Rejoignez-nous

Actualité

Genève enregistre une baisse générale de la criminalité

Publié

,

le

Le Canton de Genève enregistre une baisse de 10% de la criminalité en 2020. Les atteintes au patrimoine enregistrent une baisse de 12%. Les atteintes contre la vie et l’intégrité corporelle sont stables. En revanche, le bruit dans l’espace public et privé a donné lieu à de nombreuses  plaintes. Les violences graves ont également augmenté. La police a dû faire face à des agressions au couteau et à des bagarres entre jeunes.

Genève enregistre une baisse de 10% de la criminalité en 2020.  La police genevoise a présenté ce lundi ses statistiques annuelles.  Les atteintes au patrimoine enregistrent une baisse de 12%. Les atteintes contre la vie et l’intégrité corporelle sont stables. Les vols à l’astuce enregistrent la baisse la plus spectaculaire de moins 70%. Par rapport à 2010, l’ensemble des infractions au code pénal recule d’un tiers! La crise sanitaire et la fermeture des frontières en 2020 ne sont pas étrangères à cette baisse, selon Mauro Poggia, le Conseiller d’Etat chargé de la sécurité.

Infractions liées au bruit

En revanche, le bruit dans l’espace public ou dans les appartements a donné lieu à une explosion des dénonciations. Les explications du lieutenant-colonel François Waridel, chef des opérations de la police cantonale.

La police a dû se réorganiser pour pouvoir prendre les nombreux appels. Les dénonciations étaient de 86'000 en 2020 contre 78'000 en 2019. Une augmentation qui n’étonne pas Mauro Poggia.

Violence graves en augmentation

Les violences graves ont également augmenté de 26%. 177 cas de violences graves contre 140 en 2019.  Genève connait de plus en plus d’agressions à l’arme blanche, comme l’explique le lieutenant-colonel François Waridel, chef des opérations de la police cantonale.

Pour le chef des opérations de la police cantonale, il est nécessaire d’effectuer un travail de réseau pour prendre en charge la problématique.

Les cambriolages dans les maisons ou dans les appartements ont baissé. Les personnes étaient davantage chez elles à cause du confinement, du coup les vols concernaient plutôt les caves et les espaces communs.

Les vols à l’astuce enregistrent la baisse la plus spectaculaire. Elle est de moins 70%.

Brigade spéciale mobilité douce

Une brigade spéciale E-mobility va être créée pour faire face à l’augmentation du trafic électrique, trottinettes et vélos qui côtoient les piétons. Lieutenant-colonel François Waridel, chef des opérations de la police cantonale.

Violences domestiques

Les violences domestiques ont baissé très légèrement de 3%. Elles passent de 1946 en 2019 à 1881 en 2020. La police genevoise a beaucoup augmenté son potentiel de détection de ce type de violence comme l’explique la Commandante de la police genevoise, Monica bonfanti.

Tous les matins, un officier observe les interventions effectuées la nuit précédente et détermine celles qu’il faut suivre. L’an dernier, 95 personnes ont été éloignées de leur domicile.

Malgré une hausse des activités en ligne, la cybercriminalité  n’enregistre pas de hausse significative. Les escroqueries sont en baisse.

 

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

RDC: Kinshasa et le M23 annoncent vouloir "une trêve"

Publié

le

Des rebelles du M23 patrouillent dans les rues de Goma, en République démocratique du Congo (archives). (© KEYSTONE/AP/Brian Inganga)

Le gouvernement congolais et le groupe antigouvernmental M23, qui mènent des pourparlers au Qatar, ont publié pour la première fois mercredi une déclaration conjointe dans laquelle ils disent vouloir "oeuvrer à la conclusion d'une trêve".

"Les représentants de la République démocratique du Congo et de l'AFC/M23 ont convenu de travailler pour oeuvrer à la conclusion d'une trêve", ont annoncé le M23 et le gouvernement de la RDC dans une déclaration commune diffusée à la télévision nationale congolaise ainsi que par le porte-parole du M23.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Le procès d'Harvey Weinstein entre dans le vif du sujet

Publié

le

Malade et visiblement diminué, l'ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d'audience de la cour pénale de Manhattan. (© KEYSTONE/AP/SARAH YENESEL)

"Il avait tout le pouvoir, elles n'avaient rien", a martelé mercredi l'accusation lors d'un nouveau procès à New York pour viol et agressions sexuelles de l'ex- roi du cinéma Harvey Weinstein. Ce dernier est rejugé après l'annulation de sa condamnation l'an dernier.

