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Actualité

Cornavin sans voiture: la colère des taxis

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File d’attente des taxis devant Cornavin, le 14 février 2020. Image: phv

Cornavin revu et corrigé sans automobile aux abords de la gare. Le projet provoque la colère des chauffeurs de taxi de la place de la gare. Radio Lac est allé à leur rencontre.

Comme à leur habitude, ils sont répartis sur deux files en attendant l'arrivée de clients. Ils ont presque tous l’edition du jour de La Tribune de Genève en mains, et la nouvelle ne leur est pas inconnue: à l'horizon 2024, la place Cornavin et les alentours de la gare changeront radicalement d'apparence, et de fonctionnement. Un changement qui est loin de ravir les chauffeurs, et qui pose bon nombre de questions. Si les voitures sont exclues de la place, quelles dispositions seront prises pour que les taxis puissent fonctionner? La solution apportée par la ville: les taxis se trouveront désormais en sous-sol, au niveau du parking actuel de la gare. Sur la place ne seront autorisés que les bus, piétons, cycles et tram.

Les chauffeurs de taxis sont en attente de clients à Cornavin (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

De vives réactions

Parmi les chauffeurs, c'est une nouvelle douche froide. Leur réaction est unanime. Pour eux, ce serait une catastrophe d'être enfermés en sous-sol. Entre les gazs d'échappement, la place et leur visibilité, les raisons sont nombreuses pour s'indigner. Certains prévoient de changer de secteurs, voire de canton, d'autres attendent patiemment la retraite. Cette révolution reflète pourtant la volonté du peuple qui s'est exprimé sur ce point: priorités au transports publics. Ce à quoi les taxis répliquent qu'ils sont eux aussi un service public, et que leur présence "à la surface" est essentielle.

 

Suisse

La "Journée contre le bruit" appelle pour la 20e fois au calme

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Chaque année, le coût total du bruit routier, ferroviaire et aérien est estimé à environ 2,6 milliards de francs en Suisse, dont 1,4 milliard pour la santé (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La "Journée contre le bruit" se déroulera mercredi pour la vingtième fois en Suisse. Sous le mot d'ordre "le bruit rend malade", les associations à l'origine de cet événement veulent alerter contre les risques pour la santé du bruit causé par le trafic.

On recense chaque année environ 500 décès prématurés dus à des maladies cardio-vasculaires contractées en raison du bruit du trafic, indique le service de coordination de cette journée dans un communiqué. Selon lui, le corps humain "ne s'habitue pas au bruit"

Il réagit en sécrétant des hormones de stress, ce qui peut entraîner des problèmes de santé: hypertension, infarctus, troubles du sommeil et de la concentration, troubles de l'humeur tels que la dépression ou l'agressivité.

Coût élevé

La sécrétion chronique des hormones de stress peut aussi avoir une influence négative sur le métabolisme de l'insuline. Par extrapolation, l'exposition excessive au bruit du trafic mène à 2500 nouveaux cas de diabète par année. Le bruit augmente en outre la charge mentale et participe au développement ou à l'aggravation de maladies mentales.

Au total, on estime à 2,6 milliards de francs le coût du bruit routier, ferroviaire et aérien, dont 1,4 milliard pour la santé. Le reste représente la perte de valeur de biens immobiliers.

A l'inverse, le calme permet au corps de se détendre, à la tension artérielle de baisser et aux symptômes de stress de diminuer. Il s'agit d'une ressource naturelle précieuse, "indispensable pour être en bonne santé", ajoute le service de coordination de la Journée contre le bruit.

Depuis 2005

La Suisse participe depuis 2005 à la Journée contre le bruit. Cet événement aborde chaque année la thématique du bruit sous un autre angle afin de sensibiliser les autorités, les spécialistes et la population, souligne le communiqué.

Cette journée est portée par le Cercle Bruit Suisse (Groupement des responsables cantonaux de la protection contre le bruit), la Société Suisse d'Acoustique, les Médecins en faveur de l'Environnement et la Ligue suisse contre le bruit, avec le soutien des offices fédéraux de l'environnement (OFEV) et de la santé publique (OFSP).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

L'UNIGE propose un nouveau festival culturel ouvert au public

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Une partie des événements du Carac Festival se déroulera dans le bâtiment d'Uni Mail (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Carac est le nom qui a été donné au nouveau festival culturel de l'Université de Genève (UNIGE). La manifestation se déroule jusqu'au 25 mai. A l'initiative des associations et troupes universitaires, elle propose des dizaines d'événements dans divers lieux.

