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L'ONU cible des exécutions sommaires d'enfants par le M23 à Bukavu

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Les rebelles du M23 ont perpétré des exécutions sommaires d'enfants dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) (archives). (© KEYSTONE/AP/Brian Inganga)

Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a vérifié des cas d'exécutions sommaires d'enfants la semaine dernière à Bukavu, dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). La situation "se détériore gravement", a dit mardi une porte-parole à Genève.

L'ONU sait que des enfants sont en possession d'armes, a-t-elle affirmé à la presse. "Nous n'avons pas de chiffre total" des exécutions sommaires tant la situation est volatile, a-t-elle ajouté. Elle mentionne trois enfants tués dimanche dernier à Bukavu alors qu'ils collectaient des armes dans des sites abandonnés par l'armée congolaise. "Ils ont reçu l'ordre de déposer leurs armes. Ils ont refusé et ils ont été tués", a ajouté la porte-parole.

Le Haut-Commissariat appelle le Rwanda et le M23 à honorer les droits humains et le droit international humanitaire (DIH). Il a documenté aussi des violations, des violences sexuelles ou encore des menaces.

Il a reçu des indications d'arrestations et de détentions arbitraires. De même que des accusations de retours forcés de jeunes Congolais fuyant les violences dans des pays voisins.

L'ONU a également reçu des demandes de protection de victimes et de témoins de violations des droits humains après des mutineries il y a quelques jours depuis plusieurs prisons dans lesquelles des détenus se sont échappés. Le haut commissaire Volker Türk demande au Rwanda et au M23 de garantir la protection de tous les individus.

De son côté, le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) a précisé qu'entre 10'000 et 15'000 personnes ont rejoint le Burundi ces derniers jours, surtout depuis le Sud-Kivu. Dans l'Est de la RDC, environ 350'000 sont sans toit.

Les violences des dernières semaines qui ont abouti à la prise de Goma par les rebelles M23 ont fait environ 3000 victimes au total, selon l'ONU et les autorités congolaises. Des milliers de personnes ont elles été blessées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël: Netanyahu revient sur son choix pour le chef du Shin Bet

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Benjamin Netanyahu "a l'intention d'examiner d'autres candidatures" pour prendre la direction du Shin Beth (archives). (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mardi être revenu sur son choix annoncé la veille de nommer l'amiral Eli Sharvit, ancien commandant de la Marine, comme nouveau chef de l'Agence de la sécurité intérieure (Shin Bet).

"Lundi, M. Netanyahu a rencontré de nouveau le vice-amiral [Eli] Sharvit à propos de sa nomination à la tête du Shin Bet", indique un communiqué du Bureau du Premier ministre. Il l'a "remercié [...] d'avoir répondu à l'appel du devoir mais l'a informé qu'après plus ample considération, il avait l'intention d'examiner d'autres candidatures", ajoute-t-il.

Ce revirement soudain survient après que la nomination de l'amiral Sharvit a été critiquée aux Etats-Unis par le sénateur républicain Lindsey Graham, proche du président Donald Trump. "S'il est vrai que l'Amérique n'a pas de meilleur ami qu'Israël, la nomination d'Eli Sharvit comme nouveau chef du Shin Bet est plus que problématique", a écrit M. Graham sur X.

"Mon conseil à mes amis israéliens est de changer de cap et d'examiner plus minutieusement" le passé de leur candidat, a-t-il ajouté, notant que des "déclarations" de l'amiral Sharvit "sur le président Trump et sa politique qui [ne manqueront pas de créer] des tensions inutiles à un moment critique".

M. Netanyahu avait annoncé la nomination d'Eli Sharvit comme nouveau chef du Shin Bet lundi malgré le gel par la Cour suprême du limogeage du directeur en exercice de l'agence, Ronen Bar.