"Quand il voulait quelque chose, il le prenait", "il n'acceptait pas un refus", a encore asséné la procureure Shannon Lucey dans son propos liminaire à l'ouverture des débats, devant des jurés qui l'écoutaient attentivement, et en présence de l'accusé, assis sur une chaise roulante.

Malade et visiblement diminué, l'ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d'audience de la cour pénale de Manhattan.

Mais à l'époque des crimes dont il est accusé, il était un producteur tout-puissant face à des femmes sans appuis ni relations qu'il a abusées en leur faisant miroiter une carrière dans le spectacle, a décrit la procureure.

Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, est rejugé pour l'agression sexuelle avec pénétration de l'ancienne assistante de production Mimi Haleyi, en 2006, et le viol de l'aspirante actrice Jessica Mann, en 2013. Il avait été reconnu coupable de ces faits en 2020 et condamné à 23 ans de prison.

Procédure annulée

Mais en avril 2024, la cour d'appel de New York a annulé toute la procédure, au motif que le tribunal avait laissé témoigner d'autres victimes présumées sur des faits pour lesquels l'accusé n'était pas inculpé. Une annulation vécue comme une gifle pour le mouvement de lutte contre les violences sexuelles et un retour en arrière pour la prise en compte de la parole des victimes.

L'ancien producteur est resté depuis détenu car il a aussi été condamné en Californie à 16 ans de prison en 2023 dans un dossier distinct de viol et agressions sexuelles.

Le procès à New York porte aussi sur une inculpation pour une agression sexuelle avec pénétration - qualification pénale qui diffère du viol en droit américain - en 2006 dans un hôtel de Manhattan de Kaja Sokola, à l'époque une mannequin polonaise âgée de 16 ans.

"La honte, la douleur"

La procureure a insisté sur le fait que les victimes présumées avaient supplié Harvey Weinstein d'arrêter. Après l'agression, "toutes ces victimes ont vécu la honte, la douleur", mais elles comptent témoigner, a ajouté Shannon Lucey.

"Non coupable, non coupable, non coupable", lui a rétorqué l'avocat de l'accusé, Arthur Aidala, qui a fait sourire certains jurés en leur demandant de regarder "le film jusqu'à la fin", pas seulement "la bande annonce" de l'accusation.

"Promotion canapé"

Pour lui, le dossier se résume à des "promotions canapé". Les accusatrices étaient de jeunes femmes qui voulaient réussir dans l'univers du show business, et elles savaient que "Harvey Weinstein" avait "la clé" d'un monde où l'on fréquente "Brad Pitt, Leonardo di Caprio, Meryl Streep".

Il a assuré que les relations étaient consensuelles, insistant sur le fait que les jeunes femmes avaient continué de fréquenter l'accusé après les crimes allégués. "Vous verrez ses courriels" où les accusatrices écrivent "'je veux te revoir'", a poursuivi l'avocat.

Weinstein espère "un oeil neuf"

Harvey Weinstein a obtenu de pouvoir dormir, pendant le procès, à l'hôpital et non en prison en raison de ses problèmes de santé.

L'ancien magnat espère que l'affaire sera "regardée avec un oeil neuf", plus de sept ans après les enquêtes du New York Times et du New Yorker à l'origine de sa chute.

Parole des victimes libérée

Leur onde de choc avait libéré la parole des victimes et contraint la société à de profondes remises en question sur la place des femmes. Son avocat a souhaité que le procès se concentre sur les faits et ne soit pas, encore une fois, un symbole de #metoo.

Harvey Weinstein n'a jamais reconnu d'agression et a toujours assuré que les relations étaient consenties.

Plus de 80 accusatrices

Depuis les premières révélations, il a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.

Le procès, qui doit durer jusqu'à fin mai, se poursuit mercredi avec le début des interrogatoires des témoins.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

Continuer la lecture

International

Cachemire: l'Inde prend des mesures contre le Pakistan

Publié

le

Des soldats indiens paramilitaires en faction après l'attentat contre les touristes à Srinagar. (© KEYSTONE/EPA/FAROOQ KHAN)

Les autorités indiennes ont pris mercredi une série de mesures diplomatiques punitives contre le Pakistan. Elles accusent ce pays de "terrorisme transfrontalier" après une attaque meurtrière contre des touristes au Cachemire qui a fait 26 morts.

