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International

Ecstasy, kétamine, cocaïne, MDMA, marijuana: grosse saisie à Ibiza

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Au total, neuf personnes ont été arrêtées pendant ce coup de filet qualifié de "plus grosse saisie de drogues synthétiques en Espagne" par la garde civile (image d'illustration). (© )

Grosse saisie de drogue à Ibiza: la police de l'île espagnole, connue pour sa vie nocturne, a saisi plus d'un million de comprimés d'ecstasy, des dizaines de kilos de kétamine, de MDMA, de cocaïne dont la valeur totale est estimée à 25 millions d'euros.

Cette opération de la garde civile a permis de mettre la main sur 357 kilos d'ecstasy, 212 kilos de kétamine, 73 kilos de MDMA, 20 kilos de cocaïne, 21 kilos de tusibi (cocktail de plusieurs substances très à la mode et que le consommateur sniffe), 10 kilos de haschich et 6 kilos de marijuana.

Au total, neuf personnes ont été arrêtées pendant ce coup de filet qualifié de "plus grosse saisie de drogues synthétiques en Espagne" par la garde civile. Le gang utilisait des voitures avec des doubles fonds pour apporter la drogue jusque sur l'île des Baléares.

Les trafiquants de drogue font régulièrement l'objet de coups de filet en Espagne, considérée comme l'une des principales portes d'entrée en Europe de la cocaïne sud-américaine et de la résine de cannabis à cause de sa proximité avec le Maroc.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Des milliers de manifestants contre un rapprochement avec Moscou

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"Ici c'est l'Europe!", "Nous avons honte de Fico!", "Nous ne céderons pas la Slovaquie!", scandaient des milliers de manifestants sur la place centrale de Bratislava. (© KEYSTONE/EPA/JAKUB GAVLAK)

Des milliers de personnes sont descendues dans les rues vendredi à Bratislava et dans d'autres villes de Slovaquie pour manifester leur opposition au rapprochement avec Moscou opéré par le gouvernement en dépit de l'invasion russe de l'Ukraine.

Le Premier ministre slovaque, le nationaliste Robert Fico, un des rares alliés du Kremlin au sein de l'Union européenne, a entrepris de resserrer les liens avec Moscou et a fait cesser toute aide militaire à l'Ukraine depuis son retour au pouvoir en octobre 2023.

Il s'est récemment rendu dans la capitale russe pour y rencontrer le président Vladimir Poutine à la suite de la décision de l'Ukraine de couper le transit du gaz russe par son territoire, qui alimentait l'Europe via la Slovaquie.

"Ici c'est l'Europe!", "Nous avons honte de Fico!", "Nous ne céderons pas la Slovaquie!", scandaient des milliers de manifestants sur la place centrale de Bratislava.

Des médias locaux ont fait état de manifestations dans une dizaine de villes slovaques.

Gaz russe

Robert Fico a déclaré au Parlement vendredi que le président russe Vladimir Poutine lui avait promis du gaz russe pour la Slovaquie.

L'Europe reçoit toujours du gaz russe via le gazoduc Turkstream, ainsi que du gaz liquéfié transporté par mer.

M. Fico a menacé l'Ukraine, après la fermeture du gazoduc traversant son territoire, de couper en retour ses livraisons d'électricité à ce pays en guerre dont les infrastructures énergétiques sont ciblées par les bombardements russe, ainsi que l'aide humanitaire.

Il a également menacé de réduire l'aide apportée aux réfugiés de guerre ukrainiens en territoire slovaque.

Le Premier ministre slovaque a aussi affirmé avoir proposé d'accueillir en Slovaquie, pays membre de l'Otan, des négociations de paix, une initiative dénoncée par Kiev comme faisant le jeu de Moscou, qui a déclaré à plusieurs reprises n'envisager la paix qu'à ses conditions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Culture

Carlos Leal avec son appareil photo dans les incendies à LA

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Carlos Leal ne vit pas seulement pour le métier d'acteur, mais aussi pour la photographie (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

L'acteur suisse Carlos Leal vit à Los Angeles, dans le quartier de Silverlake, à proximité des incendies. Avec son appareil photo, il se rend chaque jour dans les zones en train de brûler.

"Je veux documenter ces événements. Depuis deux ou trois ans, je couvre la situation des sans-abri à Skid Row, dans le centre-ville de Los Angeles, a relevé Carlos Leal vendredi dans les colonnes du TagesAnzeiger. En tant qu'acteur qui vit le rêve hollywoodien, mais qui voit aussi la dure réalité des rues de cette ville, je trouve scandaleux que Los Angeles permette de telles situations. Avant, j'étais rappeur et là aussi, j'ai toujours abordé des thèmes sociaux et politiques."

