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Coronavirus: Un bilan bien plus lourd aujourd'hui

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EPA/WU HONG

Le bilan du coronavirus est passé jeudi à 1355 morts en Chine et près de 60'000 contaminés. Parallèlement, les plus hauts responsables politiques du Hubei et de sa capitale, Wuhan, berceau de l'épidémie de pneumonie virale, ont été démis de leurs fonctions.

Jiang Chaoliang, secrétaire du Parti communiste chinois (PCC) pour la province située dans le centre du pays, a été remplacé par le maire de Shanghai, Ying Yong, annoncé jeudi l'agence de presse Chine nouvelle. Le secrétaire du PCC pour la ville de Wuhan, Ma Guoqiang, qui s'était lui-même reproché fin janvier une réaction trop lente à l'apparition du virus, a également été limogé.

"Je suis envahi par un sentiment de culpabilité, par les remords", avait-il déclaré à la télévision. "L'épidémie aurait alors probablement pu être atténuée, elle ne serait pas devenue ce qu'elle est aujourd'hui. L'impact sur les régions du pays aurait été moindre et cela aurait évité bien des soucis au Comité central du PCC et au gouvernement", avait-il déclaré.

Les hauts responsables chinois confessent rarement des erreurs en public, encore moins à la télévision à une heure de grande écoute. Les têtes ont commencé à tomber en début de semaine au Hubei, à la suite de vives critiques dans l'opinion publique au sujet de la gestion de la crise. Les deux principaux responsables de la Commission provinciale (ministère) de la Santé ont ainsi déjà été remplacés.

Rigueur et transparence

Mercredi, l'ambassadeur chinois à l'ONU Zhang Jun a défendu les mesures de prévention et de contrôle "rigoureuses" adoptées par la Chine face à l'épidémie, assurant qu'elles dépassaient "de loin" les exigences du Règlement sanitaire international de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

"Face à l'épidémie, nous avons toujours adopté une attitude d'ouverture, transparence et de responsabilité", a-t-il assuré devant une commission des Nations unies. L'ambassadeur a notamment cité en exemple le fait d'avoir partagé "dès qu'elles étaient disponibles" des informations sur l'épidémie auprès de l'OMS notamment, ainsi que le séquençage du virus.

Zhang Jun a appelé à la solidarité et à la collaboration de la communauté internationale pour enrayer le virus, assurant: "les pays sont liés par le même destin et aucune nation ne peut survivre seule". L'Organisation mondiale de la santé a estimé mercredi qu'il était "beaucoup trop tôt" pour prédire une fin de l'épidémie, douchant l'optimisme du président chinois Xi Jinping qui s'était félicité plus tôt de "l'évolution positive" de la crise.

Le dirigeant chinois avait noté que le nombre de nouveaux cas avait diminué depuis trois jours.

Nouvelle définition

La commission de la Santé de la province centrale du Hubei, épicentre de l'épidémie, a annoncé dans son bilan quotidien de jeudi 242 nouveaux décès. C'est de loin le chiffre le plus lourd enregistré en 24 heures depuis que la crise a débuté en décembre. La commission a aussi indiqué que 14'840 nouveaux cas de contamination avaient été détectés dans le Hubei en 24 heures. Cela porte à près de 60'000 le total des contaminations dans l'ensemble de la Chine continentale.

Mais ce bilan est aussi lié à l'adoption par les autorités chinoises d'une nouvelle méthode de détection des cas. Ces nouveaux chiffres pourraient alimenter les spéculations selon lesquelles la gravité de l'épidémie de pneumonie due au nouveau coronavirus, appelée officiellement Covid-19 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), pourrait avoir été sous-estimée.

Ces fortes hausses sont dues à l'adoption d'une définition élargie des cas d'infection, a déclaré dans un communiqué la commission, qui comptabilise désormais les cas "diagnostiqués cliniquement". Cela signifie qu'une radio pulmonaire peut être considérée comme suffisante pour diagnostiquer l'infection au virus, plutôt que les tests standard à l'acide nucléique.

Source ATS

Culture

Sur TikTok, le business lucratif des faux comptes d'actualités

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TikTok permet à de nombreux internautes de gagner de l'argent par le biais de fausses vidéos d'information. De son côté, la plateforme assure lutter contre la désinformation (photo prétexte). (© KEYSTONE/DPA/ROBERT MICHAEL)

Augmentation générale "de 220 euros", "taxe sur les retraits d'espèces": les fausses infos pullulent sur TikTok, relayées par une myriade de faux comptes d'actualités. A la clé: des millions de vues et des revenus parfois conséquents pour leurs créateurs.

