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Extrême droite rassemblée Magdebourg - Débat migratoire relancé

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Ryad aurait averti Berlin à plusieurs reprises que le suspect, Taleb Jawad al-Abdulmohsen, "pourrait être dangereux". Ici, les hommages déposés par le public près du marché de Noël visé à Magdebourg. (© KEYSTONE/AP/Ebrahim Noroozi)

Le parti d'extrême droite allemand Alternative pour l'Allemagne (AfD) a organisé lundi une manifestation "mémorielle" à Magdebourg pour les victimes de l'attaque à la voiture bélier qui a relancé le débat sur la sécurité et l'immigration dans le pays.

Au même moment, le mouvement "Gib Hass keine Chance" ("Ne donne aucune chance à la haine") s'est rassemblé à proximité, sur les lieux du carnage qui a fait cinq morts, dont un garçon de 9 ans, et plus de 200 blessés dans cette ville située près de Berlin.

"La terreur est arrivée dans notre ville" a déclaré Jan Wenzel Schmidt, chef de l'AfD du Land de Saxe-Anhalt, devant plusieurs centaines de personnes.

Il a condamné "l'échec politique monstrueux" qui a mené à l'attaque dont le suspect est un réfugié saoudien.

"Nous devons fermer les frontières (...), nous ne pouvons plus accueillir des fous furieux venus de tous les pays", a-t-il ajouté, devant les militants du parti anti-immigration.

La coprésidente du parti, Alice Weidel, a demandé "du changement pour que nous puissions enfin vivre de nouveau en sécurité", alors que la foule entonnait "expulsion, expulsion, expulsion !"

Sa formation, hostile aux migrants, antisystème et prorusse, est créditée d'environ 20% d'intentions de vote dans les sondages, derrière les conservateurs (32%) et devant le parti de centre gauche d'Olaf Scholz (15%). Mais aucun parti ne veut coopérer avec l'AfD.

De son côté, l'iniative anti-AfD a déclaré "constater avec effroi et colère que des personnes veulent instrumentaliser cet acte cruel pour leur politique" et a appelé à "la tolérance et l'humanité.

Scholz sous pression

Sous pression, le gouvernement d'Olaf Scholz a promis dimanche une enquête rapide et minutieuse pour clarifier d'éventuelles erreurs des autorités dans la prévention de l'attaque.

L'Arabie saoudite avait demandé à Berlin l'extradition du Saoudien de 50 ans, Taleb Jawad al-Abdulmohsen, après avoir averti à plusieurs reprises qu'il "pourrait être dangereux", a indiqué lundi à l'AFP une source proche du gouvernement à Ryad.

Installé en Allemagne depuis 2006, ce psychiatre saoudien disposait du statut de réfugié.

Dans ses publications nombreuses sur les réseaux sociaux, il avait exprimé des opinions hostiles à l'islam, sa colère contre les fonctionnaires allemands de l'immigration et son soutien aux récits conspirationnistes d'extrême droite sur une "islamisation" de l'Europe.

Troubles psychiques

D'autres éléments sur cet homme au profil atypique ont filtré lundi dans les médias: selon le journal local "Mitteldeutsche Zeitung", ses collègues doutaient de ses compétences et l'avaient surnommé "Docteur Google", car il consultait régulièrement le net avant d'émettre un diagnostic. Le quotidien Die Welt a affirmé qu'il avait été traité pour troubles psychiques.

"Une chose est claire : il y aura un 'avant' et un 'après' dans cette campagne électorale", a jugé le journal populaire Bild.

L'association allemande de la police criminelle (BDK) a mis en garde lundi contre "des accusations prématurées ou même l'instrumentalisation politique des événements", surtout à un moment où l'état de certaines victimes reste très grave.

Les autorités de la ville sont aussi dans le collimateur, certains leur reprochant une sécurité défaillante. L'auteur présumé avait pu emprunter une voie d'accès non sécurisée du marché de Noël puis a foncé sur la foule à bord d'un puissant véhicule BMW de location.

La municipalité de Magdebourg s'est défendue en expliquant que cette ouverture était réservée aux ambulances ou pompiers en cas d'urgence.

La sécurité des marchés de Noël avait pourtant été considérablement renforcée, notamment par l'installation de bornes en béton à leurs accès, après un acte similaire commis il y a huit ans sur un marché de Noël de Berlin, qui avait fait 13 morts.

