultats, 650 exemplaires - dont 250 en Romandie - ont désormais une nouvelle vie : bibliothèque, vitrine d'art, lieu d'échange, etc. Elles auront finalement trouvé d'autres applications... un peu comme nos téléphones. Certains passants sont surpris en ce jeudi matin, et semblent nostalgiques.

Dernière cabine téléphonique de Suisse romande

Le livre sera définitivement fermé pour ces cabines le 28 novembre prochain à Baden, dans le canton d'Argovie.

Fin de tonalité pour les cabines téléphoniques en Suisse romande

1 commentaire

1 commentaire

  1. OBERSON

    7 novembre 2019 à 12 h 38 min

    Ce n'est pas vrai, il reste encore une cabine en bas la rue du Grand-Pré de couleur grise

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Santé

Clariant vend ses activités au Venezuela

Publié

le

Clariant, ici son patron Hariolf Kottmann, est engagé dans un vaste programme d'économies, destiné à alléger de quelque 80 millions d'euros sa base de coûts annuelle à l'horizon 2027. (archives) (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Clariant poursuit l'optimisation de son portefeuille. Le chimiste de spécialités bâlois a cédé ses activités au Venezuela à la société locale CMV Química. La transaction se monte à environ 1,8 million de dollars (1,4 million de francs).

Les activités de Clariant au Venezuela ont généré en 2024 un chiffre d'affaires d'environ 3 millions de francs et recensaient une soixantaine d'employés, précise vendredi le groupe. Suite à cette transaction, des écarts de conversion cumulés d'environ 236 millions de francs seront comptabilisés dans le compte de résultat 2025 et viendront peser sur le bénéfice net.

Programme d'économies

L'opération n'a en revanche aucun effet sur les versements aux actionnaires et la prévision de marge opérationnelle Ebitda ajustée, celle-ci restant attendue entre 17 et 18% pour 2025, ajoute Clariant.

Clariant est engagé dans un vaste programme d'économies, destiné à alléger de quelque 80 millions d'euros sa base de coûts annuelle à l'horizon 2027. Dans ce cadre, le chimiste de Muttenz avait indiqué dans son rapport semestriel avoir aussi réduit ses effectifs, supprimant environ 200 équivalents plein-temps, sur un total de près de 10'500 fin 2024. Les coupes ont porté notamment sur les fonctions commerciales et administratives.

Les mesures ont aussi entrainé la fermeture de deux lignes de production et de deux sites non spécifiés. Fin septembre, Clariant évoquait des économies de 31 millions de francs depuis le début de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Suisse

Suisse Tourisme s'attend à un nouveau record de nuitées

Publié

le

La Suisse - ici le lac d'Oeschinen (BE) a la cote auprès des touristes. Le nombre de nuitées passées en Suisse passera un nouveau record en 2025 selon Suisse Tourisme. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Suisse Tourisme prévoit des chiffres records pour l'ensemble de l'année 2025. "On s'attend à une croissance des nuitées de un à deux pour cent par rapport à l'année précédente", a déclaré le directeur de Suisse Tourisme Martin Nydegger au "Blick".

Le nombre de nuitées a augmenté de 2,6 pour cent l'année précédente pour atteindre 42,8 millions, comme l'avait annoncé l'Office fédéral de la statistique en février. La branche avait ainsi battu le record de nuitées de l'année 2023 avec 41,8 millions de nuitées.

La branche a besoin d'une croissance des nuitées de un à deux pour cent pour pouvoir supporter tous les investissements, a déclaré M. Nydegger dans une interview publiée vendredi.

M. Nydegger n'a pas pu chiffrer dans quelle mesure cette croissance est due aux campagnes de Suisse Tourisme - par exemple des vidéos publicitaires avec des célébrités comme Roger Federer. "En interne, nous partons du principe qu'un hôte sur six est le fruit de notre marketing global", a-t-il dit.

