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Plus de 150 morts dans les inondations en Espagne

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Les pluies dévastatrices ont surtout frappé la région de Valence. (© KEYSTONE/AP/Manu Fernandez)

Le bilan des inondations apocalyptiques de cette semaine dans le sud-est de l'Espagne a atteint jeudi 158 morts, alors que les recherches se poursuivaient pour retrouver les personnes disparues. Leur nombre n'est toujours pas connu.

Le précédent bilan, qui datait de mercredi soir, faisait état de 95 morts, mais les autorités n'avaient pas caché qu'il fallait s'attendre au pire. La ministre de la Défense, Margarita Robles, a affirmé jeudi matin qu'il y avait encore "beaucoup de personnes portées disparues".

Sur ce total, 155 décès ont eu lieu dans la seule région de Valence, de loin la plus endeuillée par les torrents de boue qui ont ravagé mardi soir et dans la nuit de mardi à mercredi cette région très touristique. A quoi il faut ajouter deux morts dans la province voisine de Castille-La Manche et un en Andalousie.

Le soleil brillait pourtant jeudi, 48 heures après la tragédie, produisant un contraste frappant avec le spectacle de désolation qu'offraient toutes les localités de la zone. A Paiporta, une ville martyre de 25'000 habitants de la banlieue sud de Valence, au moins 62 personnes ont péri, selon la maire, Maribel Albalat.

Visite du Premier ministre

Encore abasourdis, les résidents tentaient de nettoyer les rues, couvertes d'une boue visqueuse, dans un véritable décor de fin du monde. "Il n'y a plus un commerce debout", a déclaré David Romero, un musicien de 27 ans.

En visite à Valence, capitale de la région éponyme, le Premier ministre Pedro Sánchez a souligné avec force que l'épisode de mauvais temps n'était "pas terminé" et appelé les habitants de cette région à "rester chez eux" et à "ne pas sortir".

Il se référait à une "alerte rouge" (niveau d'alerte maximale synonyme de risque extrême) lancée jeudi matin par l'Agence nationale de météorologie (Aemet) pour certaines zones de la province de Castellón, située juste au nord de celle de Valence, où de fortes pluies sont tombées. L'alerte a toutefois été levée dans l'après-midi.

Militaires sur le terrain

Plus de 1200 militaires sont déployés sur le terrain, principalement dans la région de Valence, aux côtés de pompiers, policiers et secouristes qui cherchent à localiser d'éventuels rescapés et s'efforcent de déblayer les zones sinistrées.

M. Sánchez a souligné que "la priorité" était de retrouver à la fois "les victimes et les disparus", là encore sans en préciser le nombre. La venue de M. Sánchez à Valence, où il a rendu visite au Centre de coordination des secours (Cecopi), a coïncidé avec le premier des trois jours de deuil national décrétés par le gouvernment de gauche espagnol.

Le Premier ministre avait été précédé à Valence par le chef du Parti populaire (PP, opposition de droite), Alberto Núñez Feijóo, venu apporter son soutien au président de la région, Carlos Mazón, membre de son parti, sur la sellette depuis mercredi en raison d'un retard aparent dans l'alerte donéne aux habitants.

Selon les autorités, des milliers de personnes sont toujours privées d'électricité dans la région. De nombreuses routes restent par ailleurs coupées, alors que d'innombrables carcasses de voitures jonchent les routes, couvertes de boue et de débris.

Nuit de cauchemar

"Je n'aurais jamais pensé vivre ça", a confié à l'AFP Eliu Sánchez, habitant de Sedavi, commune de 10'000 habitants dans la banlieue de Valence, racontant une nuit de cauchemar.

M. Mazón, le président de la région de Valence, a, par ailleurs, précisé que les secours étaient parvenus à se rendre dans l'ensemble des zones affectées, alors que plusieurs villages étaient restés coupés du reste du pays une bonne partie de la journée de mercredi.

Les trains à grande vitesse entre Madrid et Valence, suspendus depuis mercredi, le resteront au moins pour "deux à trois semaines", a indiqué le ministre des Transports, Óscar Puente.

Selon l'Aemet, plus de 300 litres d'eau par mètre carré (soit 30 cm) sont tombés dans la nuit de mardi à mercredi dans plusieurs villes de la région de Valence, avec une pointe à 491 litres (49,1 cm) dans le petit village de Chiva. C'est l'équivalent "d'une année de précipitations", a-t-elle précisé.