L'Allemagne avait également durci sa politique de sécurité cette année, notamment via un contrôle renforcé sur le port d'armes, suite à plusieurs attaques meurtrières au couteau, dont l'une a fait trois morts et huit blessés lors d'un festival d'été à Solingen (ouest).

"Un concept de sécurité est aussi solide que son maillon le plus faible", a jugé Peter Neumann, expert en contre-terrorisme, à l'hebdomadaire Der Spiegel. "Si un point d'entrée n'est pas protégé, toutes les autres bornes en béton ne servent à rien".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Zone euro: le taux de chômage recule à 6,1% en février

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Le taux de chômage est au plus bas depuis le lancement de cette statistique en 1998 (archives). (© KEYSTONE/EPA/RONALD WITTEK)

Le taux de chômage a baissé à 6,1% de la population active en février dans la zone euro, après 6,2% en janvier, a annoncé Eurostat mardi.

L'indicateur est au plus bas depuis que l'office européen des statistiques a commencé à compiler cette série en avril 1998 pour les pays partageant la monnaie unique.

Sur un an, le taux de personnes sans emploi s'inscrit en baisse de 0,4 point dans les 20 pays membres de la zone euro.

Pour l'ensemble de l'Union européenne, le taux de chômage atteint 5,7% en février, également son point bas historique, en recul de 0,1 point par rapport à janvier.

Quelque 12,68 millions de personnes étaient au chômage en février au sein des 27 Etats membres de l'UE, dont 10,58 millions dans la zone euro.

Le taux de chômage s'établit à 7,4% en France, en hausse de 0,1 point par rapport au mois précédent, contrairement à la tendance européenne, selon les données harmonisées d'Eurostat.

La France fait moins bien que l'Allemagne (3,5%) et l'Italie (5,9%).

Au sein de l'UE, les taux les plus faibles ont été enregistrés en Pologne (2,6%), en République tchèque (2,7%) et à Malte (2,7%). Les plus élevés ont été relevés en Espagne (10,4%st), en Suède (9%), en Finlande (8,8%) et en Grèce (8,6%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Les violences sexuelles en RDC ont augmenté de plus de 270%

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La Haute commissaire adjointe de l'ONU aux droits de l'homme Nada Al-Nashif a affirmé que les violences affectaient la possibilité de son bureau d'honorer son mandat dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Plus de 600 victimes d'exécutions sommaires et extrajudiciaires ont été identifiées par l'ONU depuis le début de l'année dans le Nord et le Sud-Kivu, dans l'est de la RDC. Les cas de violences sexuelles ont eux augmenté de plus de 270% de janvier à février.

"La dimension des violences et de l'insécurité a affecté la capacité de notre bureau à remplir son mandat", a dit mardi à Genève devant le Conseil des droits de l'homme la numéro deux de l'agence onusienne, Nada al-Nashif. Elle salue la condamnation récente d'un chef de guerre et de miliciens pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre, grâce au soutien du Haut-Commissariat.

Les affrontements entre l'armée congolaise et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, ont fait des milliers de victimes depuis que ce groupe a récupéré en janvier la ville de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). L'ONU avait récemment parlé environ de près de 900 cas de viols en deux semaines en février.

Selon la Haute commissaire adjointe, les violences sexuelles liées au conflit ont explosé, augmentant de plus de 270%. Elle les attribue à toutes les parties au conflit. L'ONU avait aussi dénoncé récemment des exécutions sommaires d'enfants, notamment à Bukavu. Et elle redoute encore une propagation des violences dans toute la région.

Mme al-Nashif se dit "gravement préoccupée". Outre le Nord et le Sud-Kivu, plusieurs groupes armés "continuent de tuer, mutiler et enlever des civils" en Ituri, a-t-elle affirmé.

Au début de la discussion de mardi, les pays présents au Conseil des droits de l'homme ont observé une minute de silence pour les victimes du séisme en Thaïlande et en Birmanie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Séisme en Birmanie: minute de silence pour les plus de 2000 morts

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Plus d'un millier de secouristes étrangers sont arrivés en Birmanie dans le cadre de la mobilisation internationale pour épauler des services locaux sous-équipés face à une telle crise. (© KEYSTONE/AP)

La Birmanie a respecté mardi une minute de silence pour les victimes du séisme qui a tué plus de 2000 personnes et ravagé quantité de bâtiments et d'infrastructures dans un pays laissé exsangue par un conflit civil.