Cet attentat a porté les relations entre les deux voisins dotés de l'arme nucléaire à leur pire niveau depuis des années. Certains craignent que la salve diplomatique de New Delhi ne soit que la première d'une série de mesures, avec le risque potentiel d'une action militaire.

Les mesures prises par l'Inde, notamment la suspension d'un traité crucial sur le partage de l'eau, la fermeture du principal poste frontière terrestre entre les deux pays et le rappel de diplomates, interviennent un jour après que des hommes armés ont ouvert le feu dans un haut lieu touristique de la partie du Cachemire administrée par l'Inde, tuant 26 hommes.

"Réponse sans ambiguïté"

Mercredi, le ministre indien de la Défense a déclaré que "les responsables et ceux qui se trouvent derrière un tel acte entendront très rapidement notre réponse, (elle sera) sans ambiguïté".

"Nous n'atteindrons pas seulement ceux qui ont mené l'attaque (mais) aussi ceux qui l'ont planifiée en coulisses sur notre territoire", a ajouté Rajnath Singh.

Le Premier ministre nationaliste indien Narendra Modi, qui a écourté une visite d'Etat en Arabie saoudite, a dénoncé cet "acte odieux" et promis que les assaillants seraient "traduits en justice".

La liste des victimes, vérifiée par la police, fait état de 26 hommes tués par des assaillants munis d'armes automatiques, qui ont surgi de la forêt près d'un site touristique à Pahalgam. Cette fusillade n'avait toujours pas été revendiquée mercredi soir.

Traité sur les eaux de l'Indus en suspens

Le plus haut responsable du ministère indien des Affaires étrangères, Vikram Misri, a annoncé que "le traité de 1960 sur les eaux de l'Indus sera mis en suspens avec effet immédiat".

Ce traité répartit théoriquement l'eau entre les deux pays, mais il a donné lieu à de nombreux litiges. Le Pakistan craint depuis longtemps que l'Inde, qui se trouve en amont, ne restreigne son accès à l'eau.

L'Inde a déclaré qu'elle avait également ordonné aux attachés de défense d'Islamabad et à d'autres responsables militaires pakistanais en poste à New Delhi de quitter le pays avant une semaine, et qu'elle retirerait également du Pakistan ses conseillers en matière de défense, de marine et d'aviation.

Réunion prévue à Islamabad

A Islamabad, le vice-Premier ministre Ishaq Dar a indiqué que le Comité de la sécurité nationale pakistanais se réunira jeudi "pour répondre au communiqué du gouvernement indien". Cette instance composée de hauts responsables civils et militaires ne se réunit qu'en cas extrême.

Depuis leur séparation en 1947 à leur indépendance, l'Inde et le Pakistan se disputent la souveraineté de tout le Cachemire, à majorité musulmane, divisé entre les deux pays. Des insurgés mènent une insurrection depuis 1989 pour obtenir l'indépendance ou une fusion avec le Pakistan.

New Delhi accuse de longue date Islamabad de soutenir en sous-main les infiltrations et la rébellion armée au Cachemire. Le Pakistan a toujours démenti, affirmant ne soutenir que la lutte pour l'autodétermination.

"Très sérieux risque de nouvelle crise"

Selon l'analyste Michael Kugelman, spécialiste de l'Asie du Sud, cette fusillade représente "un très sérieux risque de nouvelle crise entre l'Inde et le Pakistan, probablement le plus important depuis le bref conflit militaire en 2019".

Des hélicoptères militaires survolaient mercredi cette région montagneuse et boisée pour tenter de localiser les assaillants et un important dispositif de sécurité a été déployé.

L'armée indienne a affirmé mercredi que deux insurgés présumés avaient été tués lors d'une fusillade dans le district de Baramulla, situé à une centaine de kilomètres au nord-est de la ville où à eu lieu l'attaque.

