Genève met le Feu Ô Lac pour ce week-end de l'Ascension. Parmi toutes les activités proposées, un grand spectacle de 1350 drones aura lieu : le point avec Benjamin Smadja et Elsa Duperray.
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Le spectacle de drones est annoncé comme le plus grand d'Europe. A titre de comparaison, 400 appareils étaient engagés pour le spectacle donné à l'occasion du jubilé de la reine Elisabeth.
En plus de cet événement, d'autres animations sont prévues autour de la rade du jeudi 18 au dimanche 21 mai, soit pendant les quatre jours de l'Ascension. Il y aura aussi des scènes de musique, une course de caisses à savon, une grande rollerskate party sur le pont du Mont-Blanc, un tournoi de jass géant et une course déguisée en paddle.
Le canton, qui a joué un rôle de facilitateur pour l'organisation du spectacle de drones, et la ville ont ainsi uni leurs forces pour animer le bout du lac à cette période.
Circulation perturbée
La circulation autour de la rade à Genève sera fortement perturbée La police cantonale annonce la fermeture de plusieurs tronçons, dont le U-lacustre de l'avenue de France jusqu'au quai Gustave-Ador, y compris le pont du Mont-Blanc.
Le U-lacustre sera interdit à la circulation de jeudi 12h30 jusqu'à vendredi 3h00 du matin et ensuite de vendredi 12h30 jusqu'à dimanche 6h00 du matin. Il en va de même pour la rue du Mont-Blanc, la rue Pécolat, la rue Michel-Roset, la place Lise-Girardin et la rue Barton.
Du côté de la rive gauche, il faudra tenir compte de la fermeture de la rue Pierre Fatio, de la rue François Versonnex et de la rue du 31-Décembre. Des restrictions de stationnements et des accès limités aux seuls ayants droit sont aussi prévus dans tout le secteur.
La police cantonale précise également que la sortie Lac/Vengeron de l'autoroute A1 sera fermée jeudi et vendredi de 12h00 à 22h00 ainsi que le samedi de 7h30 à 22h00. La piste cyclable du pont du Mont-Blanc sera fermée dans les deux sens jeudi, vendredi et samedi de 18h00 à 23h30. Enfin, dimanche le quai Gustave-Ador sera fermé de 6h00 à 21h00.
"Ils permettent de remplacer les traditionnels feux d'artifice de plus en plus critiqués pour leur impact environnemental."
Ils sont fous de vouloir limiter les feux d'artifices qui ne doivent même pas représenter 0.0001 % de la pollution atmosphérique mondiale !!!
Quand à leurs drones équipés de batteries au lithium, de moteurs électriques and co, le bilan de leur fabrication et de leur éventuel recyclage est de toute manière très clairement beaucoup plus polluant que celui de simples feux d'artifices !!! Et on ne parlera même pas des dégâts posés à l'environnement si un de ces drones finissait sa course dans le lac... mais ça je pense que ces idiots s'en moquent ;-(
Il faut cesser cette stupide chasse aux sorcières au niveau de pollution d'origine civile et s'en prendre aux entreprises qui sont majoritairement responsables des émissions de CO2 et autres poluants présents dans notre environnement !!!
En outre, tous les efforts que nous pouvons réalisons ici pour moins polluer ne servent strictement à rien du tout en raison de l'attitude de la Chine, de l'Inde, la Russie, les USA et de toutes les autres nations possédant des secteurs industriels de grandes tailles. En effet tant que ces "nations clefs" ne cesseront pas de polluer massivement notre environnement commun, la bataille sera de toute manière perdue d'avance. Tant que ces pays là ne cesseront pas dans les faits de polluer la partie sera perdue d'avance...
Cinzia Cattaneo dans "La journée finit bien" sur Radio Lac
Jeudi 20 mars au Théâtre Les Salons de Genève, Cinzia Cattaneo monte sur scène "Avec des gens". Un titre évocateur pour ce seul en scène d'une humoriste qui a su transformer son anxiété sociale en force comique. « Le stand-up, c’est toujours mieux avec les gens. C’est un art qui dépend tellement des réactions du public. Et puis, je parle aussi de comment j’ai réussi à lutter contre mon stress dans mes interactions sociales. » Elle était mon invitée, à retrouver en version longue.
