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Actualité

Journée mondiale contre les violences faites aux travailleurs du sexe

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(AP Photo/Peter Dejong)

Le 17 décembre est la journée désignée par l'ONU et de nombreuses organisations pour lutter contre les différentes violences faites aux travailleurs du sexe.

On peut penser immédiatement aux agressions et meurtres perpétrés à leur encontre, mais ils ne faut pas oublier les violences moins visibles dont sont victimes ces travailleurs du sexe. Elles peuvent prendre des formes très variées et sont bien souvent ignorées de la population et des institutions légales. En Suisse, où la prostitution est reconnue comme une activité légale, elles n'en sont pourtant pas moins présentes et l'on constate de nombreuses agressions de tout type et venant de différentes personnes. En premier lieu, ce sont les violences domestiques qui sont les plus fréquentes. Puis viennent les "intermédiaires", c'est à dire les différentes personnes ayant une emprise sur le travail en question, les institutions, les collègues, les passants, la police, et enfin la vie sociale.

Très peu d'études permettent de rendre visibles ces violences et de les combattre, d'où l’intérêt d'une telle journée. Il est donc difficile d'imaginer l’ampleur de cette problématique. Cependant une étude menée au Canada, pays dans lequel la prostitution n'est pas illégale, sur 183 personnes, a mis en lumière que 80% d'entre elles déclarent avoir subi au moins une agression au cours de l'année. Des chiffres alarmants.

Isabelle Boillat est co-coordinatrice de l'association Aspasie, elle est revenue sur le principe de cette journée et l'importance d'être informé sur les différentes violences faites aux TDS.

Comment prévenir ces violences

Les ressources des travailleurs du sexe face à ces violences relèvent plus souvent de tactiques et de savoirs-faire que de réels moyens pour se défendre. De la prévention, à l'autodéfense et à la négociation, les travailleurs du sexe sont soumis à une dure loi individualiste. En marge, il existe bien sûr des recours légaux, auprès de l'association Aspasie à Genève, qui est aujourd'hui la seule association de défense des droits des travailleurs du sexe du canton, ou encore auprès de la police, bien que les plaintes pour discrimination envers elle soient nombreuses.

Culture

Décès du Nobel de littérature Mario Vargas Llosa à 89 ans à Lima

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L'écrivain hispano-péruvien Mario Vargas Llosa, prix Nobel de littérature 2010 et membre de l'Académie française, est décédé dimanche à Lima, a annoncé sa famille (archives) (© KEYSTONE/AP/Francisco Seco)

Le prix Nobel de littérature hispano-péruvien Mario Vargas Llosa est décédé dimanche à Lima à l'âge de 89 ans, marquant la fin d'une ère : celle de la génération dorée de la littérature latino-américaine, dont il était le dernier grand représentant.

"C'est avec une profonde tristesse, que nous annonçons que notre père, Mario Vargas Llosa, est décédé aujourd'hui à Lima, entouré de sa famille et en paix", a annoncé son fils aîné Alvaro dans un message posté sur X, également signé par son frère Gonzalo et sa soeur Morgana.

Ces derniers mois, les rumeurs sur la détérioration de l'état de santé de l'écrivain, qui vivait depuis quelques mois en retrait de la vie publique, s'étaient multipliées.

Il "est à l'aube de ses 90 ans, un âge où il faut réduire un peu l'intensité de ses activités", avait déclaré son fils Alvaro en octobre dernier, sans préciser l'état de santé de son père.

Boom littéraire

Né dans une famille de la classe moyenne péruvienne, Mario Vargas Llosa a été l'un des grands protagonistes du "boom" littéraire latino-américain des années 1960 et 1970, avec le Colombien Gabriel Garcia Marquez et l'Argentin Julio Cortazar.

"Son départ attristera ses proches, ses amis et ses lecteurs dans le monde entier, mais nous espérons qu'ils trouveront une consolation, comme nous, dans le fait qu'il a joui d'une vie longue, multiple et fructueuse", ajoute le message annonçant son décès.

"Nous procéderons dans les heures et les jours à venir conformément à ses instructions. Aucune cérémonie publique n'aura lieu. Notre mère, nos enfants et nous-mêmes sommes convaincus que nous aurons l'espace et l'intimité nécessaires pour lui faire nos adieux en famille et en compagnie d'amis proches" ajoute-t-il.

