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Murat Yakin: "Je peux vivre avec ce résultat"

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Murat Yakin (à droite) et Giorgio Contini à l'heure des hymnes. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

"Je peux vivre avec ce résultat !" Murat Yakin avait le sourire après le dur combat de son équipe contre l’Ecosse. Il sait que ce point vaut de l’or.

"Nous ne sommes pas encore en huitième de finale. Mais c’est vrai que nous avons fait un pas important avec ce 1-1", souligne le sélectionneur qui sait très bien qu’aucune équipe avec 4 points n’est restée en rade après la phase de poules dans un Euro à 24. "Il reste un match à jouer. Le fait de ne pas devoir le gagner à tout prix est, bien sûr, rassurant, poursuit-il. Je suis convaincu que nous aurons nos chances contre l’Allemagne."

Le but extraordinaire de Xherdan Shaqiri a, bien sûr, nourri les débats de cette conférence de presse. "J’ai toujours dit que Xherdan était l’homme des grands matches, des grands tournois. Il l’a encore prouvé ce soir, explique-t-il. Sur le but, il a fait la seule chose qu’il y avait à faire pour marquer. Mais ce n’est pas donné à tout le monde." Murat Yakin sait aussi que le timing de ce but fut capital. "Egaliser assez vite fut une bonne chose", sourit-il. "Si Shaq n’avait pas marqué dans le quart d’heure qui a suivi le but des Ecossais, nous aurions vraiment été dans le dur", convient pour sa part Manuel Akanji, désigné homme du match.

"J’ai exploité l’erreur adverse sur mon but, raconte enfin Xherdan Shaqiri. J’ai vu le gardien avancé. C’était clair dans ma tête : il fallait reprendre le ballon directement et l’enrouler au premier poteau. La frappe était parfaite. Je veux croire que ce but est magnifique..." Il n’est pas le seul.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les Bleus au défi de la furia espagnole

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La France de Deschamps peut-elle contenir la furia espagnole? Réponse mardi en fin de soirée (© KEYSTONE/EPA/ABEDIN TAHERKENAREH)

L'équipe de France et sa défense de fer s'attaquent à un immense défi en demi-finales de l'Euro 2024, mardi à Munich. L'impressionnante Espagne l'attend, avec sa formidable armada offensive.

L'équipe de France, si décevante dans le jeu mais dotée d'une défense de fer, s'attaque à un immense défi en demi-finales de l'Euro 2024, mardi à Munich. L'impressionnante Espagne l'attend, avec sa formidable armada offensive.

Ce duel franco-espagnol va donner lieu à une véritable opposition de styles. D'un côté des Bleus qui ont enchaîné les prestations ternes et n'ont tenu que grâce à la solidité de leur arrière-garde, et de l'autre une Roja au jeu flamboyant, tombeuse de l'Allemagne, le pays-hôte, en 8e de finale (2-1 ap).

Au cours d'un tournoi peu emballant, l'Espagne a été la formation qui a le plus enchanté le public avec 11 buts inscrits en 5 matches. Avec ses deux prodiges sur les ailes, Lamine Yamal (16 ans) et Nico Williams (21 ans), guidés par le capitaine Alvaro Morata, l'équipe de Luis de la Fuente a fait très forte impression et peut se préparer en toute confiance au choc face aux vice-champions du monde.

"En jouant au football, personne ne peut nous battre", a même osé le quotidien sportif Marca dans une chronique.

"J'ai 26 joueurs de haut niveau et qui sont compétitifs pour ces matches-là. Si l'un est absent, un autre jouera. Ce groupe a des qualités humaines et footballistiques exceptionnelles. Je sais qu'ils ne me décevront pas", a assuré De la Fuente, qui devra se passer de trois titulaires: les défenseurs Dani Carvajal et Robin Le Normand, suspendus, et surtout le milieu Pedri, victime d'une entorse du genou gauche et forfait pour la suite de l'Euro.

La France se présente comme l'antithèse de l'Espagne. Indigente dans son animation offensive et en manque cruel de créativité, la troupe de Didier Deschamps n'a toujours pas marqué le moindre but dans le jeu et s'appuie essentiellement sur un bloc compact et imperméable.

Mbappé retrouve l'Espagne avant le Real

"Même si on ne fait pas tout parfaitement, on ne lâche rien et quand il faut faire tourner les choses du bon côté, on a cette capacité. On a une solidité qui est exemplaire et essentielle dans une compétition. Quand vous marquez peu de buts, il ne vaut mieux pas en prendre", estime le sélectionneur des Bleus.