Entre faits divers inventés et annonces "choc" sur le porte-monnaie, ces vidéos mêlant images d'illustration et voix off générée par IA suscitent des commentaires indignés ou enthousiastes.

Et sur les réseaux sociaux, commentaires, partages et réactions égalent engagement, et donc rémunération, quitte à attiser le chaos informationnel.

Comme en témoigne sous un prénom d'emprunt Victor, 29 ans, qui s'est lancé sur TikTok il y a un an et demi, après une perte d'emploi.

"Il fallait que je rebondisse. Du coup, j'ai cherché plusieurs niches pour faire de l'argent", raconte cet habitant de la région marseillaise actif sur "deux ou trois comptes", auxquels il consacre environ six heures par jour.

"Industrialisation des fausses infos"

Il affirme gagner entre 1500 et 4500 euros brut par mois en racontant des histoires insolites, qui font "de l'audience".

Pour Océane Herrero, journaliste et autrice du livre "Le système TikTok", ces formats vidéo pensés pour générer "une réaction émotionnelle", notamment lorsqu'ils portent sur le coût de la vie, participent d'une "industrialisation des fausses infos".

Succès assuré pour les faux faits divers avec force points d'exclamation et emojis horrifiés (rumeurs de kidnapping, de fauves errants...) mais aussi pour un prétendu couvre-feu pour les mineurs après 23 heures ou une amende de 35 euros pour les automobilistes écoutant de la musique...

Si Victor publie aussi de vraies infos pour éviter de voir ses comptes interdits par la plateforme, en revanche, pas de sujet lié au Moyen-Orient ou à l'Afrique, régions non éligibles au programme de monétisation de TikTok.

Pour contourner cette restriction depuis Dakar, Eric (nom d'emprunt), 28 ans, diffuse ses vidéos sur le compte d'un ami vivant en France. Ses revenus lui ont permis de financer une opération d'environ 1500 euros après un accident, raconte-t-il à l'AFP.

Ces vidéos séduisent des centaines de milliers d'internautes, comme Benjamin et Will, interrogés par l'AFP: ils font "confiance aux médias indépendants" plutôt qu'aux médias traditionnels, qu'ils accusent de "lavages de cerveaux".

L'attrait de la monétisation

Difficile de quantifier le phénomène, mais le mot "actualité" fait apparaître sur TikTok une multitude de comptes ("actualités du jour", "actu France"). Souvent, un seul créateur en gère plusieurs.

"Je fais tout ça pour la monétisation", revendique Maxime (prénom d'emprunt), 19 ans, qui souhaite se payer une formation aux outils IA de création de films.

Grâce au succès de certaines de ses vidéos, comme un deepfake de la dirigeante italienne Giorgia Meloni mi-novembre, son compte est devenu éligible à rémunération et lui a rapporté 60 euros. Un "premier gros cachet" dont il se réjouit, tout en se disant "très gêné" que des internautes y croient. TikTok a depuis supprimé son compte.

Ces contenus contreviennent aux conditions du système de monétisation de la plateforme, le "Creator Rewards Program", ouvert aux comptes à plus de 10'000 abonnés, cumulant 100'000 vues sur les 30 derniers jours et aux vidéos de plus d'une minute.

"L'aspect trompeur et la quête d'engagement de ces comptes relèvent d'usages que TikTok est censé décourager", confirme Océane Herrero, rappelant que le réseau peut les sanctionner, dès lors qu'ils ont selon lui causé un "préjudice" important.

"Perte de confiance"

Contactée par l'AFP la plateforme assure agir "contre la désinformation", qu'elle soit "intentionnelle" ou non.

Ces comptes contribuent "à la perte de confiance dans le système politique", parce qu'ils "évoquent des mesures fictives, qui soufflent le chaud et le froid (...) avec une impression d'arbitraire", conclut l'experte.

L'AFP, parmi plus d'une quinzaine d'organisations de fact-checking, est rémunérée par TikTok dans plusieurs pays pour vérifier des vidéos qui contiennent potentiellement de fausses informations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Un spectacle de patinage artistique contemporain aux Bastions

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Rendez-vous mercredi 31 janvier à 14h00 à la patinoire des Bastions à Genève pour un spectacle gratuit de patinage artistique contemporain (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Un spectacle de patinage artistique contemporain est organisé mercredi après-midi 31 décembre à la patinoire en plein air des Bastions, à Genève. Cette performance gratuite proposée par la Ville de Genève, sera assurée par la compagnie québécoise "Le Patin Libre".