Salaire "ridicule" pour les célébrités dans les vidéos publicitaires

Dans un entretien avec le "Blick", M. Nydegger a balayé les critiques selon lesquelles de telles campagnes stimuleraient le surtourisme. Suisse Tourisme ne veut pas exercer de pression supplémentaire sur les hauts lieux touristiques: "Avec Roger Federer et Halle Berry, nous visons des régions moins fréquentées et voulons orienter davantage les touristes vers la saison d'automne", a-t-il déclaré. "Ne transformez pas quelques lieux en un phénomène qui concerne toute la Suisse", a-t-il demandé.

Le directeur de Suisse Tourisme a en outre souligné que Roger Federer n'avait rien gagné personnellement avec cette campagne. Selon ses propres indications, l'organisation, financée pour moitié par des fonds publics, a versé une "contribution modérée" à la fondation de M. Federer. Il a été convenu de ne pas divulguer le montant de cette contribution - également pour d'autres stars. S'il pouvait en indiquer le montant, "vous vous pencheriez sur la table et me serreriez la main pour savoir à quel montant ridicule ces célébrités font la promotion de la Suisse", a déclaré M. Nydegger au "Blick".

Le Conseil fédéral veut réduire les aides financières accordées à Suisse Tourisme pour la promotion des voyages. Le Conseil des Etats a approuvé cette mesure jeudi par 22 voix contre 20. L'effet d'économie sur les années 2027 à 2029 s'élève au total à 34,1 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Ukraine: Macron se dit prêt à reparler à Poutine

Publié

le

Le président français Emmanuel Macron estime que le temps est revenu de renouer le contact avec Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/EPA/MIGUEL MEDINA / POOL)

Le président français Emmanuel Macron a estimé vendredi qu'il allait "redevenir utile" pour lui et les Européens de parler à son homologue russe Vladimir Poutine, à l'issue des efforts menés actuellement par les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

"Je pense qu'il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine", a-t-il dit devant la presse à l'issue d'un sommet à Bruxelles où l'Union européenne a trouvé un accord pour débloquer 90 milliards d'euros pour soutenir Kiev.

"Je constate qu'il y a des gens qui parlent à Vladimir Poutine", a-t-il ajouté, en allusion notamment au président américain Donald Trump qui a renoué le contact, après son retour au pouvoir en janvier aux Etats-Unis, avec le maître du Kremlin.

"Donc je pense que nous, Européens et Ukrainiens, on a intérêt à trouver le cadre pour réengager cette discussion en bonne et due forme. Sinon, on discute entre nous avec des négociateurs qui vont seuls discuter avec les Russes, ce qui n'est pas optimal", a insisté Emmanuel Macron.

Les émissaires de Donald Trump mènent actuellement une série de pourparlers séparés, avec Moscou d'une part, et avec les Ukrainiens et les Européens d'autre part, dans l'espoir d'aboutir à un accord.

"Y a un cycle qui est en cours. Soit une paix robuste, durable, avec les garanties requises peut-être obtenue, formidable, et de toute façon, on se mettra à ce moment-là autour de la table", a suggéré le président français.

Ou alors "il faudra dans les prochaines semaines trouver des voies et moyens aussi pour que les Européens, dans la bonne organisation, réengagent un dialogue complet avec la Russie en toute transparence", a-t-il estimé.

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se sont parlé la dernière fois début juillet, en priorité au sujet des efforts diplomatiques pour encadrer le programme nucléaire iranien. Ils avaient à cette occasion affiché leurs divergences sur l'Ukraine.

Leur précédent appel remontait au 11 septembre 2022 et avait porté sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée.

Le président français, qui s'était vu reprocher de continuer à parler à son homologue russe pendant des mois après le début de l'offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, employant un ton de plus en plus virulent à l'égard de Vladimir Poutine accusé de "mentir" sur ses intentions et sa volonté de paix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Economie

Ukraine: 90 milliards d'euros débloqués

Publié

le

Le président du Conseil européen Antonio Costa a annoncé la nouvelle au terme de longues heures de négociations qui se sont tenues à huis clos. (© KEYSTONE/AP/Geert Vanden Wijngaert)

Les Européens ont décidé vendredi de financer l'effort de guerre de l'Ukraine pendant au moins deux ans, via un emprunt en commun de 90 milliards d'euros (83,9 milliards de francs), et sans recours aux avoirs russes faute d'accord sur cette solution inédite.

