Rejoignez-nous

International

Samsung multiplie par dix son bénéfice d'exploitation

Publié

,

le

Le S24, le dernier smartphone de Samsung. (© KEYSTONE/EPA/YONHAP)

Le géant sud-coréen Samsung Electronics a annoncé mardi avoir quasiment multiplié par dix sur un an son bénéfice d'exploitation au premier trimestre 2024 grâce à une robuste demande en mémoires et autres produits liés à l'intelligence artificielle générative.

De janvier à mars, le bénéfice d'exploitation de Samsung a atteint 6'610 milliards de wons (4,5 milliards d'euros), contre 640 milliards un an plus tôt, selon un communiqué.

Le bénéfice net (part du groupe) a été multiplié par presque cinq à 6'620 milliards de wons, pour un chiffre d'affaires en hausse de 12,8% sur un an à 71'920 milliards de wons (48,8 milliards d'euros).

Ces résultats battent les prévisions des analystes, qui s'attendaient en moyenne à un bénéfice net de 4'990 milliards de wons, selon un sondage effectué par la firme de données financières Yonhap Infomax.

Le secteur des semi-conducteurs, dont Samsung et un des plus grands producteurs mondiaux, a renoué avec les bénéfices et s'est développé "en répondant à la demande dans les domaines des serveurs, du stockage, des PC et des téléphones portables", selon le groupe.

Ce succès est dû en partie à "la concentration sur des produits à forte valeur ajoutée" comme les HBM (mémoires à large bande passante), les DDR5 (mémoires vives dynamiques), les SSD (disques statiques à semi-conducteurs) pour serveurs ou encore les UFS 4.0, un puissant et ultrarapide outil de stockage pour smartphones.

"En ce qui concerne le deuxième trimestre, l'industrie devrait rester solide, principalement grâce à la demande d'IA générative", a prédit le groupe.

De solides ventes de smartphones haut de gamme S24, une augmentation des prix des semi-conducteurs ont également eu un impact positif sur les résultats.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Musk consacrera moins de temps à l'administration Trump dès mai

Publié

le

Proche conseiller de Trump, Elon Musk compte se consacrer davantage à Tesla dès le mois prochain (archives). (© KEYSTONE/AP/Jose Luis Magana)

Elon Musk, patron de Tesla et proche conseiller de Donald Trump, a dit mardi qu'il consacrerait à partir de mai beaucoup moins de temps à piloter la commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) mise en place par le président pour réduire les dépenses fédérales.

"Probablement à partir du mois prochain, de mai, le temps que je vais allouer à Doge va baisser de manière très importante", a indiqué M. Musk lors d'une audioconférence consacrée aux résultats du premier trimestre du spécialiste des véhicules électriques.

"A partir du mois prochain, je vais allouer davantage de mon temps à Tesla", a-t-il poursuivi, affirmant que le "travail crucial" de la commission était "en grande partie accompli".

Le spécialiste américain des véhicules électriques Tesla a publié mardi des résultats inférieurs aux attentes, affectés par l'étroite collaboration de son patron avec l'administration Trump, par une gamme vieillissante et une concurrence accrue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Rubio entreprend une réorganisation du département d'Etat américain

Publié

le

La réorganisation annoncée mardi par Marco Rubio prévoit notamment la suppression d'une division sur la "sécurité des civils, de la démocratie et des droits humains". (© KEYSTONE/EPA/JULIEN DE ROSA / POOL)

Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a révélé mardi un vaste projet de réorganisation du département d'Etat. Il inclut la suppression ou la redéfinition de certains postes, notamment chargés des droits humains ou des crimes de guerre.

"Dans sa forme actuelle, le ministère est boursouflé, bureaucratique, incapable de remplir sa mission essentielle de faire de la diplomatie dans cette nouvelle ère de compétition entre grandes puissances", a déclaré Marco Rubio, ministre de Donald Trump.

L'appareil diplomatique américain est depuis longtemps dans le viseur des conservateurs, qui veulent une administration davantage centrée sur la défense des intérêts américains et moins sur l'avancement de valeurs qualifiées de progressistes à travers le monde.

Absorber ce qui reste de l'USAID

La réorganisation annoncée mardi prévoit notamment la suppression d'une division sur la "sécurité des civils, de la démocratie et des droits humains".