"Le Patin libre casse les codes du patinage artistique classique pour nous offrir un moment de beauté et d’évasion", indique le Département de la cohésion sociale et de la solidarité. Fondée en 2005, la compagnie est composée d'ex-patineurs de haut niveau qui ont quitté le carcan du show-business.

La représentation, qui aura lieu à 14h00 à 14h30, sera suivie d'animations participatives avec le public. Des patins peuvent être loués sur place.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le franc devrait rester solide en 2026

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Selon les experts, la monnaie helvétique devrait poursuivre en 2026 sa tendance haussière qui dure depuis des années. (archive) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le franc ne faiblit pas, malgré le choc des droits de douane américains qui menaçait de frapper l'économie suisse. Selon les experts, la monnaie helvétique devrait poursuivre en 2026 sa tendance haussière qui dure depuis des années.

Quels arguments en faveur du franc?

Les experts citent comme principaux piliers du franc la stabilité politique, les excédents élevés de la balance courante, le faible endettement, une économie forte et très innovante, ainsi qu'une inflation très faible en Suisse. C'est pourquoi il est considéré depuis des décennies comme une valeur refuge, très prisée en période de crise.

Grâce à l'accord récemment conclu dans le conflit douanier avec les Etats-Unis, la Suisse a également pu éliminer une menace massive pour sa compétitivité par rapport à d'autres pays. Ce danger semble désormais écarté.

Qu'est-ce qui pourrait nuire au franc?

La réintroduction des taux d'intérêt négatifs pourrait affaiblir le franc. Récemment, des données sur l'inflation négative, les incertitudes sur les marchés financiers et dans le domaine politique ont alimenté les spéculations à ce sujet. Mais celles-ci ont été immédiatement dissipées par la Banque nationale suisse (BNS). En effet, les taux d'intérêt négatifs ont des effets secondaires importants, notamment sur la prévoyance vieillesse, ce que la BNS souhaite éviter.

Et le dollar?

Le billet vert s'est nettement affaibli sous les effets des droits de douane américains. Encore à 0,9132 franc pour un dollar début janvier, la paire de devises a continuellement chuté pour atteindre fin décembre 0,78960 USD/CHF.

"Méfiez-vous du dollar", prévient cependant Thomas Stucki, directeur des investissements à la Banque cantonale de Saint-Gall. Si le président américain Donald Trump parvient à prendre le contrôle de la Réserve fédérale américaine (Fed) et que la nomination du successeur du président de la banque centrale, Jerome Powell, suscite de nouveaux doutes quant à l'indépendance de l'institution, cela pourrait nuire davantage à la confiance dans le dollar. Une baisse du cours vers 75 centimes ne serait alors plus très loin, estime M. Stucki.

La banque Valiant s'attend certes à de nouvelles baisses des taux d'intérêt de la Fed l'année prochaine, mais continue de voir le dollar évoluer dans une fourchette comprise entre 79 et 81 centimes. UBS ne voit quant à elle aucune raison d'anticiper une nouvelle faiblesse marquée du dollar.

Un euro stable?

En revanche, l'euro s'est révélé globalement assez stable en 2025. La monnaie unique est actuellement cotée à 0,9287 franc, après avoir démarré l'année à 0,9395 EUR/CHF. Son cours a toutefois été très volatil, oscillant entre un peu moins de 92 et près de 97 centimes. Mi-novembre, l'euro a même atteint un plus bas historique à 0,91783 EUR/CHF.

La plupart des experts s'attendent désormais à une évolution latérale de l'euro. Selon Valiant, cela s'explique notamment par le fait que la Banque centrale européenne (BCE) a déjà intégré le niveau actuel des taux d'intérêt de 2% dans ses prévisions pour l'ensemble de l'année 2026.

Selon Raiffeisen, l'euro offre certes des taux d'intérêt plus élevés que le franc, mais la banque coopérative table néanmoins sur un léger recul du cours euro-franc à 91 centimes d'ici fin 2026. Cette prévision s'explique par les perspectives économiques moroses dans l'UE et la volatilité des marchés.

L'évolution future de la monnaie unique européenne dépendra donc essentiellement de la mise en oeuvre effective du vaste programme d'infrastructures allemand et de sa capacité, conjuguée aux dépenses militaires colossales prévues en Europe, à relancer l'économie. L'euro pourrait alors se redresser quelque peu, selon Raiffeisen.

Vers un franc toujours solide

Le franc devrait rester fort et représenter un défi permanent pour l'économie suisse orientée vers l'exportation. "Surtout en combinaison avec les droits de douane plus élevés", avertit M. Heller. Cependant, l'économie d'exportation suisse a prouvé par le passé qu'elle était capable de faire face à cette situation.

