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Frontière israélo-libanaise: craintes d'une guerre à grande échelle

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A Gaza ,l'offensive israélienne a fait jusqu'à présent 37'431 morts, en majorité des civils, dont 35 ces dernières 24 heures, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza. (© KEYSTONE/AP/Saher Alghorra)

L'armée israélienne et le Hezbollah ont échangé de nouveaux tirs transfrontaliers jeudi après une escalade de la rhétorique belliqueuse entre les deux protagonistes, faisant craindre une guerre à grande échelle.

Sur le front sud d'Israël, dans la bande de Gaza, la guerre déclenchée le 7 octobre par une attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre le territoire israélien se poursuit avec des bombardements israéliens sur plusieurs secteurs du territoire palestinien assiégé.

Ce conflit dévastateur a provoqué une flambée de violence à la frontière nord d'Israël avec le Liban, où les échanges de tirs entre l'armée et le Hezbollah, un allié du Hamas, se sont intensifiés ces dernières semaines.

Tirs de représailles

Jeudi, le mouvement islamiste libanais a annoncé avoir tiré "des dizaines de roquettes Katioucha" sur une position militaire dans le nord d'Israël en représailles à la mort d'un de ses combattants dans une frappe ciblée israélienne sur Deir Kifa, dans le sud du Liban.

L'armée israélienne a confirmé avoir "éliminé" un commandant du mouvement et frappé "un site de lancement de missiles sol-air" du Hezbollah, groupe armé et financé par l'Iran, ennemi juré d'Israël.

Dans un discours incendiaire mercredi soir, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a averti qu'"aucun lieu" en Israël, ne serait épargné par les missiles et les drones de son mouvement en cas d'attaque israélienne contre le Liban.

Mardi, l'armée israélienne a annoncé que "des plans opérationnels pour une offensive au Liban" avaient été "validés", et le chef de la diplomatie Israël Katz a affirmé que "dans une guerre totale, le Hezbollah sera détruit".

Chypre menacée

M. Nasrallah a également menacé l'île méditerranéenne de Chypre, disant "détenir des informations" selon lesquelles Israël pourrait utiliser, s'il était attaqué, "des aéroports et des bases" dans ce pays de l'Union européenne le plus proche des côtes du Moyen-Orient.

Ces accusations sont "dénuées de tout fondement", a affirmé le gouvernement chypriote. Chypre "entretient d'excellentes relations avec tous les pays de la région", et "n'est impliquée et ne sera impliquée dans aucun conflit".

Les menaces du Hezbollah, un mouvement qui exerce une influence prépondérante au Liban, ont inquiété Israéliens, Libanais et Chypriotes.

"On ne sait pas si cette histoire se terminera par une guerre ou un accord. Je préfèrerais un accord", a dit à l'AFP Shimon Kamari de Kiryat Shmona dans le nord d'Israël. Pour Sofinar, habitante de Beyrouth, "le Liban ne veut pas de guerre (...) Nous souffrons déjà et la situation économique est précaire".

Costas, un habitant de Nicosie, a estimé que "le gouvernement chypriote ne fait qu'apporter une aide humanitaire" à Gaza.

"Nouvelles armes"

En cas de guerre, a prévenu M. Nasrallah, Israël devrait "nous attendre par la terre, par la mer et par les airs", ajoutant que son mouvement avait reçu "de nouvelles armes" et comptait plus de 100'000 hommes prêts au combat.

"Il est crucial que toutes les parties cessent les tirs", a lancé la coordinatrice spéciale de l'ONU pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert.

Mais les experts sont divisés sur la perspective d'un conflit régional. "D'ici quelques semaines, nous verrons une opération israélienne au Liban", a dit Nitzan Nuriel, ex-chef du département israélien de lutte antiterroriste. Mais, selon Eyal Zisser, expert du Hezbollah à l'Université de Tel-Aviv, "personne ne veut une escalade".

Les Palestiniens continuent de fuir

Le 7 octobre, des commandos du Hamas ont mené une attaque dans le sud d'Israël, qui a été suivi d'une offensive israélienne d'envergure ayant dévasté Gaza et fait jusqu'à présent 37'431 morts, en majorité des civils, dont 35 ces dernières 24 heures, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

A Rafah (sud), les combats se poursuivent entre soldats et combattants palestiniens. Selon des images de l'AFP, des familles palestiniennes ont continué de fuir la ville, leurs affaires empilées sur des remorques ou des charrettes.

"Le dernier bastion (du Hamas) à Rafah est démantelé systématiquement (...) maison par maison, tunnel par tunnel, logement par logement. Nous le détruirons et nous gagnerons", a déclaré le porte-parole du gouvernement israélien, David Mencer.

