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Une famille suisse est restée bloquée dans les Dolomites

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Une famille suisse de quatre personnes s'est retrouvée bloquée dans les Dolomites samedi à la tombée de la nuit (photo prétexte). (© KEYSTONE/AP/MATTHIAS SCHRADER)

Une famille suisse de quatre personnes est restée bloquée plusieurs heures dans une paroi rocheuse dans les Dolomites (I). Les secouristes ont pu les tirer de leur mauvais pas dans la nuit de samedi à dimanche, rapporte l'agence italienne adnkronos.

Le père et la mère âgés de 41 ans et leurs deux filles de 6 et 8 ans sont partis en randonnée vers 14h00 samedi. Ils se sont trompés de direction et sont restés coincés sur les pentes du Mont Pelmo, à 2100 mètres d'altitude.

Les secours ont été alertés vers minuit. Vers 01h30, une équipe a pu localiser puis sécuriser les parents et les enfants et les ramener sur un sentier, 100 mètres plus haut. De là, les sauveteurs ont raccompagné les randonneurs au col de Staulanza, dans la province de Belluno, où se trouvait leur voiture.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / akr

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International

Nouvelle journée d'hommage au pape François: la foule à St-Pierre

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L'Ansa a estimé à 100'000 personnes la foule qui se pressait mercredi sur la place Str-Pierre pour rendre un dernier hommage au pape dans la basilique éponyme. (© KEYSTONE/EPA ANSA/ALESSANDRO DI MEO)

Au deuxième jour de l'exposition de la dépouille du pape François, devant laquelle au moins 20'000 fidèles se sont déjà recueillis, la basilique Saint-Pierre de Rome a rouvert jeudi pour une nouvelle journée d'affluence, avant ses obsèques samedi.

La monumentale basilique, qui devait fermer à minuit, est finalement restée ouverte presque toute la nuit, jusqu'à 05h30, pour permettre d'accueillir le flot de fidèles, a indiqué le Vatican.

Elle a rouvert jeudi à 07h00 et une foule dense se pressait déjà aux abords du plus petit Etat du monde, dont les accès sont filtrés par un lourd dispositif de sécurité qui ralentit l'avancée des fidèles.

Mercredi soir, premier jour du transfert de la dépouille papale dans la basilique Saint-Pierre, plus de 19'400 personnes, selon le Vatican, avaient déjà défilé devant le maître-autel pour rendre un dernier hommage au souverain pontife, décédé lundi à l'âge de 88 ans.

Rupture avec la tradition, le cercueil en bois clair ouvert du défunt pape, vêtu d'une mitre blanche et d'une chasuble rouge, les mains enserrant un chapelet, ne repose pas sur un catafalque mais est posé sur un support à même le sol, à la demande de Jorge Bergoglio, qui aspirait à plus de sobriété dans les rites funéraires papaux.

Près de 4 heures d'attente

Mercredi, une longue file d'attente de fidèles, parfois en larmes, s'est étirée sur la place Saint-Pierre encadrée par la célèbre colonnade du Bernin.

Selon plusieurs témoignages recueillis par l'AFP, il fallait patienter entre trois et plus de quatre heures pour entrer dans la basilique.

Leobardo Guevara, un Mexicain de 24 ans venu à Rome pour l'année jubilaire, a patienté quatre heures et demie pour voir la dépouille du pape, devant laquelle il a ressenti "une sensation de paix".

Un important dispositif de sécurité est déployé place Saint-Pierre, où la gendarmerie vaticane et les carabiniers italiens fouillent les sacs à dos et font passer les fidèles à travers des portiques de sécurité.

Au cours d'une cérémonie au Parlement en hommage au pape François, la première ministre italienne Giorgia Meloni, qui s'est ensuite recueillie devant sa dépouille à Saint-Pierre, a évoqué un homme "déterminé" avec qui "on pouvait parler de tout".

Jeudi, les fidèles pourront rendre hommage au pape de 07h00 à minuit et de 07h00 à 19h00 vendredi.

Têtes couronnées

L'affluence a également été massive mercredi à la basilique Sainte-Marie-Majeure, dans le centre de Rome, où le pape sera enterré samedi conformément à sa volonté. Selon le préfet de Rome Lamberto Giannini, plus de 10'000 personnes s'y sont pressées à l'heure du déjeuner.

Plus tôt dans la matinée, la dépouille du pape avait été escortée par des dizaines de cardinaux, évêques, religieux et laïcs depuis la petite chapelle de la résidence Sainte-Marthe, où il a vécu de son élection en 2013 jusqu'à sa mort, vers la basilique couronnée par la coupole de Michel-Ange.

Le Vatican observera neuf jours de deuil à partir de samedi. Au cours de ces "novemdiales", des célébrations solennelles auront lieu chaque jour à Saint-Pierre, jusqu'au 4 mai.

Le cercueil sera fermé vendredi soir lors d'une cérémonie présidée par le cardinal camerlingue, l'Américain Kevin Farrell, qui gère les affaires courantes jusqu'au conclave.