"Gota fria"

La région de Valence et la côte méditerranéenne espagnole en général subissent régulièrement, en automne, le phénomène dit de la "gota fria" (la "goutte froide"), une dépression isolée en haute altitude qui provoque des pluies soudaines et extrêmement violentes, parfois pendant plusieurs jours.

Les scientifiques affirment que les phénomènes météorologiques extrêmes, tels que les vagues de chaleur et les tempêtes, sont à la fois de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses en raison du changement climatique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Eni: bénéfice trimestriel en berne, comme attendu

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Eni veut réaliser des économies de plus de 2 milliards d'euros en 2025, pour atténuer les effets conjoncturels des droits de douane imposés par Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/GREGORIO BORGIA)

Le géant italien des hydrocarbures Eni a vu son bénéfice net reculer de 3% à 1,17 milliard d'euros au premier trimestre, dans le sillage de la baisse des cours du pétrole. La performance s'est néanmoins révélée conforme aux attentes des analystes.

Eni a en outre annoncé jeudi des économies de plus de 2 milliards d'euros en 2025, pour atténuer les effets "des vents contraires macroéconomiques et de l'incertitude concernant les droits de douane" imposés par Donald Trump. Les dépenses nettes d'investissement devraient être ainsi inférieures à 6 milliards d'euros, contre une prévision initiale de 6,5 à 7 milliards d'euros, a détaillé Eni dans un communiqué.

Ces économies, décidées dans un contexte de nette baisse des prix du pétrole, devraient être également obtenues grâce à une diminution des coûts et grâce à d'autres mesures concernant la trésorerie, explique le groupe. Pour l'année 2025, Eni table désormais sur un prix du baril de 65 dollars, contre 75 dollars auparavant, dans un contexte de vives tensions au Moyen-Orient et de turbulences sur les marchés.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord a baissé de 9% à 75,66 dollars dollars en moyenne au premier trimestre. A l'inverse, le cours de référence du gaz naturel a grimpé de 65% à 48 euros le mégawattheure (MWh), a précisé Eni.

Eni vise toujours une production d'hydrocarbures de 1,7 million de barils par jour pour l'année en cours. Accusant le coup de la baisse des cours du pétrole, le chiffre d'affaires d'Eni a reculé de 2% à 22,56 milliards d'euros au premier trimestre.

Le bénéfice net ajusté, qui exclut les éléments exceptionnels, a chuté de 11% à 1,41 milliard d'euros, un montant cependant supérieur au consensus des analystes du fournisseur d'informations financières Factset qui tablait sur 1,21 milliard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

L'afflux de fidèles se poursuit avant les funérailles du pape

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Les fidèles doivent attendre plusieurs heures avant de pouvoir entrer dans la basilique. (© KEYSTONE/AP/Emilio Morenatti)

Près de 50'000 personnes se sont déjà recueillies devant le cercueil du pape François à la basilique Saint-Pierre de Rome. Les fidèles continuent d'y affluer jeudi, deux jours avant ses obsèques en présence de nombreux dirigeants du monde entier.

Depuis mercredi à 11h00, 48'600 personnes ont défilé devant la dépouille du jésuite argentin dans la monumentale basilique, a indiqué Vatican News. Les portes, qui devaient fermer à minuit, sont finalement restées ouvertes jusqu'à 05h30 du matin pour accueillir le flot de fidèles.

Jeudi matin, des milliers de personnes se pressent aux abords du plus petit Etat du monde, dont les accès sont filtrés par un lourd dispositif de sécurité qui ralentit l'avancée des fidèles, a constaté l'AFP. Fidèles et touristes défilent devant le maître-autel pour rendre un dernier hommage au souverain pontife, décédé lundi d'un AVC à l'âge de 88 ans.

Rupture avec la tradition, le cercueil en bois clair ouvert du défunt pape, vêtu d'une mitre blanche et d'une chasuble rouge, les mains enserrant un chapelet, ne repose pas sur un catafalque mais est posé sur un support à même le sol, à la demande de Jorge Bergoglio, qui aspirait à plus de sobriété dans les rites funéraires papaux.

Les cardinaux se préparent

"C'était un grand homme, c'était le père des derniers, des invisibles", a confié jeudi matin à l'AFP Amerigo Iacovacci, un Romain de 82 ans. Les cardinaux, qui arrivent progressivement à Rome, se réunissent jeudi matin pour la troisième fois, au lendemain d'une nouvelle congrégation en présence de 103 d'entre eux - électeurs et non électeurs.

Ces réunions préparatoires fixent les modalités des événements avant le conclave, auquel seuls les 135 électeurs - ceux âgés de moins de 80 ans - sont invités à participer.