Carac Festival s'adresse tant à la communauté universitaire qu'au grand public, indique l'UNIGE dans un communiqué. La grande majorité des événements programmés est gratuite et ouverte à tous. Le public aura le choix entre du théâtre, de la danse, des concerts, du cinéma, des ateliers d'arts manuels, des jeux et une exposition.

Le choeur des musiques actuelles donnera une représentation au Temple de la Madeleine. Le choeur de gospel, lui, réchauffera les âmes au Temple de Plainpalais, qui abritera aussi une soirée cabaret. Le choeur de l'Université, pour sa part, aura les honneurs de la scène du Victoria Hall.

L'UNIGE compte près de 150 associations étudiantes actives dans de nombreux domaines. Ces structures ont pour but premier de favoriser l'échange et l'émulation au sein de l'institution.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Cérémonial grandiose aux funérailles de François

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La messe pour les funérailles du pape François doit débuter à 10h00 dans le cadre majestueux de la place Saint-Pierre (archives). (© KEYSTONE/EPA/NYEIN CHAN NAING)

François, "le pape des pauvres", va avoir droit samedi à des funérailles grandioses dans une ferveur populaire place Saint-Pierre. Plus de 200'000 fidèles, une cinquantaine de chefs d'Etat et une dizaine de têtes couronnées sont attendus.

Dès l'aube, des milliers de personnes ont convergé dans les rues menant à la place, encadrés par des centaines d'agents de sécurité en tenue jaune et orange fluorescents équipés de talkies-walkies.

"On voit énormément de monde. Des jeunes ont passé la nuit à l'extérieur. Ça montre combien de fois le pape François a marqué", a confié à l'AFP Jean-Roger Mounguengui, Gabonais de 64 ans venu avec son épouse. "C'est une journée vraiment historique", ajoute l'homme en costume sombre et cravate prune.

A l'ouverture des accès à la place peu après 06h00, nombre de fidèles ont couru pour tenter d'avoir une place assise. Plusieurs ont des drapeaux de leur pays sur le dos. D'autres exhibent une photo du pape François sur des banderoles. "Oh mon Dieu, je n'arrive pas y croire", lance une jeune américaine en arrivant sur la place.

Emotion dans le monde entier

La mort, lundi de Pâques, d'un AVC à l'âge de 88 ans du premier pape sud-américain qui avait été élu en 2013, a suscité une émotion et des hommages planétaires.

Le président américain, accompagné de son épouse Melania, est arrivé à Rome vendredi soir et pourrait avoir des entrevues bilatérales en marge de la cérémonie, avec par exemple la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, à propos de la hausse des droits de douane que M. Trump a imposée.

En revanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi soir qu'il n'était pas certain d'"avoir le temps" de faire le déplacement.

Messe à 10h00

La messe au rituel très solennelle doit débuter à 10h00 dans le cadre majestueux de la place Saint-Pierre, un écrin posé face à la basilique et enchâssé dans la colonnade du Bernin.

Elle sera présidée par le doyen du collège des cardinaux, l'Italien Giovanni Battista Re. Des écrans géants ont été installés tout le long de la Via della Conciliazione, la grande artère reliant le Vatican aux rives du Tibre, pour permettre à la foule de la suivre.

Cette semaine, plus de 250'000 personnes ont patienté pendant des heures pour se recueillir devant la dépouille du chef de 1,4 milliard de catholiques, exposée sous les ors de la basilique Saint-Pierre. Face à cet afflux, le Vatican a même été contraint de laisser ouvertes les portes de la basilique jusqu'au bout de la nuit.

Rois et reines

Un élan reflétant la popularité de ce défenseur inlassable de la paix, des migrants et des laissés pour compte, devenu au fil des ans une boussole morale dans un monde toujours plus instable. Sa simplicité, sa bonhomie et son franc-parler, parfois abrasif, ont aussi contribué à élargir son audience au-delà des catholiques.

Le cercueil a été fermé vendredi soir lors d'une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l'Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu'au conclave qui élira le successeur de François. Sa date n'est pas encore connue mais il devrait débuter autour du 5 mai.

Des milliers de chaises ont été alignées pour accueillir 224 cardinaux vêtus de pourpre, plus de 750 évêques et prêtres, mais aussi des représentants d'autres confessions venus rendre hommage à cet avocat du dialogue inter-religieux.

Comme pour Jean-Paul II en 2005, plus de 160 délégations de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront à ces funérailles en mondovision.

Outre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, seront aussi présents pour l'Europe le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre britannique Keir Starmer. La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter y assistera aussi.