"Il est difficile de se rendre dans ces zones en feu, car les rues sont barrées par la police et les pompiers, a déclaré l'acteur de 55 ans, connu pour son rôle de directeur de casino dans un James Bond. Mais le chaos était tel avec des voitures abandonnées sur la chaussée que "personne ne m'a arrêté". "En raison de la puissance des vents, c'est allé très très vite", raconte-t-il aussi au matin.ch. "Cette situation était angoissante".

L'ancien rappeur de Sens Unik a eu peur "surtout jeudi. Il y a eu des moments où je ne savais pas si je pourrais quitter une zone en feu. La chaleur était extrême, la fumée toxique".

Un mélange de tristesse et d'horreur flotte dans l'air à Los Angeles, selon lui. Il pense toutefois que "la colère ne tardera pas à s'exprimer, car de nombreuses personnes reprocheront aux autorités de ne pas avoir fait assez pour éviter de telles catastrophes."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Le président Maduro investi, "un coup d'Etat" selon l'opposition

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La cérémonie d'investiture intervient au lendemain de manifestations de l'opposition qui conteste la victoire du chef de l'État socialiste de 62 ans à l'élection du 28 juillet, dont la proclamation a été suivie de troubles meurtriers et de milliers d'arrestations. (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

"Je le jure": le président vénézuélien Nicolas Maduro, fort du soutien de l'armée et d'une administration aux ordres, a prêté serment vendredi pour un 3e mandat lors d'une cérémonie qualifiée de coup d'Etat par l'opposition et dénoncée par les Etats-Unis et l'UE.

"Je jure que ce nouveau mandat présidentiel sera celui de la paix, de la prospérité, de l'égalité et de la nouvelle démocratie", a-t-il lancé devant le président de l'Assemblée Jorge Rodriguez qui a ensuite déclaré: "Vous êtes investi comme président constitutionnel".

Une fois autour du cou l'écharpe présidentielle et le grand "collier de la clef de l'Arche", qui ouvre le sarcophage de Simon Bolivar, Maduro a insisté: "Dites ce que vous voulez, faites ce que vous voulez, mais cette investiture constitutionnelle (...) n'a pas pu être empêchée et est une grande victoire pour la démocratie vénézuélienne".

Nicolas Maduro a même plaisanté sur la présence de l'opposant Edmundo Gonzalez Urrutia qui revendique la victoire au scrutin présidentiel et avait promis de prêter serment en lieu et place du président sortant.

Réagissant à un bruit qui a perturbé la cérémonie, M. Maduro a ironisé: "Quelqu'un est tombé ? Edmundo est arrivé ?", avant de poursuivre : "Comme j'attends son arrivée, je suis un peu nerveux".

La cérémonie, initialement prévue à midi, a été avancée d'une heure et demie, sans préavis. Elle a duré deux heures environ.

Nicolas Maduro est arrivé au Palais de l'Assemblée nationale vers 10h30 locales (15h30 suisses), passant entre une haie de soldats en tenue de gala. Il a longuement serré les deux mains du président cubain Miguel Diaz-Canel, l'un des rares chefs d'Etat présents avec le président nicaraguayen Daniel Ortega.

La plupart des personnalités du pouvoir, dont le ministre de l'Intérieur Diosdado Cabello ou le ministre de la Défense Vladimir Padrino Lopez, personnages-clefs dans la répression des troubles post-électoraux, étaient aussi là.

"Un coup d'État a été accompli", a réagi l'opposition dans un communiqué publié, dénonçant une "usurpation du pouvoir par Nicolas Maduro (...), soutenu par la force brute et ignorant la souveraineté populaire exprimée avec force le 28 juillet".

"C'est Edmundo Gonzalez Urrutia qui doit être investi aujourd'hui ou demain (...) La volonté du peuple se fera respecter", conclut le texte.

Alfredo Romero, le président de l'ONG Foro Penal qui documente les détentions politiques au Venezuela, a rapporté vendredi pendant la cérémonie avoir recensé depuis le début de l'année "49 arrestations à des fins politiques, dont 42 depuis le 7 janvier. Et cela continue".

Les alentours de l'Assemblée dans le centre de Caracas étaient quadrillés par les forces de l'ordre tandis que la télévision publique diffusait des images de centaines de partisans de M. Maduro défilant dans les rues.

"Simulacre"

Les Etats-Unis ont rapidement dénoncé un "simulacre" et imposé de nouvelles sanctions contre Caracas, portant notamment à 25 millions de dollars la récompense pour toute information permettant de traduire le dirigeant vénézuélien en justice.

"Aujourd'hui, Nicolas Maduro a organisé une inauguration présidentielle illégitime au Venezuela dans une tentative désespérée de s'emparer du pouvoir", a estimé le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken.

Londres a qualifié Nicolas Maduro d'"illégitime" et a imposé des sanctions contre quinze personnes-clefs du pouvoir.