Des bombardements ont également ont visé le centre du territoire, faisant deux morts, selon un médecin.

"Besoin des armes des Etats-Unis"

"Nous ne quitterons pas Gaza avant que les otages ne soient tous revenus et avant d'éliminer les capacités militaires du Hamas", a réaffirmé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, alors qu'une nouvelle manifestation rassemblant des Israéliens hostiles à sa conduite de la guerre a eu lieu à Jérusalem.

Affirmant dans une déclaration distincte qu'Israël menait "une guerre pour son existence", l'Israélien a souligné que son pays avait besoin des armes des Etats-Unis, son allié historique, après avoir déploré mardi des retards dans l'aide militaire américaine.

Le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby, a jugé "décevants" et "offensants" les propos de M. Netanyahu sur les retards. "Aucun autre pays, a-t-il dit, ne fait plus pour aider Israël à se défendre contre la menace du Hamas (...)".

Toujours pas assez d'aide

Sur le plan humanitaire, l'aide entre toujours au compte-gouttes dans le petit territoire palestinien assiégé par Israël et menacé de famine selon l'ONU.

Malgré les appels de la communauté internationale, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu assure qu'il poursuivra la guerre jusqu'à l'élimination du Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Euro 2024

L'Allemagne bat le Danemark 2-0 et file en quart

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Musiala a inscrit le but de la sécurité face au Danemark (© KEYSTONE/AP/Andreea Alexandru)

L'Allemagne sera bien présente au rendez-vous des quarts de finale de "son" Euro.

La Mannschaft a dominé le Danemark 2-0 samedi soir à Dortmund, dans un 8e de finale qui a été interrompu pendant 25 minutes par un violent orage survenu avant la mi-temps.

La sélection de Julian Nagelsmann, qui affrontera l'Espagne ou la Géorgie vendredi prochain à Stuttgart pour une place dans le dernier carré, a débloqué la situation à la 53e sur un penalty transformé par Kai Havertz. Penalty accordé après une intervention de la VAR, consécutive à une faute de main de Joachim Andersen.

Un Joachim Andersen qui est passé par tous les états d'âme en l'espace de cinq minutes samedi soir dans l'antre du BVB. Le défenseur de Crystal Palace pensait en effet avoir ouvert la marque à la 48e minute, mais sa réussite était annulée par la VAR pour un hors-jeu du passeur décisif.

L'Allemagne, qui avait pour sa part vu un but de Schlotterbeck annulé dès la 4e, a "tué" le match à la 68e. Son maître à jouer Jamal Musiala a marqué d'une frappe imparable son troisième but du tournoi, deux minutes après que Manuel Neuer avait signé une parade décisive sur un tir du remuant attaquant danois Rasmus Höjlund.

Sortie en 8e de finale du dernier Euro et en phase de poules des deux dernières Coupes du monde, l'Allemagne peut donc toujours espérer revivre le "Sommermärchen" de 2006, lorsque la sélection de Jürgen Klinsmann avait atteint la finale de "sa" Coupe du monde. Mais il lui faudra sans doute élever encore son niveau de jeu, notamment en cas d'affrontement avec la Roja en quart.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Euro 2024

Yakin: "Nous avons envoyé un signal très fort"

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Murat Yakin savoure la prestation XXL de son équipe (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

Murat Yakin l'admet volontiers à l'issue du 8e de finale de l'Euro gagné par la Suisse face à l'Italie, il a vécu samedi à Berlin un moment rare, "un moment qui restera longtemps dans les mémoires".

"Il y a la victoire, bien sûr. Mais il y a surtout la manière !", s'est réjoui le sélectionneur helvétique en conférence de presse.

"On ne vit pas souvent de tels instants. Il faut les savourer avec nos fans qui ont encore été extraordinaires. Mais se dire aussi que l'histoire n'est pas encore terminée. Nous avons un quart de finale à préparer contre l'Angleterre ou la Slovaquie. Nous serons prêts. Depuis le début du tournoi, la stratégie est la bonne, le système est le bon. Tout le monde au sein de l'équipe accepte son rôle. Il y aura bien sûr des ajustements à apporter si nous rencontrons l'Angleterre ou bien la Slovaquie."

"Nous avons envoyé un signal très fort lors de ce huitième de finale, poursuit le sélectionneur. Nous avons dominé la rencontre dans tous les domaines. Nous avons tout de suite compris que nous avions le match en mains. Les deux buts sont tombés tous les deux dans les bons moments. Cela nous a tranquillisés. L'ouverture du score est superbe. Freuler a vu l'espace. Il a parfaitement senti le coup. Sa frappe est splendide."