Le président russe Vladimir Poutine, sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), a délégué sa ministre de la Culture Olga Lioubimova. L

L'Amérique du Sud, continent d'origine de Jorge Bergoglio, sera représentée par son compatriote, le président argentin Javier Milei, et son homologue brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.

Ainsi que quelques têtes couronnées: le roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le prince de Galles William représentant son père Charles III, le roi du Lesotho Letsie III, le roi Abdallah II et la reine Rania de Jordanie, ainsi que le prince Albert II de Monaco et son épouse Charlène.

Tireurs d'élite

Les mesures de sécurité sont draconiennes. La gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens sont sur les dents et surveillent les accès au Vatican, dotés de contrôles de sécurité semblables à ceux d'un aéroport, dont des scanners à rayons X.

Une zone d'exclusion aérienne au-dessus de Rome est en place et des unités antidrones ont été déployées avec des brouilleurs d'ondes. Des avions de chasse sont aussi prêts à décoller et des tireurs d'élite sont positionnés sur les toits.

Au terme de la messe, le cercueil sera escorté de l'autre côté du Tibre dans le centre de la Ville éternelle, jusqu'à la basilique Sainte-Marie-Majeure. C'est dans cet imposant sanctuaire du Ve siècle abritant déjà les tombeaux de sept papes que François a choisi d'être inhumé.

"Franciscus"

Située dans une petite niche près de l'autel dédié à saint François, la sobre tombe en marbre portera comme seule inscription "Franciscus", François en latin.

Jorge Bergoglio, très attaché au culte de la Vierge Marie, avait l'habitude de se recueillir dans cette basilique, qui fait partie du territoire du Vatican, à la veille et au retour de ses visites à l'étranger.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouveaux échanges de tirs entre armées indienne et pakistanaise

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Les forces indiennes et pakistanaises ont échangé des tirs dans la nuit de vendredi à samedi le long de la ligne de contrôle (LoC), frontière de facto entre Inde et Pakistan au Cachemire (archives). (© KEYSTONE/AP/CHANNI ANAND)

Le Premier ministre pakistanais a martelé samedi que son pays était "prêt" à "protéger chaque centimètre carré" de son sol, après un deuxième échange de tirs au Cachemire avec le voisin indien. New Delhi l'accuse d'une récente attaque meurtrière.

S'exprimant en anglais, fait inhabituel, lors d'une cérémonie militaire, Shehbaz Sharif a répété qu'accuser son pays d'être lié à la mort de 26 civils mardi dans les contreforts de l'Himalaya au Cachemire disputé, était "infondé". Le chef du gouvernement a même réclamé une "enquête neutre" sur cette attaque dont son voisin indien l'accuse.

L'Inde, elle, mène toujours une chasse à l'homme au Cachemire, assurant notamment rechercher deux tireurs pakistanais.

Alors que tous les regards sont tournés vers la ligne de contrôle (LoC), la frontière de facto au Cachemire, forces indiennes et pakistanaises ont de nouveau échangé des tirs, pour la deuxième journée consécutive, a rapporté l'armée indienne.

Elle assure que des tirs d'armes légères "non provoqués" sont venus de "nombreux" postes de l'armée pakistanaise, qui, elle, ne commente pas l'événement.

Eviter l'escalade

Tôt vendredi, les deux puissances nucléaires - qui se sont livré trois guerres depuis leur partition dans la douleur en 1947 au départ du colonisateur britannique - avaient déjà brièvement échangé des tirs.

L'Arabie saoudite, allié traditionnel du Pakistan et où le Premier ministre indien Narendra Modi se trouvait au moment de l'attaque mardi, assure vouloir enrayer la spirale du conflit.

Ryad "mène des démarches pour éviter une escalade" et "que la situation échappe à tout contrôle", a indiqué un haut responsable saoudien à l'AFP.

Menaces et sanctions

Au Cachemire, après que M. Modi a promis que son pays traquerait les tireurs de mardi "jusqu'au bout de la terre", la police indienne a diffusé les portraits-robots de deux ressortissants pakistanais, les présentant comme membres du groupe Lashkar-e-Taiba (LeT), basé au Pakistan.

Et l'armée indienne a détruit vendredi à l'explosif deux maisons présentées comme appartenant aux familles des auteurs de l'attaque.

Mercredi, le ministre indien de la Défense Rajnath Singh avait menacé de représailles "ceux qui ont organisé ça en cachette", visant implicitement le Pakistan.

