Rejoignez-nous

Actualité

Annulation du Salon mondial du mobile de Barcelone

Publié

,

le

La crainte suscitée par le nouveau coronavirus a eu raison du salon mondial du mobile de Barcelone (MWC). La grand-messe du secteur a été annulée mercredi après une vague de désistements de grands groupes.

L'association organisatrice GSMA a annoncé avoir "annulé le MWC Barcelone 2020, car la préoccupation mondiale relative à l'épidémie de coronavirus, les inquiétudes sur les voyages et d'autres circonstances rendent impossible l'organisation de cet événement", prévu du 24 au 27 février.

Il s'agit de l'un des plus importants événements professionnels internationaux à être annulés depuis le début de l'épidémie, qui a fait plus de 1100 morts.

Aucun cas du virus COVID-19 n'a été détecté en Espagne continentale, mais deux cas de patients infectés, un Britannique et un Allemand, ont été confirmés respectivement dans l'archipel des Baléares et celui des Canaries.

Une trentaine de désistements

Les grands opérateurs en télécommunications organisateurs de l'événement avaient convoqué en urgence une réunion mercredi après-midi, alors que le salon était confronté depuis plusieurs jours à une série d'annulations de ses plus importants participants, une trentaine au total sur 2800 sociétés inscrites.

Derniers en date mercredi: le groupe japonais de commerce et de services en ligne Rakuten, l'opérateur allemand Deutsche Telekom, l'équipementier finlandais Nokia et l'opérateur britannique Vodafone.

Avant eux, les entreprises américaines Intel, Facebook, Cisco et Amazon avaient renoncé à participer, tout comme les groupes chinois Vivo, sud-coréen LG, suédois Ericsson ou encore japonais Sony et NTT DoCoMo. La plupart ont expliqué faire de la santé de leurs employés une "priorité", certains reconnaissant qu'il s'agissait d'un "surcroît de précaution".

Les géants coréen Samsung et chinois Huawei avaient en revanche maintenu leur participation, au prix d'importantes mesures de sécurité, comme la mise en quarantaine préalable dans leur hôtel des employés et des dirigeants de Huawei.

Le salon mondial du mobile se tient depuis 2006 à Barcelone et prévoyait d'accueillir près de 110'000 visiteurs pour cette édition dont plus de 5000 Chinois, selon GSMA. Les grands fabricants de téléphones portables - à l'exception d'Apple - y présentent traditionnellement leurs nouveaux produits.

L'épidémie, partie de la ville de Wuhan en Chine, a déjà eu des répercussions sur d'autres salons mais de moindre envergure. En Europe, l'horloger suisse Swatch Group avait ainsi annulé son salon de mars à Zurich.

1 commentaire

1 commentaire

  1. darg

    13 février 2020 à 12 h 13 min

    A l'instar de Barcelone, Genève pense t-elle annuler le prochain salon de l'automobile?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Sport

Une moquerie à 2500 francs pour Andrea Glauser

Publié

le

Andrea Glauser a dû payer 2500 francs pour sa moquerie de samedi soir (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Andrea Glauser a écopé de 2500 francs d'amende. Le défenseur lausannois est puni pour s'être moqué des officiels lors du match VII entre le LHC et Fribourg samedi dernier.

Après la charge de Walser sur Kevin Pasche en fin de deuxième tiers et alors que le score était de 3-0 en faveur des Vaudois, Glauser avait fini sur le banc des pénalités pour avoir participé à une bagarre.

Sur le banc, le Singinois s'était caché les yeux et avait mimé un arbitre donnant des pénalités au hasard avec son bras. Ce geste n'a donc pas été du goût des officiels qui ont sanctionné le numéro 96 lausannois. Le futur arrière de Fribourg pourra se consoler en se disant que son geste a fait le tour des réseaux sociaux et qu'il sera certainement réutilisé de nombreuses fois à l'avenir.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Khamenei salue les discussions avec Washington, reste sceptique

Publié

le

"Les négociations avec Washington peuvent aboutir ou non", a averti l'ayatollah Khamenei. (© KEYSTONE/EPA/IRANIAN SUPREME LEADER OFFICE / HANDOUT)

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a salué mardi les discussions menées samedi dernier avec les Etats-Unis autour du nucléaire. Il a toutefois mis en garde que les pourparlers pourraient ne pas aboutir.

De rares discussions entre Téhéran et Washington sur le programme nucléaire de l'Iran ont eu lieu samedi dans le sultanat d'Oman, menées par l'émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, et le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi.

