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Raid israélien meurtrier sur une école, membre du Hezbollah tué

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Les décombres après une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés d'Al-Nusairat dans la bande de Gaza. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED SABER)

L'armée israélienne a mené samedi de nouvelles frappes meurtrières dans la bande de Gaza, dont l'une a provoqué la mort de 16 personnes dans une école abritant des déplacés selon le Hamas, et a tué un membre du Hezbollah dans une attaque de drone au Liban voisin.

Israël a indiqué que son aviation avait visé "plusieurs terroristes" "dans le secteur de l'école al-Jaouni" de Nousseirat (centre), gérée par l'ONU et abritant des déplacés. "Cet endroit servait de cachette et d'infrastructure opérationnelle à partir de laquelle des attaques étaient menées contre des soldats", a affirmé l'armée.

Alors que la guerre à Gaza entre dimanche dans son 10e mois, le gouvernement du Hamas qui dirige le territoire palestinien venait d'annoncer que 16 personnes avaient été tuées dans une frappe israélienne sur cette école.

Dans le même temps, les efforts diplomatiques ont été relancés en vue d'un cessez-le-feu et d'une libération des otages retenus à Gaza, Israël annonçant l'envoi la semaine prochaine d'une délégation pour poursuivre les pourparlers avec les médiateurs qataris.

"Massacre"

Le gouvernement du Hamas a fustigé comme un "massacre odieux" la frappe sur l'école al-Jaouni, faisant aussi état de 50 blessées transférés à l'hôpital. D'après lui, 7000 déplacés se trouvaient dans l'école.

"Des éclats d'obus me sont parvenus quand j'étais dans une classe, les enfants ont été blessés", a témoigné auprès de l'AFP Samah Abou Amsha, à l'école. "Où devrions-nous aller? Nos enfants sont morts de peur".

Plus tôt, les secouristes avaient fait état de 10 personnes tuées, dont trois journalistes locaux, par une frappe sur une maison du camp de Nousseirat. Un quatrième journaliste a été tué à Gaza-ville (nord), selon le bureau de presse du Hamas.

Les combats se sont en outre poursuivis à Choujaïya, un quartier est de Gaza-ville, où les soldats mènent une opération terrestre appuyée par l'aviation depuis le 27 juin.

Le secteur est l'un de ceux dans le territoire palestinien où l'armée israélienne est de nouveau intervenue, après avoir affirmé les contrôler.

Elle a dit y avoir tué "des terroristes du Hamas" et détruit des "armes et infrastructures" dont des tunnels, accusant "l'ennemi de chercher à rétablir une base" dans le quartier.

Les soldats bataillent aussi à Rafah (sud), où des témoins ont fait état de tirs à l'artillerie lourde dans le centre de la ville. Selon l'armée "des cellules terroristes ont été éliminées" et "plusieurs tunnels détruits et des armes saisies".

L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a affirmé que deux de ses employés avaient été tués à al-Bureij (centre) sans autre précisions.

La guerre menace de prendre une dimension régionale avec des échanges de tirs quotidiens entre Israël et le Hezbollah libanais des deux côtés de la frontière.

Un "responsable local" du puissant mouvement pro-iranien, allié du Hamas, a été tué par une attaque de drone israélien sur un véhicule près de Baalbek, dans l'est du Liban à quelque 100 km de la frontière, selon une source proche du Hezbollah.

L'armée israélienne a confirmé avoir "opéré dans la région de Baalbek pour frapper et éliminer... un agent clé de l'unité de défense aérienne du Hezbollah", ayant selon elle "participé à la planification et l'exécution de nombreuses attaques terroristes" contre Israël et aidé à constituer "l'arsenal d'armes iraniennes" du groupe.

Nouvelle manifestation à Tel-Aviv

Dans ce contexte, de nouveaux efforts sont en cours pour un cessez-le-feu à Gaza, à l'approche d'une visite aux Etats-Unis du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui doit s'adresser au Congrès le 24 juillet.

A l'issue d'entretiens vendredi à Doha du chef du Mossad israélien, David Barnea, une équipe poursuivra "la semaine prochaine" les négociations au Qatar, a indiqué le bureau de M. Netanyahu.

Il a fait état d'"écarts" persistants avec le Hamas, qui a de son côté annoncé de nouvelles "idées".