La décision de démettre M. Bar de ses fonctions, en qui M. Netanyahu dit ne plus avoir confiance, est fortement critiquée en Israël où les manifestations se multiplient contre le gouvernement et contre ce qui est perçu par ses opposants comme une dérive dictatoriale du Premier ministre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La première mission spatiale habitée survolant les pôles est lancée

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La mission Fram2 a été lancée du centre spatial Kennedy, en Floride. (© KEYSTONE/AP/John Raoux)

L'entreprise SpaceX du multimilliardaire Elon Musk a lancé tard lundi sa mission "Fram2", qui doit survoler les pôles de la Terre. Elle est composée de quatre astronautes non professionnels, ce qui constitue un nouveau pas dans l'exploration commerciale de l'espace.

Des cris de joie et de soulagement des équipes SpaceX ont ponctué le décollage réussi de l'équipage à bord d'une capsule Dragon de l'entreprise d'Elon Musk transportée par la fusée Falcon 9, selon les images retransmises en direct sur Internet.

Quatre personnes aux profils variés et n'étant pas des astronautes professionnels prennent part à cette mission privée nommée Fram2 en hommage à un navire ayant servi à l'exploration polaire au XIXe siècle.

La fusée Falcon 9 a été lancée à 21h46 locales (03h46 mardi en Suisse) du centre spatial Kennedy, en Floride.

De trois à cinq jours

"Avec le même esprit pionnier que les premiers explorateurs polaires, nous cherchons à rapporter des connaissances et des données nouvelles pour faire progresser l'exploration spatiale sur le long terme", a déclaré le commandant de la mission Chun Wang, un entrepreneur ayant fait fortune dans les monnaies numériques et finançant cette mission.

Il est accompagné pour ce voyage dans l'espace d'une réalisatrice norvégienne, Jannicke Mikkelsen, d'un Australien ayant exploré les pôles en tant que guide, Eric Philips, et d'une chercheuse allemande en robotique, Rabea Rogge.

Leur mission dans l'espace doit durer entre trois et cinq jours et doit permettre la tenue de plus de 20 expériences scientifiques, dont la prise de premières images de radiographie dans l'espace ou la culture de champignons en microgravité, autant d'expériences qui pourraient servir pour de futurs vols vers Mars. L'équipage s'est entraîné en amont pendant huit mois, y compris en hiver en Alaska.

A leur retour sur terre, ils essaieront de sortir de la capsule sans soutien médical, dans le cadre d'une étude visant à déterminer les tâches simples pouvant être effectuées par des astronautes après un vol dans l'espace.

A l'exception des missions lunaires Apollo, les pôles de la Terre sont restés hors de vue des astronautes, y compris ceux à bord de la station spatiale internationale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Chine lance de vastes exercices simulant un blocus de Taïwan

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Le porte-avions chinois Shandong participait aux manoeuvres autour de Taïwan. (© KEYSTONE/AP)

L'armée chinoise a mobilisé mardi des forces terrestres, navales et aériennes autour de Taïwan, pour des exercices militaires de grande ampleur simulant un blocus de l'île. Selon elle, ces manoeuvres visent à faire passer un message d'"avertissement ferme" à Taïpei.

Les forces armées chinoises "se rapprochent de l'île de Taïwan à partir de multiples directions", a déclaré Shi Yi, porte-parole du commandement du théâtre oriental de l'armée chinoise, décrivant les manoeuvres comme "légitimes et nécessaires pour sauvegarder la souveraineté et l'unité nationale de la Chine".

"Ces exercices sont principalement axés sur les patrouilles de préparation au combat mer-air, l'acquisition conjointe d'une supériorité globale, l'assaut de cibles maritimes et terrestres et le blocus de zones clés et de voies maritimes", a détaillé le porte-parole.

En réponse, Taïpei a dit avoir dépêché ses propres avions et navires et déployé des systèmes de missiles. Le parti communiste chinois n'a jamais gouverné Taïwan, mais revendique l'île comme partie intégrante de son territoire et n'exclut pas l'usage de la force pour en prendre le contrôle.

