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Un ministre israélien menace d'annexer une partie de Gaza

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Ronen Bar (cliché) a été accusé par le premier ministre israélien d'être à l'origine d'une "campagne de menaces et de fuites dans les médias" (archives). (© KEYSTONE/AP/Gil Cohen-Magen)

Le ministre israélien de la Défense a menacé vendredi d'annexer des parties de Gaza si le Hamas ne libère pas la soixantaine d'otages retenus dans le territoire palestinien. Israël y poursuit son offensive pour le quatrième jour consécutif après rupture de la trêve.

Alors que la violence s'abat de nouveau sur Gaza, le Hamas a reçu de l'Egypte et du Qatar, deux pays médiateurs, une proposition visant à rétablir un cessez-le-feu et à échanger des otages contre des prisonniers palestiniens "suivant un calendrier restant à convenir", a indiqué à l'AFP une source palestinienne proche des négociations.

"La proposition prévoit l'entrée d'aide humanitaire à Gaza", bloquée par Israël depuis le 2 mars, a-t-elle ajouté.

Les opérations aériennes et terrestres menées dans la bande de Gaza ont brisé le calme relatif qui régnait depuis l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu le 19 janvier, dans ce territoire dévasté par la guerre déclenchée il y a plus de 17 mois par le mouvement islamiste palestinien.

"Zone tampon" ou "annexion"

Le porte-parole de la Défense civile de Gaza a déclaré vendredi à l'AFP que les frappes israéliennes sur le territoire avaient fait 11 nouveaux morts depuis minuit.

La veille, ce service de secours d'urgence a indiqué que 504 personnes avaient été tuées depuis la reprise des bombardements, mardi ayant été l'une des journées les plus meurtrières depuis le 7 octobre 2023, date du début des hostilités avec l'attaque sans précédent des commandos du Hamas sur le sud d'Israël à partir de la bande de Gaza.

Ankara a condamné une "attaque israélienne" contre un hôpital de Gaza construit par la Turquie, déplorant un "ciblage délibéré".

L'armée israélienne a frappé "des terroristes" dans un hôpital désaffecté utilisé comme base par des combattants du Hamas, a dit à l'AFP un porte-parole de l'armée en réponse aux accusations turques.

"J'ai donné l'ordre à (l'armée) de saisir davantage de territoire à Gaza, tout en évacuant la population, et d'étendre les zones de sécurité (le long de la frontière à l'intérieur de la bande) de Gaza pour protéger les localités israéliennes", a déclaré plus tôt le ministre de la Défense, Israël Katz.

"Plus le Hamas continuera à refuser de libérer les otages, plus il perdra de territoire, qui sera annexé à Israël", a-t-il ajouté.

Les "zones de sécurité" sont une allusion à l'établissement d'une zone tampon entre la bande de Gaza et les localités israéliennes limitrophes.

Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a rappelé vendredi que la France était "opposée à toute forme d'annexion, qu'elle concerne la Cisjordanie ou qu'elle concerne Gaza".

Appels à évacuer

Des images filmées vendredi par l'AFPTV dans le nord de la bande de Gaza montrent des charrettes tirées par des ânes et remplies d'objets de première nécessité par des habitants fuyant leurs maisons le long de routes bordées de ruines.

L'armée israélienne a appelé les habitants des quartiers sud de Gaza al-Salatin, al-Karama et al-Awda à évacuer immédiatement leurs maisons avant une frappe.

Elle a aussi annoncé avoir tué le chef des renseignements militaires du Hamas dans le sud de Gaza lors d'une frappe la veille.

Israël a repris ses bombardements intensifs sur Gaza mardi, invoquant l'impasse dans laquelle se trouvent les négociations indirectes avec le Hamas sur les prochaines étapes de la trêve, dont la première phase a expiré le 1er mars.

Le Hamas a affirmé jeudi avoir tiré des roquettes sur Tel-Aviv en riposte aux "massacres de civils", commis selon lui par Israël à Gaza.

Vendredi, l'armée israélienne a dit avoir intercepté deux "projectiles" tirés de la bande de Gaza et un missile lancé depuis le Yémen.

Le président israélien, Isaac Herzog, s'est dit "troublé" par la reprise des combats à Gaza, dans une rare critique visant le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, sans le mentionner nommément.

"Plan de déplacement"

Ces derniers jours, des milliers de personnes ont manifesté à Jérusalem contre le gouvernement, scandant des slogans accusant M. Netanyahu notamment d'avoir ordonné la reprise des bombardements sur Gaza sans se soucier des otages, et par pur calcul politique.

