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A Genève, les Bains du Jet d'eau vont investir le lac

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Dès la mi-juillet, il sera possible de se baigner au pied du jet d'eau de Genève (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La mise en place des Bains du Jet d'eau, en aval de la jetée du symbole genevois par excellence, va débuter demain mardi avec l'installation d'une structure flottante sur le plan d'eau. Des infrastructures de baignade dotées de deux bassins, des vestiaires, une zone de repos ainsi qu'une buvette seront ensuite construits, avant l'ouverture au public prévue pour la mi-juillet.

"La structure de baignade sera constituée de cubes flottants. Une finition soignée garantira une bonne insertion dans le paysage, au vu du caractère exceptionnel du site", souligne la Ville de Genève lundi dans un communiqué. Les dimensions totales de l'installation seront d'environ 30 mètres de large par 36 mètres de long.

Deux bassins de 10 mètres de large par 27 mètres de long seront aménagés et mis à disposition du public. Le premier, sans fond, se destinera aux nageurs et nageuses. Le second, doté d'un plancher à une profondeur d'environ un mètre accueillera plutôt les enfants. Une équipe de gardiennes et gardiens de bain assurera la surveillance de la baignade.

La structure sera "solidement amarrée" au quai Gustave-Ador ainsi qu'à la jetée. Une passerelle permettra aux baigneurs d'y accéder, tandis que des barrières transparentes installées tout autour empêcheront les baigneurs de se retrouver en dehors des bassins.

Les Bains du Jet d'eau resteront en place jusqu'à la fin septembre. Ils seront alors démontés et stockés pour l'hiver.

Avec Keystone-ATS

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Un mois de travaux de rénovation pour la chaise cassée

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Un échafaudage a été installé autour du célèbre monument « Broken Chair » dédié aux victimes des mines terrestres, au siège européen des Nations Unies à Genève (KEYSTONE/Martial Trezzini)

Un lifting pour la chaise cassée aux Nations.

L’emblématique monument d’Handicap International va faire l’objet de travaux de rénovation dès lundi et jusqu’au 5 août.

Le bois de la Broken Chair, symbole de lutte contre l’utilisation d’armes explosives sur les populations civiles créée par l’artiste Daniel Berset, va être repeint. Rénovée pour la dernière fois en 2016, une cure de jouvence est de nouveau nécessaire. 

Le financement de cette restauration est assuré par des entreprises et des fondations. 

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Le TF admet l'interdiction de l'affichage commercial à Vernier (GE)

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Le TF donne raison à la commune de Vernier qui interdit l'affichage commercial sur son territoire s'il est visible depuis le domaine public (image d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le règlement de la commune de Vernier (GE) prohibant l'affichage commercial visible depuis le domaine public est conforme aux droits fondamentaux. Dans un arrêt publié vendredi, le Tribunal fédéral rejette les recours déposés contre cette interdiction.

Selon les juges fédéraux, l'interdiction décrétée par les autorités verniolanes ne constitue pas une mesure de politique économique et n'a pas pour finalité d'influencer la libre concurrence. Le but de la commune est de "favoriser la qualité du paysage et préserver le cadre de vie des habitants".

Il s'agit également, pour la Ville de Vernier, de combattre la pollution visuelle. Sa volonté est aussi de soustraire la population "à une exposition non désirée à la publicité commerciale dans l'espace public" et éviter les conséquences induites par cette dernière comme la surconsommation et le surendettement.

(arrêt du 5 juin 2024 2C_36/2023, 2C_38/2023)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Montée des eaux du Rhône à Genève: baignade fortement déconseillée

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© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI

A Genève, le fort débit actuel du Rhône accroît fortement le danger de baignade dans le fleuve. Les autorités cantonales déconseillent donc la baignade jusqu'à nouvel avis. Elles appellent la population à suivre les recommandations de la police.

Suite aux abondantes précipitations de la semaine passée et à la fonte des neiges, le niveau des eaux du Rhône a considérablement augmenté. Pour prévenir tout risque d'inondation et assurer la sécurité des infrastructures environnantes, il est nécessaire d’ouvrir complètement les vannes au barrage du Seujet, écrivent le canton et la police jeudi dans un communiqué.

Le Léman est à quinze cm au-dessus de sa cote maximale et le débit du Rhône s’élève à 580 m3 par seconde au barrage du Seujet. Pour ces raisons, les barrages de Verbois et de Chancy-Pougny ont également ouvert leurs vannes au maximum.

De manière concomitante, ces mesures créent des conditions particulièrement dangereuses avec des courants plus rapides et imprévisibles. La hauteur de l'eau, combinée à une vitesse accrue, représente un danger significatif pour toute personne s'aventurant dans le fleuve, relèvent les autorités.

Les courants plus forts peuvent surprendre, même les personnes expérimentées, augmentant considérablement les risques de noyade ou d'accidents graves. Les autorités locales rappellent que la nage en eau vive n'est pas sans risque, a fortiori lorsque les courants sont forts et les niveaux d'eau élevés. Il est donc fortement recommandé de renoncer à la baignade dans le Rhône dans ces circonstances.