Les efforts de médiation menés par le Qatar, les Etats-Unis et l'Egypte se heurtent jusque là aux exigences des deux camps.

Benjamin Netanyahu affirme vouloir continuer la guerre jusqu'à la destruction du Hamas et la libération de tous les otages, le Hamas réclamant de son côté un cessez-le-feu définitif et un retrait israélien de Gaza avant un accord.

"Il est important qu'un accord soit trouvé" pour le retour des otages, a plaidé l'un d'entre eux, Almog Meir Jan, libéré début juin dans une opération de l'armée, dans un message diffusé lors d'un nouveau rassemblement à Tel-Aviv en soirée contre le gouvernement Netanyahu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Israël: Netanyahu revient sur son choix pour le chef du Shin Bet

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Benjamin Netanyahu "a l'intention d'examiner d'autres candidatures" pour prendre la direction du Shin Beth (archives). (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mardi être revenu sur son choix annoncé la veille de nommer l'amiral Eli Sharvit, ancien commandant de la Marine, comme nouveau chef de l'Agence de la sécurité intérieure (Shin Bet).

"Le Premier ministre a remercié le vice-amiral [Eli] Sharvit pour avoir répondu à l'appel du devoir mais l'a informé qu'après plus ample considération, il avait l'intention d'examiner d'autres candidatures", indiqué un communiqué du bureau de M. Netanyahu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La première mission spatiale habitée survolant les pôles est lancée

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La mission Fram2 a été lancée du centre spatial Kennedy, en Floride. (© KEYSTONE/AP/John Raoux)

L'entreprise SpaceX du multimilliardaire Elon Musk a lancé tard lundi sa mission "Fram2", qui doit survoler les pôles de la Terre. Elle est composée de quatre astronautes non professionnels, ce qui constitue un nouveau pas dans l'exploration commerciale de l'espace.

Des cris de joie et de soulagement des équipes SpaceX ont ponctué le décollage réussi de l'équipage à bord d'une capsule Dragon de l'entreprise d'Elon Musk transportée par la fusée Falcon 9, selon les images retransmises en direct sur Internet.

Quatre personnes aux profils variés et n'étant pas des astronautes professionnels prennent part à cette mission privée nommée Fram2 en hommage à un navire ayant servi à l'exploration polaire au XIXe siècle.

La fusée Falcon 9 a été lancée à 21h46 locales (03h46 mardi en Suisse) du centre spatial Kennedy, en Floride.

De trois à cinq jours

"Avec le même esprit pionnier que les premiers explorateurs polaires, nous cherchons à rapporter des connaissances et des données nouvelles pour faire progresser l'exploration spatiale sur le long terme", a déclaré le commandant de la mission Chun Wang, un entrepreneur ayant fait fortune dans les monnaies numériques et finançant cette mission.

Il est accompagné pour ce voyage dans l'espace d'une réalisatrice norvégienne, Jannicke Mikkelsen, d'un Australien ayant exploré les pôles en tant que guide, Eric Philips, et d'une chercheuse allemande en robotique, Rabea Rogge.

Leur mission dans l'espace doit durer entre trois et cinq jours et doit permettre la tenue de plus de 20 expériences scientifiques, dont la prise de premières images de radiographie dans l'espace ou la culture de champignons en microgravité, autant d'expériences qui pourraient servir pour de futurs vols vers Mars. L'équipage s'est entraîné en amont pendant huit mois, y compris en hiver en Alaska.

A leur retour sur terre, ils essaieront de sortir de la capsule sans soutien médical, dans le cadre d'une étude visant à déterminer les tâches simples pouvant être effectuées par des astronautes après un vol dans l'espace.

A l'exception des missions lunaires Apollo, les pôles de la Terre sont restés hors de vue des astronautes, y compris ceux à bord de la station spatiale internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Chine lance de vastes exercices simulant un blocus de Taïwan

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Le porte-avions chinois Shandong participait aux manoeuvres autour de Taïwan. (© KEYSTONE/AP)

L'armée chinoise a mobilisé mardi des forces terrestres, navales et aériennes autour de Taïwan, pour des exercices militaires de grande ampleur simulant un blocus de l'île. Selon elle, ces manoeuvres visent à faire passer un message d'"avertissement ferme" à Taïpei.