Sur les 251 otages enlevés lors de l'attaque du Hamas du 7 octobre, 58 sont toujours retenus dans la bande de Gaza, dont 34 sont morts, selon l'armée israélienne.

Vendredi, M. Katz a menacé le Hamas d'accroître la pression.

"Si le groupe terroriste Hamas continue de refuser de libérer les otages, j'ai donné l'ordre à Tsahal de prendre davantage de territoires (...) en assurant une occupation permanente du territoire par Israël", a-t-il déclaré.

"Nous intensifierons la lutte avec des frappes aériennes, maritimes et terrestres, ainsi qu'en élargissant l'opération terrestre jusqu'à la libération des otages et la défaite du Hamas, en utilisant tous les moyens de pression militaires et civils, y compris l'évacuation de la population de Gaza vers le sud et la mise en oeuvre du plan de déplacement volontaire du président américain (Donald) Trump pour les habitants de Gaza", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Israël bombarde la banlieue sud de Beyrouth, après 4 mois de trêve

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Tsahal a bombardé le quartier densément peuplé de Hadath, au sud Liban. (© KEYSTONE/EPA/WAEL HAMZEH)

Israël a bombardé vendredi la banlieue sud de Beyrouth, un bastion du Hezbollah, pour la première fois après quatre mois de trêve. Tsahal ripostait à des tirs de roquettes qui ont visé son territoire.

L'armée israélienne, qui a aussi bombardé le sud du Liban, avait appelé à évacuer une partie des habitants de la banlieue sud, cible de bombardements intenses pendant les deux mois de guerre ouverte qui l'ont opposée au mouvement libanais soutenu par l'Iran, avant un fragile cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre.

La frappe a visé le quartier densément peuplé de Hadath, dégageant un immense champignon de fumée noire.

Dans les ruines fumantes des immeubles soufflés, où les pompiers tentaient d'éteindre les flammes, les secouristes fouillaient les décombres et évacuaient des blessés, selon des images de l'AFP.

Un énorme embouteillage s'est formé aux portes de la banlieue sud, dont beaucoup d'habitants cherchaient à fuir.

"Nous avons très peur que la guerre revienne", a affirmé un chauffeur de taxi de 55 ans, prénommé Mohammad, qui fuyait avec sa famille, comme il l'avait déjà fait pendant la guerre de l'automne.

Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne, Avichay Adraee, avait appelé peu avant les habitants de Hadath à évacuer une zone située autour "d'installations du Hezbollah", en désignant un bâtiment en rouge sur une carte.

L'armée israélienne avait annoncé vendredi matin bombarder des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, frontalier d'Israël, en riposte au tir de deux "projectiles" dont l'un a été intercepté et l'autre est tombé sur le sol libanais.

Le Hezbollah a nié être à l'origine de ces tirs.

"Tourbillon de violence"

Le président libanais, Joseph Aoun, a annoncé l'ouverture d'une enquête. "Tout indique (...) que le Hezbollah n'est pas responsable" des tirs, a-t-il affirmé.

L'armée libanaise a annoncé avoir découvert dans le sud du pays les rampes de lancement de roquettes utilisées pour viser Israël.

Ces rampes étaient installées "dans la zone de Qaaqaiyat al-Jisr", à la limite nord du fleuve Litani, la zone d'où le Hezbollah est censé se retirer en vertu de l'accord de cessez-le-feu, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne.

Le mouvement islamiste libanais, sorti très affaibli de la guerre, a annulé un rassemblement prévu vendredi dans la banlieue sud.

C'est la deuxième fois depuis le début du cessez-le-feu que des roquettes sont tirées depuis le Liban vers Israël, la précédente remontant au 22 mars.

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a aussitôt menacé: "S'il n'y a pas de calme à Kiryat Shmona et dans les localités de Galilée", dans le nord d'Israël, "il n'y aura pas de calme à Beyrouth", a-t-il dit.

Le ministre a prévenu plus tard que la banlieue sud serait frappée "à chaque tentative" d'attaque contre le nord d'Israël.

Joseph Aoun, en visite à Paris, a condamné "toute tentative détestable de ramener le Liban dans un tourbillon de violence" après les frappes israéliennes.

Celles-ci ont fait trois morts et 18 blessés à Kfar Tebnit, un village du sud du Liban, selon l'agence de presse libanaise Ani.

