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International

Fin de l'opération contre les pro-Assad, un millier de civils tués

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La quasi-totalité des 973 civils tués, majoritairement issus de la communauté alaouite, ont été victimes d'exécutions sommaires menées par les forces de sécurité ou des groupes alliés. (© KEYSTONE/AP/Omar Sanadiki)

Les autorités syriennes ont annoncé lundi la fin de l'opération militaire contre les fidèles de Bachar al-Assad dans l'ouest du pays, marquée par les pires violences depuis la chute de l'ex-président en décembre, avec plus d'un millier de morts parmi les civils.

La quasi-totalité des 1068 civils tués, majoritairement issus de la minorité alaouite, ont été victimes d'exécutions sommaires menées par les forces de sécurité ou des groupes alliés, selon un bilan de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Les violences ont été déclenchées le 6 mars par une attaque sanglante de partisans du régime déchu contre les forces de sécurité dans la région côtière de Lattaquié, où se concentre la communauté musulmane alaouite dont est issu le clan Assad.

L'OSDH a fait état de 231 morts dans les rangs des forces gouvernementales et 250 du côté des insurgés.

Ces violences, les pires depuis l'arrivée au pouvoir le 8 décembre d'une coalition menée par des islamistes, menacent la stabilité du pays, engagé dans une transition déjà fragile alors que le président par intérim, Ahmad al-Chareh, cherche à asseoir son autorité sur l'ensemble du territoire, après 13 ans de guerre civile.

Lundi, la présidence syrienne a annoncé un accord avec les Forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les Kurdes, pour "intégrer" toutes les institutions civiles et militaires relevant de l'administration autonome kurde dans le cadre de l'Etat syrien.

L'accord affirme que l'importante minorité kurde "est une composante essentielle de l'Etat syrien".

Commission d'enquête

Le porte-parole du ministère de la Défense, Hassan Abdel Ghani, avait auparavant annoncé "la fin de l'opération militaire" dans l'ouest de la Syrie et affirmé que les forces de sécurité avaient "atteint tous les objectifs fixés".

Il a assuré que les forces de sécurité avaient pu "contenir les attaques contre ce qui reste du régime déchu" et "déjouer l'effet de surprise", dans une allusion au fait que ces groupes planifiaient une attaque d'envergure.

Lundi, il y avait peu de circulation dans les rues de Lattaquié, la plus importante ville de la côte méditerranéenne, où le calme est progressivement revenu, selon un correspondant de l'AFP. Les forces de sécurité ont érigé des barrages aux entrées des quartiers à majorité alaouite, mais la tension restait palpable.

"Les gens ont recommencé à se déplacer après cinq jours de grande peur", a déclaré à l'AFP Farah, une étudiante de 22 ans qui n'a pas voulu donner son nom de famille.

Mais "nous manquons des services les plus élémentaires: il n'y a pas d'eau ou d'électricité depuis cinq jours, nous cherchons de l'eau du puits de notre quartier. Les magasins d'alimentation sont vides", a-t-elle ajouté.

"Les zones visées étaient celles des Alaouites et des chrétiens", a indiqué le patriarche orthodoxe d'Antioche, Jean X. "De nombreux chrétiens innocents ont également été tués", a-t-il souligné.

Aucun chiffre n'a été communiqué sur le nombre de chrétiens tués mais l'AFP en a recensé au moins sept.

"Nous sommes tous des victimes, de toutes les communautés", a témoigné Michel Khoury, un avocat chrétien de Lattaquié, âgé de 42 ans. "Nous sommes tous sur un navire qui coule, et personne ne nous protègera sauf nous-mêmes".

Condamnations internationales

Ahmad al-Chareh avait promis dimanche de poursuivre les responsables de "l'effusion de sang de civils" et formé une commission d'enquête indépendante.

Amnesty International a appelé lundi la Syrie à autoriser une enquête internationale sur les violences.

Selon des témoignages, des jihadistes étrangers faisaient partie des combattants qui se sont livrés à des exactions contre les civils.

