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Plus d'un tiers des zones humides de Méditerranée menacées

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Les flamants roses se retrouvent en difficulté dans leur habitat naturel en cas de montée des eaux. (© KEYSTONE/SANDRO CAMPARDO)

Plus d'un tiers des zones humides du bassin méditerranéen sont menacées par les risques de submersion marine causés par le réchauffement climatique, qui risque de détruire un habitat précieux pour les oiseaux côtiers, alerte vendredi une étude scientifique.

Les zones humides côtières figurent parmi les zones les plus menacées par le réchauffement climatique: en raison de la montée des eaux, plus de la moitié d'entre elles dans le monde pourraient disparaître sous les eaux d'ici 2100, ont déjà montré de précédentes études.

Cette nouvelle étude, parue dans la revue Conservation Biology, a modélisé les futurs risques de submersion en fonction des différents scénarios du Giec (le groupe d'experts du climat mandatés par l'ONU) sur 938 sites côtiers du pourtour méditerranéen.

Elle révèle que 34,4% de ces sites, soit 320 zones humides côtières, sont menacées de disparition d'ici à 2100 par la hausse du niveau de la mer, même dans les scénarios climatiques les plus optimistes (avec un réchauffement de +1,8 degré).

Dans les scénarios pessimistes (jusqu'à +4,4 degrés), ce chiffre pourrait monter à 495, soit plus de la moitié.

Le parc naturel régional de Camargue, plus grande zone humide française, "pourrait par exemple subir la submersion d'une surface de terre équivalente à quatre fois la superficie de Paris", indique un communiqué du Museum national d'histoire naturelle, qui a participé à l'étude avec l'Institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes de la Tour du Valat.

Flamants roses

Parmi ces zones menacées, figurent entre 54,1% et 60,7% de sites d'importance internationale pour les oiseaux d'eau, comme les flamants roses, les avocettes élégantes ou le canard chipeau, notamment lors de la période d'hivernage ou de nidification. Ces oiseaux ne disposant pas d'habitat alternatif, ces menaces pourraient "affecter négativement" leur nombre et les écosystèmes qui y sont associés.

"Ces chiffres sont sans doute sous-estimés", notent les auteurs de l'étude, soulignant que de nombreuses zones côtières, notamment en Espagne, n'ont pas été incluses et que d'autres menaces (érosion côtière, salinisation, surtourisme...) n'ont pas été prises en compte.

Pour toutes ces raisons, ils recommandent "la mise en place urgente de mesures d'adaptation" dans ces sites, comme la construction de digues mais surtout, plus efficaces à long terme, la mise en place de solutions fondées sur la nature (fixation de dunes avec de la végétation) ou encore une extension des aires protégées pour lutter notamment contre une urbanisation non maitrisée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Abbas appelle le Hamas à libérer les otages à Gaza

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Mercredi, le bombardement israélien le plus meurtrier a détruit une école abritant des déplacés dans la ville de Gaza, dans le nord, faisant 11 morts et 17 blessés, dont "des femmes et des enfants", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le président palestinien Mahmoud Abbas a appelé mercredi le Hamas à libérer les derniers otages retenus à Gaza. Dans l'enclave assiégée et affamée, les bombardements israéliens ont fait 25 morts, selon les secours.

Rompant une trêve de deux mois, Israël a repris le 18 mars son offensive sur le territoire palestinien, affirmant vouloir contraindre le mouvement islamiste à libérer les otages toujours captifs depuis le 7 octobre 2023.

A Ramallah, en Cisjordanie occupée, le président palestinien a accusé le Hamas d'avoir fourni à Israël "des prétextes pour commettre ses crimes dans la bande de Gaza, le plus flagrant (de ces prétextes) étant la détention d'otages".

"Notre peuple en paie le prix, pas Israël (...), Libérez-les", a déclaré Mahmoud Abbas, qui n'exerce plus d'autorité sur Gaza depuis que le Hamas y a pris le pouvoir en 2007. Il a qualifié les dirigeants du mouvement rival de "fils de chiens".