Source: ATS

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Les Vert-e-s dénoncent la convention d'objectifs signée avec l'Etat

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La nouvelle convention d'objectifs signée par l'Etat de Genève et l'aéroport est critiquée par les Verts (photo d'illustration) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les Vert-e-s ont dénoncé jeudi la nouvelle convention d'objectifs 2024-2029 pour l'aéroport de Genève (AIG) adoptée par le Conseil d'Etat. Elle ne tient pas compte, selon eux, de la volonté populaire. Ils déplorent également le manque de volonté du gouvernement d'imposer des objectifs clairs de réduction des nuisances générées par l'activité de l'aéroport.

Malgré l'acceptation en 2029 de l'initiative 163 pour un pilotage démocratique de l'aéroport de Genève, le Conseil d'Etat ne respecte pas dans cette feuille de route la volonté populaire d'un développement maîtrisé. Il ne tient pas compte des nuisances générées par son l'activité de l'AIG, déplorent les Verts Genève dans leur communiqué.

Aucun objectif chiffré n'est défini pour la réduction des 9618 vols de nuit par année (soit plus de 26 vols/nuit quotidiens). Comme c'est le cas à l'aéroport de Zurich, une interdiction stricte des vols entre 23h00 et 6h00 aurait pu être appliquée, estiment les écologistes.

Trop vague

Des mécanismes pour pénaliser sévèrement les retards auraient également pu être intégrés à la convention. Ces mesures pourtant simples et efficaces n'auraient que peu pénaliser l'aéroport en rapport au bénéfice pour les habitants.

Le parti regrette également l'absence d'objectifs en matière de réduction des émissions CO2. Sans mécanisme véritablement incitatif et en restant avec des objectifs généraux et non formulés, il doute que l'aéroport puisse répondre aux exigences du Plan climat cantonal (2e génération).

Enfin, les Verts auraient souhaité un meilleur encadrement des conditions de travail sur la plateforme aéroportuaire. Les nombreux conflits sociaux qui ont émergé, ces dernières années, auraient nécessité un renforcement du contrôle des conditions de travail et une limitation de la sous-traitance.

Fruit d'un arbitrage

Le Conseil d'Etat a annoncé mercredi avoir approuvé cette convention d'objectifs d'une durée de cinq ans. Dans ses décisions, il relève que son contenu est le résultat d'une collaboration avec l'AIG ainsi que d'un arbitrage entre les différents intérêts en jeu, dont ceux défendus par les associations de riverains et de protection de l'environnement.

Le gouvernement explique que les signataires de la convention ont souhaité maintenir l'absence de mouvements entre 5h00 et 6h00 et leur limitation après 22h00 ainsi que les incitations financières favorisant les avions moins bruyants. Les objectifs de développement durable ont en outre été précisés, notamment à travers la nécessité d'encourager activement l'ensemble du personnel du site à utiliser les transports publics.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Disparition de l'ancien maire de Genève André Hediger

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L'ancien maire de Genève André Hediger, décédé mardi, s'était beaucoup impliqué pour le projet du stade de Genève (archives). (© KEYSTONE/PATRICK AVIOLAT)

L'ancien maire de Genève André Hediger est décédé mardi à l'âge de 83 ans. Elu du Parti du Travail (PdT), il avait siégé à l'exécutif de la Ville de Genève pendant 20 ans, entre 1987 et 2007.

André Hediger, qui s'était installé à Grandvilard (FR) après avoir quitté ses fonctions à Genève, est décédé à l'hôpital de Riaz, a déclaré sa camarade de parti, l'ancienne conseillère municipale Hélène Ecuyer à Keystone-ATS. Elle confirmait une information publiée jeudi par la Tribune de Genève.

Ouvrier dans la métallurgie, André Hediger a été militant syndical avant sa nomination comme secrétaire adjoint, puis secrétaire du Parti suisse du travail (PdT). Élu au Conseil municipal en 1987, il est entré au Conseil administratif la même année. En charge de la sécurité et les sports, il a porté le titre de maire à cinq reprises.

André Hediger, surnommé Dédé, "a toujours milité pour le développement du sport pour tous", a souligné Mme Ecuyer. Il est aussi connu pour avoir initié et soutenu le projet du stade de Genève. La facture finale de cette construction, considérée comme surdimensionnée, avait fait en son temps l'objet de vives polémiques.

Populaire, l'élu était par ailleurs en charge de la police municipale, des pompiers, de la protection civile et bien d'autres choses encore, a-t-elle rappelé. Autre fait marquant de l'époque, le casino de Genève avait perdu en 2005 sa concession alors qu'il en présidait la société d'exploitation.

En fin de mandat, l'ex-élu communiste avait été condamné pour avoir annulé des amendes d'ordre infligées à lui et à des tiers alors qu'il était magistrat. Il avait écopé de 20 jours-amende avec sursis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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