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Le pape rentre dimanche au Vatican

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Le pape rentre au Vatican dimanche après plus de cinq semaines d'hospitalisation. (© KEYSTONE/AP/KIRSTY WIGGLESWORTH)

Le pape François, hospitalisé depuis le 14 février pour une double pneumonie, réintégrera dimanche sa résidence au Vatican, où il effectuera une convalescence d'"au moins deux mois", a annoncé samedi soir l'un de ses médecins.

"Demain le pape sortira et rentrera à la résidence Sainte-Marthe", où réside habituellement le pontife de 88 ans, a déclaré lors d'une conférence de presse le Pr Sergio Alfieri à l'hôpital Gemelli de Rome. Il devra effectuer "une longue convalescence" d'"au moins deux mois", a-t-il précisé.

"Les progrès ultérieurs se font chez soi, parce que l'hôpital, même si cela peut paraître étrange, est le pire endroit où faire sa convalescence : c'est le lieu où on contracte le plus d'infections", a-t-il expliqué.

Hospitalisé plus de cinq semaines

La sortie du pape, hospitalisé depuis plus de cinq semaines, était très attendue alors que les interrogations s'étaient multipliées sur la capacité de François de reprendre ses activités.

L'état de santé du pape "s'améliore" et "nous espérons qu'il pourra rapidement reprendre ses activités normales", a précisé un autre membre de l'équipe médicale, le Dr Luca Carbone.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Avec les coupes financières, plus d'enfants pourraient mourir (ONU)

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La mortalité des enfants de moins de 5 ans a poursuivi sa baisse dans le monde, selon le dernier rapport de l'ONU, qui alerte sur les risques des coupes dans l'aide humanitaire (image symbolique). (© KEYSTONE/EPA/STRINGER)

Les progrès engrangés de haute lutte depuis des décennies pour réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans dans le monde pourraient marquer un coup d'arrêt, ou pire s'inverser, à cause des coupes de l'aide internationale, alerte l'ONU lundi.

Le rapport annuel mené par l'Unicef avec notamment l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Banque mondiale ne cite pas nommément les Etats-Unis. Mais il est publié alors que l'administration de Donald Trump a annoncé la suppression de la majeure partie des programmes de l'agence américaine de développement USAID qui gérait un budget annuel de 42,8 milliards de dollars.

"La communauté internationale de la santé ne peut pas être plus inquiète", a déclaré à l'AFP Fouzia Shafique, responsable des questions de santé à l'Unicef.

En 2023, la mortalité des enfants de moins de 5 ans a continué à baisser, avec 4,8 millions de morts, dont 2,3 millions de nouveaux-nés de moins d'un mois, selon le rapport. Ce nouveau plus bas historique représente une réduction de 52% depuis 2000.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Archives déclassifiées de la dernière dictature en Argentine

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Des dizaines de milliers de personnes étaient dans la rue lundi à Buenos Aires pour commémorer le 49e anniversaire du coup d'État de 1976. (© KEYSTONE/AP/Rodrigo Abd)

Le gouvernement Milei a annoncé lundi la déclassification des archives du renseignement portant sur la dernière dictature militaire en Argentine, alors que des dizaines de milliers de personnes défilaient pour commémorer le 49e anniversaire du coup d'État de 1976.

"Le président a ordonné la déclassification totale de toutes les informations et documents liés aux actions des Forces armées durant la période de 1976 à 1983. Ainsi que tout autre document produit à une autre période, mais lié aux actions de ces forces", a annoncé le porte-parole de la présidence Manuel Adorni sur les réseaux sociaux.

La mesure implique le "transfert de ces archives du Secrétariat du renseignement de l'État vers le domaine des Archives générales de la Nation, organisme chargé de la conservation et de la consultation des documents historiques", a-t-il indiqué.

Cette annonce a été faite à l'occasion de la Journée nationale de la Mémoire, qui marque chaque 24 mars le début de la dernière dictature en Argentine (1976-1983).

Le gouvernement se base sur un décret de 2010, datant de la présidence de Cristina Kirchner (centre gauche), qui "n'a jamais été pleinement appliqué", a souligné le porte-parole.

Mères de la Place de Mai

Parallèlement à cette annonce, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Buenos Aires en ce jour férié sous le slogan "Mémoire, vérité et justice", répondant à l'appel des organisations de défense des droits de l'Homme, des syndicats et des partis d'opposition.

