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Sommet de Paris sur l'Ukraine: alliés prêts à déployer des troupes

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Le président français, son homologue ukrainien et le Premier ministre britannique sont à la manoeuvre pour faire entendre la voix de l'Ukraine et des Européens face au réchauffement spectaculaire entre les Etats-Unis de Donald Trump et la Russie de Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/AP/Ludovic Marin)

Les alliés européens de l'Ukraine réunis jeudi à Paris se sont prononcés à l'unanimité contre toute levée des sanctions imposées à la Russie, mais nombre de questions demeurent sur les futures garanties de sécurité pour Kiev.

Au cours de ce sommet d'une trentaine de pays européens, la Royaume-Uni et la France, au coeur du projet de déploiement futur d'une "force de réassurance" en Ukraine, se sont affirmés en tant que "pilotes" de la mobilisation.

Une mission franco-britannique se rendra d'ailleurs "dans les prochains jours en Ukraine", a annoncé le président français Emmanuel Macron, pour préparer notamment "ce que sera le format de l'armée ukrainienne", qui reste, a-t-il souligné, "la principale garantie de sécurité" du pays.

Ces "garanties" étaient au coeur de la réunion, au moment où Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou, faisant craindre aux Ukrainiens et aux Européens un accord sur leur dos.

"Beaucoup de questions et peu de réponses"

Pour autant, la proposition franco-britannique, discutée depuis plusieurs semaines, de déployer un contingent européen en Ukraine "ne fait pas l'unanimité", a reconnu M. Macron, assurant toutefois qu'il y aurait "une force de réassurance de plusieurs pays européens" en cas de paix.

"Il y a encore beaucoup de questions" et "peu de réponses", concernant le mandat, les responsabilités et la composition cette force, a résumé le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky au cours d'une conférence de presse à l'issue du sommet.

Il a toutefois salué "le soutien infaillible" de ses alliés et "beaucoup de propositions" sur la défense antiaérienne, l'engagement en mer Noire ou les investissements dans l'industrie de défense ukrainienne.

Ces troupes n'auraient "pas vocation à être des forces de maintien de la paix, à être présentes le long de la ligne de contact ou à se substituer aux forces ukrainiennes", a de son côté répété Emmanuel Macron. Elles seraient envoyées dans "certains endroits stratégiques préidentifiés avec les Ukrainiens" et auraient un "caractère de dissuasion", a-t-il dit.

Sur le volet économique, les Etats soutenant l'Ukraine ont unanimement acté qu'il ne fallait pas abandonner les sanctions contre Moscou, alors que Washington l'envisage.

"Consensus"

"Il y a un consensus sur le fait que ce n'est pas le moment de lever les sanctions", a martelé le premier ministre britannique Keith Starmer. "Au contraire, nous avons discuté de la façon de les renforcer", a-t-il ajouté, se réjouissant par ailleurs de voir l'Europe "se mobiliser" pour la paix en Ukraine "à une échelle inédite depuis des décennies".

Ce serait "une grave erreur" de les supprimer, a renchéri le chancelier allemand Olaf Scholz. "Cela n'a aucun sens tant que la paix n'est pas réellement rétablie et nous en sommes malheureusement encore loin".

Les participants au sommet parisien se sont en effet montrés très méfiants quant à la volonté de Moscou de mettre fin au conflit.

Le président français a décrit ainsi la stratégie du Kremlin: "Faire semblant d'ouvrir des négociations pour décourager l'adversaire et intensifier les attaques".

Sous pression américaine, Kiev avait accepté le 11 mars une cessation de 30 jours des combats. Mardi, à l'issue de pourparlers en Arabie saoudite par l'intermédiaire de Washington, un accord a été annoncé pour déboucher, sous conditions, sur une trêve en mer Noire et un moratoire sur les frappes contre les sites énergétiques.

Mais Moscou a réclamé la levée des restrictions sur les exportations agricoles russes, une idée soutenue par la Maison Blanche.