Porte-avions Shandong

Pékin a intensifié ces dernières années le déploiement d'avions de chasse et de navires de guerre autour de Taïwan afin d'appuyer sa revendication, que Taïpei rejette. D'après la défense taïwanaise, la Chine a mobilisé 19 navires de guerre autour de Taïwan dans les 24 heures ayant précédé mardi 06h00, dont un porte-avions, le Shandong.

Ces nouvelles manoeuvres sont destinées à faire passer un message d'"avertissement ferme et de dissuasion énergique" aux présumés séparatistes de l'île, ont affirmé mardi les forces armées chinoises.

Les gardes-côtes chinois ont par ailleurs annoncé avoir conduit des "patrouilles d'exécution de la loi [...] et mené des exercices tels que des inspections et des captures, des opérations d'interception et de détention contre des navires non autorisés", selon un communiqué d'un porte-parole.

La présidence taïwanaise "a fermement condamné" les manoeuvres chinoises. Pour le premier ministre Cho Jung-tai, "le recours à des démonstrations de force militaires n'est pas ce à quoi des sociétés modernes et progressistes doivent se livrer".

"Force étrangère hostile"

Le président taïwanais démocratiquement élu Lai Ching-te a qualifié le mois dernier la Chine de "force étrangère hostile". Il a proposé de nouvelles mesures pour lutter contre l'infiltration et l'espionnage chinois.

Mardi, au moment même des manoeuvres, Pékin a averti Taïwan que "l'indépendance de Taïwan [signifiait] la guerre". "Et promouvoir l'indépendance de Taïwan signifie pousser les habitants de Taïwan vers une situation périlleuse de conflit armé", a mis en garde dans un communiqué le bureau des affaires taïwanaises, chargé des politiques de l'Etat-parti chinois envers Taïwan.

Le commandement du théâtre oriental de l'armée chinoise, qui supervise les opérations dans le détroit de Taïwan, a publié mardi une infographie intitulée "Resserrer l'étau". Des navires et des avions de chasse encerclant l'île y sont mentionnés, accompagnés d'un avertissement aux "séparatistes taïwanais" qu'ils "couraient à leur propre perte".

Une autre vidéo partagée par l'armée chinoise représente le président taïwanais en insecte, en train de brûler sur un brasier.

Point de tension majeur

Ces manoeuvres sont les plus importantes depuis février, lorsque Taïpei avait affirmé que la Chine avait organisé des exercices de "tirs à balles réelles" avec des avions et des navires de guerre dans une zone située à environ 40 milles nautiques (74 kilomètres) au sud de l'île.

L'armée taïwanaise avait répondu par l'envoi de ses propres forces pour "surveiller, alerter et répondre de manière appropriée".

Taïwan est un des points de tension majeur entre la Chine et les Etats-Unis, le principal soutien politique de Taïpei et son premier fournisseur d'armes.

Les Etats-Unis sont depuis des décennies légalement tenus de fournir des armes à Taïwan malgré les protestations de Pékin, mais maintiennent une "ambiguïté stratégique" quant à leur réaction en cas d'attaque chinoise.

Les tensions actuelles remontent à 1949, lorsque le parti nationaliste chinois s'est réfugié à Taïwan après sa défaite face à l'armée communiste.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: Trump estime que Poutine "remplira sa part"

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Vladimir Poutine a évoqué vendredi l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités (archives). (© KEYSTONE/EPA/VYACHESLAV PROKOFYEV/SPUTNIK/KREMLIN / POOL)

Le président russe Vladimir Poutine va "remplir sa part" pour une trêve en Ukraine, a assuré lundi son homologue américain Donald Trump. Ce dernier avait exprimé la veille sa frustration face aux blocages empêchant un accord entre Moscou et Kiev.

Cherchant à remplir ses propres promesses de campagne, Donald Trump fait pression pour une fin rapide de la guerre en Ukraine, mais les pourparlers n'ont jusqu'ici abouti à aucune percée concrète.