Après le 2-0 tout aussi magnifique de Ruben Vargas, Murat Yakin a bien sûr eu un coup de chaud avec la tête de Fabian Schär sur le poteau gauche de Yann Sommer, un poteau qu'il ira d'ailleurs embrasser en fin de match. "Cela aurait été un choc de voir l'Italie réduire le score de cette manière, lâche-t-il. On a eu de la chance. Mais face à de tels adversaires, il en faut."

Confiance

Murat Yakin a aussi rappelé combien la performance six jours plus tôt livrée face à l'Allemagne avait compté. "Ce match contre l'Allemagne nous a insufflé une énorme confiance", lance-t-il avant de rappeler la chance qu'il avait de posséder dans son équipe deux joueurs de classe mondiale avec Manuel Akanji et Granit Xhaka.

"Ils lisent parfaitement le jeu. Ils trouvent les ouvertures. Ils font courir l'adversaire derrière le ballon, se félicite-t-il. Ils ont une confiance énorme en leurs moyens. Elle rejaillit sur tous les autres. L'expérience qu'ils ont acquise ces dernières années n'a pas de prix non plus."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Onze morts dans des attaques russes au sud et à l'est de l'Ukraine

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Des soldats ukrainiens tirent sur des positions russes le long de la ligne de front dans la région de Donetsk, à l'est de l'Ukraine. Suite aux frappes russes qui ont fait onze morts samedi, le président ukrainien a réitéré ses appels aux Occidentaux à "accélérer" les livraisons d'armes. (Archives) (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

Des frappes russes dans le sud et l'est de l'Ukraine ont fait samedi onze morts, selon les autorités ukrainiennes. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réitéré ses appels à ses alliés occidentaux à "accélérer" leurs livraisons d'armes.

Les frappes meurtrières ont touché une ville de la région de Zaporijjia et des villages de la région de Donetsk.

"Les Russes ont attaqué la ville de Vilniansk", dans la région de Zaporijjia, et "l'ennemi a tué sept personnes. Deux des morts sont des enfants", a déclaré Ivan Fedorov, le gouverneur régional sur un réseau social. Dix personnes ont été blessées et plusieurs bâtiments, notamment résidentiels, ont été endommagés, a-t-il ajouté.

Vilniansk se trouve à 29 kilomètres au nord-est de Zaporijjia, la principale ville régionale, sous contrôle ukrainien. La Russie affirme avoir annexé la région de Zaporijjia mais, si elle en occupe de vastes pans, elle ne la contrôle pas totalement.

La Russie a déjà attaqué Zaporijjia et des villes voisines plusieurs fois depuis le début de son offensive en Ukraine en 2022, mais ces dernières semaines elle concentrait surtout ses efforts dans l'est du pays plutôt que dans le sud.

"Accélérer" les livraisons d'armes

Des responsables ukrainiens ont par ailleurs annoncé que des attaques russes contre des villages de la ligne de front dans la région de Donetsk (est) avaient fait quatre morts.

"Dans (le village de) Zarichne, les Russes ont tué trois personnes", a déclaré sur les réseaux sociaux Vadym Filachkine, gouverneur ukrainien de la région de Donetsk. Le procureur général d'Ukraine a lui annoncé plus tard qu'une autre personne, un habitant du village frontalier de New York, "avait également été mortellement blessée".

New York est intensément attaquée depuis la mi-juin alors que les forces russes avancent vers la ville de Toretsk.

Après ces nouvelles frappes de Moscou, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé samedi ses alliés occidentaux à "accélérer" leurs livraisons d'armes aux forces de Kiev.

"Les décisions dont nous avons besoin doivent être accélérées. Tout retard de décisions dans cette guerre signifie la perte de vies humaines", a plaidé M. Zelensky, appelant à la livraison d'armes pour "détruire les lanceurs de missiles russes".

Les attaques sont intervenues au lendemain d'une autre contre la ville de Dnipro, au nord de Zaporijjia. Une personne y a été tuée et 13 autres blessées, a annoncé samedi la police ukrainienne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Spalletti: "Quelque chose doit changer"

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Luciano Spalletti admet volontiers la supériorité de la Suisse (© KEYSTONE/EPA/ROBERT GHEMENT)

"Quelque chose doit changer": Luciano Spalletti mesure parfaitement l'ampleur du chantier qui l'attend après la défaite de l'Italie face à la Suisse en 8e de finale de l'Euro.

Le "Mister" entend poursuivre sa tâche à la tête de la Squadra Azzurra malgré cette défaite sans appel.