Volodymyr Zelensky s'est à cet égard inquiété de certains "signaux" donnés par les Etats-Unis, en particulier sur le sort des territoires conquis par la Russie, qui occupe 20% de l'Ukraine. "On ne va pas offrir nos terres à Poutine", a-t-il lancé.

Frappes

Parallèlement, la Russie et l'Ukraine se sont mutuellement accusées d'avoir violé le fragile moratoire concernant les infrastructures énergétiques.

Le ministère russe de la Défense a ainsi affirmé que les Ukrainiens avaient visé trois de ces installations sur le sol russe et en Crimée, une péninsule ukrainienne annexée, ce que Kiev a démenti.

L'artillerie russe a tiré jeudi sur la ville de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, privant d'électricité la plupart de ses habitants et faisant deux morts, a pour sa part dénoncé un haut responsable ukrainien auprès de l'AFP.

De Paris, M. Zelensky a appelé les Etats-Unis à "réagir" après ces nouvelles frappes.

Egalement présente au sommet dans la capitale française, la première ministre italienne Giorgia Meloni, tiraillée entre son soutien à Kiev et ses bonnes relations avec l'administration Trump, a de son côté espéré qu'une délégation américaine serait présente la prochaine fois, soulignant "l'importance de continuer à travailler avec les Etats-Unis pour arrêter le conflit".

Parmi les dirigeants des pays de l'Union européenne et/ou de l'Otan ayant participé à cette réunion de la "coalition des volontaires", pour reprendre l'expression d'Emmanuel Macron, figurait aussi le vice-président turc Cevdet Yilmaz.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Nouveaux ordres d'évacuation de Tsahal: des Gazaouis fuient Rafah

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Les Gazaouis continuent d'être ballottés d'un bout à l'autre de la bande de Gaza, ici de Rafah en direction de Khan Younis, sous la pression des frappes de Tsahal. (© KEYSTONE/AP/Abdel Kareem Hana)

L'armée israélienne a appelé lundi à évacuer les habitants de plusieurs quartiers de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, laissant présager de nouveaux combats dans cette zone près de deux semaines après la reprise de son offensive contre le Hamas.

Le porte-parole de l'armée en langue arabe, Avichay Adree, s'est adressé sur X aux habitants de vastes zones de Rafah et de certaines parties de Khan Younès, également dans le sud du territoire palestinien.

"L'armée israélienne revient pour combattre avec force afin d'éliminer les capacités des organisations terroristes dans ces zones. Pour votre sécurité, vous devez vous rendre immédiatement aux abris à Al-Mawasi", au nord-ouest de Rafah, a-t-il déclaré.

Des images tournées par l'AFP montrent de longues colonnes d'habitants fuyant Rafah, à pied, à vélo ou dans des charrettes tirées par des ânes transportant couvertures, matelas et autres affaires.

"Une carte tout en rouge a été publiée aujourd'hui appelant à évacuer tout Rafah, et me voilà en train de marcher. Il n'y a pas de transport et je n'ai pas d'argent pour une voiture. Nous n'avons rien pris avec nous, nous avons tout laissé derrière", a témoigné Ali Mansour, un habitant de la ville.

Najah Dhahir, elle aussi de Rafah, fuyait à pied, son bébé de neuf mois dans les bras.

"Nous avons pris nos enfants, nous avons laissé nos affaires, notre literie, notre nourriture, notre argent", dit-elle.

Rafah, une ville frontalière de l'Egypte où s'étaient réfugiés des centaines de milliers d'habitants de Gaza fuyant les combats plus au nord, avait déjà été la cible d'une offensive israélienne majeure il y a environ un an.

Les troupes israéliennes sont repassées à l'offensive le 20 mars dans cette ville, deux jours après avoir rompu la trêve avec le Hamas.

La trêve entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois de guerre s'est effondrée le 18 mars lorsqu'Israël a repris ses raids aériens puis son offensive terrestre à Gaza pour contraindre le mouvement islamiste palestinien à libérer ses derniers otages.

"Passer à l'action"

Lundi, un responsable du Hamas a appelé "quiconque peut porter des armes" à combattre n'importe où le projet du président américain, Donald Trump, de déplacer les habitants de Gaza et prendre le contrôle du territoire.