Les négociations "se sont bien déroulées", a estimé l'ayatollah Khamenei, dans son tout premier commentaire sur les pourparlers.

Cependant, "nous sommes très pessimistes vis-à-vis de l'autre partie", a ajouté M. Khamenei, en référence aux Etats-Unis, alors que Téhéran a une profonde méfiance à l'égard de Washington depuis la Révolution islamique de 1979.

"Mais nous sommes optimistes quant à nos capacités", a ajouté l'ayatollah Khamenei, ultime décideur dans les dossiers sensibles du pays, dans une déclaration diffusée par la télévision d'Etat.

Iran et Etats-Unis sont convenus de poursuivre les pourparlers le 19 avril, sous la médiation du sultanat d'Oman. D'abord annoncées à Rome, ces discussions se tiendront finalement une nouvelle fois à Mascate, capitale d'Oman.

"Lignes rouges"

"Les négociations (avec Washington) peuvent aboutir ou non", a averti l'ayatollah Khamenei. Lundi, le président américain Donald Trump a réitéré ses menaces d'attaquer militairement les installations nucléaires de l'Iran, en cas d'échec de la diplomatie.

Depuis la Maison Blanche, il a qualifié les dirigeants iraniens de "radicaux" qui ne peuvent pas avoir d'armes nucléaires.

Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent de longue date l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.

En 2018, Donald Trump avait retiré avec fracas son pays de l'accord international sur le nucléaire conclu trois ans plus tôt avec l'Iran et rétabli des sanctions. En représailles au retrait américain, l'Iran a progressivement pris ses distances avec le texte.

La décision de Donald Trump avait en partie été motivée par l'absence de mesures contre le programme balistique de Téhéran, perçu comme une menace pour son allié israélien.

Mardi, les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, ont affirmé que les capacités militaires et de défense du pays constituaient des "lignes rouges".

"La sécurité nationale ainsi que la puissance militaire et de défense font partie des lignes rouges de la République islamique d'Iran, qui ne peuvent en aucun cas faire l'objet de discussions ou de négociations", a insisté le porte-parole des Gardiens, Ali Mohammad Naïni, cité par la télévision d'Etat.

L'influence régionale de l'Iran et ses capacités en matière de missiles figurent parmi "les lignes rouges" de l'Iran, avait déjà averti l'agence de presse officielle Irna.

Enrichissement et armement

Lundi soir, le négociateur américain Steve Witkoff a indiqué qu'un nouvel accord dépendrait de la manière de contrôler les niveaux d'enrichissement d'uranium et des capacités d'armement atomique de l'Iran.

Les vérifications américaines en la matière seront "cruciales", a insisté M. Witkoff sur la chaîne Fox News. "Cela inclut les missiles (...) et les déclencheurs pour (l'explosion) d'une bombe", a-t-il précisé.

L'Iran est le seul Etat non doté d'armes nucléaires à enrichir de l'uranium à un niveau élevé (60%), tout en continuant à accumuler d'importants stocks de matière fissile, selon le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Un seuil de 90% permet de fabriquer une arme atomique, selon la définition de l'AIEA. L'accord de 2015 plafonnait ce taux à 3,67%.

Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, est attendu mercredi en Iran. Sa précédente visite remonte à novembre quand il s'était rendu sur les sites nucléaires de Natanz et Fordo, dans le centre de l'Iran.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Crissier: la métamorphose urbaine vue par de jeunes photographes

Publié

le

Une exposition visible dans l'espace public de Crisser jusqu'au 23 avril présente les travaux des étudiants en photographie de l'ECAL sur 18 nouveaux quartiers de l'Ouest lausannois (photo prétexte). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Dix-huit nouveaux quartiers de la région lausannoise ont été immortalisés par des étudiants en photographie dans le cadre de l'exposition Horizon Ouest. Les panneaux grand format sont visibles dans l'espace public à Crissier (VD) jusqu'au 23 avril.

Des étudiants de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) ont mis en lumière les premiers instants de 18 nouveaux quartiers de l'Ouest lausannois. Ils répondaient à l’initiative de l’association "Ouest lausannois: Prix Wakker 2011", indique un communiqué.

Chaque étudiant s’est vu attribuer un lieu spécifique: nouveau quartier, chantier ou bâtiment singulier, sur lequel il a travaillé durant l’année académique 2023-2024. Au-delà de devoir photographier des lieux parfois peu photogéniques, le défi était d'appréhender la dynamique particulière aux lieux en mutation.

Les photos exposées partagent ainsi des regards singuliers sur ces espaces de vie. Elles invitent tant les habitants de longue date que les nouveaux arrivants à parcourir ces quartiers, tout en s'interrogeant sur la façon dont on se les approprie.