Au cri de "Mères de la Place, le peuple vous embrasse", brandissant des pancartes à l'effigie de leurs proches, des manifestants ont salué le passage des Mères de la Place de Mai, certaines en fauteuil roulant, qui recherchent encore leurs enfants disparus.

Les organismes de droits humains estiment à 30'000 le nombre de disparus sous la dictature.

Les Grands-mères de la Place de Mai, elles, se sont donné pour mission de retrouver les 400 enfants volés à leur naissance pendant la captivité clandestine de leurs mères.

"Dans cette longue lutte, nous avons résolu 139 cas (...) Nous avons besoin de toute la société pour les retrouver tous, il n'est jamais trop tard", a déclaré Estela de Carlotto, présidente des Grands-mères.

Dans la foule, de nombreuses pancartes dénonçaient "le négationnisme du gouvernement" de l'ultralibéral Javier Milei, dont la cure d'austérité a conduit à la suppression de dizaines d'emplois au sein du secrétariat des Droits de l'Homme et dans les lieux de mémoire ayant autrefois servi de prisons et de centres de torture.

"Jamais plus"

"Milei, ordure, tu es la dictature", ont entonné les manifestants, faisant flotter drapeaux argentins et foulards portant l'inscription "Jamais plus".

"Aujourd'hui, nous devons plus que jamais être ici afin de ne pas oublier l'horreur qu'a vécue l'Argentine", a déclaré à l'AFP Maria Eva Gomez, une employée de 57 ans venue avec son mari et ses trois enfants adolescents.

Le gouvernement Milei prône une "mémoire complète" des événements de la dernière dictature, en mettant sur le même pied les crimes de l'armée et ceux des guérillas d'extrême gauche alors actives dans le pays, une position rejetée par les organismes de défense des droits de l'Homme.

Contrastant avec les violents affrontements avec la police lors d'une manifestation en soutien aux retraités il y a dix jours, la marche de lundi s'est déroulée de manière pacifique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Pour le début de campagne au Canada, Trump sur toutes les lèvres

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Entre le candidat conservateur Pierre Poilievre (au centre) et le nouveau Premier ministre libéral Mark Carney, les électeurs canadiens devront choisir le 28 avril le candidat le "plus solide" face à Trump. (© KEYSTONE/AP/Chris Young)

Le conservateur Pierre Poilievre a tenté lundi de convaincre les électeurs canadiens, appelés aux urnes le 28 avril, qu'il était le candidat le plus solide pour affronter Donald Trump, dont le nom est sur toutes les lèvres pour ce début de campagne électorale.

Des élections anticipées ont été déclenchées la veille par Mark Carney, le nouveau Premier ministre canadien et candidat libéral, qui a demandé un mandat fort pour faire face au président américain et a déploré lundi la rupture "de l'amitié" qui unissait les deux pays.

Toute la politique canadienne, dominée par les libéraux et les conservateurs, est bouleversée depuis plusieurs semaines par le retour du républicain à la Maison Blanche et son offensive contre son voisin du nord. Le déclenchement d'une guerre commerciale à coups de droits de douane a profondément choqué le pays qui redoute une récession. Et Donald Trump y a ajouté des menaces répétées d'annexion.

Accompagné de sa femme et de ses deux jeunes enfants dans une usine d'emballage en banlieue de Toronto, Pierre Poilievre, le candidat des conservateurs, a cherché à tordre le cou à l'idée de sa proximité avec le président américain.

"Il y a une raison pour laquelle Donald Trump veut que les libéraux, qui sont faibles et déconnectés, soient au pouvoir. Ils lui ont donné le contrôle de notre économie", a affirmé Pierre Poilievre, en référence au récent commentaire de Donald Trump qui a affirmé qu'il préférerait traiter avec un libéral.

"Peur"

"Je sais que les gens ont peur, qu'ils se sentent menacés, qu'ils ont vécu l'enfer au cours de la dernière décennie et qu'ils sont maintenant confrontés à ces menaces injustifiées de la part du président Trump qui, franchement, devrait arrêter".

Il a promis de "ramener des emplois" au Canada pour stimuler l'économie et permettre au Canada de "faire face aux Américains en position de force".