M. Chareh, alors à la tête du groupe islamiste sunnite radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), classé comme terroriste par plusieurs pays dont les Etats-Unis, a dirigé la coalition rebelle qui a fait fuir le 8 décembre M. Assad à Moscou.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, cité par son porte-parole, s'est dit lundi "alarmé" par "l'escalade des tensions entre communautés en Syrie" et a appelé "à mettre fin immédiatement à l'effusion de sang".

Il a annoncé la mort "d'au moins un" employé de l'Unrwa, l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens.

L'Iran, allié du régime déchu, a formellement démenti lundi toute implication dans les violences, condamnées par l'ONU, Washington et Pékin notamment.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé que son pays "continuerait d'apporter tous les soutiens possibles" à la Syrie.

Dans ce contexte, les médias officiels syriens ont rapporté lundi soir plusieurs frappes israéliennes sur la province de Deraa, dans le sud du pays, l'OSDH faisant état de raids ayant visé des positions militaires de l'ancienne armée de Bachar al-Assad.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Le retour des astronautes bloqués dans l'ISS avancé à mardi

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Depuis plus de neuf mois, Suni Williams et Barry Wilmore sont bloqués dans l'espace (photo d'archives) (© KEYSTONE/AP NASA)

Le voyage initialement prévu de quelques jours s'est prolongé au-delà de neuf mois. Mais avec un peu de chance, les astronautes américains Suni Williams et Barry Wilmore, bloqués dans la Station spatiale internationale (ISS), pourraient revenir mardi sur Terre.

Lors d'une rencontre entre des experts de l'agence spatiale américaine Nasa et de l'entreprise spatiale privée SpaceX du milliardaire Elon Musk, les conditions météorologiques ont été analysées, ont indiqué la Nasa et SpaceX. Il en ressort que la nuit de lundi à mardi serait la meilleure période pour le retour.

Il est actuellement prévu que "Crew 9" quitte l'ISS mardi à 6h05 heure suisse et que la capsule atterrisse peu avant 23h00 dans la mer au large de la côte de l'Etat américain de Floride. Cette planification peut encore être modifiée à court terme pour diverses raisons, est-il précisé. A l'origine, un retour était prévu pour mercredi.

"Crew 10" remplace "Crew 9"

Une nouvelle équipe d'astronautes a rejoint dimanche l'SS pour y relever leurs collègues bloqués depuis plus de neuf mois. "Crew 10" est composé de quatre personnes : les astronautes américaines Anne McClain et Nichole Ayers, l'astronaute japonais Takuya Onishi et le cosmonaute russe Kirill Peskow.

Les Américains Butch Wilmore et Suni Williams sont coincés à bord de l'ISS depuis juin dernier, à la suite de défaillances du vaisseau Starliner de Boeing qui les avaient acheminés. L'appareil, qui effectuait son premier vol habité, avait souffert de problèmes de propulsion et été jugé inapte pour les ramener sur Terre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / dpa

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International

Moscou compte insister pour que l'Ukraine n'accède pas à l'Otan

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Pour le Kremlin, le statut neutre de l'Ukraine doit faire partie des garanties dans les pourparlers, selon ses diplomates (archives). (© KEYSTONE/AP/Dmitry Serebryakov)

La Russie annonce qu'elle compte insister pour que l'Ukraine ne rejoigne par l'Otan pour qu'un traité de paix soit signé, selon les propos du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.

"Si nous discutons d'une résolution pacifique du confit ukrainien, alors il devra certainement y avoir un contour externe", a déclaré celui-ci dans un entretien au journal russe Izvestia, cité par l'agence de presse d'Etat russe Tass. "Nous allons insister que les garanties concrètes de sécurité fassent partie de cet accord".

"Le statut neutre de l'Ukraine et le refus des Etats membres de l'Otan d'accepter ce pays comme membre de l'alliance doit faire partie de ces garanties", a-t-il précisé.