L'exposition a d'abord été présentée à Bussigny. Après son passage à Crissier, elle fera halte à Ecublens, puis à Renens, jusqu’au 21 mai prochain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Economie

PIB: perspectives assombries par la guerre commerciale

Publié

le

Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie (photo), de nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer les difficultés (image symbolique). (© Keystone/SANDRO CAMPARDO)

Le ciel se couvre sur les perspectives de l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB) et sa croissance, en raison des incertitudes liées à la guerre commerciale des tarifs douaniers. Si le rythme de croissance s'annonce faible, aucune récession ne semble en revanche pointer à l'horizon à ce jour.

La croissance devrait à nouveau s'inscrire cette année en dessous de la moyenne des quinze dernières années, vraisemblablement entre 1,2% et 1,7% pour 2025, ont indiqué mardi à Lausanne les partenaires de Conjoncture vaudoise, la Banque cantonale vaudoise (BCV), la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI) et l'Etat de Vaud représenté par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) et Statistique Vaud.

L'accélération envisagée autour de 1,8% l'an dernier lors des dernières prévisions annuelles n'aura donc certainement pas lieu. Les nuages d'incertitudes ne devraient d'ailleurs pas se dissiper pour 2026, avec une fourchette encore assez prudente et large à la fois, entre 0,8% et 1,9% pour le canton de Vaud.

"Vents contraires très puissants"

"Cela fait deux ans que le rythme de croissance est faible, qu'il patine et manque d'élan", a commenté Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la BCV. "Nous faisons face à des vents contraires qui sont très puissants. Dans notre canton, on sait les affronter, mais cette fois-ci ce sera un peu plus dur de les affronter" ces deux prochaines années, a-t-il illustré.

Dans ces perspectives "assombries" par une "incertitude de plus en plus élevée" à la suite de la guerre commerciale mondiale et les annonces américaines sur les droits de douane, une récession n'est pas à l'ordre du jour, selon les partenaires de Conjoncture vaudoise. L'économie vaudoise peut en outre compter sur le soutien d'une demande intérieure solide, ont-ils expliqué.

Et difficile de dire si la fameuse robustesse de l'économie du canton risque d'atteindre ses limites avec cette nouvelle crise. La diversité et l'hétérogénéité des entreprises sur sol vaudois, dont le tissu économique s'est adapté, dynamisé et constamment régénéré depuis la crise des années 90 et celles des années 2000, restent malgré tout un atout.

"Les fondamentaux sont là. Les finances publiques sont structurellement bonnes, elles sont saines, tout comme les bases économiques du canton", a rappelé Patrick Zurn, responsable économique à la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie. Le taux de chômage demeure peu élevé (4,5%) et l'inflation est faible, a-t-il aussi souligné.

Pessimisme dans l'industrie

En raison du degré d'incertitude, les prévisions par branche sont à considérer avec prudence, selon les spécialistes. Toutefois, certaines tendances se dégagent, qui pourraient continuer de se vérifier cette année. La marche des affaires dans le secteur de l'industrie devrait être la plus touchée.

Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie faisaient en effet déjà face à des vents contraires en raison du manque d'élan de la conjoncture mondiale. De nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer ces difficultés. C'est dans ces domaines que les entrepreneurs sont les plus pessimistes, selon M. Baechler.

En revanche, le fait que les médicaments en soient, en tout cas provisoirement, exemptés pourrait permettre à la chimie-pharma de continuer à "croître fortement" cette année. Le "med-tech" est "bien positionné" aussi. La construction bénéficie, elle, d'une demande "relativement solide".

Dans les services, l’hôtellerie-restauration pourrait voir son activité se "tasser" après le rebond suivant la crise du Covid-19 et les transports être "freinés par l'incertitude".

Les autres activités relevant du tertiaire, soit les services aux entreprises et les activités immobilières, les services financiers, les services publics et parapublics ainsi que le commerce devraient, eux, bénéficier d'une demande domestique "robuste".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Gaz à effet de serre: légère baisse des émissions en 2023 en Suisse

Publié

le

Les émissions de gaz à effet de serre liés au secteur du bâtiment ont baissé de 46% par rapport à 1990 (image d'illustration). (© Keystone/GAETAN BALLY)

La Suisse a émis 40,8 millions de tonnes d'équivalents CO2 en 2023, soit 1 million de moins que l'année précédente. Dans l'ensemble, les émissions étaient 26% inférieures à celles de 1990, indique mardi l'Office fédéral de l'environnement (OFEV).