"Sa dépouille, comme il le souhaitait, sera incinérée", conclut le communiqué.

"Génie intellectuel"

Dans un message publié sur X, la présidente du Pérou Dina Boluarte a regretté le décès de l'écrivain. "Son génie intellectuel et sa vaste oeuvre resteront un héritage durable pour les générations futures. Nous exprimons nos plus sincères condoléances à sa famille, à ses amis et au monde de la littérature. Repose en paix, illustre Péruvien de tous les temps".

Mario Vargas Llosa vivait à Lima depuis l'année dernière. Quelques jours avant ses 89 ans, qu'il avait fêté le 28 mars, il était apparu sur le compte X de son fils Alvaro dans une série de trois photos prises dans des lieux de la capitale où il a écrit ses deux derniers romans "Cinco Esquinas" (2016) et "Le Dedico Mi Silencio" (2023).

Ce n'était pas la première fois que son fils partageait des photos de lui dans la capitale.

Admiré pour sa description des réalités sociales, l'auteur de chefs d'oeuvre comme "La ville et les chiens" ou "Conversation dans la cathédrale" était aussi critiqué par les milieux intellectuels sud-américains pour ses positions conservatrices.

Traduit en une trentaine de langues, cet auteur francophile, qui a vécu plusieurs années à Paris, a été le premier écrivain étranger à entrer de son vivant dans la prestigieuse collection de la Pléiade en 2016. Il a été élu à l'Académie française en 2021.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Européens et Américains condamnent la frappe russe sur Soumy

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La Maison Blanche, l'ONU et plusieurs dirigeants européens ont condamné la frappe russe meurtrière dimanche sur la ville ukrainienne de Soumy. (© KEYSTONE/AP/VOLODYMYR HORDIIENKO)

Les Etats-Unis, les Européens et les Nations Unies ont fermement condamné dimanche le bombardement russe qui a fait au moins 34 morts dans la ville de Soumy, dans le nord-est de l'Ukraine, en pleines tractations diplomatiques pour une trêve.

Cette attaque, intervenue deux jours après la visite d'un haut responsable américain en Russie, est la plus meurtrière sur une zone civile depuis des mois en Ukraine, et notamment depuis la reprise de contact entre Washington et Moscou mi-février.

Le président américain Donald Trump tente d'arrêter avec des pourparlers séparés la guerre déclenchée par l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, sans succès pour l'heure.

Ces dernières semaines, les frappes russes mortelles se sont enchaînées, malgré le mécontentement exprimé par Donald Trump qui avait appelé Moscou à cesser de "bombarder comme des fous".

L'attaque sur Soumy constitue "un rappel brutal" de l'impératif de négocier pour mettre fin à "cette terrible guerre", a estimé la Maison Blanche, par la voix du porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Brian Hughes.

A Soumy, les secours ukrainiens ont affirmé que Moscou avait frappé dimanche matin le centre-ville avec des missiles "au moment où il y avait beaucoup de gens dans la rue".

Selon cette source, le dernier bilan, à 18H00 (17H00 suisses), était d'au moins 34 morts, dont deux enfants, et de 117 blessés, dont 15 enfants.

Les autorités ont publié des images de corps étendus dans la rue et de blessés à terre, et décrété trois jours de deuil. "Il y a beaucoup de cadavres (...) C'est juste la folie", a déclaré à l'AFP une femme témoin du bombardement, sans donner son nom.

Depuis qu'elle a gargement repoussé une percée ukrainienne sur son territoire, dans la région de Koursk, la Russie exerce une pression croissante sur les régions ukrainiennes voisines de Soumy et de Kharkiv.

Selon le commandant des armées ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, ces offensives de Moscou visent à créer des "zones-tampon" pour empêcher de nouvelles incursions ukrainiennes en Russie.

"Limites de la décence"

L'attaque à Soumy a eu lieu le dimanche des Rameaux, une date importante dans le calendrier chrétien qui précède celui de Pâques et marque l'entrée dans la Semaine sainte.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fustigé une frappe "un jour où les gens vont à l'église (...) Seuls des salauds peuvent faire cela".