Son homologue français, Emmanuel Macron, a dénoncé des frappes "inacceptables", "en violation du cessez-le-feu", et annoncé qu'il allait s'entretenir avec le président américain, Donald Trump, et le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

Ecoles fermées

Après les menaces israéliennes, les écoles ont fermé dans plusieurs localités du sud du Liban, comme à Tyr, visée par une frappe le 22 mars, où des familles paniquées ont ramené leurs enfants à la maison.

"J'ai décidé d'emmener mes enfants à l'école malgré la situation, mais la direction m'a dit qu'ils avaient fermé après les menaces israéliennes", a témoigné Ali Qassem, un père de quatre enfants.

Le Hezbollah, allié du Hamas, avait ouvert un front contre Israël au début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre 2023.

Ces hostilités, qui ont dégénéré en guerre ouverte en septembre 2024, ont fait plus de 4000 morts au Liban et contraint plus d'un million de personnes à fuir.

Du côté israélien, le bilan se monte à 78 morts, parmi lesquels 48 soldats en plus des 56 soldats tombés lors d'une offensive au sol déclenchée au Liban à la fin du mois de septembre, selon des données officielles.

Quelque 60'000 habitants du nord d'Israël ont été déplacés, dont la moitié n'est pas encore rentrée chez elle, selon les autorités.

Depuis le retrait incomplet des soldats israéliens du sud du Liban le 15 février, Israël continue de mener des frappes en territoire libanais.

Israël a par ailleurs rompu le 18 mars deux mois de trêve à Gaza, afin de contraindre le Hamas à libérer ses derniers otages. Selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste, 896 personnes ont été tuées dans le territoire palestinien depuis cette date.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Berne recule d'un rang mais reste sur le podium

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Berne n'affiche désormais plus que la 3e meilleure affluence d'Europe (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Longtemps meilleure affluence d'Europe, Berne n'affiche désormais plus que la 3e meilleure moyenne. La faute à Cologne et au SKA St-Pétersbourg.

Après avoir occupé la première place pendant 22 ans, les Ours ont été évincés l'année dernière par les Allemands. Et cette année ils perdent encore un rang malgré une augmentation de plus de 300 spectateurs en moyenne pour atteindre 15'821 personnes par match.

Le SKA St-Pétersbourg occupe désormais la deuxième place. Le club russe de KHL a profité de sa nouvelle arène qui, depuis 2023, est la plus grande arène de hockey sur glace en Europe avec 21'500 places. Juste devant les Kölner Haie bombent le torse avec une moyenne record de plus de 17'800 fans par match.

Les clubs du top 10 sont restés les mêmes que la saison précédente, seul l'ordre a légèrement changé. Outre Berne, les Zurich Lions conservent leur place parmi les dix meilleurs en se classant 9es. Les Romands apparaissent eux dans le top 15 avec Fribourg au 14e rang (9194) et Lausanne au 15e (9116).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les cas d'exécutions sommaires explosent en Haïti, selon l'ONU

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Le Haut commssaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk demande à la communauté internationale d'accélérer le déploiement en Haïti de la Mission de soutien sur la sécurité face aux groupes armés dans le pays (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les décès dans les opérations des forces de sécurité haïtiennes contre les gangs et les exécutions sommaires par la police augmentent, selon l'ONU. Plus de 700 enlèvements ont aussi été observés dans ce pays.

Ces deux dernières années, "la situation s'est détériorée de manière considérable" pour les droits humains en Haïti, a affirmé vendredi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk devant le Conseil des droits de l'homme à Genève. Il a insisté sur "la souffrance insupportable" subie par la population haïtienne.

Un avis partagé par l'expert indépendant de l'ONU sur Haïti. Les hélicoptères constituent les seules possibilités sécurisées d'entrer dans la capitale Port-au-Prince, selon lui.

L'ONU avait déjà affirmé que les violences avaient fait plus de 5600 victimes l'année dernière. Dans le rapport du Haut-Commissariat sur la période de juillet à fin février dernier, abordé au Conseil, elle parle de près de 4300 tués et plus de 1350 blessés sur ces huit mois. Rien qu'en décembre, des gangs ont fait près de 210 tués en cinq jours.

Presque toutes les victimes sont liées à des armes à feu, dont entre 250'000 et 500'000 circulent illégalement dans le pays malgré un embargo. Autre problème, les gangs recourent de plus en plus aux violences sexuelles.

Policiers surchargés

Les forces de sécurité haïtiennes sont également mises en cause. Durant la période du rapport, plus de 2000 personnes ont été tuées dans des opérations contre les gangs, en augmentation de 60% par rapport à la première partie de l'année dernière. Près d'un tiers ont été atteintes alors qu'elles n'étaient pas associées aux violences.