Les forces armées chinoises "se rapprochent de l'île de Taïwan à partir de multiples directions", a déclaré Shi Yi, porte-parole du commandement du théâtre oriental de l'armée chinoise, décrivant les manoeuvres comme "légitimes et nécessaires pour sauvegarder la souveraineté et l'unité nationale de la Chine".

"Ces exercices sont principalement axés sur les patrouilles de préparation au combat mer-air, l'acquisition conjointe d'une supériorité globale, l'assaut de cibles maritimes et terrestres et le blocus de zones clés et de voies maritimes", a détaillé le porte-parole.

En réponse, Taïpei a dit avoir dépêché ses propres avions et navires et déployé des systèmes de missiles. Le parti communiste chinois n'a jamais gouverné Taïwan, mais revendique l'île comme partie intégrante de son territoire et n'exclut pas l'usage de la force pour en prendre le contrôle.

Porte-avions Shandong

Pékin a intensifié ces dernières années le déploiement d'avions de chasse et de navires de guerre autour de Taïwan afin d'appuyer sa revendication, que Taïpei rejette. D'après la défense taïwanaise, la Chine a mobilisé 19 navires de guerre autour de Taïwan dans les 24 heures ayant précédé mardi 06h00, dont un porte-avions, le Shandong.

Ces nouvelles manoeuvres sont destinées à faire passer un message d'"avertissement ferme et de dissuasion énergique" aux présumés séparatistes de l'île, ont affirmé mardi les forces armées chinoises.

Les gardes-côtes chinois ont par ailleurs annoncé avoir conduit des "patrouilles d'exécution de la loi [...] et mené des exercices tels que des inspections et des captures, des opérations d'interception et de détention contre des navires non autorisés", selon un communiqué d'un porte-parole.

La présidence taïwanaise "a fermement condamné" les manoeuvres chinoises. Pour le premier ministre Cho Jung-tai, "le recours à des démonstrations de force militaires n'est pas ce à quoi des sociétés modernes et progressistes doivent se livrer".

"Force étrangère hostile"

Le président taïwanais démocratiquement élu Lai Ching-te a qualifié le mois dernier la Chine de "force étrangère hostile". Il a proposé de nouvelles mesures pour lutter contre l'infiltration et l'espionnage chinois.

Mardi, au moment même des manoeuvres, Pékin a averti Taïwan que "l'indépendance de Taïwan [signifiait] la guerre". "Et promouvoir l'indépendance de Taïwan signifie pousser les habitants de Taïwan vers une situation périlleuse de conflit armé", a mis en garde dans un communiqué le bureau des affaires taïwanaises, chargé des politiques de l'Etat-parti chinois envers Taïwan.

Le commandement du théâtre oriental de l'armée chinoise, qui supervise les opérations dans le détroit de Taïwan, a publié mardi une infographie intitulée "Resserrer l'étau". Des navires et des avions de chasse encerclant l'île y sont mentionnés, accompagnés d'un avertissement aux "séparatistes taïwanais" qu'ils "couraient à leur propre perte".

Une autre vidéo partagée par l'armée chinoise représente le président taïwanais en insecte, en train de brûler sur un brasier.

Point de tension majeur

Ces manoeuvres sont les plus importantes depuis février, lorsque Taïpei avait affirmé que la Chine avait organisé des exercices de "tirs à balles réelles" avec des avions et des navires de guerre dans une zone située à environ 40 milles nautiques (74 kilomètres) au sud de l'île.

L'armée taïwanaise avait répondu par l'envoi de ses propres forces pour "surveiller, alerter et répondre de manière appropriée".

Taïwan est un des points de tension majeur entre la Chine et les Etats-Unis, le principal soutien politique de Taïpei et son premier fournisseur d'armes.

Les Etats-Unis sont depuis des décennies légalement tenus de fournir des armes à Taïwan malgré les protestations de Pékin, mais maintiennent une "ambiguïté stratégique" quant à leur réaction en cas d'attaque chinoise.

Les tensions actuelles remontent à 1949, lorsque le parti nationaliste chinois s'est réfugié à Taïwan après sa défaite face à l'armée communiste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: Trump estime que Poutine "remplira sa part"

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Vladimir Poutine a évoqué vendredi l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités (archives). (© KEYSTONE/EPA/VYACHESLAV PROKOFYEV/SPUTNIK/KREMLIN / POOL)

Le président russe Vladimir Poutine va "remplir sa part" pour une trêve en Ukraine, a assuré lundi son homologue américain Donald Trump. Ce dernier avait exprimé la veille sa frustration face aux blocages empêchant un accord entre Moscou et Kiev.