M. Maduro n'a "aucune légitimité démocratique", a réagi pour sa part la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.

La cérémonie d'investiture intervient au lendemain de manifestations de l'opposition qui conteste la victoire du chef de l'État socialiste de 62 ans à l'élection du 28 juillet, dont la proclamation a été suivie de troubles meurtriers et de milliers d'arrestations.

Après la cérémonie d'investiture, le Secrétaire général de l'ONU a demandé, selon son porte-parole, la libération de toutes les personnes "détenues arbitrairement".

Edmundo Gonzalez Urrutia a répété jeudi, en République dominicaine, qu'il était le "président élu". Sans faire plier celui qui a succédé en 2013 à Hugo Chavez et dirige depuis le Venezuela d'une main de fer.

L'armée, pilier du pouvoir

Jeudi, le pouvoir avait appelé à une marche de soutien au président Maduro dans la capitale, alors que l'opposition avait organisé une manifestation au cours de laquelle sa cheffe, Maria Corina Machado, qui vit dans la clandestinité depuis le scrutin, est apparue pour la première fois en public depuis août. "Nous n'avons pas peur !", ont scandé des milliers de manifestants.

Une certaine confusion a marqué la fin de journée, quand l'opposition a annoncé la "violente" arrestation de sa cheffe Maria Corina Machado, puis sa libération.

Le pouvoir a démenti cette version des faits, le procureur général Tarek William Saab dénonçant "une opération psychologique en vue de déclencher la violence au Venezuela".

Le Conseil national électoral (CNE) a proclamé M. Maduro vainqueur avec 52% des voix mais sans publier les procès-verbaux, se disant victime d'un piratage informatique, une hypothèse jugée peu crédible par de nombreux observateurs.

L'annonce du CNE avait provoqué dans tout le Venezuela des manifestations, durement réprimées. Bilan des troubles post-électoraux : 28 morts, plus de 200 blessés et 2400 personnes arrêtées pour "terrorisme".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Condamnation historique mais dispense de peine pour Donald Trump

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Avec le prononcé de cette peine, la plus faible possible, Donald Trump va entrer le 20 janvier, à 78 ans, à la Maison Blanche avec l'étiquette d'un repris de justice. Il a comparu au verdict par vidéo. (© KEYSTONE/AP/Brendan McDermid)

Donald Trump a été officiellement dispensé de peine vendredi dans l'affaire des paiements cachés à une star de films X. La sanction est symbolique mais historique: elle fait de lui le premier président élu des Etats-Unis condamné au pénal.

A dix jours de son entrée à la Maison Blanche, le républicain a comparu à distance sur un écran vidéo, deux drapeaux américains derrière lui, lors de cette audience qu'il a cherché à éviter en usant de tous les recours.

Visiblement irrité et impatient, il a dénoncé une "honte pour le système", se disant "totalement innocent" et rappelant qu'il avait remporté le vote populaire à l'élection présidentielle du 5 novembre.

Après l'avoir remercié, le juge Juan Merchan a rappelé les "circonstances uniques et exceptionnelles" de la situation. Il a ensuite prononcé une dispense de peine, "la seule sentence" possible à ses yeux, et a souhaité à Donald Trump: "bonne chance pour votre second mandat".

"IL N'YA PAS D'AFFAIRE, IL N'Y A JAMAIS EU D'AFFAIRE", a ensuite écrit Donald Trump en lettres majuscules sur son réseau Truth Social. Ses avocats avaient déjà annoncé qu'il ferait appel de cette sentence.

Cour suprême

Jusqu'au dernier jour et jusque devant la Cour suprême à Washington, les avocats du 45e et bientôt 47e président américain ont multiplié les recours en brandissant son immunité présidentielle passée et à venir, afin d'empêcher le juge de sanctionner leur client.

Mais jeudi soir, la plus haute juridiction des Etats-Unis, a rejeté par cinq voix contre quatre une ultime requête.

Avec le prononcé de cette peine, la plus faible possible, plus de sept mois après avoir été déclaré coupable par un jury de 12 citoyens unanimes devant une cour pénale de Manhattan, Donald Trump va entrer le 20 janvier, à 78 ans, à la Maison Blanche avec l'étiquette d'un repris de justice.

Mais le fardeau sera surtout symbolique, pour celui qui a échappé à toute conséquence judiciaire dans les trois autres affaires où il avait été inculpé, dont la plus grave devant la justice fédérale pour ses tentatives illégales d'inverser les résultats de l'élection présidentielle de 2020.

Dans ce dossier, le procureur spécial Jack Smith a abandonné les poursuites après l'élection de Donald Trump le 5 novembre, alors que le procès n'avait pas commencé.