Et plus de 210 exécutions sommaires au moins ont été identifiées par le Haut-Commissariat, contre une trentaine sur l'année 2023. M. Türk demande à la communauté internationale d'accélérer le déploiement de la Mission multidimensionnelle de soutien à la sécurité, dépassée, comme la police haïtienne, en raison d'un manque de ressources.

Plus d'un million de Haïtiens sont déplacés. Et plus de cinq millions sont confrontés à une importante insécurité alimentaire. Plus de 6000 d'entre eux, déplacés, font face à une famine, dit le Haut-Commissariat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Perpétuité pour avoir coupé un retraité en 27 morceaux

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L'accusé a utilisé une scie à métaux pour couper en morceaux sa victime, un retraité de 67 ans, en mars 2024, après l'avoir tué à coups de marteau, selon la police (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/WILL OLIVER)

Un homme de 42 ans a été condamné vendredi en Angleterre à la réclusion à perpétuité pour avoir tué, démembré et scié en 27 morceaux son colocataire et ami.

L'accusé était obsédé par l'horreur macabre, selon la police. Il avait utilisé une scie à métaux pour couper en morceaux sa victime, un retraité de 67 ans, dans la nuit du 27 au 28 mars 2024, après l'avoir tué à coups de marteau. Il s'était débarrassé des parties du corps en prenant le bus à plusieurs reprises.

Il avait d'abord prétendu que son colocataire, présenté comme un ami, voulait s'enfuir à l'étranger, pour expliquer sa disparition. Un jury avait reconnu le quadragénaire, un Polonais père de deux enfants, coupable de meurtre vendredi dernier devant un tribunal de Manchester (nord).

Selon le juge John Cavanagh qui a annoncé vendredi sa peine de réclusion à perpétuité, avec une peine incompressible de 34 ans, l'homme avait prémédité son meurtre pour voler l'agent de son colocataire afin de rembourser des dettes croissantes.

"Vous avez agi avec un sang froid presque incroyable, et avez montré un total mépris et manque de respect envers les restes de votre ami", a ajouté le juge. Seul un tiers du corps du retraité a été retrouvé, dont son torse par un passant dans une réserve naturelle quelques jours après le meurtre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Groenland se dote d'un large gouvernement de coalition

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Le nouveau premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, a appelé à "mettre de côté nos désaccords et nos différends" (archives). (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

Le Groenland, territoire autonome danois convoité par Donald Trump, s'est doté d'un large gouvernement de coalition, sans les ultra-nationalistes. Il entend ainsi "faire face à la forte pression extérieure", a annoncé vendredi son nouveau Premier ministre.

"75% de la population est unie à travers cette coalition", a déclaré Jens-Frederik Nielsen lors de la présentation de son équipe, qui compte en ses rangs, l'ancien Premier ministre Mute Egede au portefeuille des Finances.

"Il est très important que nous mettions de côté nos désaccords et nos différends (...) car c'est seulement ainsi que nous pourrons faire face à la forte pression à laquelle nous sommes exposés de l'extérieur", a-t-il ajouté.

Visite de JD Vance

Accompagné d'une délégation comprenant notamment le ministre de l'Energie Chris Wright, le vice-président américain JD Vance est attendu ce vendredi sur la base aérienne de Pituffik que possèdent les Etats-Unis sur la côte nord-ouest du Groenland, à 1500 km au nord de la capitale Nuuk.

"Nous avons besoin de stabilité et d'unité à un moment où des acteurs extérieurs tentent d'influencer le développement de notre nation", est-il écrit dans le programme de la coalition, d'après les médias locaux.

"Prudence" sur l'indépendance

"En ce qui concerne l'indépendance, il est important que nous fassions preuve de prudence", est-il précisé. Chantre d'une indépendance rapide, le parti Naleraq, arrivé deuxième du scrutin, avait annoncé lundi qu'il ne serait pas du gouvernement.

"La lecture immédiate (du gouvernement) est bien sûr que les discussions sur un processus très rapide vers l'indépendance sont mises de côté, car ce n'est pas le moment", a réagi Carina Ren, directrice du programme Arctique à l'Université d'Aalborg (Danemark).

Selon elle, l'objectif du gouvernement est "la construction de l'Etat providence, il (lui) faut penser au développement, réfléchir à la manière de construire une économie solide".

Le centre droit était sorti vainqueur des élections législatives du 11 mars, talonné par les nationalistes indépendantistes de Naleraq.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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