Propos "insultants"

Un membre du bureau politique du Hamas, Bassem Naïm, a condamné des propos "insultants", et accusé le président palestinien de "rejeter la responsabilité des crimes" d'Israël sur les Palestiniens.

La branche armée du Hamas a ensuite publié une brève vidéo - dont l'AFP n'a pu déterminer la date d'enregistrement - de l'otage israélo-hongrois Omri Miran, qui demande au gouvernement israélien d'agir pour sa libération. Sa famille a dénoncé dans la prolongation de sa captivité "un échec moral pour l'Etat d'Israël".

"Malnutrition aiguë sévère"

Dans la bande de Gaza, l'ONU a fait état de cas de "malnutrition aiguë sévère" parmi les 2,4 millions habitants assiégés, dont la plupart ont été déplacés par la guerre en cours depuis plus de 18 mois.

Une délégation du Hamas se trouve actuellement au Caire pour discuter avec les médiateurs de "nouvelles idées" visant à rétablir un cessez-le-feu, a indiqué un responsable du mouvement.

Nouvelles attaques israéliennes

Mercredi, le bombardement israélien le plus meurtrier a détruit une école abritant des déplacés dans la ville de Gaza, dans le nord, faisant 11 morts et 17 blessés, dont "des femmes et des enfants", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile palestinienne, Mahmoud Bassal.

L'armée israélienne a affirmé y avoir ciblé "un rassemblement de terroristes opérant au sein d'un centre de commandement et de contrôle du Hamas et du Jihad islamique".

Le raid a provoqué "un incendie massif dans le bâtiment et plusieurs corps calcinés ont été retrouvés", a dit M. Bassal. Au total, 25 personnes ont été tuées dans des bombardements à travers le territoire palestinien, selon la Défense civile, qui a fait état de "personnes disparues sous les décombres dans différentes zones".

"Vivre comme les autres"

Des femmes éplorées se recueillaient dans la matinée à l'hôpital al-Chifa de Gaza-ville, devant des corps ceints de linceuls blancs.

A Khan Younès un habitant, Walid Al Najjar, dit "ne rien vouloir d'autre que la fin de la guerre pour pouvoir vivre comme le font les gens dans le reste du monde".

Engins du génie détruits

Selon Mahmoud Bassal, les secouristes manquent "d'outils et équipements nécessaires" pour s'acquitter de leur tâche.

L'armée israélienne avait dit mardi avoir détruit environ "40 engins du génie", accusant le Hamas de s'en servir "pour poser des explosifs, creuser des tunnels, percer des clôtures de sécurité et dégager les gravats pour retrouver des armes et du matériel militaire".

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 1928 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars, portant à 51'305 le nombre de morts à Gaza depuis le début de l'offensive israélienne lancée en représailles à l'attaque du mouvement palestinien le 7 octobre 2023.

Sur les 251 personnes alors enlevées, 58 sont toujours otages à Gaza dont 34 mortes, selon l'armée israélienne.

Aide humanitaire toujours bloquée

Le cauchemar des civils gazaouis est aggravé par le blocage de l'aide humanitaire imposé par Israël depuis le 2 mars.

Les ministres des Affaires étrangères français, britannique et allemand ont conjointement exhorté mercredi Israël à mettre fin à cette mesure "intolérable" qui expose les civils à "la famine, des épidémies et la mort".

"Plusieurs personnes souffrant de malnutrition aiguë sévère ont été admises à l'hôpital cette semaine", et ces cas "augmentent" a indiqué mardi l'agence humanitaire de l'ONU (Ocha).

Malgré les pénuries "environ 180 cuisines communautaires continuent de fonctionner" mais beaucoup (...) sont sur le point de fermer car les stocks s'épuisent", a-t-elle prévenu.

"Il n'y a pas de farine, pas de gaz et le bois de chauffage est rare", témoigne à Nuseirat (centre) Umm Mohamed Issa, dans une boulangerie communautaire. Bientôt "nous ne pourrons plus trouver de quoi nourrir nos enfants".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Boeing: perte nette moins creusée qu'attendu au 1er trimestre

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Entre janvier et mars, Boeing a dégagé un chiffre d'affaires de 19,50 milliards de dollars (+18% sur un an), et a essuyé une perte nette de 123 millions (archives). (© KEYSTONE/AP/RICHARD DREW)

Boeing a annoncé mercredi une perte nette moins creusée qu'attendu par les marchés au premier trimestre. Le constructeur aéronautique américain a profité de la reprise des livraisons dans la branche commerciale pour laquelle il a confirmé ses objectifs de production.