Deschamps est, il est vrai, confronté à la méforme persistante de ses deux leaders techniques Kylian Mbappé et Antoine Griezmann. Le capitaine est l'ombre de lui-même dans cet Euro et ne se remet toujours pas des séquelles de sa fracture du nez ainsi que d'une préparation gâchée par des soucis physiques (dos, genou).

Cette demi-finale contre son futur pays d'adoption inspirera-t-elle l'attaquant avant de rejoindre le Real Madrid? C'est ce qu'espère le patron des Bleus. Le technicien de 55 ans se retrouverait, en cas de succès, une quatrième fois en finale sur les cinq derniers grands tournois, un exploit qui lui permettrait, de nouveau, de contester les nombreuses critiques sur la production de ses troupes.

A rude épreuve

Mais avant de songer à un feu d'artifice le 14 juillet à Berlin, la défense française risque d'être mise à rude épreuve. Il faudra donc bien du courage au quatuor inamovible Jules Koundé-Dayot Upamecano-William Saliba-Theo Hernandez et au gardien Mike Maignan, irréprochable jusque-là avec un seul but encaissé sur penalty, pour résister à la furia espagnole.

Mais les Français ont démontré en quart de finale contre le Portugal (0-0 ap, 5-3 tab) qu'ils possédaient, en plus de leur arrière-garde fermée à double tour, une force mentale capable de compenser leurs lacunes offensives. Les Espagnols, qui avaient subi la loi de la bande de Deschamps en finale de la Ligue des nations en 2021 (2-1) avant de soulever le trophée en 2023, devront s'en méfier.

"La France est une très bonne équipe et si elle a atteint les demi-finales, c'est grâce à ses propres mérites et sans surprise. Nous savons ce que ses joueurs peuvent faire. On peut discuter de la manière dont ils sont arrivés là, mais pour gagner, il faut aussi souffrir", a lancé Dani Olmo, auteur d'un but et d'une passe décisive face à l'Allemagne et qui aura la lourde tâche de remplacer Pedri à Munich.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Murat Yakin veut poursuivre sa mission

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Murat Yakin et son assistant Giorgio Contini devraient rester en poste en équipe de Suisse (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Il est parti pour rester! A moins d’un tremblement de terre, Murat Yakin prolongera ces prochains jours son bail à la tête de l'équipe de Suisse.

A Stuttgart où l’équipe était revenue dans la nuit de Düsseldorf, celui qui est devenu le plus grand sélectionneur de l’histoire du football suisse a confirmé qu’il souhaitait poursuivre sa mission. "L’équipe de Suisse demeure ma priorité. Quelque part, j’étais redevable de la confiance qui m’a été accordée il y a trois ans, explique-t-il. Je crois l’avoir été puisque j’ai atteint tous les buts qui avaient été fixés. Maintenant, des discussions vont s’ouvrir. Nous verrons bien ce qu’il en ressortira."

Au sein de l’ASF, la reconduction du contrat de Murat Yakin et de son assistant Giorgio Contini est bien sûr l’objectif poursuivi. "Nous allons tout faire pour qu’elle se finalise ces prochains jours", précise le directeur des équipes nationales Pierluigi Tami. On a le sentiment que pour Murat Yakin, le maintien de son ami Giorgio Contini dans un binôme qui s'est avéré excellent, est non négociable.

"Une chance unique"

Lors de cette dernière conférence de presse tenue en Allemagne, Murat Yakin est revenu sur cette élimination mortifiante en quarts de finale contre l’Angleterre. "Nous avons laissé passer une chance unique. Une chance d’aller en demi-finale et une chance peut-être aussi de disputer la finale de cet Euro, glisse-t-il. Nous avons payé au prix fort un moment d’inattention qui a conduit à l'égalisation des Anglais. Mais pour le reste, l’équipe a livré un grand match. Les onze joueurs alignés au coup d’envoi ont été remarquables. Ceux sortis du banc aussi. Je veux croire que nous ne nous sommes pas beaucoup trompés au cours de ce tournoi..."

Le Bâlois maintient que son approche avant la séance des tirs au but était la bonne avec notamment les introductions dans les prolongations de trois spécialistes de l’exercice que sont Xherdan Shaqiri, Zeki Amdouni et Vincent Sierro. "Nous étions parfaitement préparés, assure-t-il. Nous savions tout des tireurs anglais. Mais vous savez, on ne peut pas savoir ce qui se passe dans la tête du joueur lorsqu’il marche du rond central jusqu’au point de penalty. Cela, on ne peut pas l’entraîner..."

