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International

Procès en appel de l'attentat de Nice: peines de 18 ans de prison

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La cour d'assises spéciale de Paris a prononcé son verdict contre deux accusés jugés en appel au procès de l'attentat de Nice qui a fait 86 morts le 14 juillet 2016. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Des peines de 18 ans de réclusion criminelle, assorties d'une peine de sûreté des deux tiers, ont été prononcées jeudi par la cour d'assises spéciale de Paris contre les deux accusés jugés en appel au procès de l'attentat de Nice qui a fait 86 morts le 14 juillet 2016.

Poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste, Mohamed Ghraieb, réceptionniste d'hôtel franco-tunisien de 48 ans, et Chokri Chafroud, 44 ans, un migrant tunisien sans-papier, ont apporté "un soutien logistique et idéologique" à Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, le Tunisien de 31 ans auteur de l'attentat au camion-bélier sur la promenade des Anglais le soir de la fête nationale, a affirmé la cour au terme de son délibéré.

La cour a confirmé le jugement de première instance et n'a pas suivi les réquisitions de l'avocate générale, qui avait demandé 20 ans d'emprisonnement contre les deux accusés qui ont accueilli sans un mot la sentence.

Les deux hommes ont cinq jours pour se pourvoir en cassation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Ukraine: Trump "pense avoir un accord" avec la Russie

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Le président Donald Trump pense tenir un "accord" avec Moscou, mais doit encore convaincre Zelensky, ce qui "a été jusqu'à présent plus difficile" selon lui (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Donald Trump a dit mercredi penser avoir un "accord avec la Russie" pour mettre fin à la guerre en Ukraine, déclarant qu'il fallait désormais obtenir un feu vert du président ukrainien Volodymyr.

"Je pense avoir un accord avec la Russie" a déclaré le président américain. "Nous devons parvenir à un accord avec Zelensky (...) mais cela a été jusqu'à présent plus difficile", a-t-il ajouté devant la presse à la Maison Blanche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

20 ans de YouTube: plus de 20 milliards de vidéos téléchargées

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Le premier contenu a été posté sur YouTube le 23 avril 2005 par l'un des co-fondateurs du site (archives). (© KEYSTONE/AP/PATRICK SEMANSKY)

YouTube a fêté mercredi ses 20 ans, période durant laquelle plus de 20 milliards de vidéos ont été téléchargées sur la plateforme, aujourd'hui première destination mondiale pour le streaming.

Le premier contenu a été posté sur le site le 23 avril 2005 par l'un des co-fondateurs de YouTube, Jawed Karim, filmé devant la cage des éléphants du zoo de San Diego (Californie).

La start-up avait été officiellement créée le 14 février par trois employés de PayPal, dont Jawed Karim.

Aujourd'hui, plus de 20 millions de nouvelles vidéos sont téléchargées sur YouTube quotidiennement, a indiqué le groupe mercredi sur son site.

La montée en puissance de la plateforme a accompagné la généralisation du haut débit et l'augmentation des capacités des smartphones, qui ont rendu possible la consommation de masse de contenus vidéo.

La plateforme compte aujourd'hui plus de 2,5 milliards d'utilisateurs, selon plusieurs cabinets spécialisés.

Première position

YouTube pointe désormais en première position dans le streaming vidéo aux Etats-Unis, avec une part de marché de 11,1% en décembre 2024, loin devant son dauphin Netflix (8,5%).

Longtemps cantonnée aux ordinateurs et aux téléphones, la plateforme s'impose de plus en plus nettement dans la télévision.

En mars, selon le cabinet Nielsen, YouTube a représenté, en moyenne, 11,6% du temps passé par les Américains devant leur poste, damant le pion aux groupes Disney (10,5%) et Paramount Global (8,3%), chaînes traditionnelles et streaming confondus.

"Il y a 20 ans, annoncer que ce site sur lequel des gamins faisaient des vidéos parodiques deviendrait une menace pour Netflix, ABC ou CBS (grandes chaînes américaines) aurait fait rire", a commenté Ross Benes. Mais "ils l'ont fait".

Revenus publicitaires

A la différence de ses concurrents traditionnels, chaînes de télévision ou services de streaming, YouTube ne rémunère pas directement les créateurs de contenus, même si ces derniers reçoivent une part des revenus publicitaires générés.

En septembre, le groupe a dévoilé aux créateurs de contenu de nouveaux outils pour améliorer le rendu de leurs vidéos lorsqu'elles sont visionnées à la télévision.