Les sirènes ont retenti à 12h51 et 2 secondes (08h21 suisses), à l'heure précise où la secousse d'amplitude 7,7 s'est produite vendredi, afin de marquer le début du recueillement, ont constaté des journalistes de l'AFP.

La chaîne de télévision nationale a interrompu ses programmes, pour diffuser des images du drapeau en berne à différents endroits, sur un fond de musique sobre. La période de deuil national s'étend jusqu'au 6 avril, a annoncé lundi la junte.

Devant ce qu'il reste d'un complexe d'appartements de Mandalay, l'un des sites les plus sinistrés de la ville, des secouristes se sont alignés, les mains derrière le dos, en mémoire des victimes.

Lourd bilan

Quatre jours après la plus violente secousse jamais enregistrée dans le pays depuis des décennies, de nombreux Birmans campent encore en plein air, alors que des répliques continues entretiennent la peur de nouvelles destructions.

Les autorités birmanes ont fait état lundi en fin de journée de 2056 morts, 3900 blessés et 270 disparus, mais les experts anticipent des milliers de morts supplémentaires. La faille de Sagaing, à l'origine du séisme, traverse des régions parmi les plus peuplées du pays, dont la capitale Naypyidaw et Mandalay.

La guerre civile, qui a mis à genoux les infrastructures vitales, et fracturé le pays où sont actifs des dizaines de groupes armés de minorités ethniques et d'opposants politiques, complique aussi la collecte d'informations.

Plus d'un millier de secouristes étrangers sont arrivés en Birmanie dans le cadre de la mobilisation internationale pour épauler des services locaux sous-équipés face à une telle crise. Les opérations de sauvetage ont permis d'extraire vivants des décombres environ 650 personnes, selon un média de la junte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

La condamnation de Marine Le Pen "n'est pas une décision politique"

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Pour Rémy Heitz, la condamnation de Marine Le Pen "a été rendue conformément à la loi, en application de textes votés par la représentation nationale". (© KEYSTONE/AP/Thomas Padilla)

"La justice n'est pas politique. Cette décision n'est pas une décision politique mais judiciaire, rendue par trois juges indépendants, impartiaux", a dit mardi l'un des deux plus hauts magistrats de France, Rémy Heitz, en réaction à la condamnation de Marine Le Pen.

Cette décision "a été rendue conformément à la loi, en application de textes votés par la représentation nationale", a aussi affirmé le procureur général près la Cour de cassation sur la radio RTL. Il a qualifié "d'inadmissibles" les "attaques très personnalisées contre des magistrats et les menaces qui peuvent faire l'objet de poursuites pénales".

De son côté, le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella a déploré mardi que "tout sera fait pour nous empêcher d'arriver au pouvoir". Il a fait un parallèle entre "le climat" en France et la Roumanie où le candidat d'extrême droite a été privé d'une victoire potentielle par l'annulation de l'élection présidentielle.

"Juges rouges"

M. Bardella a dénoncé au micro de Cnews/Europe 1 "la tyrannie des juges", qualifiés de "juges rouges" car "on a le sentiment que ça se tourne souvent contre un camp politique plutôt que contre un autre", en référence aux affaires Fillon et Sarkozy.

Il a cependant condamné "les menaces, les injures ou les insultes" à leur égard et a annoncé "l'organisation ce week-end de distributions de tracts et mobilisations" qui seront "pacifiques" car "nous ne sommes pas des fachos (...), nous sommes des gens raisonnables".

"Nous sommes totalement innocents dans cette affaire et, en dépit de cela, on prive des millions et des millions de Français de leur candidate naturelle et légitime à l'élection présidentielle", a-t-il clamé. "Pour l'instant, on ne passe pas à autre chose et on ne passera pas à autre chose (...) On est loin d'être morts", a-t-il répété, "promettant d'utiliser toutes les voies de recours".

Le tribunal a condamné Mme Le Pen pour détournement de fonds publics, ayant établi qu'il y avait bien eu un "système" mis en place entre 2004 et 2016 pour faire faire des "économies" au RN en payant avec l'argent du Parlement européen des assistants d'eurodéputés travaillant en réalité pour le parti. Cette décision, à ce stade, l'empêche de concourir à la présidentielle 2027.

