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Economie

La banque Edmond de Rothschild a vendu son siège à Genève

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Dans son nouveau siège à Vernier, la banque Edmond de Rothschild réunira ses 800 collaborateurs genevois au sein d'un même bâtiment, contre six actuellement (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La société immobilière PSP Swiss Property a racheté l'immeuble abritant le siège de la banque Edmond de Rothschild à Genève. Cette dernière réunira l'ensemble de ses activités genevoises dans un bâtiment au sein de l'écoquartier de l'Étang à Vernier.

Le prix d'achat de cet immeuble commercial d'une surface de 4150 m2 se monte à 58 millions de francs suisses, a indiqué PSP Swiss Property, basée à Zoug, dans un communiqué publié lundi soir.

L'immeuble, acheté vendredi dernier et situé rue de Hesse 18, dispose d'une surface pour bureaux de 3700 m2 et d'un entrepôt de 450 m2, précise PSP Swiss Property.

Projet d'hôtel

Le vendeur, la banque Edmond de Rothschild, quitte ainsi son siège social et le louera jusqu'à fin juin 2026. "Le bâtiment génère un rendement net initial attractif de 4% et dispose d'un potentiel de développement et donc de revenus intéressant à moyen et long terme", affirme PSP Swiss Property. Cette dernière a l'intention de repositionner l'immeuble en tant qu'hôtel.

PSP Swiss Property possède six autres immeubles de bureaux dans le quartier qu'elle entend "rendre encore plus attractif".

De son côté, la banque Edmond de Rothschild annonce dans un autre communiqué qu'elle rassemblera l'ensemble de ses activités à Genève dans un bâtiment au sein de l'écoquartier de l'Étang à Vernier, à partir d'octobre 2024. Ce nouveau siège, nommé Belvédère, s'étend sur 13'000 m2 et permettra de réunir les 800 collaborateurs genevois au sein d'un même bâtiment, contre six actuellement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Monsieur Prix place UBS sous surveillance

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UBS, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, selon Monsieur Prix (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Le Surveillant des prix place UBS sous observation. Toute suspicion d'abus peut d'ores et déjà lui être annoncée.

La grande banque, fusionnée avec Credit Suisse, est désormais puissante, voire dominante sur le marché, relève jeudi Monsieur Prix, se basant sur une analyse de la Commission de la concurrence (Comco). De ce fait, le Surveillant des prix s'est réuni avec la Comco, l'autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) et la Banque nationale (BNS) pour un premier échange formel sur les conséquences de la fusion, indique-t-il dans un communiqué.

Stefan Meierhans prévoit d'observer dans un premier temps le marché. Dans le domaine spécifique des taux d'intérêt pour les crédits, il prescrit "une consultation approfondie" de la part de la BNS et de la Finma et a convenu d'une "collaboration régulière et étroite avec la Comco".

Monsieur Prix compte sur la responsabilité de l'établissement aux trois clés, mais n'hésitera pas à intervenir sur le plan réglementaire "de la manière la plus efficiente et efficace possible" si nécessaire, souligne-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

Barclays cède son activité de crédit à la consommation en Allemagne

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La banque Barclays veut réduire ses coûts et se concentrer sur ses activités de financement d'entreprises, d'investissement et de gestion de fortune (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La banque britannique Barclays, en pleine restructuration pour réduire ses coûts, a annoncé jeudi la cession de son activité de crédit à la consommation basée à Hambourg, en Allemagne, au groupe autrichien Bawag.

Barclays Europe "a convenu de la vente de (...) son activité allemande de crédit à la consommation" qui est "une activité diversifiée de banque de détail, avec des franchises de cartes de crédit, de prêts à la consommation et de dépôts" servant le marché allemand, mais aussi autrichien, a indiqué Barclays dans un communiqué.

Contactée par l'AFP, la banque britannique n'a pas souhaité préciser le montant de la vente de cette entité qui disposait au 31 mars d'actifs bruts de 4,7 milliards d'euros.

La vente "s'inscrit dans notre ambition de simplifier Barclays", a fait valoir Francesco Ceccato, directeur général de Barclays Europe. La finalisation de l'opération devrait intervenir dans un délai de six à neuf mois, selon Barclays.

Barclays Europe dit vouloir se concentrer désormais sur ses activités de banque de financement d'entreprises et d'investissement, et de banque privée. Bawag a indiqué de son côté espérer que l'acquisition permettra de dégager "un bénéfice avant impôt supérieur à 100 millions d'euros en 2027, une fois l'opération pleinement intégrée", selon un communiqué séparé.

Barclays a annoncé en avril un bénéfice net part du groupe en baisse de 13% au premier trimestre, après un bénéfice annuel 2023 plombé par ses coûts de restructuration, ce qui ne l'avait pas empêchée de faire de généreuses distributions à ses actionnaires. Dans son effort pour réduire ses coûts, Barclays avait notamment supprimé 5000 postes dans le monde l'an dernier avant d'annoncer en février une nouvelle structure de groupe. La banque avait déjà annoncé son intention de vendre son activité allemande de crédit à la consommation.

Le groupe avait aussi annoncé début février le rachat au géant britannique des supermarchés Tesco de ses opérations bancaires de détail pour un versement initial de quelque 600 millions de livres, dans le but de "compléter" son activité au Royaume-Uni.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Les taux hypothécaires se replient légèrement après la BNS

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Dans la foulée de la baisse des taux opérée par la Banque nationale suisse (BNS), les taux hypothécaires se sont quelque peu relâchés (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les taux hypothécaires ont modestement réagi au nouvel assouplissement monétaire opéré mi-juin par la Banque nationale suisse (BNS).