Elle sera remplacée par une autre, désormais chargée de la "coordination pour l'aide étrangère et les affaires humanitaires", qui doit absorber ce qui reste de l'USAID, l'agence pour le développement, qui gérait un budget représentant près de la moitié de l'aide humanitaire dans le monde, désormais réduite à peau de chagrin par l'administration Trump.

Crimes de guerre en Ukraine

En son sein, l'intitulé d'un bureau efface la mention de la protection du droit du travail à travers le monde, remplacé par la défense de la "liberté religieuse".

Disparu aussi dans le projet de réorganisation, un bureau qui documentait les crimes de guerre en Ukraine, ainsi qu'un autre qui travaillait à la prévention des exactions.

Réduire de 15% les effectifs

Marco Rubio a partagé sur X un article affirmant que le nombre de bureaux au sein du département d'Etat allait passer de 734 à 602, et que les adjoints du secrétaire d'Etat devront proposer d'ici un mois des plans pour réduire de 15% les effectifs dont ils sont chargés.

Des chiffres qui semblent "corrects", selon un haut responsable du ministère qui a parlé à la presse. Il a précisé que la suppression de postes n'impliquerait pas forcément des licenciements, et que le plan présenté mardi serait discuté au Congrès et avec les salariés dans les prochains mois afin de finaliser la réorganisation.

Le projet dévoilé mardi est cependant moins brutal que ce que laissait présager d'autres versions initialement envisagées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Népal: les panthères des neiges estimées à près de 400

Publié

le

Ces félins à l'épaisse fourrure grise tachetée, offrant un camouflage efficace dans les territoires montagneux où ils évoluent, sont difficiles à repérer, ce qui rend très compliqués les observations sur le terrain. (© KEYSTONE/EPA/IGOR KOVALENKO)

Le premier recensement à l'échelle nationale des léopards des neiges au Népal a estimé à près de 400 individus la population de ces félins insaisissables appartenant à une espèce menacée. C'est ce qu'ont indiqué mardi des spécialistes de la faune sauvage.

La perte de l'habitat, le changement climatique et le braconnage ont eu un impact sévère sur les populations de panthères des neiges (ou léopards des neiges) en Asie, qui figurent sur la liste des espèces "vulnérables" de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

L'enquête offre cependant une lueur d'espoir, confirmant que le comptage correspond aux estimations antérieures les plus hautes.

Difficiles à repérer

Ces félins à l'épaisse fourrure grise tachetée, offrant un camouflage efficace dans les territoires montagneux où ils évoluent, sont difficiles à repérer, ce qui rend très compliqués les observations sur le terrain. Leurs larges pattes, véritables raquettes à neige naturelles, facilitent leur fuite.

"C'est une étape historique" du travail de préservation du léopard des neiges au Népal, a déclaré à l'AFP Haribhadra Acharya, écologiste en chef au Département des parcs nationaux et de la préservation de la faune sauvage.

"C'est la première fois que nous obtenons des données authentiques grâce au travail considérable des chercheurs", a-t-il dit.

Au total, ont été décomptés 397 léopards des neiges, repérés grâce à des caméras détectrices de mouvements et à des analyses génétiques dans sept zones clés.

Estimation la plus complète

Ce travail offre l'estimation la plus complète du nombre de panthères des neiges au Népal, précédemment évalué à entre 301 et 400 par l'UICN.

Les panthères des neiges sont les félins les moins étudiés dans le monde en raison de leur faible population et des zones montagneuses reculées où ils évoluent.

"Le Népal ne possède que 2% du territoire des léopards des neiges dans le monde, (mais) nous abritons 10% de la population totale estimée", a déclaré à l'AFP Ghana S Gurung, représentant de WWF Nepal.

Le Népal est le deuxième plus petit pays, après le Bhoutan, pour ce qui concerne l'habitat du léopard des neiges, mais c'est la quatrième pour ce qui concerne la taille de la population, a-t-il souligné.

Réchauffement et infrastructures

De nombreux défenseurs de l'environnement restent préoccupés par les menaces posées par le réchauffement et le développement d'infrastructures qui grignotent l'habitat naturel de ces félins.

Le Népal a été remarqué dans le monde pour ses efforts pour la protection de la faune sauvage qui ont permis à plusieurs espèces, dont les tigres et les rhinocéros, d'échapper à l'extinction.