La victimisation est le leitmotiv de Marine Le Pen depuis près de trente ans de carrière politique, lors de laquelle elle a autant mis en scène ses déboires que sa capacité, jusqu'alors, à les surmonter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Netanyahu revient sur son choix pour le chef du Shin Bet

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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a fait machine arrière sous la pression américaine. (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Benjamin Netanyahu a annoncé mardi être revenu sur son choix, annoncé la veille, d'un nouveau directeur du Shin Bet, l'Agence de la sécurité intérieure israélienne. Des critiques visaient son candidat, notamment de la part d'un influent sénateur américain.

Ce revirement intervient alors que le Premier ministre israélien est engagé dans un bras de fer avec la Cour suprême, qui a gelé la décision du gouvernement de limoger l'actuel chef du Shin Bet, et au lendemain de l'arrestation de deux conseillers de M. Netanyahu sur fond de soupçons de pots-de-vins reçus en provenance du Qatar.

Après avoir annoncé sa nomination lundi, M. Netanyahu a finalement "remercié" le vice-amiral Eli Sharvit "d'avoir répondu à l'appel du devoir mais l'a informé qu'après plus ample considération, il avait l'intention d'examiner d'autres candidatures" pour le poste, selon un communiqué officiel.

"Changer de cap"

La nomination de l'amiral Sharvit, ancien commandant en chef de la Marine israélienne, a été critiquée aux Etats-Unis par le sénateur républicain Lindsey Graham, proche du président américain Donald Trump, qui l'a qualifiée de "plus que problématique".

"Mon conseil à mes amis israéliens est de changer de cap et d'examiner plus minutieusement" le passé de leur candidat, a écrit M. Graham sur X, notant que des "déclarations" de l'amiral Sharvit "sur le président Trump et sa politique [ne manqueraient pas de créer] des tensions inutiles".

Le 23 janvier, deux jours après le retour de M. Trump à la Maison Blanche, l'amiral Sharvit avait publié dans un quotidien économique israélien une tribune fustigeant la promotion par le président américain des énergies fossiles à l'heure du réchauffement climatique, sous le titre: "Plus qu'une faute politique: Trump est en train de précipiter la Terre dans l'abîme"

Contestation relancée

Quelques heures après l'annonce de sa nomination à la tête du Shin Bet, des médias israéliens ont rapporté qu'Eli Sharvit aurait fait partie des dizaines de milliers d'Israéliens descendus dans la rue en 2023 pour s'opposer aux tentatives du gouvernement Netanyahu de réformer le système judiciaire.

Selon les médias, l'amiral Sharvit aurait également soutenu l'accord de délimitation de la frontière maritime entre Israël et le Liban conclu en 2022 par le gouvernement précédent, et contre lequel M. Netanyahu avait fait campagne. Le projet de réforme de la justice porté par le gouvernement de M. Netanyahu, l'un des plus à droite qu'ait connu le pays, a donné lieu en 2023 à l'un des mouvements de contestation populaire les plus importants de l'histoire d'Israël.

Les décisions prises par le gouvernement Netanyahu fin mars de renvoyer le chef du Shin Bet, d'engager une procédure de destitution contre la procureure générale du pays et de reprendre la guerre à Gaza en rompant près de deux mois de trêve, ont relancé la contestation contre l'exécutif, accusé par l'opposition de dérive dictatoriale. La mobilisation a aussi été nourrie par le vote au Parlement d'une loi contestée sur le système de nomination des juges,

"Enquête politique"

Le gouvernement israélien a décidé le 21 mars de démettre de ses fonctions le chef du Shin Bet, Ronen Bar, après que M. Netanyahu eut dit ne plus avoir confiance en lui, notamment après le fiasco sécuritaire du 7 octobre 2023, jour de l'attaque sanglante du Hamas ayant déclenché la guerre en cours à Gaza. Saisie de recours de l'opposition et d'ONG, la Cour suprême a suspendu le limogeage de M. Bar jusqu'au 8 avril pour les étudier, et statuer sur la légalité de cette révocation, qui pourrait être annulée.

Certains de ces recours dénoncent le fait que M. Netanyahu serait dans une situation de conflit d'intérêts en voulant renvoyer M. Bar en plein "Qatargate", soit l'enquête ouverte par le Shin Bet autour de proches du Premier ministre, et dans laquelle lui-même dit avoir été entendu.

La police a annoncé lundi l'arrestation Yonatan Urich et Eli Feldstein, deux proches conseillers de M. Netanyahu dans le cadre de cette enquête. Le Premier ministre a dénoncé une "enquête politique" et accusé la police de retenir ses deux conseillers "en otages".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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