La plus forte baisse a été enregistrée dans le secteur de l'industrie, suivi par celui du bâtiment. Ces deux secteurs représentent chacun quelque 22% des émissions de la Suisse.

L'industrie a émis 9,1 millions de tonnes équivalents CO2, soit 0,7 million de tonnes de moins qu'en 2022. Cette baisse s'explique notamment par une diminution de la production de ciment, précise l'OFEV. Par rapport à 1990, la baisse des émissions dans ce secteur s'élève à 32%.

Le secteur du bâtiment a aussi émis 9,1 millions de tonnes d'équivalents CO2 (-0,3 million de tonnes). Malgré un hiver plus frais, la consommation de gaz et d'huile de chauffage a diminué, relève l'OFEV, qui explique cela par la hausse du nombre de pompes à chaleur installées jusqu'en 2023. Depuis 1990, le secteur du bâtiment a baissé ses émissions de 46%.

Transports et agriculture stables

Dans les domaines des transports et de l'agriculture, les émissions sont restées les mêmes qu'en 2022. Les émissions du secteur des transports en 2023 (13,7 millions de tonnes équivalents CO2) étaient inférieures de 8% à celles de 1990.

Ces chiffres ne comprennent toutefois pas les émissions de gaz à effet de serre générées par le transport aérien et la navigation internationaux, qui sont présentées de manière distincte, précise l'OFEV sur son site. Et de préciser que les émissions supplémentaires engendrées par les vols internationaux en 2023 s'élevaient à 5,05 millions de tonnes d'équivalents CO2.

Les émissions dues à l’agriculture sont restées quasiment inchangées à 6,5 millions de tonnes d'équivalents CO2 en 2023. Les émissions de gaz à effet de serre synthétique, libérés par exemple par les fluides frigorigènes, étaient aussi similaires à celles de 2022.

Accord de Paris

L'OFEV remet en avril l'inventaire suisse des gaz à effet de serre au Secrétariat des Nations Unies sur les changements climatiques. Cet inventaire dresse un tableau complet des émissions de gaz à effet de serre couverts par l'Accord de Paris sur le climat.

En signant cet accord, la Suisse s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de moitié par rapport à 1990 d'ici 2030. En outre, elle doit atteindre le zéro net d'ici 2050, après l'acceptation par le peuple de la loi sur la protection du climat en juin 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

TI AMO

UMBERTO TOZZI

16:21

IN THE ARMY NOW

STATUS QUO

16:17

SOMETHING GOT ME STARTED

SIMPLY RED

16:11

Publicité

L'info en continu

SportIl y a 1 heure

Une moquerie à 2500 francs pour Andrea Glauser

Andrea Glauser a écopé de 2500 francs d'amende. Le défenseur lausannois est puni pour s'être moqué des officiels lors du...

InternationalIl y a 2 heures

Khamenei salue les discussions avec Washington, reste sceptique

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a salué mardi les discussions menées samedi dernier...

CultureIl y a 2 heures

Crissier: la métamorphose urbaine vue par de jeunes photographes

Dix-huit nouveaux quartiers de la région lausannoise ont été immortalisés par des étudiants en photographie...

EconomieIl y a 3 heures

PIB: perspectives assombries par la guerre commerciale

Le ciel se couvre sur les perspectives de l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB)...

SuisseIl y a 4 heures

Gaz à effet de serre: légère baisse des émissions en 2023 en Suisse

La Suisse a émis 40,8 millions de tonnes d'équivalents CO2 en 2023, soit 1 million...

GenèveIl y a 5 heures

Arrestation d'un mineur soupçonné d'avoir volé une septuagénaire

Une collaboration entre la police genevoise et la police municipale du Grand-Saconnex (GE), ainsi que...

SuisseIl y a 5 heures

E-trottinettes: nombreuses blessures à la tête dans des accidents

Les accidents de trottinettes électriques provoquent souvent des blessures à la tête, au visage ou...

Suisse RomandeIl y a 5 heures

Morges: un excédent de charges limité en 2024

La Ville de Morges (VD) a enregistré un excédent de charges de 3,5 millions de...

SuisseIl y a 5 heures

L'Assemblée citoyenne soutient une taxe sur le sucre

L'Assemblée citoyenne soutient l'introduction de "taxes sur le sucre" frappant les boissons et les aliments...

CultureIl y a 5 heures

Désaccords sous la Coupole fédérale autour de l'initiative SSR

L'exonération des entreprises de la redevance radio-TV continue de faire débat au Parlement. La commission...