Une douce revanche

Murat Yakin a mesuré pleinement l’enthousiasme suscité par le parcours de son équipe dans le pays. "Je veux aussi souligner que nous avons bénéficié d’un soutien extraordinaire de nos fans lors des cinq matches", ajoute celui qui a instauré en Allemagne une tradition qui peut surprendre l’étranger avec son demi-tour d’honneur d’avant-match pour encourager la ferveur du public. Cette communion ressemble très certainement à une douce revanche pour Murat Yakin, qui n’avait pas été loin de réaliser l’unanimité contre lui l’automne dernier...

Mais l’été (?) allemand a gommé à jamais le souvenir de ce tour préliminaire achevé dans la grande souffrance. "Je tiens toutefois à rappeler que depuis le huitième de finale de la Coupe du monde 2022 contre le Portugal, nous n’avons perdu qu’un seul match sur 19. En novembre en Roumanie dans un match sans enjeu puisque la qualification pour l’Euro était déjà acquise...", précise Murat Yakin comme pour rappeler que les critiques émises à l’époque étaient sans doute trop excessives. Excessives peut-être, mais salutaires sûrement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Angleterre - Suisse: cinq séances de tirs au but perdues sur six...

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Une nouvelle séance de tirs au but vécue comme une torture dans le camp suisse. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Cela ressemble de plus en plus à une malédiction. Depuis la Coupe du monde 2006, la Suisse a perdu cinq des six séances de tirs au but qu’elle a disputées.

Il y a dix-huit ans, la Suisse avait sans doute livré en huitième de finale de la Coupe du monde face à l’Ukraine l’une des séances les plus pitoyables de l’histoire du football. Avec les échecs successifs de Marco Streller, de Tranquillo Barnetta et de Ricardo Cabanas alors que Pascal Zuberbühler avait pourtant détourné la première frappe des Ukrainiens armée par Andriy Shevchenko en personne, la Suisse était devenue la première équipe de l’histoire à perdre une séance de tirs au but en Coupe du monde sans transformer un seul penalty.

Le péché originel

Même s’ils furent cléments lors du huitième de finale de l’Euro 2021 contre la France à Bucarest, les dieux du football feront peut-être toujours payer au football suisse le péché originel, c’est-à-dire l’absurde remplacement d’Alex Frei dans les dernières minutes de la prolongation contre l’Ukraine. Comme si l’on ne jouait pas impunément avec les lois du football qui commandent que le meilleur frappeur tire le premier penalty d’une séance. Huit mois avant cette nuit tragique de Cologne, c’est bien Alex Frei qui avait réussi le penalty du 1-0 lors du barrage retour à Istanbul contre la Turquie alors que des dizaines de lasers étaient braqués sur ses yeux. Comment a-t-on pu l'oublier à l'instant où l'on a procédé à son remplacement ?

La question est donc posée : Murat Yakin a-t-il commis une erreur samedi à Dusseldorf en ne s’opposant pas à la volonté de Manuel Akanji de tirer le premier penalty pour la Suisse ? "Non jamais de la vie, répond son assistant Giorgio Contini. A l’entraînement, Manu en a tiré 200. Sans en rater un seul. Il annonçait même au gardien le coin où il allait tirer. Et malgré ses indications, le gardien ne pouvait rien faire. Ce qui s’est passé contre l’Angleterre rappelle une vérité : le football échappe parfois à toute logique."

Murat Yakin avait fait tout juste

Murat Yakin avait pourtant posé tous les atouts sur la table pour gagner cette séance de tirs au but. Dans les prolongations, il n’a pas oublié d’introduire trois véritables spécialistes de cet exercice si particulier, Xherdan Shaqiri, bien sûr, mais aussi Zeki Amdouni et Vincent Sierro. Shaqiri et Amdouni ont marqué d’une manière imparable alors que Sierro devait tirer le cinquième penalty. Contrairement à Didier Deschamps la veille qui avait ordonné trop tardivement l’introduction d’Olivier Giroud auprès du quatrième officiel pour qu’il puisse participer à la séance des tirs au but, Murat Yakin et Giorgio Contini ont fait tout juste. On se risque à penser qu'une autre histoire aurait pu s'écrire s’ils avaient été aux affaires en 2006...

Ce Suisse – Angleterre de Düsseldorf a, par ailleurs, éveillé un autre souvenir de la Coupe du monde 2006. Dans les ultimes secondes du temps réglementaire, Breel Embolo a eu le – mauvais – réflexe de couper un centre pour effleurer un ballon qui était promis à la tête de Dan Ndoye pour un but tout fait. Face à la France en 2006 à Stuttgart pour le premier match de poules, c’est Johan Djourou qui aurait dû marquer le but de la victoire à l’ultime seconde si Alex Frei n’avait pas surgi de manière inappropriée. Cruel, le football raconte souvent les mêmes déchirements...