"Face à ce plan diabolique, qui combine massacres et famine, toute personne capable de porter une arme où que ce soit dans le monde doit passer à l'action", a déclaré ce responsable, Sami Abou Zouhri. "Ne gardez pas un explosif, une balle, un couteau ou une pierre", a-t-il ajouté.

La veille, le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, avait proposé de laisser les dirigeants du Hamas quitter Gaza à condition que le mouvement dépose les armes.

Le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, a affiché son intention de renoncer à administrer le territoire mais pas à déposer les armes, ce qui constitue pour lui une "ligne rouge".

M. Netanyahu a aussi indiqué qu'après la guerre Israël assurerait la sécurité à Gaza et "permettrait la mise en oeuvre du projet Trump".

Donald Trump avait soulevé un tollé international cet hiver en proposant que les 2,4 millions d'habitants de Gaza soient expulsés vers l'Egypte ou la Jordanie. Il a ensuite semblé faire marche arrière, déclarant qu'il "n'imposerait pas" ce projet.

Les autorités israéliennes semblent cependant prendre au sérieux ce plan, une perspective qui inquiète le Hamas, selon Alan Mendoza, directeur exécutif de la Henry Jackson Society, un cercle de réflexion britannique.

"Cela inquiète le Hamas car son existence même repose sur le contrôle de Gaza. Sans ce contrôle, le mouvement ne peut plus exister", a déclaré M. Mendoza à l'AFP.

Depuis la reprise de l'offensive, 1001 personnes ont été tuées, selon le ministère de la Santé du Hamas, portant le bilan total à 50'357 morts depuis le début de la guerre déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste contre Israël le 7 octobre 2023.

Cette attaque a entraîné la mort de 1218 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Michelin 2025 en France: 3e étoile pour Coutanceau et Roellinger

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Christopher Coutanceau ici en 2020 lorsqu'il obtient sa 3e étoile. Elle lui sera entretemps retirée et ce lundi il la récupère. (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Le guide Michelin a décerné lundi une troisième étoile au restaurant éponyme de Christopher Coutanceau, deux ans après la lui avoir retirée, ainsi qu'à l'établissement "Le Coquillage" du chef Hugo Roellinger, deux établissements situés dans l'ouest de la France.

Le millésime 2025 du guide rouge de la gastronomie compte également neuf nouveaux restaurants deux étoiles, dont "Maison Nouvelle" du chef médiatique Philippe Etchebest à Bordeaux, 57 nouveaux restaurants une étoile et 10 nouveaux restaurants Etoile Verte à travers la France.

Le palmarès a été dévoilé à Metz, lors d'un événement très attendu auquel ont été conviés tous les chefs étoilés de France ainsi que les futurs récompensés.

Créé en 1900 par les frères André et Edouard Michelin à destination des automobilistes, le guide Michelin est aujourd'hui présent en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud, et se décline dans plus de 50 destinations.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Allemagne: l'inflation ralentit en mars, grâce à l'énergie

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En mars, l'inflation sous-jacente, qui exclut les biens de consommation et de l'énergie, est aussi retombée à 2,5% sur un an, soit 0,2 point de moins qu'en février. (© KEYSTONE/AP/MARKUS SCHREIBER)

L'inflation en Allemagne a ralenti en mars, à 2,2% sur un an, grâce à la baisse des prix de l'énergie, selon des chiffres publiés lundi, dans un climat d'incertitude économique accrue par la guerre commerciale partie des Etats-Unis.

La hausse des prix à la consommation a reculé de 0,1 point après avoir stagné à 2,3% en février, selon une première estimation de l'institut Destatis.

Les analystes sondés par Factset tablaient sur une baisse à 2,1% de l'indice en glissement annuel.

Après avoir atteint 1,6% en septembre 2024, son plus bas niveau depuis 2021 et les effets de la crise énergétique, l'inflation dans la première économie européenne était progressivement remontée au-dessus de la cible des 2% de la Banque centrale européenne (BCE).

