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Economie

Stagnation du chômage en décembre à Genève

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Archives ©KEYSTONE/ANDREE-NOELLE POT

Le chômage reste stable en fin d’année dans le canton de Genève.

Le taux s’établissait à 4,4 % en décembre. Sans changement donc pas par rapport à novembre. Dans le même temps, les RHT ou chômage partiel, continue également de se replier : 13 791 travailleurs étaient concernés en décembre.

En 2021, le nombre moyen de chômeurs inscrits s’élevait à 12 360 et celui de demandeurs d’emploi à 18 414. En une année, l’augmentation s’établit à 206 personnes pour les chômeurs inscrits (+ 1,7 %) et à 1 028 personnes pour les demandeurs d’emploi (+ 5,9 %).

Principales activités économiques à bénéficier d'une embellie:  la construction (- 12,9 %), l'information et communication (- 10,4 %), les activités juridiques et comptables (- 7,7 %), l'industrie manufacturière (- 1,9 %) ou les activités financières et assurances (- 1,7 %). En revanche, augmentation dans le commerce, réparation d'automobiles (+ 6,2 %) ou l'hôtellerie et restauration (+ 12,3 %).

Par groupe d'âges, les jeunes sont moins nombreux en moyenne par rapport à 2020 (- 5,7 % pour les chômeurs de 15 à 30 ans), à l’inverse des plus âgés (+ 10,2 % pour les 50 ans ou plus)

 

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Economie

PIB: perspectives assombries par la guerre commerciale

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Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie (photo), de nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer les difficultés (image symbolique). (© Keystone/SANDRO CAMPARDO)

Le ciel se couvre sur les perspectives de l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB) et sa croissance, en raison des incertitudes liées à la guerre commerciale des tarifs douaniers. Si le rythme de croissance s'annonce faible, aucune récession ne semble en revanche pointer à l'horizon à ce jour.

La croissance devrait à nouveau s'inscrire cette année en dessous de la moyenne des quinze dernières années, vraisemblablement entre 1,2% et 1,7% pour 2025, ont indiqué mardi à Lausanne les partenaires de Conjoncture vaudoise, la Banque cantonale vaudoise (BCV), la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI) et l'Etat de Vaud représenté par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) et Statistique Vaud.

L'accélération envisagée autour de 1,8% l'an dernier lors des dernières prévisions annuelles n'aura donc certainement pas lieu. Les nuages d'incertitudes ne devraient d'ailleurs pas se dissiper pour 2026, avec une fourchette encore assez prudente et large à la fois, entre 0,8% et 1,9% pour le canton de Vaud.

"Vents contraires très puissants"

"Cela fait deux ans que le rythme de croissance est faible, qu'il patine et manque d'élan", a commenté Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la BCV. "Nous faisons face à des vents contraires qui sont très puissants. Dans notre canton, on sait les affronter, mais cette fois-ci ce sera un peu plus dur de les affronter" ces deux prochaines années, a-t-il illustré.

Dans ces perspectives "assombries" par une "incertitude de plus en plus élevée" à la suite de la guerre commerciale mondiale et les annonces américaines sur les droits de douane, une récession n'est pas à l'ordre du jour, selon les partenaires de Conjoncture vaudoise. L'économie vaudoise peut en outre compter sur le soutien d'une demande intérieure solide, ont-ils expliqué.

Et difficile de dire si la fameuse robustesse de l'économie du canton risque d'atteindre ses limites avec cette nouvelle crise. La diversité et l'hétérogénéité des entreprises sur sol vaudois, dont le tissu économique s'est adapté, dynamisé et constamment régénéré depuis la crise des années 90 et celles des années 2000, restent malgré tout un atout.

"Les fondamentaux sont là. Les finances publiques sont structurellement bonnes, elles sont saines, tout comme les bases économiques du canton", a rappelé Patrick Zurn, responsable économique à la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie. Le taux de chômage demeure peu élevé (4,5%) et l'inflation est faible, a-t-il aussi souligné.