La population des tigres au Népal a triplé depuis 2010, atteignant 355 individus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Cachemire indien: 26 morts dans une attaque contre des touristes

Publié

le

Des policiers indiens arrêtent des véhicules pour un contrôle au sud de Srinagar. (© KEYSTONE/EPA/FAROOQ KHAN)

Au moins 26 personnes ont été tuées mardi au Cachemire indien lorsque des hommes armés ont tiré sur un groupe de touristes. C'est l'attaque la plus meurtrière contre des civils en 25 ans dans cette région où sévit une insurrection, ont annoncé les services de sécurité

L'un des responsables des services de sécurité a signalé que des étrangers figuraient parmi les personnes atteintes par ces tirs à Pahalgam, une destination prisée située à environ 90 kilomètres de l'importante ville de Srinagar.

Aucune confirmation officielle n'a toutefois été apportée de cette information ni du bilan d'au moins 26 morts également fourni par plusieurs médias indiens.

Pas de revendication

L'attaque n'a pas été revendiquée mais une rébellion a éclaté en 1989 dans ce territoire en majorité peuplé de musulmans.

Les insurgés réclament l'indépendance ou la fusion avec le Pakistan, qui contrôle une partie plus petite du Cachemire et qui, comme l'Inde, en revendique l'intégralité.

New Delhi accuse régulièrement Islamabad de soutenir ces combattants, ce que réfutent les autorités pakistanaises.

Femmes épargnées

Un guide touristique a expliqué à l'AFP qu'il s'était rendu sur les lieux après avoir entendu des coups de feu et avait transporté certains blessés à cheval. "J'ai vu quelques hommes allongés sur le sol, ils avaient l'air morts", a témoigné Waheed, qui n'a donné que son prénom.

Des médecins d'un hôpital à Anantnag ont reçu plusieurs blessés, dont au moins deux ont été touchés par des balles, l'un d'eux au cou.

"Les combattants (...) sont sortis de la forêt près d'une petite prairie ouverte et ont commencé à tirer", a raconté à un journaliste de l'AFP un témoin sous couvert d'anonymat.

"Ils épargnaient clairement les femmes et continuaient à tirer sur les hommes, parfois un seul coup et parfois plusieurs balles, c'était comme une tempête", a-t-il déclaré.

"Plein soutien" à l'Inde de Trump

Le Premier ministre indien Narendra Modi, qui a écourté le voyage qu'il effectuait en Arabie saoudite pour rentrer dans son pays, a dénoncé un "acte odieux", promettant que ses auteurs seraient "traduits en justice".

"Leur dessein maléfique n'aboutira jamais. Notre détermination à lutter contre le terrorisme est inébranlable et elle ne fera que se renforcer", a-t-il martelé dans un communiqué.

Donald Trump a quant à lui assuré l'Inde de son "plein soutien" dans une conversation téléphonique avec Narendra Modi, a fait savoir le ministère indien des Affaires étrangères.

L'attaque est à cet égard survenue au lendemain d'une rencontre à New Delhi entre le vice-président américain JD Vance, en visite officielle de quatre jours sur le sol indien, et M. Modi. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a de son côté dénoncé un "ignoble attentat terroriste".

Et le ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar a condamné "l'odieux attentat terroriste contre des touristes".

Destination touristique

Le ministre indien de l'Intérieur Amit Shah a annoncé se rendre en avion sur place. "Ceux qui sont impliqués dans ce lâche acte de terreur ne seront pas épargnés", ils subiront les châtiments "les plus sévères", a-t-il écrit dans un communiqué.

"Le pays tout entier est uni contre le terrorisme", a proclamé Rahul Gandhi, le chef du principal parti d'opposition en Inde, le Congrès, appelant le gouvernement fédéral à "assumer ses responsabilités".

L'Inde déploie en permanence environ 500'000 soldats dans sa partie du Cachemire, bien que les combats aient diminué depuis que le gouvernement de Narendra Modi a révoqué l'autonomie limitée de ce territoire en 2019.

Les autorités indiennes oeuvrent désormais à faire de cette région montagneuse une destination touristique, tant pour le ski pendant les mois d'hiver que pour échapper à la chaleur étouffante de l'été dans le reste de l'Inde.

Nombreux complexes en développement

Environ 3,5 millions de touristes ont visité le Cachemire en 2024, en majorité des Indiens, selon les chiffres officiels.

En 2023, l'Inde a accueilli à Srinagar une réunion du G20 sur le tourisme pour illustrer le retour au calme dans cette région après la répression massive qui avait suivi la révocation de son autonomie limitée.