Les dirigeants des 27 Etats membres devaient coûte que coûte trouver une solution durable pour Kiev qui risquait d'être à court d'argent dès le premier trimestre 2026. Ils s'étaient engagés à assurer l'essentiel du soutien financier et militaire après la fermeture du robinet américain décidée par Donald Trump.

"C'est un message décisif pour mettre fin à la guerre, car (Vladimir) Poutine ne fera des concessions que lorsqu'il comprendra que sa guerre ne lui rapportera rien", a assuré le chancelier allemand Friedrich Merz à l'issue de cet accord arraché au milieu de la nuit à Bruxelles.

Le dirigeant allemand soutenait pourtant depuis des mois une utilisation des avoirs gelés russes en Europe pour financer ce prêt. Il a quitté Bruxelles sans avoir eu gain de cause, et contraint par ailleurs d'accepter un report de la signature d'un accord de libre-échange avec les pays sud-américains du Mercosur, obtenu par la France et l'Italie.

Faute d'accord sur ce recours aux avoirs de la banque centrale russe, totalement inédit et à haut risque, les 27 se sont ralliés à un emprunt commun.

"Nous nous sommes engagés, nous avons tenu promesse", s'est félicité devant la presse le président du Conseil européen Antonio Costa, qui a mené les travaux de ce sommet européen.

"Garantir 90 milliards d'euros à un autre pays pour les deux prochaines années, je ne crois pas que cela se soit jamais vu dans notre histoire", a jugé la Première ministre danoise Mette Frederiksen, dont le pays assure la présidence du Conseil de l'UE jusqu'à la fin de l'année.

Parler à Poutine ?

Maintenant, "il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine", a de son côté jugé le président français Emmanuel Macron.

Les besoins de financement de Kiev ont été estimés à 137 milliards d'euros, l'UE s'engageant à prendre en charge les deux tiers, soit 90 milliards d'euros. Le reste devant être assuré par les autres alliés de l'Ukraine, comme la Norvège ou le Canada.

Les 27 vont accorder à Kiev un prêt à taux zéro, financé par le budget de l'Union européenne, que l'Ukraine n'aura à rembourser que si la Russie lui paie des réparations, a précisé devant la presse la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

"Après de longues discussions", il est clair que le recours aux avoirs russes "nécessite davantage de travail", avait reconnu dans la nuit de jeudi à vendredi un responsable européen, sous couvert d'anonymat.

Un accord butait depuis des semaines sur la vive réticence de la Belgique, où se trouve l'essentiel de ces avoirs gelés, soit quelque 210 milliards d'euros. L'idée était d'y recourir pour financer un "prêt de réparation" de 90 milliards en faveur de l'Ukraine.

Des heures de tractations, entre diplomates puis au niveau des dirigeants européens, réunis jeudi soir en conclave, n'ont pas permis de dégager un compromis.

"Tout le monde est soulagé"

Le Premier ministre belge Bart De Wever avait dès octobre exigé de ses partenaires des garanties quasi illimitées pour parer le risque d'un remboursement anticipé ou de représailles russes. Et si les autres pays de l'UE se sont dit prêts à être solidaires, pas question néanmoins pour eux de signer un chèque en blanc à la Belgique.

"Les jeux sont faits, tout le monde est soulagé", a déclaré le chef du gouvernement belge, tout sourire, à l'issue de ce sommet à haut-risque.

L'accord sur l'emprunt a été trouvé à 27 mais l'opération ne se fera qu'à 24, la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque - trois pays réticents à soutenir financièrement l'Ukraine - en étant exemptés.

"La décision doit être prise d'ici la fin de cette année", avait rappelé le président ukrainien Volodymyr Zelensky lors d'une conférence de presse à Bruxelles, où il s'est déplacé pour mieux marteler son message.

Il n'a été que partiellement entendu, après avoir plaidé sans relâche pour faire payer la Russie. L'Ukraine reste toutefois assurée d'avoir les fonds nécessaires alors que les combats continuent en dépit d'intenses négociations en cours.