Cherchant à remplir ses propres promesses de campagne, Donald Trump fait pression pour une fin rapide de la guerre en Ukraine, mais les pourparlers n'ont jusqu'ici abouti à aucune percée concrète.

Dimanche, le président américain s'était dit "très énervé" et "furieux" contre le président russe réticent à s'engager sur l'accord de cessez-le-feu, menaçant d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe, selon un entretien à la chaîne télévisée NBC.

"Je pense qu'il va se montrer à la hauteur de ce qu'il m'a dit. Et je pense qu'il va maintenant remplir sa part du contrat. Et puis, il y a Zelensky, en espérant qu'il sera à la hauteur", a déclaré Donald Trump à la Maison-Blanche, en référence au président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Minerais ukrainiens

Sur le pétrole russe, il a affirmé ne pas vouloir "imposer de droits de douane" supplémentaires. "Mais je pense que je ferais quelque chose si je pensais qu'il ne fait pas ce qu'il faut", a-t-il ajouté.

Le président russe avait évoqué vendredi l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.

Dans des déclarations ultérieures dimanche, Donald Trump avait cependant modéré son ton à l'égard de Vladimir Poutine pour s'en prendre à Volodymyr Zelensky, qu'il accuse de vouloir tourner le dos à un accord sur les minerais ukrainiens que les Etats-Unis veulent exploiter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les deux astronautes coincés dans l'ISS se disent prêts à repartir

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Suni Williams, à gauche sur le cliché, et Butch Wilmore ont passé plus de neuf mois coincés dans l'espace, alors que leur vol ne devait durer que huit jours. (© KEYSTONE/AP/Ashley Landis)

Rentrés sur terre il y a deux semaines après avoir passé plus de neuf mois coincés dans l'espace, deux astronautes américains ont assuré lundi être prêts à repartir avec le vaisseau de Boeing à l'origine de leurs péripéties.

"Nous allons faire en sorte que cela fonctionne", a assuré Butch Wilmore, l'un des deux vétérans de l'espace au coeur de ce feuilleton spatial, lors d'une conférence de presse de la NASA.

Accompagné de sa collègue Suni Williams, avec qui il menait le vol-test du vaisseau de Boeing, et de leur compatriote Nick Hague parti à leur rescousse, il est revenu lors de cette première prise de parole publique sur leur séjour prolongé dans l'espace et leur retour survenu le 18 mars.

"Je peux vous dire que revenir de l'espace sur terre et traverser l'atmosphère à l'intérieur d'une boule de feu [...] cela fait étrange", a raconté ce vétéran de l'espace, âgé de 62 ans, sous les rires de ses acolytes.

"Un excellent vaisseau spatial"

Initialement partis en juin dernier pour une mission de huit jours à bord du vaisseau Starliner de Boeing, Butch Wilmore et Suni Williams avaient vu leur séjour dans la station spatiale internationale (ISS) s'éterniser après que des défaillances ont été détectées sur l'engin spatial.

Ces problèmes techniques avaient poussé la NASA à décider à l'été de renvoyer le vaisseau à vide et à confier leur retour à l'entreprise rivale SpaceX, un camouflet pour le constructeur Boeing. La capsule était revenue sur terre sans problème.

"Nous sommes tous responsables" des problèmes rencontrés lors de ce vol habité inaugural, a insisté lundi M. Wilmore, tout en assurant vouloir "regarder vers l'avant". "C'est un excellent vaisseau spatial", a précisé sa collègue Suni Williams, indiquant que les équipes travaillaient activement sur les "quelques éléments qui doivent être corrigés".

Leur périple de plus de neuf mois dans l'ISS leur a valu la sympathie du public. Les deux compagnons d'infortune ont réassuré lundi avoir bien vécu leur séjour prolongé et avoir été préparés à ce type d'inattendu.

"Je suis très reconnaissante de l'attention des gens", a déclaré Suni Williams. Elle espère avoir transmis un message de "résilience" aux plus jeunes: "Vous savez, parfois il faut savoir prendre des virages" afin "d'en tirer le maximum".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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