Les consommateurs devraient, eux, se réjouir, qu'ils soient touristes d'achat dans les pays voisins ou voyageurs grâce à des effets de change substantiels selon les destinations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Les métaux précieux calment leurs ardeurs après de nouveaux sommets

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L'or a atteint dans la nuit de dimanche à lundi un nouveau sommet historique à 4550,52 dollars l'once. (archive) (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

Les cours de l'or, de l'argent et du platine se sont envolés ces dernières 24 heures, avant de voir leurs cours retomber lundi matin sous le coup des prises de bénéfices mais aussi des avancées dans les négociations de paix en Ukraine.

Mais même après ce repli, ces métaux précieux vont terminer l'année en fanfare. Allant de record en record, l'or a atteint dans la nuit de dimanche à lundi un nouveau sommet historique à 4550,52 dollars l'once avant de retomber dans la matinée à 4462,46 dollars (-1,55%). Depuis le début de l'année, le prix du métal jaune s'est envolé de 71,3%.

Les investisseurs semblent avoir pris leurs bénéfices, alors que les pourparlers de paix en Ukraine avancent, ont commenté les analystes de la plateforme Trading Economics.

Le président américain Donald Trump a en effet estimé dimanche être plus près que jamais d'un accord de paix en Ukraine, après une réunion avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky et une conversation téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine. Le locataire de la Maison Blanche n'a toutefois fait mention d'aucune avancée concrète.

Mais les tensions au Moyen-Orient, ainsi qu'entre les Etats-Unis et le Venezuela soutenaient la demande pour l'or en tant que valeur refuge, selon Trading Economics.

Les experts d'UBS ont pour leur part rappelé que l'envolée de l'or allait de pair avec la faiblesse du dollar, les investisseurs cherchant des placements plus solides.

"Les achats continus par les banques centrales, plus d'investissements dans les ETF et une plus forte demande en lingots et pièces soutiennent aussi le rally, alors que les taux directeurs devraient baisser aux Etats-Unis", ont ajouté les analystes de la banque aux trois clés. Ces derniers voient l'or grimper à 5000 dollars l'once dès mars 2026.

Les autres métaux précieux cédaient aussi leurs gains. Après avoir atteint un sommet à 83,97 dollars l'once, l'argent reculait de 5,9% à 74,60 dollars. Le platine faisait de même, baissant de 6,4% à 2291,29 dollars, après un plus haut à 2478,50 dollars. Depuis janvier, ces deux métaux ont également enregistré une importante envolée de respectivement 159,2% et 154,8%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

La Thaïlande accuse le Cambodge d'avoir "violé" leur cessez-le-feu

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Les combats entre la Thaïlande et le Cambodge ont fait un million de déplacés en trois semaines (archives). (© KEYSTONE/EPA/KITH SEREY)

La Thaïlande a accusé lundi le Cambodge d'avoir "violé" le cessez-le-feu que les deux voisins d'Asie du Sud-Est ont conclu samedi après trois semaines d'affrontements frontaliers. Elle a recensé plus de 250 drones au-dessus de son territoire.

"Plus de 250 véhicules aériens sans pilote ont été détectés en provenance du côté cambodgien, pénétrant dans le territoire souverain de la Thaïlande" dans la nuit de dimanche à lundi, a indiqué l'armée thaïlandaise dans un communiqué.

"De telles actions constituent une provocation et une violation des mesures visant à réduire les tensions", a-t-elle ajouté.

Le ministre cambodgien des Affaires étrangères, Prak Sokhonn, a évoqué dans un entretien diffusé sur une chaîne de télévision publique un "petit problème lié à des drones aperçus par les deux parties le long de la ligne frontalière". "Nous en avons discuté et sommes convenus de l'examiner et de le résoudre immédiatement", a-t-il affirmé.

47 morts

La Thaïlande et le Cambodge ont annoncé samedi un cessez-le-feu immédiat dans leur conflit frontalier, qui a fait ces dernières semaines au moins 47 morts et près d'un million de déplacés.

Ils se sont notamment engagés dans une déclaration conjointe à geler leurs positions militaires et à coopérer dans les opérations de déminage des régions frontalières.

Les deux pays s'opposent de longue date sur le tracé de leur frontière de 800 kilomètres, décidé pendant la période coloniale française. Ils s'accusent mutuellement d'avoir déclenché cette nouvelle escalade meurtrière après un premier épisode de combats en juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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