Dimanche, le président américain s'était dit "très énervé" et "furieux" contre le président russe réticent à s'engager sur l'accord de cessez-le-feu, menaçant d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe, selon un entretien à la chaîne télévisée NBC.

"Je pense qu'il va se montrer à la hauteur de ce qu'il m'a dit. Et je pense qu'il va maintenant remplir sa part du contrat. Et puis, il y a Zelensky, en espérant qu'il sera à la hauteur", a déclaré Donald Trump à la Maison-Blanche, en référence au président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Minerais ukrainiens

Sur le pétrole russe, il a affirmé ne pas vouloir "imposer de droits de douane" supplémentaires. "Mais je pense que je ferais quelque chose si je pensais qu'il ne fait pas ce qu'il faut", a-t-il ajouté.

Le président russe avait évoqué vendredi l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités.

Dans des déclarations ultérieures dimanche, Donald Trump avait cependant modéré son ton à l'égard de Vladimir Poutine pour s'en prendre à Volodymyr Zelensky, qu'il accuse de vouloir tourner le dos à un accord sur les minerais ukrainiens que les Etats-Unis veulent exploiter.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les deux astronautes coincés dans l'ISS se disent prêts à repartir

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Suni Williams, à gauche sur le cliché, et Butch Wilmore ont passé plus de neuf mois coincés dans l'espace, alors que leur vol ne devait durer que huit jours. (© KEYSTONE/AP/Ashley Landis)

Rentrés sur terre il y a deux semaines après avoir passé plus de neuf mois coincés dans l'espace, deux astronautes américains ont assuré lundi être prêts à repartir avec le vaisseau de Boeing à l'origine de leurs péripéties.

"Nous allons faire en sorte que cela fonctionne", a assuré Butch Wilmore, l'un des deux vétérans de l'espace au coeur de ce feuilleton spatial, lors d'une conférence de presse de la NASA.

Accompagné de sa collègue Suni Williams, avec qui il menait le vol-test du vaisseau de Boeing, et de leur compatriote Nick Hague parti à leur rescousse, il est revenu lors de cette première prise de parole publique sur leur séjour prolongé dans l'espace et leur retour survenu le 18 mars.

"Je peux vous dire que revenir de l'espace sur terre et traverser l'atmosphère à l'intérieur d'une boule de feu [...] cela fait étrange", a raconté ce vétéran de l'espace, âgé de 62 ans, sous les rires de ses acolytes.

"Un excellent vaisseau spatial"

Initialement partis en juin dernier pour une mission de huit jours à bord du vaisseau Starliner de Boeing, Butch Wilmore et Suni Williams avaient vu leur séjour dans la station spatiale internationale (ISS) s'éterniser après que des défaillances ont été détectées sur l'engin spatial.

Ces problèmes techniques avaient poussé la NASA à décider à l'été de renvoyer le vaisseau à vide et à confier leur retour à l'entreprise rivale SpaceX, un camouflet pour le constructeur Boeing. La capsule était revenue sur terre sans problème.

"Nous sommes tous responsables" des problèmes rencontrés lors de ce vol habité inaugural, a insisté lundi M. Wilmore, tout en assurant vouloir "regarder vers l'avant". "C'est un excellent vaisseau spatial", a précisé sa collègue Suni Williams, indiquant que les équipes travaillaient activement sur les "quelques éléments qui doivent être corrigés".

Leur périple de plus de neuf mois dans l'ISS leur a valu la sympathie du public. Les deux compagnons d'infortune ont réassuré lundi avoir bien vécu leur séjour prolongé et avoir été préparés à ce type d'inattendu.

"Je suis très reconnaissante de l'attention des gens", a déclaré Suni Williams. Elle espère avoir transmis un message de "résilience" aux plus jeunes: "Vous savez, parfois il faut savoir prendre des virages" afin "d'en tirer le maximum".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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