Pessimisme dans l'industrie

En raison du degré d'incertitude, les prévisions par branche sont à considérer avec prudence, selon les spécialistes. Toutefois, certaines tendances se dégagent, qui pourraient continuer de se vérifier cette année. La marche des affaires dans le secteur de l'industrie devrait être la plus touchée.

Dans les branches manufacturières, l'industrie des machines, la fabrication d'instruments de précision et l'horlogerie faisaient en effet déjà face à des vents contraires en raison du manque d'élan de la conjoncture mondiale. De nouveaux droits de douane américains sont susceptibles de renforcer ces difficultés. C'est dans ces domaines que les entrepreneurs sont les plus pessimistes, selon M. Baechler.

En revanche, le fait que les médicaments en soient, en tout cas provisoirement, exemptés pourrait permettre à la chimie-pharma de continuer à "croître fortement" cette année. Le "med-tech" est "bien positionné" aussi. La construction bénéficie, elle, d'une demande "relativement solide".

Dans les services, l’hôtellerie-restauration pourrait voir son activité se "tasser" après le rebond suivant la crise du Covid-19 et les transports être "freinés par l'incertitude".

Les autres activités relevant du tertiaire, soit les services aux entreprises et les activités immobilières, les services financiers, les services publics et parapublics ainsi que le commerce devraient, eux, bénéficier d'une demande domestique "robuste".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Goldman Sachs dépasse les attentes au 1er trimestre

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Entre janvier et mars, l'établissement a dégagé un chiffre d'affaires de 15,06 milliards de dollars (+6% sur un an) et un bénéfice net de 4,74 milliards (+17%). (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

Goldman Sachs a dépassé les attentes au premier trimestre. La banque d'affaires américaine a affiché lundi des "performances solides" dans le courtage de matières premières, de devises et d'obligations (Fixed Income).

Pour le deuxième trimestre, "nous entrons (...) avec un environnement opérationnel radicalement différent par rapport au début de l'année", a toutefois prévenu David Solomon, patron de la banque, cité dans un communiqué. Entre janvier et mars, l'établissement a dégagé un chiffre d'affaires de 15,06 milliards de dollars (+6% sur un an) et un bénéfice net de 4,74 milliards (+17%).

Le consensus des analystes de FactSet tablait respectivement sur 14,76 et 4,03 milliards de dollars (3,31 milliards de francs). Rapporté par action, le bénéfice net ressort à 14,12 dollars contre 11,58 dollars un an plus tôt et un consensus de 12,32 dollars.

"Nos résultats solides ce trimestre illustrent le fait que pendant cette période de grandes incertitudes, nos clients se sont tournés vers Goldman Sachs pour réaliser leurs opérations et pour les conseiller", a commenté David Solomon. La banque, qui revendique la première place mondiale notamment concernant les fusions-acquisitions finalisées, a enregistré un chiffre d'affaires record dans sa branche Global Banking and Markets (fusions-acquisitions, entrées en Bourse, levées de capitaux).

En revanche, la gestion d'actifs et gestion de fortune a subi un repli de 3% de son chiffre d'affaires sur un an et de 22% par rapport au dernier trimestre de 2024. Une situation qui s'explique, selon Goldman Sachs, par des gains nets inférieurs dans le private equity (investissements dans des entreprises qui ne sont pas cotées en Bourse) et par des pertes nettes supérieures dans les investissements publics.

Cela a été partiellement compensé par des commissions supérieures dans la banque privée et les prêts. Les actifs sous gestion ont grossi de 36 milliards de dollars nets, pour atteindre un record de 3173 milliards de dollars.

Au premier trimestre, le groupe a racheté pour 4,36 milliards de dollars de ses propres actions et versé 976 millions de dollars de dividendes à ses actionnaires. Son conseil d'administration a approuvé un nouveau programme de rachat d'actions d'un montant de 40 milliards. Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, l'action Goldman Sachs progressait de 1,90%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

La Bourse suisse entame la semaine sur un solide rebond

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A la Bourse suisse vers 09h05, l'indice vedette SMI reprenait de la vigueur avec une hausse de 1,6% à 11'425,26 points, après avoir clôturé vendredi en petit repli de 0,04% (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La Bourse suisse tentait de reprendre lundi le terrain perdu ces derniers jours, profitant des exemptions de droits de douane sur les produits high-tech annoncées par les Etats-Unis. Mais selon Donald Trump, aucun pays n'est "tiré d'affaire" face à son offensive.