Pour Valerie Orr, électrice du Parti conservateur de 81 ans, l'omniprésence de Donald Trump dans la campagne est contre-productive.

"Cette menace venue du sud a détourné trop d'attention", a-t-elle déclaré à l'AFP après le discours de son favori.

"Qui a déjà entendu parler d'un État de la taille du Canada... Allez, soyons réalistes", a-t-elle ajouté, souhaitant que l'on parle surtout des défis auxquels les gens sont confrontés pour parvenir à "joindre les deux bouts au quotidien".

"Choses extraordinaires"

La question du coût de la vie est ailleurs l'un des sujets qui a causé la chute de l'ex-Premier ministre Justin Trudeau, qui vient de céder sa place à Mark Carney.

L'ancien dirigeant des banques centrales du Canada et de l'Angleterre, âgé de 60 ans, a depuis tenté de se démarquer de son prédécesseur dont il a été le conseiller économique.

Mark Carney a rappelé lundi que les Canadiens ont toujours été là quand les Etats-Unis en avaient besoin.

"Dans cette crise provoquée par le président américain, nous déplorons une amitié perdue ou du moins une amitié mise à rude épreuve", a-t-il expliqué depuis Gander (nord-est), ville qui a abrité des milliers de passagers américains bloqués après les attentats du 11-Septembre.

"Les Canadiens ont fait des choses extraordinaires pour les Américains lorsqu'ils en avaient besoin. Maintenant, nous devons faire des choses extraordinaires pour nous-mêmes", a déclaré le candidat libéral.

Dans une pique au chef conservateur, M. Carney a estimé que le président américain attendait de voir si le prochain Premier ministre canadien "était en phase avec lui" ou "si c'était quelqu'un qui défend les intérêts des Canadiens".

Au moment de la démission de Justin Trudeau, début janvier, les libéraux semblaient promis à une lourde défaite: les conservateurs étaient alors crédités de plus de 20 points d'avance dans les sondages.

Lundi, les libéraux étaient à 37,8% et les conservateurs à 37,2%.

Les chefs de parti s'affronteront lors de deux débats, l'un en français, l'autre en anglais, les 16 et 17 avril.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouvelle mobilisation après l'incarcération du maire d'Istanbul

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Une nouvelle manifestation a eu lieu lundi soir à Istanbul. (© KEYSTONE/AP/Khalil Hamra)

L'opposition a organisé de nouveaux rassemblements lundi soir en Turquie avec une mobilisation étudiante qui enfle pour protester contre l'incarcération du maire d'opposition d'Istanbul, Ekrem Imamoglu.

Rassemblés d'abord à Besiktas, quartier central de la rive européenne d'Istanbul, des milliers d'étudiants ont commencé lundi soir à marcher vers la municipalité d'Istanbul où l'opposition se rassemble tous les soirs depuis l'arrestation du maire mercredi, a constaté un journaliste de l'AFP.

Déclenchée par l'arrestation du maire, figure de l'opposition et principal rival du président Recep Tayyip Erdogan, la contestation n'a cessé de s'étendre, rassemblant chaque soir des dizaines de milliers de manifestants à Istanbul.

Des manifestations ont également eu lieu dans au moins 55 des 81 provinces du pays, selon un décompte de l'AFP. Ce mouvement, d'une ampleur inédite depuis la grande vague de protestation de Gezi à Istanbul, en 2013, suscite une réaction musclée des autorités.

Les manifestations ont été interdites dans les trois plus grandes villes du pays - Istanbul, Ankara et Izmir - et plus de 1130 personnes ont été interpellées en six jours, selon le ministre de l'Intérieur. "Cessez de troubler la paix de nos concitoyens par vos provocations", a martelé lundi le président turc Recep Tayyip Erdogan en s'adressant à l'opposition lors d'un discours télévisé.

Nouveau maire désigné mercredi

"Ne jouez plus avec les nerfs de la nation. Ne déchaînez pas contre notre police les organisations marginales de gauche", a-t-il affirmé. Dès la mi-journée lundi, des étudiants ont commencé à protester à Istanbul et Ankara en soutien à M. Imamoglu.

