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Le Royaume-Uni va accueillir un sommet avec l'UE le 19 mai

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer accueillera le 19 mai les dirigeants de l'UE pour un premier sommet entre le Royaume-Uni et l'UE depuis le Brexit (Archives). (© KEYSTONE/AP/Alastair Grant)

Le Premier ministre britannique Keir Starmer accueillera le 19 mai les dirigeants de l'UE. Ce sera le premier d'une série de sommets annuels destinés à relancer les relations entre le Royaume-Uni et le bloc après le Brexit, a annoncé mardi Downing Street.

Le dirigeant travailliste accueillera au Royaume-Uni la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Antonio Costa. L'endroit n'est pas encore indiqué.

"Ce sera le premier des sommets réguliers destinés à faire progresser la collaboration" entre le Royaume-Uni et l'UE, a indiqué un porte-parole du Premier ministre britannique.

"Ce sera l'occasion de progresser dans des domaines qui apporteront des avantages tangibles aux citoyens du Royaume-Uni et de l'Union européenne, et qui renforceront les relations entre le Royaume-Uni et l'Union européenne", a-t-il ajouté.

Réunion sur la défense

Keir Starmer s'est rendu lundi à Bruxelles pour des discussions sur la défense avec l'UE. Il s'agissait de la première participation d'un chef de gouvernement britannique à une réunion informelle des chefs d'Etat et de gouvernements des 27 depuis le Brexit il y a cinq ans.

Depuis son arrivée au pouvoir en juillet, le travailliste a affiché son intention de "réinitialiser" les relations entre le Royaume-Uni et l'UE, après des années de tension sous les précédents gouvernements conservateurs.

Pas de retour en arrière

Londres n'entend toutefois pas revenir dans le marché commun, l'union douanière ou réinstaurer la libre circulation des personnes.

Keir Starmer a affirmé à plusieurs reprises vouloir négocier un meilleur accord commercial, dans le cadre du renouvellement prévu en 2026 du traité de coopération actuel, ainsi qu'un nouveau pacte de défense et de sécurité.

Bruxelles plaide pour un programme de mobilité pour les jeunes de moins de 30 ans entre le Royaume-Uni et l'UE, mais le gouvernement britannique a rejeté cette proposition, inquiet de tout ce qui pourrait ressembler à un retour à la libre circulation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Les Verts acceptent de soutenir le plan d'investissements de Merz

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Avec l'appui des députés écologistes, Friedrich Merz peut désormais compter sur une majorité des deux tiers nécessaire pour faire adopter les changements constitutionnels permettant son programme de dépenses sans précédent (archives). (© KEYSTONE/dpa/Michael Kappeler)

Le futur chancelier allemand Friedrich Merz a trouvé un accord avec les députés écologistes pour qu'ils acceptent de lever leur veto à son plan d'investissements géants destiné à réarmer et moderniser l'Allemagne, selon des sources au sein du parti conservateur.

Avec l'appui des députés écologistes, le dirigeant chrétien-démocrate peut désormais compter sur une majorité des deux tiers nécessaire pour faire adopter les changements constitutionnels permettant ce programme de dépenses sans précédent. Le vote sur le texte aura lieu mardi à la chambre basse des députés, le Bundestag.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Pour Poutine, l'idée de trêve doit encore être discutée

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L'armée russe poursuit sa contre-offensive pour regagner les centaines de kilomètres carrés de la région de Koursk qui sont sous contrôle ukrainien depuis l'été. Une percée a permis aux Russes de reprendre en quelques jours l'essentiel du territoire perdu, en particulier la ville de Soudja. (© KEYSTONE/AP)

Le Kremlin a annoncé vendredi que Vladimir Poutine avait transmis un message à Donald Trump au sujet de sa proposition de cessez-le-feu en Ukraine, une idée qui à Moscou fait l'objet à la fois de réserves et d'un "optimisme" prudent.