Si ce ralentissement "apporte un nouveau soulagement" à la BCE, engagée dans un cycle d'assouplissement monétaire, "l'escalade imminente des tensions commerciales et d'éventuelles représailles européennes aux droits de douane américains pourraient aggraver les pressions inflationnistes à court terme", souligne Carsten Brzeski, économiste chez ING.

En mars, l'inflation sous-jacente, qui exclut les biens de consommation et de l'énergie, est aussi retombée à 2,5% sur un an, soit 0,2 point de moins qu'en février.

Dans le détail, la hausse des prix des produits alimentaires s'est élevée à 2,9%, en augmentation par rapport à février, où elle était de 2,4%.

Toutefois, les prix des l'énergie ont continué de dégringoler, à -2,8% sur un an, contre -1,6% le mois dernier.

Les prix des services, qui tirent normalement l'indicateur à la hausse, ont continué d'augmenter sur un an (+3,4%) mais moins qu'au cours des derniers mois.

La hausse de l'indice harmonisé des prix, particulièrement scrutée par l'institution monétaire, est également retombée à 2,3%, contre 2,6% en février.

Confiante dans le reflux de l'inflation, la BCE a baissé ses taux à six reprises depuis juin 2024, après les avoir relevés drastiquement pendant deux ans pour combattre l'envolée des prix.

Toutefois, les incertitudes des deux côtés de l'Atlantique et les tensions commerciales font planer une grande incertitude sur la suite de son cap monétaire.

La BCE prévoit pour cette année une inflation à 2,3% en zone euro : "on est presque dans les clous mais il faut y rester, donc c'est un combat de tous les instants", a souligné sa présidente Christine Lagarde lundi sur France Inter.

Elle a ajouté ne pouvoir "dire +ça y est c'est terminé c'est derrière nous+" au regard notamment de l'incertitude générée par la politique commerciale de l'administration Trump.

En Italie, l'inflation annuelle a progressé de 0,4 point à 2,0% en mars, tandis qu'elle est restée stable à 0,8% en France et a nettement ralenti au Portugal (+1,9%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

La série phénomène "Adolescence" diffusée dans les écoles

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La série phénomène "Adolescence" sera diffusée gratuitement dans les lycées britanniques. (© KEYSTONE/AP)

La minisérie de Netflix "Adolescence", qui aborde le sujet des influences toxiques et misogynes auxquelles sont exposés les jeunes en ligne et suscite un débat de société au Royaume-Uni, va être diffusée gratuitement dans les collèges et lycées du pays.

"C'est une initiative importante pour encourager le plus grand nombre possible d'élèves à regarder le programme", a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer, qui a lui-même vu la série avec ses enfants adolescents.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La compagnie China Airlines commande 10 gros porteurs à Airbus

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Le montant du contrat n'a pas été divulgué et Airbus ne publie plus les tarifs de ses appareils depuis 2018. A l'époque, les A350-1000 valaient 366,5 millions de dollars pièce. (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

La compagnie taïwanaise China Airlines a commandé dix gros porteurs Airbus A350-1000 pour desservir l'Amérique du Nord et l'Europe, a annoncé lundi l'avionneur européen dans un communiqué.

Le montant du contrat n'a pas été divulgué et Airbus ne publie plus les tarifs de ses appareils depuis 2018. A l'époque, les A350-1000 valaient 366,5 millions de dollars pièce.

L'A350, capable de franchir 18'000 km sans ravitaillement, a été mis en service en 2014. Il a déjà été commandé à plus de 1360 exemplaires, dont quelque 640 ont été livrés.

Il existe en deux versions: la 900 qui peut accueillir jusqu'à 350 passagers en trois classes, et la 1000, allongée, dont la capacité maximum atteint 480 sièges.

China Airlines, qui exploite déjà 15 appareils de ce type, en version 900, a l'intention d'utiliser ces nouveaux avions "sur des liaisons long-courrier vers l'Amérique du Nord et l'Europe", selon le communiqué d'Airbus.

La commande annoncée lundi "soutient notre stratégie de croissance à l'international", a déclaré le président de China Airlines, Kao Shing-Hwang, cité dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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