Sur Telegram, il a appelé à exercer une "pression forte" sur Moscou pour "arrêter la guerre", accusant son homologue russe Vladimir Poutine d'avoir "ignoré la proposition américaine d'un cessez-le-feu total et inconditionnel".

Ce bombardement a suscité la condamnation de l'émissaire américain pour l'Ukraine, Keith Kellogg: sur X, il a dénoncé une frappe "inacceptable" qui "dépasse les limites de la décence". Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a lui qualifié l'attaque d'"horrible".

"C'est un crime de guerre grave, délibéré et voulu", a dénoncé le futur chancelier allemand, Friedrich Merz. "C'est ce que Poutine fait à ceux qui discutent avec lui d'un cessez-le-feu", a-t-il ajouté.

Le chancelier allemand sortant Olaf Scholz a lui condamné une "attaque barbare", tandis que la Première ministre italienne Giorgia Meloni a déploré une frappe "horrible et lâche" qui "contredit tout engagement réel en faveur de la paix".

"Cette guerre, chacun sait que c'est la Russie, seule, qui l'a voulue. Aujourd'hui, il est clair que c'est la Russie qui, seule, choisit de la poursuivre", a fustigé le président français Emmanuel Macron, appelant à "des mesures fortes" pour imposer une trêve à Moscou.

Le Premier ministre britannique Keir Starmer s'est dit "consterné". Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a dit être "sous le choc" et "profondément alarmé" par ces attaques, qui provoquent "des victimes civiles et des destructions à grande échelle".

Négociations prolongées

La Russie a attaqué l'Ukraine sans relâche ces dernières semaines, malgré la pression de Donald Trump pour que le conflit prenne fin.

Début avril, une attaque russe contre Kryvyi Rig (centre) a tué 18 personnes, dont neuf enfants, et choqué tout le pays.

Washington a organisé des pourparlers indirects avec des responsables russes et ukrainiens, qui se prolongent et n'ont pas abouti à une cessation globale des hostilités.

Dans ce cadre, l'émissaire américain Steve Witkoff a rencontré vendredi Vladimir Poutine en Russie, pour la troisième fois depuis février.

Dans une interview enregistrée avant la frappe sur Soumy et diffusée dimanche par la chaîne de télévision américaine CBS, M. Zelensky a appelé M. Trump à se rendre en Ukraine pour constater les dégâts.

"Nous voulons que vous veniez voir. Vous pensez que vous comprenez ce qui se passe ici. Très bien, nous respectons votre décision", a déclaré le chef d'Etat ukrainien.

"Mais s'il vous plaît, avant de prendre toute décision, avant toute forme de négociation, venez voir les gens, les civils, les combattants, les hôpitaux, les églises, les enfants, détruits ou morts. Venez, voyez et ensuite avançons avec un plan pour mettre fin à la guerre", a-t-il dit.

"Vous comprendrez ce que Poutine a fait", a-t-il ajouté, soulignant qu'"on ne peut pas faire confiance à Poutine".

Kiev et des capitales occidentales soupçonnent la Russie de faire traîner à dessein les discussions.

"Poutine n'a jamais voulu arrêter la guerre. Il n'a jamais voulu que nous soyons indépendants. Poutine veut nous détruire complètement", a répété M. Zelensky sur CBS.

En mars, Washington avait proposé un cessez-le-feu inconditionnel. Mais Vladimir Poutine n'avait pas été convaincu et cette proposition de trêve de 30 jours, acceptée par Kiev, ne s'est pas concrétisée.

Moscou exige que Kiev renonce à rejoindre l'Otan et lui cède des territoires, notamment les quatre régions ukrainiennes dont elle revendique l'annexion (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia, Kherson) et la Crimée annexée en 2014.

Des conditions inacceptables pour Kiev qui demande des "garanties de sécurité" pour dissuader la Russie de l'attaquer à nouveau.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Policier blessé à Sion lors d'un contrôle de supporters du FC Sion

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Un policier a été légèrement blessé et 15 personnes ont été interpelées à Sion après la rencontre de Super League dimanche entre Sion et Servette. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Un policier a été légèrement blessé à Sion dimanche soir lors de contrôles de supporters sédunois, à l'issue d'un match opposant le FC Sion au Servette FC. Plusieurs personnes ont été interpellées, dont des mineurs.