Les Etats-Unis réclament une trêve au plus vite et ont exercé une pression considérable sur le président Volodymyr Zelensky, qui a finalement accepté mardi une cessation des hostilités de 30 jours dans la mesure où la Russie s'y plierait aussi.

Donald Trump, qui a adopté nombre de positions du Kremlin au grand dam de Kiev et de l'Europe, veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite, mais le président russe semble faire durer les choses. D'autant que ses forces ont l'avantage sur le terrain, après avoir repris ces derniers jours des territoires contrôlés par l'Ukraine depuis l'été dans la région russe de Koursk.

M. Poutine a reçu dans ce contexte jeudi soir l'émissaire américain Steve Witkoff, qui a été chargé de remettre un message à M. Trump.

Le président russe a "transmis via Witkoff des informations et des indications supplémentaires à l'attention du président Trump", a dit vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, se déclarant "prudemment optimiste", lors de son briefing quotidien auquel participe l'AFP.

"Quand M. Witkoff apportera toutes les informations au président Trump, nous déterminerons le timing pour une conversation" entre les deux présidents, a-t-il dit.

Revendications maximalistes

Jusqu'ici la Russie a émis des revendications maximalistes pour une cessation des hostilités : reddition ukrainienne, cession par l'Ukraine de cinq régions annexées par la Russie, abandon des ambitions de Kiev de rejoindre l'Otan, démantèlement du pouvoir ukrainien en place.

Les autorités russes, M. Poutine en tête, ont toujours affirmé qu'une trêve temporaire ne résoudrait pas les "causes profondes" du conflit, et que donc Moscou n'y serait pas favorable.

"Nous sommes d'accord avec les propositions visant à mettre fin aux hostilités mais nous partons du principe que cette trêve doit conduire à une paix durable et s'attaquer aux causes profondes de cette crise", a encore martelé M. Poutine jeudi, invoquant des réserves et des "questions importantes" à régler.

Mais il a pris soin de ne pas rejeter complètement l'initiative de Donald Trump.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, quant à lui, dénoncé dans la foulée les "propos manipulateurs" de son homologue russe, l'accusant de "faire traîner les choses".

Berlin a dénoncé vendredi une "manoeuvre dilatoire" de Poutine.

"Nous voyons que c'est la Russie qui veut continuer son agression, continuer la guerre. L'Ukraine a clairement dit 'oui' au cessez-le-feu", a jugé devant la presse vendredi, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, recevant son homologue autrichienne, Beate Meinl-Reisinger, à Kiev.

Donald Trump, tout en qualifiant de "très prometteurs" les propos de son homologue russe, a averti que "ce serait un moment très décevant" si Vladimir Poutine rejetait son plan.

"J'aimerais le rencontrer ou parler avec lui", a-t-il ajouté, "mais il faut régler rapidement la question" de la trêve, a poursuivi M. Trump.

Frappes de drones

Sur le terrain, les forces armées russes poursuivaient leur contre-offensive pour regagner les centaines de kilomètres carrés de la région de Koursk qui sont sous contrôle ukrainien depuis l'été.

Une percée a permis aux Russes de reprendre en quelques jours l'essentiel du territoire perdu, en particulier la ville de Soudja, qui selon Moscou a été "libérée" jeudi.

Vendredi, l'armée russe a revendiqué la reconquête de Gontcharovka, une localité voisine.

D'ailleurs, M. Poutine a semblé vouloir conditionner jeudi toute idée de trêve à la reprise de la totalité de cette région.

En l'absence de cessation des hostilités, la Russie a donc continué de bombarder l'Ukraine dans la nuit de jeudi à vendredi, comme elle le fait presque chaque nuit depuis trois ans et le début de son assaut.

Les forces ukrainiennes, qui répliquent aux attaques russes avec leurs propres frappes de drones, ont dit vendredi avoir touché dans la nuit un entrepôt de missiles dans la région frontalière de Belgorod, et deux stations de compression de gaz situés à des centaines de kilomètres du front.