Entre janvier et mars, l'avionneur a engrangé un chiffre d'affaires de 19,50 milliards de dollars (+18% sur un an) et une perte nette de 123 millions.

Le consensus des analystes de FactSet anticipait respectivement 19,56 milliards et une perte nette de 550 millions.

Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - valeur de référence pour les marchés -, la perte nette ressort à 49 cents contre une perte nette de 1,13 dollar un an plus tôt. Le consensus avait prévu une perte nette de 1,17 dollar.

"De la livraison de davantage d'avions au gain d'un contrat transformateur pour l'avion de combat du futur, nous constatons des résultats positifs dans les quatre domaines clef de notre plan de rétablissement qui va nous mettre en bonne position pour le reste de l'année et au-delà", a commenté Kelly Ortberg, patron de Boeing, dans un message adressé mercredi matin aux employés.

"Nous avons effectué un pas important pour rebâtir notre culture d'entreprise", a-t-il poursuivi, estimant qu'il s'agissait du "changement fondamental dont nous avions besoin pour restaurer la confiance et transformer Boeing".

Selon lui, les clients du groupe "remarquent la différence dans nos produits et nos services" car "nous fabriquons des avions de meilleure qualité et nous les livrons avec davantage de prévisibilité".

Boeing reste sur la trajectoire pour atteindre la limite, imposée par le régulateur aérien FAA depuis février 2024 après un incident en vol, de 38 avions 737 MAX mensuels "dans les prochains mois", avec l'objectif de demander une hausse à 42 "plus tard dans l'année", a indiqué M. Ortberg.

Il a également précisé que le processus de certification du 777-9, premier modèle de son nouveau programme de gros porteur 777X et qui devait entrer en exploitation en 2020, avait franchi une étape importante au premier trimestre.

Et qu'une phase des vols d'essais du 737 MAX 10, qui devait voler commercialement dès 2023, avait été accomplie en vue de sa certification.

Dans la branche Défense et Espace (BDS), M. Ortberg a évoqué le début de l'assemblage final du premier drone de ravitaillement aérien MQ-25, en vue du début des essais courant 2025.

Le groupe a également remporté une "grande victoire" en obtenant récemment un contrat avec l'armée de l'air américaine pour construire la nouvelle génération d'avions de combat furtifs, le F-47.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Présidentielle ivoirienne: "C'est moi ou personne", assure Thiam

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Tidjane Thiam a présidé le Credit Suisse de 2015 à 2020. Il préside désormais le parti d'opposition ivoirien PDCI (archives). (© KEYSTONE/EPA/LEGNAN KOULA)

L'opposant ivoirien Tidjane Thiam, écarté de la course à la présidentielle d'octobre par une décision de justice sur sa nationalité, a affirmé mercredi à l'AFP que son parti ne le remplacerait pas. Il va saisir la justice ouest-africaine pour contester cette décision.

"C'est moi ou personne, nous ne présenterons pas d'autre candidat", a déclaré l'ancien président de Credit Suisse dans un entretien téléphonique à l'AFP.

Mardi, le tribunal d'Abidjan a radié M. Thiam de la liste électorale estimant qu'il avait perdu sa nationalité ivoirienne, une décision qui n'est susceptible d'aucun recours et qui ferme la porte à sa candidature à la présidentielle du 25 octobre.

Tidjane Thiam rejoint d'autres opposants, comme l'ex-président Laurent Gbagbo, radié de la liste en raison d'une condamnation judiciaire.

