Le géant des cosmétiques Sephora a annoncé qu'il ouvrira sa première enseigne-vitrine de Suisse en plein centre de Genève. L'arrivée de cette marque prisée de la jeune génération pourrait donner un nouveau souffle à ces grandes artères commerçantes surnommées les rues basses, pénalisées par le déclin du textile et la flambée des loyers.
Dans le jargon, on appelle cela un "flagship store", littéralement un magasin amiral, habituellement situé dans des emplacements de prestige, afin de servir de vitrine à une marque. Sephora a choisi un bâtiment historique de la Rue de la Croix d'Or pour sauter le pas en Suisse, dix ans après y avoir ouvert son premier "corner" au sein de Manor.
Depuis, ces espaces ont essaimé et le groupe de cosmétiques appartenant au géant français du luxe LVMH a pris ses quartiers dans pas moins de 24 magasins Manor dans tout le pays. A ces espaces dits "shop-in-shop" s'ajoutent trois enseignes autonomes dans des centres commerciaux à Bâle, Zurich et Genève.
"Son implantation dans un emplacement de premier rang tel que la Rue de la Croix d'Or à Genève montre que la stratégie a fonctionné", observe Nicolas Inglard auprès de l'agence AWP. directeur du cabinet de conseil pour le commerce de détail Imadeo.
Dans le milieu, on voit plutôt d'un bon oeil l'arrivée de l'enseigne, qui jouit d'une forte présence en ligne, notamment via les influenceuses et influenceurs sur les réseaux sociaux et qui dispose d'un portefeuille de marques prisées de la jeune génération.
En drainant cette clientèle en ville, Sephora pourrait ainsi jouer le rôle de "locomotive" selon l'expert, en renforçant l'attractivité du quartier, où les surfaces vides se sont multipliées ces dernières années, d'une part en raison des difficultés structurelles que connaît la branche - les segments textile et électronique, en particulier, subissent frontalement la concurrence en ligne. De l'autre, à cause de l'explosion des loyers dans ces emplacements de choix.
L'ouverture est prévue le 13 février prochain.
Fondée en 1969 par Dominique Mandonnaud à Limoges, pionnier de la vente de produits de beauté en libre-service, Sephora a été rachetée en 1997 par LVMH. L'enseigne est aujourd'hui présente dans 35 pays et compte quelque 52'000 collaborateurs.
Boumald
7 février 2018 à 13 h 40 min
Bonjour ,je tiens Remercié radio lac et Aurélie selli pour son émission ,cette souffrance touche de plus en plus des parents et les enfants suite au comportement et de l'incompétence de certains assistants et services de protection de l'enfance qui agissent souvent comme des pompiers pyromanes , trop d'abus , trop de négligence, copinages....,c'est pour cela j'ai décidé de organiser cette marche pour nos enfants pour dénoncer à les autorités et pour leur ouvrir les yeux car eux aussi sont victimes de la confiance qui ont mis dans ce service qui prétend etre la pour le bien des enfants,merci encore pour vous efforts et intérêt a notre souffrance . Boumald Jamal , organisateur de la marche de l'espoir , touche pas à mon enfant -ch ,0788677810
Franc
14 mars 2018 à 16 h 56 min
Les Juges n'ont pas évolué depuis toujours et on en est encore au schéma classique: la mère au foyer et le père y ramène l'argent. Nos Juges doivent probablement tous encore avoir un complexe d'œdipe vis à vis de leur propre mère (pas étonnant puisque le rôle éducatif du père est totalement ignoré et inconnu dans ce pays).
En fait, plus le père essaie de valider (et défendre) sa place auprès et avec ses enfants, plus la Justice le détruit par tous les moyens les plus retords et les plus sournois.
Pas de garde alternée si le couple parental ne s'entend pas ==> donc les mères font tout (et leurs avocats les y encouragent à dessein) pour que l'entente se dégrade; elles refusent la médiation, font du chantage aux sentiments sur les enfants ou les aliènent contre leur père, etc....(plus le conflit s'éternise plus c'est rentable pour les avocats, pédopsy, assistants sociaux, etc).
Autorité parentale partagée ==> à quoi ça sert si le père ne voit ses enfants que 4 jours par mois (moins que leurs enseignants !).
Et lorsque le père est irréprochable (ici, les Juges donnent aux mères, toutes puissantes, le bon Dieu sans confession !!), le dernier recours des avocats est de suspecter le père d'avoir un comportement " pédophile" (par définition, un père est suspect dès lors qu'il souhaite vivre le quotidien de ses enfants plus que le minimum habituel !). Et même si aucun soupçon de preuve n'existe, le mot est lancé, la rumeur se diffuse et cela suffit à alerter les services de l'enfance et de la jeunesse qui viennent se mêler, à vitesse grand V, de l'affaire.
A ce stade, le père est étiqueté et il perd tous ses droits, sauf celui de payer et de se taire, c'est tout. L'affaire est réglée.
Tel est la pratique de notre système sordide et pervers des jugements de divorce en Suisse. (en résumé: le père doit acheter un droit de visite pour voir ses propres enfants et la mère doit retrouver le même niveau de vie avec les enfants que pendant le mariage; le comble de l'ironie !!).
Sauf que dans tous ces drames, ce sont les enfants qui souffrent le plus de ces situations, avec les conséquences délétères sur leur développement psychique et social (mais comme le rôle du père dans le développement de l'enfant est inconnu en Suisse, malgré toutes les études faites hors frontières à ce sujet, les Juges préfèrent jouer à l'autruche, tête dans le sable).
Et que l'on ne vienne pas me dire que tout est fait, pensé pour le bien "supérieur" de l'enfant, ce serait le summum de la malhonnêteté et de l'hypocrisie. — exaspéré.
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