Une collaboration entre la police genevoise et la police municipale du Grand-Saconnex (GE), ainsi que le flair d'un chien policier et l'intervention d'un passant, ont permis à une dame de 74 ans de retrouver son sac à main qui venait de lui être arraché. Un mineur a été interpellé.
Les faits se sont produits le 10 avril. La victime revenait chez elle après avoir retiré de l'argent à sa banque. Bousculée devant son allée par un jeune homme qui a surgi dans son dos, la dame est tombée à terre, a indiqué mardi la police genevoise. Profitant de la confusion, le voleur s'est emparé de son sac à main et a pris la fuite. Un voisin a immédiatement donné l'alerte.
Les forces de l'ordre sont arrivées rapidement et plusieurs patrouilles ont quadrillé le quartier du Pommier, au Grand-Saconnex. Le chien de police Togo a été mis à contribution. L'animal a immédiatement "pris une piste" qui a mené vers un trousseau de clés que le voleur a laissé tomber dans sa fuite.
Des agents municipaux ont ensuite aperçu un individu qui traversait le parc Sarasin et dont le signalement correspondait à celui de l'agresseur. Malgré les injonctions des agents, le jeune homme ne s'est pas arrêté. Il a franchi une barrière, puis a disparu. Un passant l'a toutefois vu se réfugier dans le jardin d'une maison.
Grâce à cette information, les forces de l'ordre ont pu interpeller le mineur, caché sous la table d'une terrasse. L'intégralité du butin a été retrouvée grâce au chien policier à proximité du lieu de l'interpellation, a relevé la police genevoise. Le sac à main, lui, a été découvert dissimulé dans un buisson.
La septuagénaire a pu récupérer la totalité de son argent et tous les effets personnels qui se trouvaient dans son sac. L'auteur des faits bénéficie de la présomption d'innocence, a précisé la police genevoise. Aucune information sur son âge ni son origine n'a été donnée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
rmnage
26 janvier 2023 à 12 h 41 min
Bravo pour la qualité de cet article ! Les conditions d'asile doivent changer. La politique absurde et inhumaine du SEM doit changer, mais le Conseil d'Etat doit également utiliser la marge d'appréciation dont il dispose dans l'application au niveau cantonal.