Le ministre pakistanais de la Défense a rétorqué vendredi sur la chaîne Sky News. "Nous répliquerons, nous ajusterons notre réponse en fonction de ce que fera l'Inde (...) il est possible qu'une guerre totale éclate et cela aura des répercussions graves", a menacé Khawaja Asif.

Sanctions

Mercredi, l'Inde a ouvert le bal des sanctions, avec la suspension d'un traité sur le partage des eaux de l'Indus, la fermeture du principal poste-frontière terrestre et l'expulsion de diplomates.

A l'issue d'une rare réunion de son Comité de la sécurité nationale, le Pakistan a riposté en appliquant à chaque sanction une mesure de réciprocité.

Conséquence immédiate, les compagnies aériennes indiennes ont été contraintes de modifier le trajet de leurs vols vers l'ouest et le nord-ouest pour éviter le Pakistan.

Et à la frontière, désormais fermée, des familles déchirées font leurs adieux à des épouses, des cousins ou des enfants forcés de rester d'un côté ou de l'autre de la frontière maintenant que tous les visas ont été annulés par Islamabad et New Delhi - le Pakistan fait toutefois exception pour les pèlerins sikhs venus d'Inde.

"Régler le problème"

Le Conseil de sécurité de l'ONU, dont le Pakistan est actuellement membre non permanent, a condamné l'"attaque terroriste" de mardi. En 2019 déjà, après une attaque meurtrière contre un convoi de militaires indiens, les deux pays avaient échangé des tirs.

De nombreux experts craignent une riposte militaire de New Delhi, alors que les opinions publiques des deux pays sont chauffées à blanc. Dans ce contexte, l'ONU plaide pour "une résolution pacifique" et réclame "la retenue maximale".

Le Cachemire a été partagé entre l'Inde et le Pakistan à leur indépendance en 1947. Ils continuent depuis à réclamer la souveraineté sur l'ensemble du territoire. Depuis 1989, les combats entre insurgés séparatistes et troupes indiennes ont fait des dizaines de milliers de morts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Décès de Virginia Giuffre, plaignante clé de l'affaire Epstein

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En août 2019, Virginia Roberts Giuffre, au centre, lors d'une conférence de presse devant un tribunal de Manhattan où elle a témoigné après la mort en prison du prédateur sexuel Jeffrey Epstein (archives). (© KEYSTONE/AP/BEBETO MATTHEWS)

Virginia Giuffre, l'une des principales plaignantes de l'affaire Jeffrey Epstein, financier américain qui était accusé de trafic sexuel de mineures, s'est suicidée à son domicile en Australie à l'âge de 41 ans, a annoncé samedi sa famille.

Mme Giuffre avait accusé le milliardaire américain Jeffrey Epstein, mort en détention en 2019, de l'avoir utilisée comme "esclave sexuelle" au tournant des années 2000.

L'Américano-Australienne avait conclu en 2022 un arrangement de plusieurs millions de dollars avec le prince Andrew, frère du roi Charles III d'Angleterre, qu'elle accusait d'agression sexuelle quand elle était mineure dans cette affaire.

"C'est avec le coeur brisé que nous annonçons que Virginia est décédée la nuit dernière dans sa ferme en Australie occidentale", a déclaré la famille dans un communiqué transmis à l'AFP par son agent.

"Elle s'est suicidée après avoir souffert tout au long de sa vie des agressions sexuelles et du trafic sexuel" dont elle a été victime.

"Incroyable courage"

"Il n'y a pas de mots qui puissent exprimer la grave perte que nous ressentons aujourd'hui avec le décès de notre douce Virginia", a déclaré la famille, se souvenant de son "incroyable courage et de son esprit aimant".

"En fin de compte (...) il est devenu insupportable pour Virginia de supporter le poids des agressions" subies. Mme Giuffre laisse trois enfants, Christian, Noah et Emily, a précisé sa famille.

Son avocate, Sigrid McCawley, pour qui Mme Giuffre avait été une "amie très chère" a souligné qu'elle avait contribué à défendre d'autres victimes dans cette affaire. "Son courage m'a poussé à me battre plus fort, et sa force était impressionnante".

L'agente new-yorkaise Dini von Mueffling a décrit sa cliente comme "l'un des êtres humains les plus extraordinaires" qu'elle ait connus. "Profondément aimante, sage et drôle, elle était un phare pour les autres survivants et victimes", a-t-elle déclaré.

Les accusations de Virginia Giuffre avaient précipité la disgrâce du prince Andrew, qui s'est retiré de la vie publique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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