Mercredi, YouTube a évoqué la présentation, durant l'été, d'une volée de nouvelles fonctionnalités pour la diffusion sur un poste, avec notamment une navigation améliorée pour les téléspectateurs.

Racheté par Google pour 1,65 milliard de dollars en 2006, un an seulement après sa création, YouTube a généré 36 milliards de dollars de revenus publicitaires l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

RDC: Kinshasa et le M23 annoncent vouloir "une trêve"

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Des rebelles du M23 patrouillent dans les rues de Goma, en République démocratique du Congo (archives). (© KEYSTONE/AP/Brian Inganga)

Le gouvernement congolais et le groupe antigouvernmental M23, qui mènent des pourparlers au Qatar, ont publié pour la première fois mercredi une déclaration conjointe dans laquelle ils disent vouloir "oeuvrer à la conclusion d'une trêve".

"Après des discussions franches et constructives, les représentants de la République démocratique du Congo et de l'AFC/M23 ont convenu de travailler pour oeuvrer à la conclusion d'une trêve", ont annoncé le M23 et le gouvernement de la RDC dans une déclaration commune diffusée à la télévision nationale congolaise ainsi que par le porte-parole du M23.

"Les deux parties réaffirment leur engagement en faveur d'une cessation immédiate des hostilités", engagement qu'elles entendent respecter "immédiatement" et "pendant toute la durée des pourparlers et jusqu'à leur conclusion", selon ce communiqué.

Le texte ne précise pas si cet engagement constitue une déclaration d'intention ou s'il sera formalisé dans l'immédiat.

Trente ans de conflit

L'est de la République démocratique du Congo (RDC), riche en ressources et frontalier du Rwanda, est en proie à des conflits depuis trente ans mais la crise s'est intensifiée ces derniers mois avec la prise des grandes villes de Goma et Bukavu par le groupe armé antigouvernemental M23, soutenu par Kigali et son armée.

Depuis la résurgence du groupe armé fin 2021, le régime du Président Félix Tshisekedi a longtemps refusé de dialoguer directement avec le M23 et sa branche politique, l'Alliance fleuve Congo (AFC/M23), qu'il considère comme des pantins du Rwanda.

Le Qatar a récemment créé la surprise en s'imposant comme un nouveau médiateur dans la crise, et des pourparlers ont finalement débuté entre Kinshasa et le M23 à Doha en avril, mais ces échanges n'avaient fait l'objet d'aucune communication officielle des deux parties jusqu'à présent.

Plus d'une demi-douzaine de cessez-le-feu et trêves ont été signés puis violés depuis fin 2021. Une myriade de groupes armés plus ou moins autonomes sont également présents dans les régions de l'est, et sont parfois utilisés comme proxys par Kinshasa ou les pays voisins.

Echecs

Toutes les tentatives diplomatiques de sortie de crise entre Kinshasa et Kigala ont jusqu'ici échoué.

Si Doha n'a pas reçu de mandat pour agir dans ce conflit, l'émirat, qui a multiplié les efforts de médiations dans diverses crises (Darfour, Afghanistan, Yémen, Gaza), a signé ces dernières années plusieurs accords-cadre de coopération économique avec Kigali et Kinshasa.

Il a notamment investi plus d'un milliard de dollars dans un futur hub aéroportuaire près de Kigali et s'est engagé à moderniser des installations portuaires et aéroportuaires en RDC.

Le Rwanda n'a jamais explicitement reconnu sa présence sur le sol congolais, tout en admettant des préoccupations sécuritaires le long de sa frontière avec la RDC et réclamant notamment l'éradication des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), fondées par d'anciens responsables hutus rwandais du génocide des Tutsis en 1994.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le procès d'Harvey Weinstein entre dans le vif du sujet

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Malade et visiblement diminué, l'ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d'audience de la cour pénale de Manhattan. (© KEYSTONE/AP/SARAH YENESEL)

"Il avait tout le pouvoir, elles n'avaient rien", a martelé mercredi l'accusation lors d'un nouveau procès à New York pour viol et agressions sexuelles de l'ex- roi du cinéma Harvey Weinstein. Ce dernier est rejugé après l'annulation de sa condamnation l'an dernier.

"Quand il voulait quelque chose, il le prenait", "il n'acceptait pas un refus", a encore asséné la procureure Shannon Lucey dans son propos liminaire à l'ouverture des débats, devant des jurés qui l'écoutaient attentivement, et en présence de l'accusé, assis sur une chaise roulante.

Malade et visiblement diminué, l'ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d'audience de la cour pénale de Manhattan.