Récompensée par le Prix SSA Nouveau Talent Humour, Cinzia Cattaneo s’inscrit dans cette nouvelle vague d’humoristes qui osent mêler le rire aux sujets plus profonds. « Au début, je faisais des sketchs très légers. Puis, je me suis rendu compte que le stand-up pouvait toucher les gens encore plus quand on parle de choses intimes. »
Son spectacle ne se limite pas à son vécu personnel. Il crée un véritable écho auprès du public : « Ce qui m’a le plus touchée, c’est quand deux jeunes femmes de 20 ans m’ont dit que ça leur faisait du bien, qu’elles se reconnaissaient et qu’elles se sentaient moins seules. »
Un équilibre subtil entre légèreté et profondeur
Si parler de soi permet de toucher les autres, l’humour reste l’objectif premier. Cinzia veille à garder une balance entre introspection et rires. « Il faut savoir jongler entre légèreté et profondeur. Mon passage sensible dure cinq à huit minutes, pas plus. Je ne veux pas faire un one-woman-show thérapeutique, ça reste un spectacle d’humour avant tout! »
Sur scène, elle alterne donc entre des thèmes intimes et des sujets plus légers: les brunchs, les soirées arrosées, les gynécologues et leur don pour le small talk, ou encore son expérience dans un atelier de thé ne manquerons pas de faire mouche!
Une genevoise qui s'exporte à Paris
Cinzia Cattaneo fait partie de cette nouvelle génération d’humoristes suisses qui s’exportent. Partagée entre Genève et Paris, elle constate une différence dans l’univers du stand-up : « À Genève, on est une petite famille. À Paris, c’est plus compétitif. Là-bas, tu dois tout le temps montrer le meilleur de toi-même. »
Grâce à "Avec des gens", elle prouve que le stand-up suisse a de beaux jours devant lui. « Il y a encore des gens qui ne savent pas trop ce que c’est, mais ça se développe. Genève commence vraiment à s’ouvrir au stand-up. »
Une exposition Lego se tient en ce moment à Balexert à Genève
Une exposition Lego se tient en ce moment à Balexert à Genève. Un événement qui plaît à toutes les générations.
La petite brique en plastique est indémodable!
Le groupe danois Lego, premier fabricant de jouets du monde, a enregistré un chiffre d'affaires record en 2024 de près de 10 milliards d'euros. Si vous êtes passionnés, bonne nouvelle, une grande exposition “briques en folie” se tient en ce moment dans le centre commercial Balexert à Genève. L’occasion de venir découvrir des dizaines de créations spectaculaires. Reportage:
Reportage
L'exposition Lego rassemble toutes les générations
ReportageL'exposition Lego rassemble toutes les générations
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ReportageL'exposition Lego rassemble toutes les générations
L'exposition “briques en folie” est à voir jusqu’au 22 mars. GenevaBrick organisera une autre exposition en septembre prochain.
La révolte, un texte pourtant écrit il y a 150 ans, résonne avec une modernité déconcertante sur la scène de La Julienne à Plan-Les-Ouates. Mise en scène par Philippe Lüscher, cette pièce d'Auguste de Villiers de L'Isle-Adam retrace le parcours d'Élisabeth, une femme qui a contribué à la fortune de son mari avant de décider de tout quitter. Philippe Lüscher était mon invité.
« C'est une pièce qui pourrait être un manifeste féministe avant la lettre », explique Philippe Lüscher. Écrite en 1869 et créée en 1870, elle fut rapidement retirée de l'affiche après seulement cinq représentations, jugée trop scandaleuse pour l'époque. L’héroïne y incarne une remise en question radicale du monde de la finance et du profit, dominé par les hommes. « Ce qui scandalisait, c'était bien sûr l’idée qu'une femme puisse se retourner contre son mari, refuser l'argent comme seule valeur et chercher un avenir qui lui appartient », ajoute le metteur en scène.