Le président américain s'est à nouveau impatienté jeudi, invitant l'Ukraine à "bouger rapidement", avant que la Russie ne "change d'avis".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Les pédiatres suisses exigent des écoles un changement de mentalité

Publié

le

Image d'illustration d'un jardin d'enfants. (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Selon le président de l'association professionnelle des pédiatres suisses, Marc Sidler, la demande de certificats médicaux a fortement augmenté. Dans une interview accordée à Tamedia, il a appelé les écoles, les jardins d'enfants et les crèches à changer de mentalité.

Les écoles et les crèches exigent des certificats médicaux et des dispenses pour les enfants: "Cela va jusqu'à la dispense pour le cours de natation chez le petit enfant", a déclaré Marc Sidler dans l'interview publiée vendredi. Il a ajouté: "A mon avis, cela devrait être laissé à l'appréciation des parents". Des entreprises formatrices exigent également des apprentis un certificat médical dès le premier jour de maladie.

La charge de travail supplémentaire qui en résulte est l'une des raisons de la pénurie de médecins. Dans l'interview, M. Sidler a pris la défense des parents. Les causes de la pénurie sont multiples, a déclaré le président de l'association. Même si certains parents se rendent au cabinet médical pour des bagatelles, la pénurie de médecins n'est pas seulement liée à l'augmentation des consultations pour cette raison.

"Selon moi, les parents ont moins de patience qu'avant, mais cela est aussi dû au fait que beaucoup d'entre eux manquent de réseau social", a déclaré Sidler. Autrefois, l'entraide au sein de la famille prévalait. Aujourd'hui, les parents dépendent souvent de la guérison la plus rapide possible de leur enfant, car ils ne sont pas libérés par leur employeur. "Une grippe ou un rhume prend du temps", a déclaré le spécialiste en médecine pédiatrique.

Selon l'Association des médecins de famille et de l'enfance Suisse (MFE), la pénurie de spécialistes va s'aggraver de manière drastique dans les années à venir. Une étude de l'Université de Bâle a fait le point sur la situation.

Les médecins de famille actifs sont vieillissants, leur temps de travail diminue et le contact avec les patients recule en raison d'une charge administrative accrue, a fait savoir la MFE à l'occasion de la publication de l'étude en octobre. Il y a un fort besoin de remplacement et aujourd'hui déjà, la pénurie est généralisée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

SantéIl y a 3 minutes

Clariant vend ses activités au Venezuela

Clariant poursuit l'optimisation de son portefeuille. Le chimiste de spécialités bâlois a cédé ses activités au Venezuela à la société...

SuisseIl y a 3 heures

Suisse Tourisme s'attend à un nouveau record de nuitées

Suisse Tourisme prévoit des chiffres records pour l'ensemble de l'année 2025. "On s'attend à une...

InternationalIl y a 3 heures

Ukraine: Macron se dit prêt à reparler à Poutine

Le président français Emmanuel Macron a estimé vendredi qu'il allait "redevenir utile" pour lui et...

EconomieIl y a 6 heures

Ukraine: 90 milliards d'euros débloqués

Les Européens ont décidé vendredi de financer l'effort de guerre de l'Ukraine pendant au moins...

SuisseIl y a 6 heures

Les pédiatres suisses exigent des écoles un changement de mentalité

Selon le président de l'association professionnelle des pédiatres suisses, Marc Sidler, la demande de certificats...

InternationalIl y a 8 heures

Attentat de Sydney: hommage des nageurs aux victimes

Des centaines de personnes ont nagé au large de la plage de Bondi à Sydney,...

SportIl y a 9 heures

Conference League: un succès de prestige pour le Lausanne-Sport

Incroyable Lausanne-Sport ! Vainqueurs 1-0 de la Fiorentina jeudi soir dans une Tuilière pleine à...

SuisseIl y a 11 heures

Deux rentes de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Deux personnes chanceuses ont décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

InternationalIl y a 11 heures

Des Israéliens pénètrent dans Gaza pour en demander la réoccupation

Plusieurs Israéliens sont entrés jeudi dans la bande de Gaza malgré l'interdiction de l'armée. Ils...

EnvironnementIl y a 12 heures

Report d'un mois pour l'accord UE-Mercosur

Sous pression en France, Emmanuel Macron a remporté jeudi à Bruxelles une bataille avec le...