"Doigt d'honneur"

"C'est un doigt d'honneur (de Donald Trump) au juge, au jury, et à la justice", s'est indigné auprès de l'AFP l'ancien procureur de New York et professeur de Droit à l'université Pace, Bennett Gershman.

Au printemps dernier, celui qui était encore candidat à la présidentielle devait se rendre presque chaque jour pendant six semaines dans une salle d'audience au décor vieillot et sommaire de la cour pénale, et assister aux débats dans cette affaire mêlant politique, argent et scandale sexuel.

Vendredi, à l'extérieur du tribunal, des partisans du républicain tenaient une banderole géante portant le nom de leur idole, balayée par des vents violents. Il y avait également une poignée de manifestants hostiles au président élu, tenant une pancarte sur laquelle on pouvait lire: "Trump est coupable".

Le jury avait reconnu Donald Trump coupable de 34 délits de falsifications comptables pour cacher aux électeurs le paiement de 130'000 dollars à la star de films X Stormy Daniels, à la fin de sa première campagne victorieuse en 2016 contre Hillary Clinton, dont le procès avait révélé les coulisses.

L'argent avait été versé pour acheter le silence de l'actrice sur une relation sexuelle qu'elle affirmait avoir eue en 2006 avec l'ancien magnat de l'immobilier, relation qu'il a toujours niée.

Assailli par les recours des avocats et à la suite d'une décision majeure de la Cour suprême le 1er juillet sur l'immunité présidentielle, le juge Merchan a dû repousser à plusieurs reprises le prononcé de la peine, de juillet à septembre, puis à novembre, après la présidentielle.

La victoire de Donald Trump a déclenché une nouvelle salve de recours de la défense, mais Juan Merchan a maintenu la sentence.

Comme dans les autres affaires où il était poursuivi, Donald Trump s'est présenté comme la victime d'une "chasse aux sorcières" orchestrée par ses adversaires politiques, un discours qu'il a tenu inlassablement et dont ses partisans étaient convaincus, dans un pays où les sondages montrent que la confiance dans les institutions s'est nettement érodée ces dernières années.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Revenus en hausse pour Delta Air Lines

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Entre octobre et décembre, Delta a réalisé un chiffre d'affaires de 15,56 milliards de dollars en hausse de 9% sur un an (archives). (© KEYSTONE/AP/David Zalubowski)

Delta Air Lines a fait mieux qu'attendu au quatrième trimestre 2024. La compagnie aérienne américaine a tiré profit d'une forte demande pour les voyages de loisirs et d'affaires, qui se poursuit sur le début de l'exercice en cours, selon un communiqué publié vendredi.

Entre octobre et décembre, Delta a réalisé un chiffre d'affaires de 15,56 milliards de dollars (14,2 milliards de francs), en hausse de 9% sur un an. Le groupe a dégagé un bénéfice net de 843 millions, en repli de 59%.

Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - valeur privilégiée par les marchés -, le bénéfice net ressort à 1,85 dollar quand le consensus des analystes de FactSet avait prévu 1,76 dollar. Un an plus tôt, il était de 1,29 dollar.

Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, l'action Delta bondissait de 6,32%.

"Tandis que nous progressons dans 2025, nous prévoyons que la forte demande en voyages va continuer, avec des consommateurs qui cherchent de plus en plus les produits premium", a commenté Ed Bastian, patron du groupe, cité dans le communiqué.

La compagnie s'attend à une croissance de son chiffre d'affaires de 7% à 9% au premier trimestre 2025 et à un bénéfice par action compris entre 70 cents et un dollar.

Sur l'ensemble de cet exercice, ce dernier devrait dépasser les 7,35 dollars et la trésorerie gonfler de plus de quatre milliards.

En 2024, Delta a réalisé un chiffre d'affaires de 61,64 milliards (+6%), un bénéfice net par action proforma de 6,16 dollars et a abondé sa trésorerie à hauteur de 3,4 milliards.

Ses résultats ont été affectés au troisième trimestre par la panne informatique mondiale d'un logiciel du groupe Crowdstrike et par l'ouragan Hélène aux Etats-Unis.

Mais le groupe a noté une "accélération de la demande" tout au long du quatrième trimestre qui a permis de dépasser ses prévisions d'une hausse de 2% à 4% de l'activité, pour ressortir à +5,7%.

"Pendant les mois de novembre et décembre, Delta a enregistré quatre des dix meilleures journées de son histoire en termes de ventes", a relevé le groupe.

Il a précisé que toutes les zones géographiques avaient progressé d'une année sur l'autre, tout particulièrement les vols transatlantiques.

Fort de ces performances, le groupe a réinvesti en 2024 près de 5 milliards de dollars dans ses activités, réduit son endettement net de 3,6 milliards à 18 milliards et va distribuer en février 1,4 milliard de dollars à son personnel au titre du partage des bénéfices.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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