"Proche des gens"

Mercredi, une longue file d'attente de fidèles, parfois en larmes, s'est étirée sur la place Saint-Pierre encadrée par la célèbre colonnade du Bernin. Selon plusieurs témoignages, il fallait patienter entre trois et plus de quatre heures pour entrer dans la basilique.

Leobardo Guevara, un Mexicain de 24 ans venu à Rome pour l'année jubilaire, a patienté quatre heures et demie pour voir la dépouille du pape, devant laquelle il a ressenti "une sensation de paix". Le pape François était "une personne très humble", quelqu'un de "très humain" qui a "beaucoup incité les jeunes à suivre la religion", a-t-il ajouté, arborant un drapeau mexicain sur son survêtement noir.

Un important dispositif de sécurité est déployé place Saint-Pierre, où la gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens fouillent les sacs à dos et font passer les fidèles à travers des portiques de sécurité. Au cours d'une cérémonie au Parlement en hommage au pape François, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui s'est ensuite recueillie devant sa dépouille à Saint-Pierre, a évoqué un homme "déterminé" avec qui "on pouvait parler de tout".

Le Vatican avait annoncé que jeudi, les fidèles pourraient rendre hommage au pape jusqu'à minuit. Mais mercredi, les visites ont finalement pu se poursuivre au-delà. Vendredi, les portes de la basilique seront ouvertes de 07h00 à 19h00.

Têtes couronnées

L'affluence a également été massive mercredi à la basilique Sainte-Marie-Majeure, dans le centre de Rome, où le pape sera enterré samedi conformément à sa volonté. Selon le préfet de Rome Lamberto Giannini, plus de 10'000 personnes s'y sont pressées à l'heure du déjeuner.

Plus tôt dans la matinée, la dépouille du pape avait été escortée par des dizaines de cardinaux, évêques, religieux et laïcs depuis la petite chapelle de la résidence Sainte-Marthe, où il a vécu de son élection en 2013 jusqu'à sa mort, vers la basilique couronnée par la coupole de Michel-Ange.

Le Vatican observera neuf jours de deuil à partir de samedi. Au cours de ces "novemdiales", des célébrations solennelles auront lieu chaque jour à Saint-Pierre, jusqu'au 4 mai. Le cercueil sera fermé vendredi soir lors d'une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l'Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu'au conclave.

Les funérailles de François se dérouleront samedi matin à 10h00 sur la place Saint-Pierre, où devraient converger au moins 200'000 fidèles, et 170 délégations étrangères. "Il est impossible de savoir" combien de personnes seront présentes le jour des funérailles, "quelques centaines de milliers au minimum", a déclaré à l'AFP Pierfrancesco Demilito, chef du service de presse de la Protection civile italienne.

Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront aux funérailles du chef de l'Eglise catholique, sous haute sécurité. Parmi eux, le président américain Donald Trump, ses homologues français Emmanuel Macron et ukrainien Volodymyr Zelensky ou encore le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.

La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter assistera également aux obsèques. Le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le prince William, Albert II de Monaco et son épouse Charlène seront aussi présents.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / anp

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International

Baisse des vaccinations: maladies évitables à la hausse (ONU)

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Des maladies qui peuvent être évitées grâce à la vaccination repartent à la hausse, alertent l'ONU et l'Alliance du vaccin (Gavi) (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Jerome Delay)

Rougeole, méningite, fièvre jaune... Des maladies qui peuvent être évitées grâce à la vaccination repartent à la hausse, dans un contexte de désinformation et de coupes dans l'aide internationale, ont alerté mercredi l'ONU et l'Alliance du vaccin (Gavi).

"Les vaccins ont sauvé plus de 150 millions de vies ces cinq dernières décennies", a commenté le patron de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l'occasion de la semaine mondiale de la vaccination.

"Les coupes financières touchant la santé mondiale mettent ces avancées durement gagnées en danger. Les épidémies de maladies évitables grâce aux vaccins augmentent à travers le monde, mettant des vies en danger et exposent les pays à des coûts de plus en plus grands pour traiter ces maladies et répondre aux épidémies", a-t-il ajouté.

Ainsi, la rougeole fait un "retour particulièrement dangereux", se sont inquiétées l'OMS, l'Unicef et Gavi dans ce communiqué conjoint. Le nombre de cas atteint 10,3 millions de cas estimés en 2023 (+20% par rapport à 2022).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un autre ex-président sud-coréen inculpé pour corruption

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L'ancien président sud-coréen Moon Jae-in (2017-2022) vient à son tour d'être inculpé de corruption (archives). (© KEYSTONE/AP/Hong Hae-in)

L'ancien président de la Corée du Sud Moon Jae-in (2017-2022) a été inculpé pour corruption, soupçonné d'avoir facilité l'emploi de son gendre dans une compagnie aérienne, ont annoncé jeudi les procureurs.