Une autre frappe a provoqué un incendie dans un dépôt de pétrole dans la région russe de Krasnodar (sud-ouest), selon son gouverneur, Véniamine Kondratiev.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Guerre commerciale et tensions poussent l'or à plus de 3000 dollars

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Le cours de l'or est alimenté par les incertitudes croissantes, notamment en matière de guerre commerciale (archives). (© KEYSTONE/EPA/HANDOUT)

L'or a franchi vendredi le palier des 3000 dollars l'once, une première dans son histoire, galvanisé par son statut de valeur refuge face aux inquiétudes géopolitiques et à la guerre commerciale entamée par les Etats-Unis de Donald Trump.

La dernière menace en date du président américain, sur l'alcool européen, a largement contribué ces dernières heures à faire monter le prix du métal jaune: il a annoncé jeudi vouloir taxer à hauteur de 200% les champagnes, vins et autres alcools de la France et de l'Union européenne (UE) si les tarifs douaniers de 50% annoncés par Bruxelles sur le whisky américain n'étaient pas abandonnés.

L'once d'or a grimpé vendredi jusqu'à 3004,94 dollars. Vers 12h40, elle valait encore 2996,83 dollars.

"L'équation reste simple pour l'or: plus les droits de douane sont élevés, plus l'incertitude est grande et plus la demande est forte", résume Stephen Innes, analyste chez SPI AM.

"Les inquiétudes liées à la croissance" mondiale, qui pourrait être pénalisée par ces surtaxes douanières, "renforce le rôle de l'or comme couverture ultime dans un contexte économique de plus en plus fragile", estime l'analyste.

L'once d'or avait déjà dépassé jeudi son précédent record de février dans la foulée des nouvelles menaces de Donald Trump.

Le ministre français de l'Economie Eric Lombard a réagi vendredi en dénonçant une "guerre idiote" avec les Etats-Unis.

L'UE avait annoncé mercredi des droits de douane sur plusieurs produits américains, dont le bourbon, les motos ou les bateaux, en représailles aux surtaxes américaines de 25% entrées en vigueur le même jour sur l'acier et l'aluminium.

"Intenable"

"Les doutes sur l'accord de paix entre l'Ukraine et la Russie ont accru l'incertitude" sur les marchés, soutenant là aussi le cours du métal précieux, ajoute Russ Mould, analyste chez AJ Bell.

Vladimir Poutine a souligné jeudi que des "questions importantes" devaient être réglées concernant la proposition des Etats-Unis d'une trêve en Ukraine, Donald Trump souhaitant de son côté qu'elle soit mise en oeuvre sans délai.

Le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky a pour sa part mis en garde contre "les paroles très prévisibles et très manipulatrices de Poutine en réponse à l'idée" de ce cessez-le-feu que Kiev a accepté.

Le prix de l'or bénéficie enfin de la demande des banques centrales, qui cherchent à se couvrir des risques grâce à des lingots.

Après l'invasion de l'Ukraine par la Russie début 2022, les réserves de change de la banque centrale russe détenues à l'étranger avaient été gelées, sous le coup des sanctions internationales. Cette mesure, couplée aux incertitudes actuelles sur l'économie américaine, poussent les banques centrales à se détacher des actifs américains au profit de l'or.

"Partout dans le monde, les banques centrales augmentent leurs réserves d'or en réponse à la structure intenable de la dette américaine et aux inquiétudes croissantes concernant la domination du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale", indique Daniela Sabin Hathorn, analyste chez Capital.com.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Bernard Arnault pourrait rester plus longtemps à la tête de LVMH

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Bernard Arnault compte rester plus longtemps aux manettes du géant du luxe LVMH (archives). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Le numéro un mondial du luxe LVMH va proposer de repousser l'âge limite du président du conseil d'administration et directeur général de 80 ans à 85 ans, permettant à Bernard Arnault, âgé de 76 ans, de rester plus longtemps à la tête du groupe français.