Pour cette reprise, la mise en scène abandonne le décor classique du salon bourgeois parisien. « On se trouve dans un lieu plus indéterminé, où la présence du métal et de la dynamique du progrès est omnipresente », précise Philippe Lüscher. Loin d'une approche poussiéreuse, cette version s'ancre dans une énergie contemporaine : « Vous n'allez pas voir une pièce où une femme brûle son soutien-gorge. C'est subtil, intelligent, et drôle ».
Une interprétation moderne
Avec Émilie Cavalieri et Simon Labarrière dans les rôles principaux, le texte retrouve une vitalité indiscutable. « Nous avons pris le parti de conserver les dialogues d'origine, mais avec une interprétation moderne. La force des mots et le rythme de la langue font toute la modernité de la pièce », confie Lüscher. Une modernité confirmée par la place toujours centrale des questions d'émancipation féminine et d'inégalités sociales dans nos sociétés actuelles.
Un spectacle qui invite à la réflexion et à la remise en question, accessible dès 12 ans. « On en retient la force de cette femme qui veut s'aimer elle-même et trouver sa place dans un monde qui bouge tout le temps », conclut le metteur en scène. Une invitation à ne pas manquer, ce week-end et toute la semaine prochaine à La Julienne.
Du 20 au 23 mars, l’association Récup’ Art Angels, engagée à 100 % dans le bénévolat, donne rendez-vous aux amateurs d’art et de créations écoresponsables pour la première édition de RECUP’ART EXPO.
Cet événement unique mettra en lumière l’univers fascinant de l’upcycling et du recyclage artistique, transformant les objets délaissés en véritables œuvres d’art.
Une exposition immersive au cœur du recyclage créatif.
Durant plusieurs jours, artisans créateurs et artistes contemporains (qu’ils soient anonymes ou reconnus) présenteront des œuvres audacieuses dans des domaines aussi variés que la sculpture, la décoration, le mobilier, la bijouterie, l’art textile, la peinture ou encore l’éclairage.
Leur point commun ? Tous travaillent à partir de matériaux de récupération, leur offrant ainsi une seconde vie.
Bois flotté, métaux rouillés, vieux journaux, plastique, verre brisé, textiles démodés, vaisselle cassée ou encore cartons d’emballage deviennent ici les matières premières d’un art engagé. Loin d’être de simples rebuts, ces éléments sont repensés et sublimés pour questionner notre rapport aux objets et sensibiliser à une approche plus durable de la consommation.
Le « beau qui a du sens »
RECUP’ART EXPO s’inscrit dans une démarche humaniste, plaçant l’upcycling au centre de la réflexion artistique. Dans la lignée des artistes Dada et des Nouveaux Réalistes, précurseurs dans l’utilisation des déchets de la société de consommation, les exposants démontrent que chaque objet peut être réinventé, et qu’aucune matière – ni personne – n’est jamais réellement obsolète. Ce message fort trouve un écho particulier dans un monde en quête de solutions alternatives au gaspillage et à la surproduction.
Un rendez-vous incontournable pour les passionnés d’art et d’écologie
L’exposition s’adresse à tous : galeristes, collectionneurs, entreprises écoresponsables, amateurs d’art et curieux en quête d’inspiration. Les visiteurs auront la chance d’acquérir des pièces uniques qui racontent une histoire, portant en elles une approche à la fois artistique, écologique et éthique.
En plus de l’exposition-vente, animations et rencontres viendront rythmer l’événement : ateliers pour enfants, jeu avec tirage au sort permettant de gagner des bons d’achat, ainsi qu’une soirée spéciale où le public pourra échanger avec les artistes exposants.
Informations pratiques
Dates et horaires :
Jeudi 20 mars : 14h - 19h
Vendredi 21 et samedi 22 mars : 10h - 20h
(+ soirée rencontre artistes)
Dimanche 23 mars : 10h - 18h
Ne manquez pas cette occasion unique de découvrir l’art du recyclage sous un nouveau jour et d’explorer des créations où imagination et engagement écologique se rencontrent !
Un humoriste qui ose parler de la tristesse avec le sourire? C'est Adrien Laplana qui présente son spectacle "Histoire drôle d'un gars triste", un seul en scène mis en scène par Blaise Berlinger, où stand-up et sketchs s'entremêlent pour mieux explorer une émotion souvent évitée: la tristesse. Il était mon invité, à regarder en version longue.