Les chefs de la diplomatie américaine Marco Rubio et russe Sergueï Lavrov se sont parlés au téléphone durant le weekend et ont "discuté des prochaines étapes" de leurs pourparlers pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / tass / belga-ag / afp

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Culture

L'actrice belge Emilie Dequenne est morte à 43 ans

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L'actrice belge Emilie Dequenne (au centre) à la première de "Jeanne du Barry" au festival de Cannes en 2023. ( archives) (© KEYSTONE/AP/DANIEL COLE)

L'actrice belge Emilie Dequenne est décédée à 43 ans, dimanche en début de soirée à l'hôpital Gustave Roussy de Villejuif (banlieue parisienne), des suites d'un cancer rare, ont annoncé sa famille et son agente Danielle Gain à l'AFP.

Elle avait révélé en octobre 2023 être atteinte d'un corticosurrénalome (cancer du système endocrinien), diagnostiqué deux mois auparavant, et qui la tenait éloignée des plateaux de tournage depuis.

"Quelle lutte acharnée ! Et qu'on ne choisit pas...", avait posté l'actrice sur Instagram le 4 février, à l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer.

En décembre, elle avait confié à TF1 combattre une maladie de plus en plus agressive, qui fera qu'elle ne vivra "pas aussi longtemps que prévu". Elle avait en effet connu une rechute, après une rémission.

"Rosetta"

Son cancer était une tumeur maligne de la glande surrénale, pour lequel le pronostic est d'autant plus sombre que cette tumeur est grande.

Émilie Dequenne, née le 29 août 1981, avait été révélée à 18 ans pour son premier rôle dans "Rosetta", des frères Dardenne, qui lui avait valu le prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes en 1999.

Sa carrière est riche de près de 50 films, dont "La fille du RER" (2009), "À perdre la raison" (2012), qui a valu un autre prix d'interprétation à Cannes dans la section Un certain regard, "Pas son genre" (2014) ou "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait", pour lequel elle a reçu un César du meilleur second rôle en 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Dans la tourmente judiciaire, Bolsonaro mobilise ses partisans

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Selon un photographe de l'AFP, l'affluence était moindre que lors d'une manifestation au même endroit en avril 2024. (© KEYSTONE/EPA/ANDRE COELHO)

Haranguant des milliers de manifestants, l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro a scandé dimanche à Rio de Janeiro que le fait qu'il soit empêché de briguer un nouveau mandat l'an prochain est "un déni de la démocratie".

"Je veux dire à ceux qui ne m'aiment pas à Brasilia: des élections sans Bolsonaro, c'est le déni de la démocratie au Brésil", a-t-il lancé, juché sur une estrade à laquelle était collée une affiche montrant le président américain Donald Trump le poing brandi, après l'attentat subi lors de la campagne électorale en Pennsylvanie, en juillet dernier.

Selon un photographe de l'AFP, l'affluence était moindre que lors d'une manifestation au même endroit en avril 2024.

"Je suis ici car je veux laisser un Brésil meilleur pour mes enfants. Nous vivons une période sombre", dit à l'AFP l'un des manifestants, José de Souza Vitorino, ancien militaire de 64 ans.

Le mot d'ordre de la manifestation est l'"amnistie" des personnes condamnées pour leur implication dans les émeutes du 8 janvier 2023 à Brasilia.

Ce jour-là, des milliers de sympathisants bolsonaristes avaient pris d'assaut et saccagé le palais présidentiel, le parlement et le siège de la Cour suprême, une semaine après l'investiture de l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva.

Alors que Jair Bolsonaro se trouvait aux Etats-Unis, ils réclamaient une intervention militaire pour déloger Lula, qui avait battu leur champion à l'élection présidentielle de 2022.

Candidat "pour le moment"

Ces émeutes sont une des raisons qui ont poussé le parquet à inculper en février l'ex-président pour un projet présumé de coup d'Etat afin de se maintenir au pouvoir.