Mercredi, le chef du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), qui l'avait officiellement désigné jeudi comme candidat à la présidentielle, a indiqué qu'il compte saisir la Cour de justice de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cedeao).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Puissant séisme de magnitude 6,2 au large d'Istanbul

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Le séisme a été ressenti dans la mégapole Istanbul, mais n'a pas fait de victimes. (image symbolique) (© KEYSTONE/AP/Emrah Gurel)

Un puissant séisme de magnitude 6,2, dont l'épicentre est situé en mer de Marmara et qui a été fortement ressenti dans la mégapole turque, a secoué mercredi Istanbul sans faire de victime, selon les autorités turques.

Selon l'Agence nationale de la gestion des catastrophes AFAD et le ministre de l'Intérieur Ali Yerlikaya, "un séisme de 6,2 s'est produit au large de Silivri, en mer de Marmara" peu avant 13h00 locales (12h00 suisses).

Deux secousses au moins, à quelques secondes d'intervalle, ont été fortement ressenties dans tous les quartiers de l'immense mégapole de 16 millions d'habitants.

Des milliers de personnes se sont jetées dans les rues en proie à la panique, ont constaté les journalistes de l'AFP.

Les autorités n'ont pas fait état de victime ni dégât.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'UE inflige des amendes à Apple et Meta, au risque d'irriter Trump

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Meta est visé pour manquement à la règle qui le contraint à demander le consentement des utilisateurs afin de pouvoir combiner des données personnelles issues de ses différents services. (archive) (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

La Commission européenne a annoncé mercredi des sanctions financières contre les géants américains des technologies Apple et Meta (Facebook, Instagram) pour des infractions à la concurrence, malgré les tensions avec le président Donald Trump sur les droits de douane.

Apple se voit infliger une amende de 500 millions d'euros pour des clauses abusives dans sa boutique d'application App Store, au détriment des fournisseurs d'applications et de leurs clients. Meta devra payer 200 millions d'euros pour avoir enfreint une règle encadrant l'usage des données personnelles.

Ces sanctions sont les premières prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA), entré en vigueur l'an dernier pour mettre fin aux abus de position dominante des géants de la tech.

Elles interviennent un an après l'ouverture de procédures contre les deux groupes californiens, mais surtout à un moment délicat pour les relations transatlantiques.

L'Union européenne est en effet en pleines négociations avec l'administration américaine pour obtenir la levée de droits de douane imposés par Donald Trump.

Des surtaxes américaines de 25% sur les automobiles, l'aluminium et l'acier sont déjà entrées en vigueur ainsi qu'une surtaxe douanière de 10% sur l'ensemble des autres produits.

Le locataire de la Maison Blanche dénonce régulièrement les taxes, amendes et contraintes réglementaires imposées par l'Europe aux services numériques américains.

Contrairement à l'usage, les amendes de l'UE ont été annoncées par simple communiqué, sans conférence de presse de l'exécutif européen.

Apple a aussitôt contesté une décision qui le "cible injustement" et a annoncé que le groupe ferait appel tout en poursuivant le dialogue avec la Commission européenne.

Le montant des amendes apparaît toutefois modéré par rapport à celles imposées jusqu'ici par l'Europe à la "big tech".

Apple est sanctionné pour des restrictions dans son magasin d'applications App Store. Selon la Commission, la marque à la pomme entrave la capacité des fournisseurs d'applications distribuées dans sa boutique en ligne à communiquer directement avec les utilisateurs finaux pour promouvoir librement leurs offres et proposer éventuellement des tarifs inférieurs sur d'autres canaux.

Sur ce dossier, le groupe de Cupertino s'était vu infliger en mars 2024 une amende de 1,8 milliard d'euros par l'UE, après une plainte de la plateforme de streaming musical Spotify.

Meta, géant des réseaux sociaux, est lui visé pour manquement à la règle qui le contraint à demander le consentement des utilisateurs afin de pouvoir combiner des données personnelles issues de ses différents services, comme Facebook et Instagram, à des fins de profilage publicitaire.

Le groupe de Mark Zuckerberg a cependant proposé en novembre une modification de son offre pour se mettre en conformité, d'où une sanction financière inférieure à celle imposée à Apple. Cette proposition, actuellement étudiée par les services de la Commission, pourrait mettre fin à la procédure si elle est jugée satisfaisante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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