"PERSONNE n'est tiré d'affaire (...), surtout pas la Chine qui, de loin, nous traite le plus mal", a tonné le président républicain sur son réseau social Truth. La mise en garde de Donald Trump intervient au lendemain d'une exemption de surtaxes - jusqu'à 145% pour la Chine - accordée par les autorités américaines sur les produits high-tech, smartphones et ordinateurs en tête, ainsi que sur les semi-conducteurs.

Pékin a riposté en faisant bondir ses droits de douane sur les produits américains à 125% depuis samedi.

"L'incertitude croissante menace 690 milliards de dollars d'échanges bilatéraux, fait craindre une récession mondiale et remet en question le rôle de refuge financier des Etats-Unis", a résumé John Plassard. Selon le spécialiste en investissement de Mirabaud Banque, "les analystes ont réagi en revoyant à la baisse les prévisions d'entreprises telles qu'Apple et Tesla, tandis que les premiers signes d'une perturbation des chaînes d'approvisionnement se font jour".

Mais "l'administration Trump a probablement choisi de ne pas risquer de contrarier les consommateurs à l'approche des élections de mi-mandat" en annonçant des exemptions sur les produits électroniques.

Au niveau macroéconomique, les exportations chinoises ont bondi de 12,4% en mars sur un an, traduisant une augmentation des expéditions peu avant l'entrée en vigueur des droits de douane astronomiques de Washington sur les produits chinois.

En Suisse, l'indice des prix à la production et à l'importation (PPI) a augmenté de 0,1% en mars par rapport au mois précédent. Les prix des denrées alimentaires ont particulièrement grimpé.

A la Bourse suisse vers 09h05, l'indice vedette SMI reprenait de la vigueur avec une hausse de 1,6% à 11'425,26 points, après avoir clôturé vendredi en petit repli de 0,04%. Le SLI accélérait de 1,56% à 1842,71 points et le SPI prenait 1,39% à 15'322,97 points.

Presque toutes les valeurs vedettes étaient dans le vert, les plus fortes progressions étant enregistrées par Logitech (+6,0%), Adecco (+2,4%) et Sika (+2,4%). Le géant des accessoires informatiques vaudois soufflait après l'exemption des droits de douane sur les produits électroniques.

Holcim (+1,7%) montait aussi, profitant des avancées avec l'entrée en Bourse de son ex-filiale Amrize en juin. Roche (+1,6%) accélérait. La Commission européenne a approuvé le médicament Columvi en tant que premier anticorps bispécifique pour le traitement du lymphome diffus à grandes cellules B après une thérapie initiale.

Les deux autres poids lourds Novartis (+1,5%) et Nestlé (+0,5%) profitaient également de la tendance positive sur le marché. Sandoz (+0,5%) avançait bien plus modestement. Le géant bâlois des médicaments génériques a déposé une plainte en matière de droit de la concurrence contre Amgen devant un tribunal de district de Virginie orientale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Economie

La BCE prête à agir si une guerre commerciale menace la stabilité

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La BCE "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré sa présidente Christine Lagarde. (© KEYSTONE/EPA/MARCIN OBARA)

La Banque centrale européenne est "prête à intervenir" en cas de risque pour la stabilité financière en zone euro, a déclaré vendredi sa présidente, après une semaine de tempête sur les marchés financiers provoquée par la guerre commerciale déclenchée par Donal Trump.

L'institution monétaire "surveille la situation et est toujours prête à intervenir" en utilisant "les instruments dont elle dispose", a déclaré Christine Lagarde à Varsovie en marge d'une réunion informelle des ministres des Finances de la zone euro, sans donner plus de détails.

Ses propos interviennent à moins d'une semaine de la prochaine réunion de la BCE pour décider du cap monétaire, tandis que la plupart des marchés boursiers baissaient vendredi, avec un dollar qui ne cesse de s'enfoncer face à l'euro.