Lors de l'assemblée générale du 17 avril, les actionnaires devront se prononcer sur cette modification des statuts "afin d'harmoniser les limites d'âge du président du conseil d'administration et du directeur général pour les porter à quatre-vingt-cinq ans", selon le bulletin des annonces légales obligatoires.

Le seuil de directeur général avait déjà été relevé à 80 ans en 2022.

Bernard Arnault n'a pas nommé de successeur. Ses cinq enfants travaillent tous pour le groupe et quatre d'entre eux sont au conseil d'administration.

Delphine Arnault, 49 ans, aînée de la fratrie, est présidente et directrice générale de Dior et membre du comité exécutif de LVMH.

Antoine Arnault, 47 ans, est président du chausseur Berluti et de la marque de vêtements de luxe en laine et cachemire Loro Piana et chargé de l'image et de la politique environnementale de LVMH. Il est également directeur général et vice-président du conseil d'administration de la holding Christian Dior SE qui contrôle LVMH.

Alexandre Arnault, 33 ans, est directeur général délégué de Moët Hennessy, qui rassemble les marques de champagne, de vins et de spiritueux du groupe.

Frédéric Arnault, 30 ans, a été nommé mercredi directeur général de Loro Piana. Il prendra ses fonctions le 10 juin. Il est actuellement président et directeur général de la division montres de LVMH.

Jean Arnault, 27 ans, est directeur du marketing et du développement des montres pour Louis Vuitton. Il est le seul à ne pas être au conseil d'administration. "Il a le temps, il est jeune", avait déclaré son père en janvier 2024.

En juillet 2022, Bernard Arnault avait pérennisé le contrôle familial de luxe LVMH avec la réorganisation de la holding Agache en société en commandite.

La famille Arnault possède 49% du capital de LVMH et 64,81% des droits de votes.

En 2024, LVMH a réalisé un bénéfice net de 12,55 milliards d'euros (12 milliards de francs) et un chiffre d'affaires de 84,7 milliards d'euros.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Grèce: Mitsotakis procède à un vaste remaniement ministériel

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Vendredi dernier, Kyriakos Mitsotakis avait surmonté une motion de censure au parlement (archives). (© KEYSTONE/EPA/ALEXANDROS BELTES)

Le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a procédé à un vaste remaniement ministériel, a annoncé son porte-parole vendredi après d'importantes manifestations de colère en lien avec l'accident ferroviaire meurtrier de 2023.

Les postes de ministre de l'Economie et des Finances, des Transports, des Migrations et de la Protection civile notamment vont changer de titulaire, a précisé Pavlos Marinakis.

Parmi les principaux changements, l'actuel ministre de l'Economie et des Finances, Kostis Hatzidakis, va occuper une fonction nouvellement créée de vice-président du gouvernement.

Il sera remplacé à son poste actuel par Kyriakos Pierrakakis, ministre de l'Education dans l'actuel gouvernement et proche de M. Mitsotakis.

Le chef du gouvernement, dont le parti conservateur Nouvelle-Démocratie (ND), a perdu beaucoup de terrain, doit tenir son premier conseil des ministres avec l'équipe remaniée samedi, a encore indiqué M. Marinakis.

Les ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l'Intérieur ont en revanche été maintenus dans leurs fonctions.

Vague de mécontentement

Ce vaste remaniement, moins de deux ans après la confortable réélection du camp conservateur, intervient sur fond de mécontentement grandissant des Grecs et d'accusations de dissimulation des responsabilités dans la pire catastrophe ferroviaire qu'a connue la Grèce, le 28 février 2023.

A l'occasion du deuxième anniversaire de cet accident qui avait tué 57 personnes, il y a deux semaines, l'un des plus grands rassemblements en Grèce depuis des décennies avait réuni plus de 300.000 personnes dans tout le pays, selon la police.

Vendredi dernier, Kyriakos Mitsotakis avait surmonté une motion de censure au parlement, la deuxième en un an, en lien là aussi avec la catastrophe ferroviaire.

La Nouvelle-Démocratie dispose d'une majorité absolue au parlement monocaméral grec, la Vouli.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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