A Istanbul, où un nouveau maire sera désigné mercredi par le conseil municipal, un cortège de jeunes gens marchant dans le quartier de Besiktas, un bastion de l'opposition, a reçu le soutien enthousiaste de riverains qui ont applaudi à leur passage et tapé sur des casseroles, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Démis de ses fonctions et incarcéré dimanche, le maire d'Istanbul était au même moment investi par son parti, le Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), première force de l'opposition, comme son candidat à la prochaine présidentielle prévue en 2028.

Cette primaire purement symbolique, maintenue dimanche par le CHP de Mustafa Kemal, le fondateur de la République turque, a réuni quelque 15 millions de votants en soutien à l'édile.

Plus de 1300 arrestations

Face à la contestation, les autorités ont déployé d'importants effectifs de police qui ont procédé à plus de 1300 arrestations depuis mercredi, selon le ministre de l'Intérieur. Ce dernier a affirmé que 123 policiers ont été blessés dans des heurts en marge des rassemblements.

Au moins dix journalistes, dont un photographe de l'AFP, ont été arrêtés lundi à l'aube à leur domicile à Istanbul et Izmir, a rapporté l'association turque de défense des droits humains MLSA. "Ces attaques et entraves à la liberté de la presse doivent cesser immédiatement. (...) Nous demandons la libération des journalistes interpellés et appelons le ministre de l'Intérieur Ali Yerlikaya à prendre des mesures pour s'assurer que les forces de l'ordre respectent le droit d'informer", a réagi Erol Önderoglu, représentant de RSF en Turquie.

"Les autorités turques doivent mettre fin à l'usage inutile et aveugle de la force par les forces de sécurité contre des manifestants pacifiques et enquêter sur les actes de violence illégaux commis par la police", a déclaré de son côté Amnesty International dans un communiqué. La Grèce s'est émue lundi de la situation "instable et préoccupante" chez sa voisine. Et l'Union européenne a appelé la Turquie "respecter les valeurs démocratiques".

"Atteinte à la démocratie"

"L'incarcération du maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu ainsi que de nombreuses autres personnalités constituent des atteintes graves à la démocratie", a déploré dimanche soir la diplomatie française, après avoir déjà condamné son arrestation mercredi.

À l'unisson, l'Allemagne, où vit la plus grande communauté turque de l'étranger, a condamné lundi l'incarcération et la suspension "totalement inacceptables" de M. Imamoglu, Berlin y voyant un "mauvais signal pour la démocratie". Une manifestation a réuni plus d'un millier de personnes dimanche à Berlin, ont rapporté les médias locaux.

Outre M. Imamoglu, près de cinquante co-accusés ont également été placés en détention dimanche pour "corruption" et "terrorisme", selon la presse turque. Parmi eux figurent deux maires d'arrondissement d'Istanbul, membres eux aussi du CHP. Les deux élus ont été destitués et l'un d'eux, accusé de "terrorisme", a été remplacé par une administrateur nommé par l'Etat, ont annoncé les autorités.

L'arrestation du maire a mis sous pression l'économie de la Turquie, déjà aux prises avec une grave crise inflationniste, entraînant une chute de la Bourse ainsi que de la livre turque, tombée à son plus bas historique face au dollar. Le président turc a évoqué lundi "des fluctuations artificielles sans fondement dans l'économie".

"Nous avons géré avec succès la récente volatilité du marché en utilisant efficacement les outils à notre disposition", a-t-il assuré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Fin des pourparlers russo-américains, communiqué mardi

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Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a indiqué en début de soirée qu'"aucun document n'était prévu" à la fin des discussions (archives). (© KEYSTONE/EPA/YURI KOCHETKOV)

Les négociations entre les Etats-Unis et la Russie autour du conflit en Ukraine se sont terminées lundi soir et ont duré plus de douze heures, ont indiqué les agences d'Etat russes en citant des sources anonymes. Les deux pays publieront mardi un communiqué commun.

La déclaration sera publiée mardi par la Maison Blanche et le Kremlin, selon l'agence Tass, qui cite une source au sein de la délégation russe. L'agence Ria Novosti confirme que ce communiqué sera diffusé par les deux pays "demain" mardi.

Les pourparlers qui se sont tenus à huis clos visaient notamment à instaurer une trêve partielle en Ukraine après plus de trois ans d'offensive russe. Ils se sont conclus "après plus de douze heures de consultations", selon l'agence Tass.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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