En cause, l'annonce de Pékin d'une nouvelle hausse de ses droits de douane sur les produits venant des Etats-Unis, illustrant l'escalade entre les deux puissances.

Des tensions commerciales supplémentaires pourraient entraîner de fortes turbulences sur les marchés où se négocient les actions, obligations et autres devises, avec le risque de déstabiliser le système financier de la zone euro.

Arsenal face aux crises

"Jusqu'à présent, nous ne voyons aucun signe de tension de liquidité sur les marchés", a tempéré Claudia Buch, présidente du superviseur bancaire au sein de la BCE, dans une interview donnée vendredi à Bloomberg.

La BCE redoute, de son côté, qu'une guerre commerciale freine les exportations et la croissance, l'obligeant à ajuster sa politique monétaire pour soutenir l'économie.

Des marchés volatils peuvent aussi nuire à l'efficacité des décisions de politique monétaire, par exemple si le taux bas ne se répercuterait pas correctement sur les prêts aux entreprises ou aux ménages.

Durant ses vingt premières années d'existence, la BCE a déjà dû déployer un arsenal de mesures pour calmer plusieurs crises.

Entre 2010 et 2012, plusieurs pays de la zone euro (Grèce, Portugal, Espagne, Italie) faisaient face à des taux d'intérêt très élevés sur leurs dettes, menaçant la stabilité de la zone euro.

En 2012, Mario Draghi, président de la BCE, prononçait son célèbre "Whatever it takes" (Quoi qu'il en coûte) pour sauver l'euro, via des rachats potentiellement illimités de dette, finalement jamais utilisés.

Lors de l'éclatement de la pandémie du Covid-19, l'institut a lancé un programme d'urgence (PEPP pour Pandemic Emergency Purchase Program) consistant en 1850 milliards d'euros de rachats de dette, pour soutenir Etats et entreprises.

Et face à la hausse rapide des taux d'intérêt et des tensions sur les dettes dans le contexte d'inflation record liée à la guerre en Ukraine, la BCE a créé un nouvel outil pour intervenir si des écarts de taux d'intérêt entre pays deviennent trop importants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

BP prévient d'un recul de sa production de gaz au premier trimestre

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Cette mise à jour intervient avant les chiffres trimestriels (archives). (© KEYSTONE/EPA DPA FILE/BERND THISSEN)

Le géant britannique des hydrocarbures BP a prévenu vendredi qu'il s'attendait à une production de gaz en recul au premier trimestre 2025 par rapport trimestre précédent, avec en outre des ventes "faibles" de cet hydrocarbure sur la période.

Le groupe a publié vendredi une mise à jour au marché en amont de la publication de ses résultats trimestriels prévue le 29 avril.

La production devrait globalement "être inférieure à celle du trimestre précédent, avec une production légèrement supérieure dans la production et les opérations pétrolières et inférieure dans le gaz et l'énergie à faible émission de carbone", détaille le groupe.

Par ailleurs "à la fin du premier trimestre, la dette nette devrait être supérieure d'environ 4 milliards de dollars à celle du quatrième trimestre" 2024, mais cela est principalement dû à des effets saisonniers et de calendrier, précise BP.

Le titre de BP reculait de 2,40% à 333,40 pence vendredi à la Bourse de Londres peu avant 08H00 GMT, dans un marché en petite hausse.

BP a renoncé en février à une stratégie climatique autrefois ambitieuse pour se recentrer sur le pétrole et le gaz, avec l'espoir de doper ses bénéfices en berne et ses redistributions aux actionnaires.

Le groupe, qui s'était distingué à partir de 2020 par un plan de neutralité carbone qui allait plus loin que ses principaux rivaux, était déjà largement revenu depuis deux ans sur ses objectifs climatiques.

BP, qui a publié un bénéfice net en chute de 97% pour l'an passé, a aussi annoncé en janvier 4.700 suppressions d'emplois en interne, soit plus de 5% de ses effectifs.

Le groupe britannique n'est pas le seul à faire machine arrière sur ses objectifs climatiques pour doper sa rentabilité: c'est aussi le cas de son compatriote Shell.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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