Loin de l'humour noir ou caustique, le spectacle d'Adrien Laplana invite à regarder la tristesse autrement. "L'intention du spectacle, c'est de parler en bien de la tristesse," explique-t-il. "Elle est là dans notre vie, à plein de niveaux, et on fait tout pour l'éviter. Peut-être que parfois, il faudrait juste accepter d'aller mal."
C'est un constat qui fait écho à une tendance profonde dans l'humour d'aujourd'hui: celle d'utiliser le comique pour exorciser les peines. "Quand on va voir des humoristes, on cherche à aller mieux, mais parfois, on ne prend pas le temps de comprendre pourquoi on va mal," confie Adrien Laplana.
Un spectacle intime et donc universel
Comme beaucoup d'humoristes, Adrien Laplana se livre sur scène, mais il le fait avec un recul assumé. "Ce spectacle, c'est aussi une réflexion sur la façon dont on vit nos émotions. Il n'y a pas de hiérarchie dans la tristesse. Ce n'est pas un concours." Une idée qu'il développe avec une touche d'absurde et son humour si particulier, oscillant entre introspection et rires francs.
L'écriture du spectacle a d'ailleurs été inspirée par une phrase entendue lors d'un cours de psychologie: "La tristesse est la seule émotion dont on n'est jamais déçu." Cette idée a marqué l'humoriste et lui a permis de donner naissance à un show à la fois personnel et accessible à tous.
Un artiste ancré dans son époque
Sur scène, Adrien Laplana jongle entre sketchs écrits et moments d'improvisation. "Il y a une part d'impro, surtout selon l'énergie du public," avoue-t-il. "Mais mon humour ne repose pas sur les interactions de stand-up classique. J'aime raconter des histoires, poser des situations et jouer avec les émotions."
En parallèle de son parcours humoristique, il utilise aussi l'improvisation dans des structures sociales. "C'est un outil puissant que j'emploie dans mon travail d'éducateur. Cela permet de créer du lien, de s'exprimer librement et de faire passer des messages autrement."
Ce rapport direct à l'émotion fait d'Adrien Laplana un représentant d'une génération d'humoristes qui assument leurs fêlures. Il cite en exemple Kyan Khojandi, tout en s'en démarquant : "Je ne pense pas qu'on doive toujours transformer nos faiblesses en forces. Parfois, elles sont juste là, et c'est bien aussi. Tout ne doit pas avoir une utilité."
Avec "Histoire drôle d'un gars triste", Adrien Laplana livre une performance authentique et touchante sans oublier d'être drôle, tout en réaffirmant une conviction simple: rire et tristesse ne sont jamais très loin l'un de l'autre.
Invité
14 janvier 2023 à 12 h 38 min
"Ils permettent de remplacer les traditionnels feux d'artifice de plus en plus critiqués pour leur impact environnemental."
Ils sont fous de vouloir limiter les feux d'artifices qui ne doivent même pas représenter 0.0001 % de la pollution atmosphérique mondiale !!!
Quand à leurs drones équipés de batteries au lithium, de moteurs électriques and co, le bilan de leur fabrication et de leur éventuel recyclage est de toute manière très clairement beaucoup plus polluant que celui de simples feux d'artifices !!! Et on ne parlera même pas des dégâts posés à l'environnement si un de ces drones finissait sa course dans le lac... mais ça je pense que ces idiots s'en moquent ;-(
Il faut cesser cette stupide chasse aux sorcières au niveau de pollution d'origine civile et s'en prendre aux entreprises qui sont majoritairement responsables des émissions de CO2 et autres poluants présents dans notre environnement !!!
En outre, tous les efforts que nous pouvons réalisons ici pour moins polluer ne servent strictement à rien du tout en raison de l'attitude de la Chine, de l'Inde, la Russie, les USA et de toutes les autres nations possédant des secteurs industriels de grandes tailles. En effet tant que ces "nations clefs" ne cesseront pas de polluer massivement notre environnement commun, la bataille sera de toute manière perdue d'avance. Tant que ces pays là ne cesseront pas dans les faits de polluer la partie sera perdue d'avance...