A Pahalgam, un guide touristique a expliqué à l'AFP qu'il s'était rendu sur les lieux après avoir entendu des coups de feu et avoir transporté certains blessés à cheval. "J'ai vu quelques hommes allongés sur le sol, ils avaient l'air morts", a témoigné Waheed, qui n'a donné que son prénom.

Femmes épargnées

Un témoin, ayant requis l'anonymat, a affirmé que les assaillants ont "manifestement épargné les femmes".

Une survivante a raconté comment des hommes en uniforme étaient sortis de la forêt alors que des touristes profitaient de la nature, a rapporté le journal The Indian Express.

D'autres ont expliqué les avoir pris pour des policiers. "Ils étaient là, pendant au moins vingt minutes, imperturbables, se déplaçant et ouvrant le feu", a rapporté le quotidien, citant cette témoin pour qui cela "a semblé (durer) une éternité".

500'000 soldats indiens déployés

L'Inde déploie en permanence environ 500'000 soldats dans sa partie du Cachemire, bien que les combats aient diminué depuis la révocation en 2019 de l'autonomie limitée de ce territoire.

Environ 3,5 millions de touristes ont visité le Cachemire en 2024, en majorité des Indiens, selon les chiffres officiels.

L'attaque la plus importante de ces dernières années remonte à février 2019. Des insurgés avaient lancé, à Pulwama, une voiture remplie d'explosifs sur un convoi de police, faisant 40 morts et au moins 35 blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

Publié

le

Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 4, 9, 20, 23, 33 et 40. Le numéro chance était le 6, le rePLAY le 6 et le Joker le 416685.

Lors du prochain tirage samedi, 24,3 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Abbas appelle le Hamas à libérer les otages à Gaza

Publié

le

Mercredi, le bombardement israélien le plus meurtrier a détruit une école abritant des déplacés dans la ville de Gaza, dans le nord, faisant 11 morts et 17 blessés, dont "des femmes et des enfants", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le président palestinien Mahmoud Abbas a appelé mercredi le Hamas à libérer les derniers otages retenus à Gaza. Dans l'enclave assiégée et affamée, les bombardements israéliens ont fait 25 morts, selon les secours.

Rompant une trêve de deux mois, Israël a repris le 18 mars son offensive sur le territoire palestinien, affirmant vouloir contraindre le mouvement islamiste à libérer les otages toujours captifs depuis le 7 octobre 2023.

A Ramallah, en Cisjordanie occupée, le président palestinien a accusé le Hamas d'avoir fourni à Israël "des prétextes pour commettre ses crimes dans la bande de Gaza, le plus flagrant (de ces prétextes) étant la détention d'otages".

"Notre peuple en paie le prix, pas Israël (...), Libérez-les", a déclaré Mahmoud Abbas, qui n'exerce plus d'autorité sur Gaza depuis que le Hamas y a pris le pouvoir en 2007. Il a qualifié les dirigeants du mouvement rival de "fils de chiens".

Propos "insultants"

Un membre du bureau politique du Hamas, Bassem Naïm, a condamné des propos "insultants", et accusé le président palestinien de "rejeter la responsabilité des crimes" d'Israël sur les Palestiniens.

La branche armée du Hamas a ensuite publié une brève vidéo - dont l'AFP n'a pu déterminer la date d'enregistrement - de l'otage israélo-hongrois Omri Miran, qui demande au gouvernement israélien d'agir pour sa libération. Sa famille a dénoncé dans la prolongation de sa captivité "un échec moral pour l'Etat d'Israël".

"Malnutrition aiguë sévère"

Dans la bande de Gaza, l'ONU a fait état de cas de "malnutrition aiguë sévère" parmi les 2,4 millions habitants assiégés, dont la plupart ont été déplacés par la guerre en cours depuis plus de 18 mois.

Une délégation du Hamas se trouve actuellement au Caire pour discuter avec les médiateurs de "nouvelles idées" visant à rétablir un cessez-le-feu, a indiqué un responsable du mouvement.

Nouvelles attaques israéliennes

Mercredi, le bombardement israélien le plus meurtrier a détruit une école abritant des déplacés dans la ville de Gaza, dans le nord, faisant 11 morts et 17 blessés, dont "des femmes et des enfants", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal.

L'armée israélienne a affirmé y avoir ciblé "un rassemblement de terroristes opérant au sein d'un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique".