Il est accusé d'être le leader d'une "organisation criminelle" ayant conspiré de longue date à cette fin et encourt une peine cumulée pouvant dépasser 40 ans de prison.

Jeudi, le parquet a réfuté les arguments de la défense, qui estimait notamment que la Cour suprême n'était pas compétente pour le juger, aux côtés de 33 autres personnes, dont d'anciens ministres et des hauts gradés.

La prochaine étape aura lieu le 25 mars: la haute juridiction décidera s'il existe des éléments suffisants pour l'ouverture d'un procès.

Jair Bolsonaro, 69 ans, se dit victime d'une "persécution" politique pour l'empêcher d'être candidat à la présidentielle de 2026.

Il a été déclaré inéligible jusqu'en 2030 pour ses attaques sans preuve contre le système d'urnes électroniques brésilien, mais il espère faire annuler cette condamnation, ou raccourcir sa peine, pour briguer un second mandat.

"Pour le moment, je suis candidat", a-t-il martelé mercredi. "Pourquoi je devrais me priver de mon capital politique pour apporter mon soutien (à un autre candidat) ? Je vais attendre le bon moment".

Il rêve d'un come-back à la Donald Trump, de retour à la Maison Blanche malgré ses déboires judiciaires, et espère que le président américain, qu'il admire, usera de son "influence" en sa faveur.

"Ils sont en train d'essayer de le jeter lâchement en prison, pour qu'il ne puisse pas se faire élire, mais ils ne vont pas y arriver", a déclaré a l'AFP Patricia Santos, manifestante de 41 ans, à Copacabana.

"Si Dieu le veut, il sera candidat en 2026", renchérit Lucia Fatima de Souza, une aide-soignante de 60 ans.

Incertitude à droite comme à gauche

Pour l'analyste politique André Rosa, l'objectif de la manifestation de dimanche va "bien au-delà de l'amnistie" pour les émeutiers de Brasilia: il s'agit d'"envoyer un message à ses concurrents au sein de la droite (...) et réaffirmer son intention d'être candidat en 2026".

Jair Bolsonaro rechigne à adouber un autre candidat, alors que le gouverneur de l'Etat de Sao Paulo, son ex-ministre Tarcisio de Freitas, au profil plus modéré, fait partie des personnalités pressenties pour reprendre le flambeau.

Une autre option pour l'ex-président serait de nommer un membre de sa famille, comme son épouse Michelle ou son troisième fils, le député Eduardo Bolsonaro.

L'incertitude plane également à gauche: Lula, affecté par des soucis récents de santé et une cote de popularité plombée par l'inflation, reste énigmatique sur ses intentions d'être candidat ou non.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Plus de 800 kg de cocaïne saisis dans un poids lourd dans la Drôme

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La drogue - 826 kg - a été découverte dans un poids lourd lors d'un contrôle sur une aire de repos de l'A7 (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/ETIENNE LAURENT)

Plus de 800 kg de cocaïne dissimulés dans un poids lourd ont été saisis samedi dans la Drôme sur l'autoroute A7 par les douanes, a-t-on appris dimanche de source proche du dossier, confirmant une information du Dauphiné libéré.

La drogue - 826 kg - a été découverte par les douaniers dans le chargement d'un poids lourd lors d'un contrôle sur une aire de repos de l'A7 en direction de Lyon, a-t-on ajouté. Le chauffeur, de nationalité polonaise, a été interpellé, indique le journal.

La valeur estimée de ce chargement est de 24 millions d'euros si l'on se base sur un prix moyen de vente en gros de 30'000 euros le kilo. Au détail, la cocaïne se vend 58 euros le gramme, en moyenne.

Les investigations ont été confiées aux enquêteurs de l'office antistupéfiants (Ofast) sous l'égide de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Lyon.

Un total de 53,5 tonnes de cocaïne ont été saisies par les autorités françaises en 2024, soit une augmentation de 130% par rapport à l'année précédente.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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