Les funérailles de François se dérouleront samedi à 10h00 sur la place Saint-Pierre, où devraient converger au moins 200'000 fidèles, et 170 délégations étrangères.

"Il est impossible de savoir" combien de personnes seront présentes le jour des funérailles, "quelques centaines de milliers au minimum", a déclaré à l'AFP Pierfrancesco Demilito, chef du service de presse de la Protection civile italienne.

Comme pour Jean-Paul II en 2005, des dizaines de chefs d'Etat et de têtes couronnées assisteront aux funérailles du chef de l'Eglise catholique, sous haute sécurité.

Parmi eux, le président américain Donald Trump, ses homologues français Emmanuel Macron et ukrainien Volodymyr Zelensky ou encore le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.

Le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le prince William, Albert II de Monaco et son épouse Charlène seront aussi présents.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / anp

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International

Baisse des vaccinations: maladies évitables à la hausse (ONU)

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Des maladies qui peuvent être évitées grâce à la vaccination repartent à la hausse, alertent l'ONU et l'Alliance du vaccin (Gavi) (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Jerome Delay)

Rougeole, méningite, fièvre jaune... Des maladies qui peuvent être évitées grâce à la vaccination repartent à la hausse, dans un contexte de désinformation et de coupes dans l'aide internationale, ont alerté mercredi l'ONU et l'Alliance du vaccin (Gavi).

"Les vaccins ont sauvé plus de 150 millions de vies ces cinq dernières décennies", a commenté le patron de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l'occasion de la semaine mondiale de la vaccination.

"Les coupes financières touchant la santé mondiale mettent ces avancées durement gagnées en danger. Les épidémies de maladies évitables grâce aux vaccins augmentent à travers le monde, mettant des vies en danger et exposent les pays à des coûts de plus en plus grands pour traiter ces maladies et répondre aux épidémies", a-t-il ajouté.

Ainsi, la rougeole fait un "retour particulièrement dangereux", se sont inquiétées l'OMS, l'Unicef et Gavi dans ce communiqué conjoint. Le nombre de cas atteint 10,3 millions de cas estimés en 2023 (+20% par rapport à 2022).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un autre ex-président sud-coréen inculpé pour corruption

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L'ancien président sud-coréen Moon Jae-in (2017-2022) vient à son tour d'être inculpé de corruption (archives). (© KEYSTONE/AP/Hong Hae-in)

L'ancien président de la Corée du Sud Moon Jae-in (2017-2022) a été inculpé pour corruption, soupçonné d'avoir facilité l'emploi de son gendre dans une compagnie aérienne, ont annoncé jeudi les procureurs.

Un énième rebondissement sur la scène politique sud-coréenne, déjà ébranlée par plusieurs mois de chaos à la suite de la tentative ratée de l'ex-président Yoon Seok Yeol d'instaurer la loi martiale en décembre, qui s'est soldée par sa destitution.

L'ancien président de centre-gauche (2017-2022) a été "inculpé de corruption pour avoir reçu 217 millions de wons (132'200 euros) après avoir facilité l'emploi de son gendre dans une compagnie aérienne", a déclaré le bureau des procureurs du district de Jeonju dans un communiqué.

Selon le parquet, le gendre de M. Moon aurait été nommé directeur général de la compagnie aérienne Thai Easter Jet, "malgré l'absence de toute expérience ou qualification pertinente dans l'industrie du transport aérien".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'Australie veut sa "réserve stratégique" de minerais critiques

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L'Australie dispose d'énormes gisements de minerais critiques tels que le lithium, le nickel et le cobalt, mais vend la majeure partie de ces ressources sous forme brute (archives). (© KEYSTONE/EPA/BHP BILLITON/HO)

L'Australie va établir une "réserve stratégique" de minerais critiques, a annoncé jeudi le Premier ministre Anthony Albanese, au moment où nombre de pays s'efforcent de sécuriser les accès aux terres rares en dehors de la Chine.

La superpuissance minière dispose d'énormes gisements de minerais tels que le lithium, le nickel et le cobalt, mais vend la majeure partie de ces ressources sous forme brute, destinées à être transformées dans les usines chinoises.

M. Albanese a indiqué que son pays allait commencer à stocker ces minerais et à vendre ces matières premières convoitées à des "partenaires clés".

"Les temps de plus en plus incertains exigent une nouvelle approche pour s'assurer que l'Australie maximise la valeur stratégique des minerais critiques", a déclaré le chef du gouvernement dans un communiqué.

"Nous devons faire plus avec les ressources naturelles dont le monde a besoin et que l'Australie peut fournir", a-t-il ajouté.

L'Australie réserverait initialement 1,2 milliard de dollars australiens (672 millions de dollars américains) pour mettre en place la réserve et la faire fonctionner.

Monnaie d'échange

Le gouvernement d'Anthony Albanese a déjà suggéré de se servir de ses minerais comme monnaie d'échange dans des négociations commerciales avec les Etats-Unis qui ont imposé des droits de douane au reste du monde.

L'Australie possède certains des plus grands gisements de lithium au monde et est également une source importante de métaux de terres rares qui sont moins connus, tels que le néodyme.