Vers 19h30, de nombreux supporters du FC Sion se sont rassemblés sur la Place du Midi, à Sion, a communiqué la police cantonale valaisanne dans la nuit de dimanche à lundi sur X. En raison de la situation tendue, un dispositif policier a été mis en place.

La Place du Midi a été temporairement fermée pendant l’intervention. Au cours de celle-ci, un policier a été légèrement blessé par un groupe de supporters. La police cantonale a interpelé et identifié 12 adultes et 3 mineurs.

Le Ministère public et le Tribunal des mineurs ont ouvert une instruction. Le déroulement exact des événements fait l’objet d’une enquête. Lors de l'intervention, la police régionale des villes du Centre (PRVC) et le Groupement latin de sécurité publique et de maintien de l’ordre (GMO) étaient en renfort, précise le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Equateur: Daniel Noboa déclaré "vainqueur" de la présidentielle

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Le président sortant Daniel Noboa est déclaré vainqueur au second tour de l'élection présidentielle en Equateur dimanche. (© KEYSTONE/AP/Fernando Vergara)

Le président sortant Daniel Noboa a été déclaré vainqueur du second tour dimanche en Equateur par l'autorité électorale, devançant largement sa rivale de gauche Luisa Gonzalez à l'issue d'un scrutin qui s'annonçait pourtant serré.

Selon les résultats non encore définitifs portant sur 92% des bulletins, M. Noboa devance largement Mme Gonzalez, 56%, contre 44%, mais cette dernière à déclaré plus tôt "ne pas reconnaître les résultats" et a demandé "un recomptage".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

"Incendie volontaire" au domicile du gouverneur de la Pennsylvanie

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La résidence officielle du gouverneur de la Pennsylvanie, à Harrisburg. a été la cible samedi d'un incendie volontaire qui a causé d'importants dégâts. (© KEYSTONE/AP/Sean Simmers)

La police a annoncé dimanche avoir arrêté un suspect pour "incendie volontaire" et "terrorisme" après être intervenue dans la nuit au domicile de Josh Shapiro, un poids lourd du Parti démocrate américain.

Le nom de Josh Shapiro, gouverneur de l'Etat de Pennsylvanie (est), avait été évoqué l'an dernier pour être le candidat à la vice-présidence des Etats-Unis de Kamala Harris, la candidate démocrate qui avait finalement choisi le gouverneur du Minnesota Tim Walz comme colistier, avant d'être battue en novembre par Donald Trump.

M. Shapiro, 51 ans, se trouvait avec sa famille à l'intérieur de sa résidence officielle de Harrisburg, capitale de la Pennsylvanie, lorsqu'un incendie s'est déclaré, a rapporté la police de l'Etat.

"Même si le feu a pu être éteint, il a causé d'importants dégâts à une partie de la résidence", a précisé la police dans un communiqué.

Terrorisme

Lors d'une conférence de presse, la police a indiqué avoir arrêté un homme de 38 ans, du nom de Cody Balmer, soupçonné d'avoir pénétré par effraction dans la maison, équipé d'un engin incendiaire de fabrication artisanale.

Le procureur local Fran Chardo a déclaré qu'il demanderait la mise en examen du suspect pour incendie volontaire aggravé et terrorisme ainsi qu'agression aggravée envers une personne dépositaire de l'autorité publique.

Les pompiers sont intervenus vers 2H00 locales dimanche matin (08H00 suisses).

Sur le réseau social X, M. Shapiro a rapporté avoir été réveillé par "des coups sur la porte" frappés par la police, avant d'être évacué avec ses proches.

"Dieu merci, il n'y pas de blessés et le feu a été éteint", a-t-il écrit.

M. Shapiro a été élu gouverneur de Pennsylvanie en 2022 après avoir défait un candidat d'ultra droite soutenu par Donald Trump.

"Ce genre de violence devient bien trop commun dans notre société et peu m'importe qu'il vienne d'un bord ou d'un autre, cela doit cesser", a-t-il déclaré devant la presse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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