De nombreux complexes touristiques sont en cours de développement, dont certains situés près de la frontière fortement militarisée qui divise le Cachemire, entre l'Inde et le Pakistan.

L'attaque contre des civils la plus meurtrière y remonte à mars 2000, lorsqu'une trentaine d'Indiens avaient été tués. Elle s'était produite à la veille d'une visite du président américain Bill Clinton.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

ONU: la famine "s'aggrave, de manière délibérée" à Gaza

Publié

le

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 51'266 Palestiniens ont été tués à Gaza par l'offensive de l'armée israélienne, depuis le début de la guerre. Ici, un homme porte le cadavre de son frère de 4 ans tué par un bombardement israélien sur Gaza-Ville. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le chef de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) Philippe Lazzarini a dénoncé mardi "la famine qui s'aggrave de manière délibérée" à Gaza, après 50 jours de blocus israélien sur l'aide entrant dans le territoire palestinien ravagé par la guerre.

"Gaza est devenue une terre de désespoir. La faim s'étend et s'aggrave, de manière délibérée et provoquée par l'homme", a-t-il affirmé.

Après 18 mois de guerre dévastatrice et un blocus israélien sur l'aide humanitaire depuis le 2 mars, l'ONU a mis en garde contre une situation humanitaire désastreuse pour les 2,4 millions d'habitants de la bande de Gaza. Israël accuse le Hamas de détourner l'aide, ce que dément le mouvement islamiste palestinien qui contrôle Gaza.

"Aide utilisée comme arme de guerre"

Jeudi, des responsables de 12 importantes organisations humanitaires internationales ont averti que la famine n'était "pas seulement un risque", mais qu'elle était "probablement en train de se développer rapidement dans presque toutes les parties" du territoire.

Dans son message sur X, M. Lazzarini déplore une "punition collective" des habitants de Gaza. "Les blessés, les malades et les personnes âgées sont privés de fournitures médicales et de soins", a-t-il souligné.

"L'aide humanitaire est utilisée comme une monnaie d'échange et une arme de guerre", a-t-il poursuivi, tout en demandant la reprise de l'acheminement de l'aide humanitaire, la libération des otages et l'instauration d'un nouveau cessez-le-feu.

Plus de 51'000 morts à Gaza

La guerre a été déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Une trêve du 19 janvier au 17 mars a permis le retour en Israël de 33 otages, incluant huit morts, en échange de la sortie d'environ 1800 Palestiniens des prisons israéliennes.

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 51'266 Palestiniens ont été tués à Gaza par l'offensive de l'armée israélienne, depuis le début de la guerre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

SuisseIl y a 6 minutes

Parmelin échange avec des entreprises suisses aux Etats-Unis

Le ministre de l'économie Guy Parmelin a rencontré mardi à Washington des représentants d'entreprises suisses en marge de la réunion...

InternationalIl y a 1 heure

Musk consacrera moins de temps à l'administration Trump dès mai

Elon Musk, patron de Tesla et proche conseiller de Donald Trump, a dit mardi qu'il...

SportIl y a 3 heures

Pully Lausanne et les Lions de Genève font le break

Pully Lausanne a enlevé l'acte II des quarts de finale des play-off de SBL messieurs....

SuisseIl y a 3 heures

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait...

SuisseIl y a 4 heures

OMS: licenciements sur fond de réduction des financements US

Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué mardi que les...

InternationalIl y a 5 heures

Rubio entreprend une réorganisation du département d'Etat américain

Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a révélé mardi un vaste projet de...

InternationalIl y a 6 heures

Népal: les panthères des neiges estimées à près de 400

Le premier recensement à l'échelle nationale des léopards des neiges au Népal a estimé à...

InternationalIl y a 8 heures

Cachemire indien: 26 morts dans une attaque contre des touristes

Au moins 26 personnes ont été tuées mardi au Cachemire indien lorsque des hommes armés...

InternationalIl y a 9 heures

ONU: la famine "s'aggrave, de manière délibérée" à Gaza

Le chef de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) Philippe Lazzarini a dénoncé...

InternationalIl y a 9 heures

La crise existentielle de Nissan exacerbée par les droits de douane

Les taxes douanières américaines sur l'automobile plombent le constructeur japonais Nissan, déjà massivement endetté et...