Le raid a provoqué "un incendie massif dans le bâtiment et plusieurs corps calcinés ont été retrouvés", a dit M. Bassal. Au total, 25 personnes ont été tuées dans des bombardements à travers le territoire palestinien, selon la Défense civile, qui a fait état de "personnes disparues sous les décombres dans différentes zones".

"Vivre comme les autres"

Des femmes éplorées se recueillaient dans la matinée à l'hôpital al-Chifa de Gaza-ville, devant des corps ceints de linceuls blancs.

A Khan Younès un habitant, Walid Al Najjar, dit "ne rien vouloir d'autre que la fin de la guerre pour pouvoir vivre comme le font les gens dans le reste du monde".

Engins du génie détruits

Selon Mahmoud Bassal, les secouristes manquent "d'outils et équipements nécessaires" pour s'acquitter de leur tâche.

L'armée israélienne avait dit mardi avoir détruit environ "40 engins du génie", accusant le Hamas de s'en servir "pour poser des explosifs, creuser des tunnels, percer des clôtures de sécurité et dégager les gravats pour retrouver des armes et du matériel militaire".

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 1928 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars, portant à 51'305 le nombre de morts à Gaza depuis le début de l'offensive israélienne lancée en représailles à l'attaque du mouvement palestinien le 7 octobre 2023.

Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours otages à Gaza dont 34 mortes, selon l'armée israélienne.

Aide humanitaire toujours bloquée

Le cauchemar des civils gazaouis est aggravé par le blocage de l'aide humanitaire imposé par Israël depuis le 2 mars.

Les ministres des Affaires étrangères français, britannique et allemand ont conjointement exhorté mercredi Israël à mettre fin à cette mesure "intolérable" qui expose les civils à "la famine, des épidémies et la mort".

"Plusieurs personnes souffrant de malnutrition aiguë sévère ont été admises à l'hôpital cette semaine", et ces cas "augmentent" a indiqué mardi l'agence humanitaire de l'ONU (Ocha).

Malgré les pénuries "environ 180 cuisines communautaires continuent de fonctionner" mais beaucoup (...) sont sur le point de fermer car les stocks s'épuisent", a-t-elle prévenu.

"Il n'y a pas de farine, pas de gaz et le bois de chauffage est rare", témoigne à Nuseirat (centre) Umm Mohamed Issa, dans une boulangerie communautaire. Bientôt "nous ne pourrons plus trouver de quoi nourrir nos enfants".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 14 minutes

RDC: Kinshasa et le M23 annoncent vouloir "une trêve"

Le gouvernement congolais et le groupe antigouvernmental M23, qui mènent des pourparlers au Qatar, ont publié pour la première fois...

CultureIl y a 1 heure

Le procès d'Harvey Weinstein entre dans le vif du sujet

"Il avait tout le pouvoir, elles n'avaient rien", a martelé mercredi l'accusation lors d'un nouveau...

InternationalIl y a 3 heures

Cachemire: l'Inde prend des mesures contre le Pakistan

Les autorités indiennes ont pris mercredi une série de mesures diplomatiques punitives contre le Pakistan....

SuisseIl y a 3 heures

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros...

InternationalIl y a 4 heures

Abbas appelle le Hamas à libérer les otages à Gaza

Le président palestinien Mahmoud Abbas a appelé mercredi le Hamas à libérer les derniers otages...

EconomieIl y a 4 heures

Realstone veut acquérir dix immeubles en Suisse romande

Ayant finalisé une augmentation de capital de 47,9 millions de francs, le groupe de placement...

SuisseIl y a 6 heures

Participation à Erasmus+: la facture va tripler pour la Suisse

La participation au programme européen de recherche Erasmus+ va coûter à la Suisse plus du...

EconomieIl y a 7 heures

Karin Keller-Sutter et Guy Parmelin sont à Washington

L'assemblée du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale a débuté mercredi à Washington,...

CultureIl y a 8 heures

Une offre en ligne commune des librairies indépendantes romandes

Les Romands peuvent désormais acheter en ligne leurs livres à une quarantaine de librairies indépendantes...

MobilitéIl y a 8 heures

Morges et région: les MBC commandent 24 bus électriques

Les transports de la région Morges Bière Cossonay (MBC) ont commandé 24 bus 100% électriques,...