Un énième rebondissement sur la scène politique sud-coréenne, déjà ébranlée par plusieurs mois de chaos à la suite de la tentative ratée de l'ex-président Yoon Seok Yeol d'instaurer la loi martiale en décembre, qui s'est soldée par sa destitution.

L'ancien président de centre-gauche (2017-2022) a été "inculpé de corruption pour avoir reçu 217 millions de wons (132'200 euros) après avoir facilité l'emploi de son gendre dans une compagnie aérienne", a déclaré le bureau des procureurs du district de Jeonju dans un communiqué.

Selon le parquet, le gendre de M. Moon aurait été nommé directeur général de la compagnie aérienne Thai Easter Jet, "malgré l'absence de toute expérience ou qualification pertinente dans l'industrie du transport aérien".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'Australie veut sa "réserve stratégique" de minerais critiques

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L'Australie dispose d'énormes gisements de minerais critiques tels que le lithium, le nickel et le cobalt, mais vend la majeure partie de ces ressources sous forme brute (archives). (© KEYSTONE/EPA/BHP BILLITON/HO)

L'Australie va établir une "réserve stratégique" de minerais critiques, a annoncé jeudi le Premier ministre Anthony Albanese, au moment où nombre de pays s'efforcent de sécuriser les accès aux terres rares en dehors de la Chine.

La superpuissance minière dispose d'énormes gisements de minerais tels que le lithium, le nickel et le cobalt, mais vend la majeure partie de ces ressources sous forme brute, destinées à être transformées dans les usines chinoises.

M. Albanese a indiqué que son pays allait commencer à stocker ces minerais et à vendre ces matières premières convoitées à des "partenaires clés".

"Les temps de plus en plus incertains exigent une nouvelle approche pour s'assurer que l'Australie maximise la valeur stratégique des minerais critiques", a déclaré le chef du gouvernement dans un communiqué.

"Nous devons faire plus avec les ressources naturelles dont le monde a besoin et que l'Australie peut fournir", a-t-il ajouté.

L'Australie réserverait initialement 1,2 milliard de dollars australiens (672 millions de dollars américains) pour mettre en place la réserve et la faire fonctionner.

Monnaie d'échange

Le gouvernement d'Anthony Albanese a déjà suggéré de se servir de ses minerais comme monnaie d'échange dans des négociations commerciales avec les Etats-Unis qui ont imposé des droits de douane au reste du monde.

L'Australie possède certains des plus grands gisements de lithium au monde et est également une source importante de métaux de terres rares qui sont moins connus, tels que le néodyme.

Les Etats-Unis, l'Allemagne ou le Japon sont désireux d'obtenir ces minerais auprès d'autres pays que la Chine.

Le Japon dispose de sa propre réserve de minerais tandis que les Etats-Unis investissent dans des raffineries de métaux et d'autres technologies de traitement.

La Chine a la mainmise sur l'approvisionnement mondial en minerais transformés, qui se profilent comme un nouveau sujet de discorde dans la guerre commerciale avec Washington.

Le président américain Donald Trump a ouvert mardi une enquête sur les "effets sur la sécurité nationale" de l'importation de minerais critiques ainsi que les "produits dérivés", comme les smartphones ou les véhicules électriques, ouvrant la voie à des surtaxes.

"La capacité du gouvernement à constituer des stocks est une garantie importante contre la pression du marché et les interventions d'autres pays", a déclaré M. Albanese dans un discours jeudi.

Rançonner

"Cela signifie que l'Australie a le pouvoir de vendre au bon moment aux bons partenaires pour les bonnes raisons", a-t-il poursuivi.

Par le passé, la Chine s'est montrée disposée à rançonner les terres rares.

Au plus fort d'un différend diplomatique en 2010, la Chine a effectivement interdit l'exportation de terres rares vers le Japon.

Cette mesure a ébranlé l'industrie automobile japonaise, qui dépendait fortement de certains alliages de terres rares pour fabriquer les aimants utilisés dans les moteurs. La Chine contrôle quelque 90% de l'offre mondiale de terres rares - un sous-ensemble de minerais critiques - et protège farouchement sa position.

Pékin a interdit l'exportation de technologies de traitement susceptibles d'aider les pays rivaux et a été accusé d'utiliser des quotas imposés par l'État pour contrôler l'offre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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