Mais à l'époque des crimes dont il est accusé, il était un producteur tout-puissant face à des femmes sans appuis ni relations qu'il a abusées en leur faisant miroiter une carrière dans le spectacle, a décrit la procureure.

Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, est rejugé pour l'agression sexuelle avec pénétration de l'ancienne assistante de production Mimi Haleyi, en 2006, et le viol de l'aspirante actrice Jessica Mann, en 2013. Il avait été reconnu coupable de ces faits en 2020 et condamné à 23 ans de prison.

Procédure annulée

Mais en avril 2024, la cour d'appel de New York a annulé toute la procédure, au motif que le tribunal avait laissé témoigner d'autres victimes présumées sur des faits pour lesquels l'accusé n'était pas inculpé. Une annulation vécue comme une gifle pour le mouvement de lutte contre les violences sexuelles et un retour en arrière pour la prise en compte de la parole des victimes.

L'ancien producteur est resté depuis détenu car il a aussi été condamné en Californie à 16 ans de prison en 2023 dans un dossier distinct de viol et agressions sexuelles.

Le procès à New York porte aussi sur une inculpation pour une agression sexuelle avec pénétration - qualification pénale qui diffère du viol en droit américain - en 2006 dans un hôtel de Manhattan de Kaja Sokola, à l'époque une mannequin polonaise âgée de 16 ans.

"La honte, la douleur"

La procureure a insisté sur le fait que les victimes présumées avaient supplié Harvey Weinstein d'arrêter. Après l'agression, "toutes ces victimes ont vécu la honte, la douleur", mais elles comptent témoigner, a ajouté Shannon Lucey.

"Non coupable, non coupable, non coupable", lui a rétorqué l'avocat de l'accusé, Arthur Aidala, qui a fait sourire certains jurés en leur demandant de regarder "le film jusqu'à la fin", pas seulement "la bande annonce" de l'accusation.

"Promotion canapé"

Pour lui, le dossier se résume à des "promotions canapé". Les accusatrices étaient de jeunes femmes qui voulaient réussir dans l'univers du show business, et elles savaient que "Harvey Weinstein" avait "la clé" d'un monde où l'on fréquente "Brad Pitt, Leonardo di Caprio, Meryl Streep".

Il a assuré que les relations étaient consensuelles, insistant sur le fait que les jeunes femmes avaient continué de fréquenter l'accusé après les crimes allégués. "Vous verrez ses courriels" où les accusatrices écrivent "'je veux te revoir'", a poursuivi l'avocat.

Weinstein espère "un oeil neuf"

Harvey Weinstein a obtenu de pouvoir dormir, pendant le procès, à l'hôpital et non en prison en raison de ses problèmes de santé.

L'ancien magnat espère que l'affaire sera "regardée avec un oeil neuf", plus de sept ans après les enquêtes du New York Times et du New Yorker à l'origine de sa chute.

Parole des victimes libérée

Leur onde de choc avait libéré la parole des victimes et contraint la société à de profondes remises en question sur la place des femmes. Son avocat a souhaité que le procès se concentre sur les faits et ne soit pas, encore une fois, un symbole de #metoo.

Harvey Weinstein n'a jamais reconnu d'agression et a toujours assuré que les relations étaient consenties.

Plus de 80 accusatrices

Depuis les premières révélations, il a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.

Le procès, qui doit durer jusqu'à fin mai, se poursuit mercredi avec le début des interrogatoires des témoins.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Cachemire: l'Inde prend des mesures contre le Pakistan

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Des soldats indiens paramilitaires en faction après l'attentat contre les touristes à Srinagar. (© KEYSTONE/EPA/FAROOQ KHAN)

Les autorités indiennes ont pris mercredi une série de mesures diplomatiques punitives contre le Pakistan. Elles accusent ce pays de "terrorisme transfrontalier" après une attaque meurtrière contre des touristes au Cachemire qui a fait 26 morts.

Cet attentat a porté les relations entre les deux voisins dotés de l'arme nucléaire à leur pire niveau depuis des années. Certains craignent que la salve diplomatique de New Delhi ne soit que la première d'une série de mesures, avec le risque potentiel d'une action militaire.

Les mesures prises par l'Inde, notamment la suspension d'un traité crucial sur le partage de l'eau, la fermeture du principal poste frontière terrestre entre les deux pays et le rappel de diplomates, interviennent un jour après que des hommes armés ont ouvert le feu dans un haut lieu touristique de la partie du Cachemire administrée par l'Inde, tuant 26 hommes.