"Je suis responsable de ce qui s'est produit aujourd'hui" a assuré le Toscan en conférence de presse. "Lors de ce tournoi, nous avons livré deux performances médiocres contre l'Espagne et la Suisse, et deux partiellement satisfaisantes contre l'Albanie et la Croatie. Il y a plusieurs explications que l'on peut avancer. La fin de saison en roue libre de bien des clubs en Serie A en est une. Une autre vient aussi de mon manque de passé commun avec la Nazionale. Je n'ai eu que dix matches pour préparer cet Euro, dont les premiers avec le couteau sous la gorge pour nous qualifier directement."

Luciano Spalletti admet volontiers la supériorité des Suisses. "Leur victoire est amplement méritée, dit-il. Sur le plan de l'intensité, il n'y avait pas photo. La Suisse en a mis beaucoup plus. On a vu dans les courses et dans les duels. Je regrette vraiment de n'avoir pas pu les inquiéter davantage."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse-Italie 2-0: L'histoire est en marche

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Freuler a inscrit le 1-0 du pied gauche (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

L'histoire est en marche ! Désignée par bien des observateurs comme le favori caché de cet Euro 2024, la Suisse a pris la route des quarts de finale avec une assurance sans doute insoupçonnée.

A Berlin, elle a battu 2-0 pour l'Italie pour gagner un deuxième huitième de finale à l'Euro, trois ans après le succès aux tirs au but face aux champions du monde français à Bucarest. A Berlin, elle n'aura cette fois pas vraiment tremblé pour éliminer les tenants du titre.

Ce succès a été acquis sur deux buts superbes, un enchaînement magnifique de Remo Freuler à la 37e et une frappe imparable de Ruben Vargas, passeur sur l'ouverture du score, pour le 2-0 de la 46e minute. Malgré toute sa classe et cette impression d'être devenu presque invincible après ses exploits lors de la phase de poules, Gianluigi Donnarumma n'a rien pu faire.

Cette victoire, la première face à l'Italie depuis... 31 ans et le 1-0 de Berne du 1er mai 1993, conduira la Suisse à Düsseldorf samedi prochain. Son adversaire sera le vainqueur de la rencontre l'Angleterre - Slovaquie qui se jouera ce dimanche à Gelsenkirchen. Après sa démonstration contre l'Italie, une vérité se dessine: il devient de plus en plus périlleux de parier contre la Suisse.

La Suisse... mal payée

A la pause, la Suisse aurait pu mener... 3-0 si elle avait été accompagnée par une plus grande réussite. Avant le but de Freuler, Breel Embolo, parfaitement lancé par Michel Aebischer, avait perdu son duel face à Donnarumma dans une position qui n'était pas loin d'être "idéale". Et juste avant la pause, c'est Fabian Rieder, avec son pied gauche magnifique, qui voyait sa frappe détournée par Donnarumma sur son premier poteau.

Si Donarumma a dû livrer la marchandise pour permettre aux siens de rester dans le match, Yann Sommer n'a pas été réellement inquiété lors de cette première période qui a vu la Suisse bénéficier assez nettement de la possession (58 %). Les Italiens ne devaient alerter qu'à une seule reprise le portier et ses défenseurs avec un centre de Federico Chiesa repoussé par Manuel Akanji (26e).

Dans son 3-4-2-1 désormais traditionnel mais avec Dan Ndoye dans un rôle de piston droit – la surprise du chef -, la Suisse a exercé une emprise presque totale sur la rencontre. Avec un Granit Xhaka toujours aussi impérial à la régie, elle a éteint le milieu adverse avec une rare maîtrise. Jamais dans l'histoire, la "Squadra Azzurra" n'était apparue aussi désarmée, aussi inoffensive face à son voisin du nord que lors de ces quarante-cinq premières minutes.

Une grosse frayeur pour Schär

Une poignée de secondes après la reprise, les Italiens allaient à terre pour le compte. Avec une superbe frappe enroulée, Vargas ne laissait aucune chance à Donnarumma pour le but du break. Un break qui aurait pu être annulé à la 52e avec une tête de Schär sur son propre poteau. Le Saint-Gallois n'était pas loin de commettre son deuxième autogoal du tournoi après avoir permis aux Ecossais d'ouvrir le score en phase de poules.

Cette frayeur mise à part, la Suisse a contrôlé cette seconde période sans aucune difficulté. Sommer devait, ainsi, attendre la 72e minute pour capter un premier tir cadré, celui du nouvel entrant Mateo Retgui. Une minute plus tôt, le "magicien" Murat Yakin avait opéré ses premiers changements avec les introductions de Steven Zuber et de Stergiou pour Vargas et Rieder, Ndoye montant d'un cran. Le Vaudois devait toutefois très vite céder sa place à Vincent Sierro. Le temps était venu de fermer la porte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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