Au lendemain du réveillon de Noël et des ouvertures de cadeaux, près de 900'000 annonces de revente ont été publiées en France, pulvérisant les scores de l'année dernière, selon les chiffres communiqués par les plateformes eBay et Rakuten.
"eBay observe déjà 500'000 nouvelles annonces en ligne le 25 décembre et prévoit une augmentation du nombre d'annonces de 400% par rapport à la moyenne, dans les jours suivant Noël", a indiqué dans un communiqué la plateforme de revente.
L'année dernière, 340'000 annonces avaient été enregistrées le 25 décembre dans la matinée.
Son concurrent Rakuten France "a enregistré environ 390.000 annonces déposées par des vendeurs particuliers sur sa plateforme depuis hier soir, soit une augmentation de 2% comparé à 2024 à la même heure", a annoncé la plateforme, en se basant sur des chiffres arrêtés à 11h30.
Rakuten prévoit "de dépasser le million d'annonces mises en ligne dans les jours à venir".
Pour les deux sites, la pratique de la revente de cadeaux est désormais ancrée dans les moeurs.
Selon les chiffres de son dernier baromètre sur le sujet, mené par Kantar, eBay estime à "près de 20 millions" le nombre de Français qui ont déjà revendu des cadeaux en 2025, soit 1,6 million de plus que l'année précédente.
Selon Rakuten, les reventes concernent principalement les produits culturels (livres, jeux vidéo, musique, DVD), high-tech (majoritairement des smartphones) et les jouets.
"En moyenne, les Français qui ont revendu leurs cadeaux reçus à Noël 2024 déclarent avoir récupéré près de 100 euros. Ce montant peut même dépasser les 300 euros pour certains !", ajoute le site de revente.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Boumald
7 février 2018 à 13 h 40 min
Bonjour ,je tiens Remercié radio lac et Aurélie selli pour son émission ,cette souffrance touche de plus en plus des parents et les enfants suite au comportement et de l'incompétence de certains assistants et services de protection de l'enfance qui agissent souvent comme des pompiers pyromanes , trop d'abus , trop de négligence, copinages....,c'est pour cela j'ai décidé de organiser cette marche pour nos enfants pour dénoncer à les autorités et pour leur ouvrir les yeux car eux aussi sont victimes de la confiance qui ont mis dans ce service qui prétend etre la pour le bien des enfants,merci encore pour vous efforts et intérêt a notre souffrance . Boumald Jamal , organisateur de la marche de l'espoir , touche pas à mon enfant -ch ,0788677810
Franc
14 mars 2018 à 16 h 56 min
Les Juges n'ont pas évolué depuis toujours et on en est encore au schéma classique: la mère au foyer et le père y ramène l'argent. Nos Juges doivent probablement tous encore avoir un complexe d'œdipe vis à vis de leur propre mère (pas étonnant puisque le rôle éducatif du père est totalement ignoré et inconnu dans ce pays).
En fait, plus le père essaie de valider (et défendre) sa place auprès et avec ses enfants, plus la Justice le détruit par tous les moyens les plus retords et les plus sournois.
Pas de garde alternée si le couple parental ne s'entend pas ==> donc les mères font tout (et leurs avocats les y encouragent à dessein) pour que l'entente se dégrade; elles refusent la médiation, font du chantage aux sentiments sur les enfants ou les aliènent contre leur père, etc....(plus le conflit s'éternise plus c'est rentable pour les avocats, pédopsy, assistants sociaux, etc).
Autorité parentale partagée ==> à quoi ça sert si le père ne voit ses enfants que 4 jours par mois (moins que leurs enseignants !).
Et lorsque le père est irréprochable (ici, les Juges donnent aux mères, toutes puissantes, le bon Dieu sans confession !!), le dernier recours des avocats est de suspecter le père d'avoir un comportement " pédophile" (par définition, un père est suspect dès lors qu'il souhaite vivre le quotidien de ses enfants plus que le minimum habituel !). Et même si aucun soupçon de preuve n'existe, le mot est lancé, la rumeur se diffuse et cela suffit à alerter les services de l'enfance et de la jeunesse qui viennent se mêler, à vitesse grand V, de l'affaire.
A ce stade, le père est étiqueté et il perd tous ses droits, sauf celui de payer et de se taire, c'est tout. L'affaire est réglée.
Tel est la pratique de notre système sordide et pervers des jugements de divorce en Suisse. (en résumé: le père doit acheter un droit de visite pour voir ses propres enfants et la mère doit retrouver le même niveau de vie avec les enfants que pendant le mariage; le comble de l'ironie !!).
Sauf que dans tous ces drames, ce sont les enfants qui souffrent le plus de ces situations, avec les conséquences délétères sur leur développement psychique et social (mais comme le rôle du père dans le développement de l'enfant est inconnu en Suisse, malgré toutes les études faites hors frontières à ce sujet, les Juges préfèrent jouer à l'autruche, tête dans le sable).
Et que l'on ne vienne pas me dire que tout est fait, pensé pour le bien "supérieur" de l'enfant, ce serait le summum de la malhonnêteté et de l'hypocrisie. — exaspéré.
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