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Euro 2024: les Pays-Bas dans le dernier carré

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L'égalisation signée De Vrij (à gauche) (© KEYSTONE/EPA/ROBERT GHEMENT)

Les Pays-Bas ont décroché leur place pour le dernier carré de l'Euro 2024. A Berlin, ils ont battu la Turquie 2-1 après avoir été menés à la pause. Ils affronteront l'Angleterre en demi-finale.

Malgré l'impressionnant soutien de ses fans, les Turcs n'ont pas tenu la distance après avoir dominé de belle manière la première période. Le défenseur Akaydin avait ouvert le score de la tête à la 33e sur une merveille de centre d'Arda Güler. Le jeune prodige du Real Madrid a une fois encore démontré toute l'étendue de son talent.

Méconnaissables avant la pause, lents et sans inspiration, les Oranje sont revenus métamorphosés. L'entrée en jeu en pointe du géant Weghorst a changé la donne. Les Turcs ont été mis davantage sois pression et ils ont reculé tant et plus. A force de plier, leur défense a fini par craquer.

De Vrij a égalisé de la tête sur un centre de Depay (70e) avant qu'un autogoal de Müldür, sous pression de Gakpo, ne donne l'avantage aux hommes de Ronald Koeman. Ils ont tenu bon ensuite, malgré quelques frayeurs dans les dernières minutes, quand la Turquie a tout essayé pour tenter d'égaliser.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Murat Yakin: une immense déception et un avenir incertain

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Murat Yakin tente de consoler Manuel Akanji. (© KEYSTONE/AP/Andreea Alexandru)

"Je suis triste pour les joueurs. Pour le pays. Une telle défaite fait très mal !" Murat Yakin était très marqué à l'heure de se présenter devant la presse.

"Nous sortons du tournoi sans avoir perdu un seul match après avoir pourtant affronté l'Allemagne, l'Italie et l'Angleterre. Nous pouvons regarder notre tournoi avec une légitime fierté. Diriger une telle équipe est un honneur, dit-il sans s'aventurer sur le terrain de la reconduction ou non de son contrat qui s'est achevé samedi soir. On verra bien ce que l'avenir nous réserve. Mais l'équipe de Suisse demeure ma priorité. Des discussions vont s'ouvrir ces prochains jours.". Alors, wait and see pour reprendre une expression des vainqueurs du jour.

"Manuel Akanji a voulu prendre la responsabilité d'ouvrir la séance pour nous. Il est normal qu'un joueur de sa trempe s'avance ainsi, poursuit-il. Je ne peux pas lui adresser le moindre reproche. Comme il est très dur de trouver les bons mots pour le consoler. Je lui ai seulement remercié pour ses performances, pour la manière avec laquelle il a tenu son rôle de leader."

S'il nourrit des regrets, ils ne viennent pas de cette séance de tirs au but mal embarquée après avoir perdu le tirage au sort pour le choix du terrain - Les Suisses ont tiré en face du kop anglais - et pour l'ordre des tireurs. "Non, je regrette surtout une défense trop friable sur l'égalisation des Anglais. Et les occasions que nous avons galvaudées en toute fin des prolongations, précise le Bâlois. Mais je retiens au final une certitude: la Suisse est désormais armée pour rivaliser avec les toutes grandes équipes. Nous avons trouvé dans notre jeu un équilibre rare"

"Le football peut être cruel, glisse pour sa part Dan Ndoye. C’est dur d’accepter une telle défaite. Nous avions vraiment les moyens d’aller plus loin dans cet Euro. Je crois que nous avons pris date pour l’avenir. Sur un plan personnel, j’ignore si cet Euro sera le grand tournant de ma carrière. Je me suis avant tout efforcé d’aider l’équipe."

Granit Xkaka a joué blessé

"Manuel Akanji ne doit rien se reprocher, lâche pour sa part Granit Xhaka. Il faut avoir de la chance lors d’une séance de tirs au but. Elle ne fut pas de notre côté ce soir. Cette défaite fait vraiment mal. J’ai l’impression que nous avons davantage gêné les Anglais qu’ils nous ont gênés. Nous avons vraiment livré un grand tournoi. Sur un plan personnel, j’ai dû serrer les dents lors de ce quart de finale. L’IRM passée lundi avait relevé une lésion musculaire à l’adducteur. Mais il était hors de question que je ne joue pas ce match."

Sur le terrain, le capitaine aura, une fois de plus, livré la marchandise pour le dernier match d'une saison qui restera comme la plus aboutie de sa formidable carrière. "Il n'était vraiment pas à 100 % aujourd'hui, confirme Murat Yakin. Il était déjà touché face à l'Italie. Mais Granit a malgré tout pu guider l'équipe."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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