Cette nouvelle baisse des taux directeurs laisse espérer de futures baisses des coûts du crédit aux emprunteurs, ces derniers ne s'engageant pas du coup sur des échéances trop longues.

Lors de sa précédente réunion de politique monétaire, l'institut d'émission helvétique a ramené son taux directeur à 1,25%, contre 1,50% précédemment, ce qui a eu un effet baissier sur les taux hypothécaires, a constaté jeudi le portail comparatif financier Comparis.ch.

Fin juin, une hypothèque à taux fixe sur trois ans se négociait à un taux indicatif de 2,09%, contre 2,13% au dernier pointage mi-avril. Pour une durée de cinq ans, le taux se situait également à 2,09%, après 2,15%.

Pour les plus longues échéances, la tendance était similaire, un crédit immobilier sur dix ans profitant en moyenne d'un taux à 2,18% (2,28%) et de 2,35% (2,39%) pour une durée sur 15 ans.

Comparis.ch a constaté que la part des hypothèques à taux fixe de durée moyenne (de 4 à 6 ans) est passée d'environ 40% à 30%. Alors qu'au premier trimestre, près de la moitié de toutes les transactions avaient été conclues pour des hypothèques à taux fixe d'une durée de dix ans ou plus, cette part ne représente plus désormais qu'environ 40%. Au contraire, plus d'une personne sur cinq a contracté une hypothèque d'une durée maximale de trois ans au deuxième trimestre.

"La deuxième baisse de taux consécutive suscite l'espoir de nouvelles baisses rapides des taux. Par conséquent, les preneuses et les preneurs d'hypothèques se montrent attentistes et refusent de s'engager sur des échéances trop longues", a souligné l'expert du portail internet, Dirk Renkert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Le marché hypothécaire suisse a vu sa croissance ralentir en 2023

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L'intermédiaire en hypothèques, propriété de l'assureur Helvetia, déplore un ralentissement de la croissance de ce marché l'an dernier. (archive) (© KEYSTONE/WALTER BIERI)

Le marché hypothécaire suisse a vu sa croissance nettement ralentir l'an dernier. Selon une analyse du portail de services financiers Moneypark, filiale de l'assureur Helvetia, le ralentissement a tout particulièrement touché les intermédiaires en hypothèques.

L'an dernier, le volume du marché hypothécaire a augmenté de 29 milliards de francs à un total de 1239 milliards, soit une progression de 2,4% au regard de 2022. La croissance, la plus faible depuis un décennie, s'est révélée nettement inférieure à la moyenne de 3,1% enregistrée au cours des dix dernières années.

Sans surprise, la hausse des taux d'intérêts de ces dernières années a pesé sur le marché, une évolution qui devrait se poursuivre cette année estime Moneypark. Celle-ci se fait désormais "sentir avec un certain retard", a déclaré le directeur général de Moneypark Lukas Vogt, interrogé par l'agence AWP.

L'évolution des taux d'intérêts a refroidi les ardeurs des acquéreurs potentiels de biens immobiliers, les prix de ces derniers n'ayant pas baissé en parallèle. "De nombreuses personnes souhaitant acheter ont dû renoncer à leur projet ou du moins le reporter à une date ultérieure", a expliqué M. Vogt. La croissance de 29 milliards reste toutefois "conséquente", surtout en comparaison internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Espérance de vie: un record l'an dernier en Suisse

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En Suisse, les décès ont diminué de 250 personnes par million d'habitants l'an dernier. (archive) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'espérance de vie a atteint un niveau record en Suisse en 2023, estime Unisanté. Elle aurait atteint 85,8 ans pour les femmes et 82,2 ans pour les hommes.

La tendance historique en augmentation, mais perdue depuis 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, semble être retrouvée, indique mardi le Centre universitaire de médecine générale et santé publique à Lausanne (Unisanté).

En 2019, année du précédent record, l'espérance de vie chez les femmes s'élevait à 85,6 ans et à 81,9 ans pour les hommes. Elle avait ensuite chuté avec l'arrivée du Covid en 2020 (85,1 et 81 ans), avant de rester en dessous du record en 2021 et 2022.

Se basant sur les données de l'Office fédéral de la statistique (OFS), Unisanté souligne que le premier semestre 2023 s'est avéré "très favorable" en termes de mortalité, "du fait de l'absence d'épisodes grippaux ou de Covid-19 significatifs." Si une vague de mortalité a été observée en fin d'année, elle n'a pas inversé la tendance.

Indicateurs à suivre

L'an dernier et par million d'habitants, environ 7900 décès chez les femmes (8100 en 2019) et 7400 (7700) chez les hommes ont été dénombrés. Pour l'ensemble de la population helvétique, cela représente une diminution d'environ 250 décès pour l'année par million d'habitants, souligne Unisanté.

Reste à savoir si cette tendance à la hausse va se poursuivre ou si la courbe de l'espérance de vie va s'aplanir, voire ralentir, comme c'est le cas dans d'autres pays, relève Unisanté.

Le centre lausannois ajoute qu'il faudra aussi "suivre de près" l'évolution de l'espérance de vie en bonne santé. Cet autre indicateur "essentiel et en lien avec les enjeux sociétaux et de santé publique" était légèrement à la hausse en 2022 selon l'OFS.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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