Les Etats-Unis, l'Allemagne ou le Japon sont désireux d'obtenir ces minerais auprès d'autres pays que la Chine.

Le Japon dispose de sa propre réserve de minerais tandis que les Etats-Unis investissent dans des raffineries de métaux et d'autres technologies de traitement.

La Chine a la mainmise sur l'approvisionnement mondial en minerais transformés, qui se profilent comme un nouveau sujet de discorde dans la guerre commerciale avec Washington.

Le président américain Donald Trump a ouvert mardi une enquête sur les "effets sur la sécurité nationale" de l'importation de minerais critiques ainsi que les "produits dérivés", comme les smartphones ou les véhicules électriques, ouvrant la voie à des surtaxes.

"La capacité du gouvernement à constituer des stocks est une garantie importante contre la pression du marché et les interventions d'autres pays", a déclaré M. Albanese dans un discours jeudi.

Rançonner

"Cela signifie que l'Australie a le pouvoir de vendre au bon moment aux bons partenaires pour les bonnes raisons", a-t-il poursuivi.

Par le passé, la Chine s'est montrée disposée à rançonner les terres rares.

Au plus fort d'un différend diplomatique en 2010, la Chine a effectivement interdit l'exportation de terres rares vers le Japon.

Cette mesure a ébranlé l'industrie automobile japonaise, qui dépendait fortement de certains alliages de terres rares pour fabriquer les aimants utilisés dans les moteurs. La Chine contrôle quelque 90% de l'offre mondiale de terres rares - un sous-ensemble de minerais critiques - et protège farouchement sa position.

Pékin a interdit l'exportation de technologies de traitement susceptibles d'aider les pays rivaux et a été accusé d'utiliser des quotas imposés par l'État pour contrôler l'offre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

"Tunnel" sur un site nucléaire iranien: l'ONU veut des explications

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Des images satellites du site nucléaire de Natanz, à 300 kilomètres au sud de Téhéran, dévoileraient un nouveau tunnel (archives). (© KEYSTONE/AP/Vahid Salemi)

L'agence de surveillance nucléaire de l'ONU a demandé mercredi à l'Iran d'expliquer la présence de tunnels autour d'un de ses sites nucléaires, tout en exprimant l'espoir de voir se poursuivre les discussions entre Téhéran et les Etats-Unis.

L'Institute for Science and International Security, un groupe de réflexion basé à Washington, a publié mercredi des images satellite du site nucléaire de Natanz, montrant un nouveau tunnel situé à proximité d'un tunnel plus ancien, ainsi qu'un nouveau périmètre de sécurité.

"J'ai soulevé ce problème à plusieurs reprises et je continuerai à le faire", a déclaré Rafael Grossi, directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), lors d'une visite à Washington.

Rafael Grossi, qui s'est rendu à Téhéran la semaine dernière, a rappelé que tous les pays devaient informer l'AIEA de leurs intentions concernant les installations autour des sites nucléaires, mais que l'Iran, au nom d'une position "unique au monde", se permettait de ne pas le faire.

"On leur demande: à quoi cela va-t-il servir? Ils nous répondent que ce ne sont pas nos affaires", a décrit M. Grossi.

"Il n'est pas exclu" que ces tunnels servent à stocker du matériel non déclaré, a prévenu le chef de l'AIEA, ajoutant toutefois qu'il ne souhaitait pas spéculer sur les intentions de l'Iran.

"L'Iran n'est pas doté d'armes nucléaires. Cela est très clair", a-t-il affirmé. En revanche, "l'Iran a déjà mené par le passé certaines activités pertinentes - enfin, qui pourraient l'être - dans le processus de développement d'armes nucléaires", a-t-il déclaré.

Accord de 2015 fustigé

Par ailleurs, M. Grossi a fait part de son optimisme quant à la conclusion d'un accord entre les États-Unis et l'Iran, après deux séries de négociations entre les pays ennemis, et de nouvelles discussions attendues ce week-end.

"Je pense que tout le monde s'attend à ce que les choses se passent bien et à ce que l'accord soit vérifié par l'AIEA", a-t-il affirmé.

En 2018, Donald Trump, alors président, avait mis fin à un accord précédent avec l'Iran, négocié sous Barack Obama.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a fustigé une nouvelle fois mercredi cet accord de 2015 qui a selon lui "donné à l'Iran un allègement immédiat et total des sanctions en échange de capacités d'enrichissement qui, à tout moment à l'avenir, pourraient être utilisées à des fins militaires".

Si le gouvernement Trump nourrit l'espoir d'un nouvel accord sous le second mandat du républicain, Washington a brandi à de nombreuses reprises la menace militaire.

Les Etats-Unis ont aussi instauré mardi de nouvelles sanctions financières, notamment contre le secteur énergétique iranien.

Interrogé sur une potentielle attaque militaire, M. Grossi a déclaré: "Je voudrais simplement rappeler que les attaques contre les installations nucléaires pourraient avoir des conséquences très, très graves".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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