"Réponse sans ambiguïté"

Mercredi, le ministre indien de la Défense a déclaré que "les responsables et ceux qui se trouvent derrière un tel acte entendront très rapidement notre réponse, (elle sera) sans ambiguïté".

"Nous n'atteindrons pas seulement ceux qui ont mené l'attaque (mais) aussi ceux qui l'ont planifiée en coulisses sur notre territoire", a ajouté Rajnath Singh.

Le Premier ministre nationaliste indien Narendra Modi, qui a écourté une visite d'Etat en Arabie saoudite, a dénoncé cet "acte odieux" et promis que les assaillants seraient "traduits en justice".

La liste des victimes, vérifiée par la police, fait état de 26 hommes tués par des assaillants munis d'armes automatiques, qui ont surgi de la forêt près d'un site touristique à Pahalgam. Cette fusillade n'avait toujours pas été revendiquée mercredi soir.

Traité sur les eaux de l'Indus en suspens

Le plus haut responsable du ministère indien des Affaires étrangères, Vikram Misri, a annoncé que "le traité de 1960 sur les eaux de l'Indus sera mis en suspens avec effet immédiat".

Ce traité répartit théoriquement l'eau entre les deux pays, mais il a donné lieu à de nombreux litiges. Le Pakistan craint depuis longtemps que l'Inde, qui se trouve en amont, ne restreigne son accès à l'eau.

L'Inde a déclaré qu'elle avait également ordonné aux attachés de défense d'Islamabad et à d'autres responsables militaires pakistanais en poste à New Delhi de quitter le pays avant une semaine, et qu'elle retirerait également du Pakistan ses conseillers en matière de défense, de marine et d'aviation.

Réunion prévue à Islamabad

A Islamabad, le vice-Premier ministre Ishaq Dar a indiqué que le Comité de la sécurité nationale pakistanais se réunira jeudi "pour répondre au communiqué du gouvernement indien". Cette instance composée de hauts responsables civils et militaires ne se réunit qu'en cas extrême.

Depuis leur séparation en 1947 à leur indépendance, l'Inde et le Pakistan se disputent la souveraineté de tout le Cachemire, à majorité musulmane, divisé entre les deux pays. Des insurgés mènent une insurrection depuis 1989 pour obtenir l'indépendance ou une fusion avec le Pakistan.

New Delhi accuse de longue date Islamabad de soutenir en sous-main les infiltrations et la rébellion armée au Cachemire. Le Pakistan a toujours démenti, affirmant ne soutenir que la lutte pour l'autodétermination.

"Très sérieux risque de nouvelle crise"

Selon l'analyste Michael Kugelman, spécialiste de l'Asie du Sud, cette fusillade représente "un très sérieux risque de nouvelle crise entre l'Inde et le Pakistan, probablement le plus important depuis le bref conflit militaire en 2019".

Des hélicoptères militaires survolaient mercredi cette région montagneuse et boisée pour tenter de localiser les assaillants et un important dispositif de sécurité a été déployé.

L'armée indienne a affirmé mercredi que deux insurgés présumés avaient été tués lors d'une fusillade dans le district de Baramulla, situé à une centaine de kilomètres au nord-est de la ville où à eu lieu l'attaque.

A Pahalgam, un guide touristique a expliqué à l'AFP qu'il s'était rendu sur les lieux après avoir entendu des coups de feu et avoir transporté certains blessés à cheval. "J'ai vu quelques hommes allongés sur le sol, ils avaient l'air morts", a témoigné Waheed, qui n'a donné que son prénom.

Femmes épargnées

Un témoin, ayant requis l'anonymat, a affirmé que les assaillants ont "manifestement épargné les femmes".

Une survivante a raconté comment des hommes en uniforme étaient sortis de la forêt alors que des touristes profitaient de la nature, a rapporté le journal The Indian Express.

D'autres ont expliqué les avoir pris pour des policiers. "Ils étaient là, pendant au moins vingt minutes, imperturbables, se déplaçant et ouvrant le feu", a rapporté le quotidien, citant cette témoin pour qui cela "a semblé (durer) une éternité".

500'000 soldats indiens déployés

L'Inde déploie en permanence environ 500'000 soldats dans sa partie du Cachemire, bien que les combats aient diminué depuis la révocation en 2019 de l'autonomie limitée de ce territoire.

Environ 3,5 millions de touristes ont visité le Cachemire en 2024, en majorité des Indiens, selon les chiffres officiels.

L'attaque la plus importante de ces dernières années remonte à février 2019. Des insurgés avaient lancé, à Pulwama, une voiture remplie d'explosifs sur un convoi de police, faisant 40 morts et au moins 35 blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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